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La meute

Chapitre 8

Trash
— Si tu continues, je vais te prendre ici, devant tout le monde, la gronda Albin.— Vous êtes incorrigible. Mais vous allez me réchauffer, j’espère. Où est Sam ?— Elle a appelé des secours, avec Félix elle commence à soigner les prisonnières qu’elle a libérées ; deux jeunes femmes plus mortes que vives.— Ne faites pas de mal au démon, il s’appelle Cujo, il m’a aidée. Oh ! Bonjour, Mr Callahan. Je suis désolée pour ma tenue.— De rien, ce n’est pas ta faute ; cela dit, je comprends que mon fils soit amoureux de toi, tu as tout ce qu’il faut où il faut, et même plus.
Le démon blanc la laissa aller embrasser Tony, qui contemplait son pelage maculé de sang d’un air désolé ; il n’osa pas la serrer contre lui, mais elle se blottit sans façon contre sa masse velue en frissonnant. Ils commencèrent à aller vers la maison pour que Jenny se réchauffe.
— Tu n’as rien, mon gros loup ? Tu n’es pas blessé, tu es sûr ?— Et moi, on ne me dit rien ?— Félix ! Tu es un amour ! Tu vas bien ? Je te dois la vie, à toi aussi !— Oui, un peu, et j’espère que tu t’en rappelleras quand tu seras au chaud dans ton lit.— Petit coquin ! Tu l’as mérité, en effet. Ah ! Enfin de la chaleur. Je suis gelée.
Jenny embrassa Sam qui avait installé les deux femmes sur le lit ; l’agent spécial Brennan était assis dans un fauteuil, enveloppé dans une couverture, le visage blafard ; il adressa néanmoins un sourire à Jenny qui se précipita sous la douche. Tony la rejoignit sous sa forme humaine et ils se savonnèrent amoureusement. Les caresses trop précises de son amant firent frémir la jeune sorcière.
— Attention, ce salaud m’a blessée ; mon ventre est douloureux. Je ne pourrai pas te recevoir par là. En revanche, mon anus est demandeur, quand tu veux, où tu veux. Je veux bien être à toi pour effacer l’horreur.— Ma chérie, je suis si heureux de te voir ainsi, on t’a crue morte, je te dis pas l’ambiance.— Je vois bien que tu es content ; très content même, je le sens contre mon dos. Prends du gel douche et lubrifie-moi.
Il la prit debout, la sodomisant prudemment, mais Jenny s’empala de tout son poids, se plantant jusqu’à la garde sur le membre pourtant conséquent. Elle se tordit pour pouvoir l’embrasser à pleine bouche, l’encourageant à lui pétrir rudement les seins. Dès lors, il la besogna sans plus prendre de précaution, lui imposant un rythme violent ; les claquement mouillés et les halètements de Jenny emplissaient la pièce, couvrant le ruissellement de l’eau. Il éjacula dans un grognement sourd et Jenny se pâma en poussant un râle comblé.
— Merci, j’avais trop besoin de faire l’amour avec quelqu’un que j’aime et qui m’aime.— Tu saignes ? Ce sont tes règles ?— Non, Sam a bloqué nos cycles et nous ne perdons plus de sang menstruel. Ce fumier m’a blessée en me pénétrant. J’ai une douleur persistante dans le ventre.
— Je vais t’amener à l’hôpital.— Attends, Sam va s’en occuper, elle est très forte pour les bobos de femmes.
Entre-temps, les renforts étaient arrivés, policiers, ambulanciers, coroner, légiste. Une profusion de gyrophares qui inondaient les arbres et les vieux bâtiments de couleurs bleues et blanches. Félix avait retrouvé mes vêtements dans un grand placard, au-dessus de pleins d’autres affaires laissant supposer que la meute avait fait un carnage ; des disparitions récentes trouveraient leur explication macabre dans ce placard, à n’en pas douter.
L’agent spécial Brennan était blessé mais paraissait heureux : il avait contribué à sauver les deux femmes qui dormaient à présent. Par contre, il allait avoir un mal de chien à expliquer la manière dont les membres de la meute avaient étés tués. Jenny discutait avec Sam de sa douleur quand la porte s’est ouverte sur un flic et une ombre grise s’est faufilée ; un grand chien-loup gris pâle qui est venu se coucher devant la jeune fille, braquant ses yeux bleu polaire sur elle.
