Cette semaine, nous avons une grosse série de partiels à la fac et les journées passent vite. Malgré la pression des différentes matières à réviser, les déjeuners à la cafétaria du campus sont l’occasion de se changer les idées.Ce midi, notre bande des quatre mousquetaires se retrouve autour la table comme cela est souvent le cas. A écouter nos discussions, on pourrait sans nul doute nous prendre pour des obsédés sexuels. Oui, nous le reconnaissons, nous aimons parler sexe et bien évidemment les MILF sont au cœur de nos préoccupations.Chacun se remémore la dernière soirée chez moi.- Maxime : Quelle superbe soirée chez toi Dimitri ! Nos quatre copines ont vraiment picolé, peut-être pour se donner du cœur à l’ouvrage !- Léo : Et Anna, la copine de Cloclo, quelle chaudasse !! C’est vraiment une sacrée affaire !- Maxime : Oui, elle avait l’air d’être une habituée de ces soirées !- Saïd : Caroline est toujours aussi accro à ma grosse teub ! Et moi à ses gros nibards !Histoire de ne pas passer pour un idiot et pour coller au mensonge que ma mère et moi ont inventé, je dois me résoudre à prendre part à la discussion.- Moi : Cloclo a forcé un peu sur le Baileys mais cela l’a rendu encore plus chaude !- Maxime : Alice aussi avait un petit coup dans le pif ! Cela m’a permis de l’enculer pour la première fois. Un vrai régal.La sonnerie de reprise des cours nous appelle à rejoindre les amphis ; personne n’a parlé d’organiser une nouvelle soirée. Tant mieux ! Ce soir, nous sommes en train de dîner avec ma mère et nous papotons de choses et d’autres. Soudain, elle me dit- Dimitri, j’espère que ça ne t’ennuie pas mais j’ai donné ton numéro de téléphone à Anna. Je crois qu’elle a un petit service à te demander.- Maman, tu crois que c’est bien raisonnable ? Je te dis qu’on va finir un jour ou l’autre par se contredire dans nos mensonges et notre beau château de cartes s’écroulera de lui-même.- Mais non chéri, tu t’inquiètes pour rien ! Pour