— Désolée, mamzelle, il a réussi à entrer ; il est à vous ?— Non. Je veux dire… Oui. Je suppose que oui.
Cujo avait un regard si chargé d’amour et de reconnaissance qu’elle ne pouvait faire autrement. Aussi était-il dans la voiture de Tony qui reconduisait Jenny chez elle ; Albin assis à l’avant, Jenny sur la banquette arrière le chien à ses pieds, la tête posée sur ses genoux, et Sam à côté d’elle avec Félix le chat roulé en boule entre elles ; il feignait d’ignorer le chien mais gardait un œil inquisiteur sur lui.
— Vous n’allez pas nous la jouer chien et chat, tous les deux, non ?— Jenny, ce chien est un démon très différent de moi, ou d’Albin ; c’est un démon terrestre, habitué à courir ton monde. Nous sommes des démons d’une autre sphère, venus sur terre par invocation dans le cadre d’accords.
Le chien a levé la tête et parlé, d’une voix rauque et à peine compréhensible.
— C’est vrai, Jennifer. Il a tout à fait raison. Je suis comme toi attachée à ce plan et n’ai nulle envie de le quitter. Mais je ne suis pas un démon guerrier ou un incube comme Félix, je suis un démon dédié à l’amour, le sexe sous toutes ses formes, la fécondation et la procréation.— Dans ce cas, que faisais-tu avec la meute de ce chaman ? demanda Albin.— J’ai six-cent-cinquante-deux ans ; le sorcier indien m’a ravi à ma naissance en tuant ma mère et m’a enchaîné à lui par sa magie. Rares sont les personnes qui ont pu libérer assez mon esprit pour que je puisse agir. Jennifer l’a pu et je lui suis redevable de ma liberté.— Tu es jeune, démon ; il t’employait à violer ses victimes ?— Il m’a interdit toute érection, sous quelque forme que je sois. Je suis puceau encore. Je lui servais à conquérir des femmes trop belles pour lui, et à avoir des érections outrepassant les capacités humaines.
Le véhicule s’est garé devant la maison et tout le monde est sorti ; Sam et Félix ont préparé une tisane au thym bien chaude ; il était 6 heures du matin ce dimanche, il faisait encore nuit noire. Sam a caressé le chien-loup qui restait entre elle et Jenny.
— Tu as déjà pris forme humaine, je pense.— Jamais, madame.— Ne m’appelle plus comme ça ! Pour toi, je suis Sam.
Albin intervint :
— Il convient de faire les choses dans l’ordre ; je vais t’aider à prendre forme humaine, tu feras ça tout seul par la suite. Ta mère aurait dû t’apprendre cela. Regarde-moi, tends ton esprit... Visualise ce que tu veux être, je vois... Bon, pas un ado boutonneux, plus âgé, vingt-cinq ans, type amérindien, cheveux gris et longs, yeux bleu pâle, deux mètres et cent kilos, Jenny aime les hommes grands et costauds, qui puissent l’aimer vigoureusement et la protéger. Parfait.— Merci de ton aide, Vor.— Tu n’es pas obligé de trimballer une telle paire de couilles, elles sont disproportionnées là.— Je suis un démon du sexe, et je ne peux pas les réduire plus, désolé.— Je m’appelle Albin KerichVor-Karoghan, je t’accepte comme familier de Jennifer O’Gara, tu peux m’appeler Albin.— Je m’appelle Ashkii wowa telake, je te remercie et accepte de devenir le familier de Jennifer O’Gara. Et vous pouvez m’appeler Cujo, c’est mon surnom depuis bien longtemps.— Je m’appelle Jennifer O’Gara, et je t’accepte, Ashkii wowa telake, comme familier. Mais que veut dire ton nom ?— Dans la langue antique, il signifie « enfant de l’amour »— J’espère pouvoir te rendre ta virilité, je suis triste que tu n’ai pu goûter aux joies de l’amour.— A ce propos, j’ai cru comprendre que mon ancien maître t’a blessée, je peux te guérir si c’est une blessure intime.— Tu crois ?— J’en suis sûr ; je suis un démon de l’amour, du sexe, et rien de ce qui le touche ne m’est étranger.— Tu devrais être appelé divinité de l’amour, comme Eros.— Démon, dieu…Vous donnez des noms aux êtres surnaturels en fonction de critères trop subjectifs ; des tribus m’ont voué un culte, alors j’étais un dieu pour elles.
Peu après, Cujo guérit Jenny : il la soigna simplement en encerclant sa taille de ses grandes mains brunes, elle sentit une intense chaleur interne dans son ventre et la douleur disparut. Simplement. Elle l’embrassa au coin des lèvres en lui susurrant
— Je vais dormir, je suis épuisée. Merci, mon petit diable ; ce soir, je trouverai un moment pour te faire découvrir les joies du sexe ; un long moment ; et vu comme tu es monté au repos, je pense que je ne vais pas perdre mon temps.— Merci, jolie sorcière ; dès que je t’ai vue, ta chevelure rousse m’a ensorcelé et j’ai rêvé de devenir ton ami, ton ombre, l’ombre de ton ombre.— Merci ; pense à te trouver des vêtements, tu ne peux pas rester nu. Même si ton corps me donne envie de faire plein de choses.
Jenny dormit jusqu’à 10 heures, blottie entre Tony et Albin. Après quelques galipettes bienvenues qui durèrent quand même jusqu’à midi, elle alla se doucher, les mains devant ses orifices débordant de sperme.
Dans l’après-midi, ils passèrent à l’hôpital général de Cumberland pour prendre des nouvelles de l’agent Brennan ; il allait mieux déjà, grâce aux capacités de régénération des métamorphes, et ils le trouvèrent non dans sa chambre mais dans celle des deux femmes victimes de la meute. Les deux femmes étaient sous perfusion, en état d’amélioration, mais très choquées et incapables de parler. Brennan était soucieux.
— Elles s’en remettront, mais elles ont été secouées ; violées, battues, dénutries, elles ont pris froid aussi. Si Jenny ne nous avait pas permis d’agir si vite, elles seraient mortes.— Les pauvres, vous avez pu retrouver leurs noms, leur famille ?— Oui, à partir des fichiers de disparitions ; deux jeunes randonneuses de Boston. Elles te doivent la vie, Jenny.— J’espère qu’elles s’en remettront, elle auront besoin de soutien psychologique. Et de temps.
Le soir, après le repas, tout le monde s’installa devant une bonne flambée pour discuter des aventures qui venaient d’être vécues, se rendant compte qu’ils formaient maintenant un groupe soudé et solidaire autour de la jeune sorcière. Puis Tony partit chez lui après un baiser langoureux à sa rousse préférée, et ce fut le signal du départ. Sam monta avec Félix, et Jenny regarda Albin et Cujo. Lequel avait trouvé une tenue décontractée, jean bleu, chemise à carreaux et veste en daim à franges. Le tout complété par de jolies bottes marron et un bandana vieux rose.
— Albin, j’aimerais passer la nuit avec Cujo, seule à seul ; tu comprends ?— Oui, mais tu vas avoir à te faire pardonner demain soir.— Je m’en doute ; je te promets de faire absolument tout ce que tu voudras. Sans restriction. — Enregistré ; je vais dormir dans le canapé, près du feu. Essaie de ne pas tuer Cujo d’épuisement.
Jenny a donné la main à Cujo qui restait silencieux et l’a tiré derrière elle. Dans la chambre, elle s’est coulée dans ses bras, se blottissant contre son épaule sans chercher à l’embrasser ni le caresser. Il referma ses bras sur elle, humant sa chevelure rousse aux senteurs de jasmin. Rapidement, Jenny constata qu’elle ne laissait pas le démon indifférent ; une impressionnante bosse s’était formée contre son ventre qu’elle balança langoureusement, comme dans un slow. Cujo caressa ses reins et ses hanches, les mains sous le gros pull de laine de la jeune fille.
— Tu ne crois pas que nous sommes trop couverts ? Je vais enlever ce pull...— Mets-toi nue, s’il te plaît ; je t’ai vue déjà, mais tu était frigorifiée, blessée ; je te veux nue, chaude et passionnée.
Sans répondre, Jenny se détacha de ses bras – à regrets -, et se dénuda lentement, consciente d’être désirée par un être âgé de plus de six-cent-cinquante ans Et puceau . Elle frissonna sous l’intensité de ces yeux bleus si pâles qu’ils paraissaient parfois gris. Nue, elle tourna sur elle-même, totalement impudique et innocente à la fois, avant de se jeter dans les bras de Cujo.— Dis donc ! Ce qui appuie contre mon ventre me paraît vraiment énorme ; j’aimerais bien pouvoir te lécher, tu te déshabilles ? — Tu m’aides ? J’ai envie de toi, j’en ai rêvé depuis si longtemps...
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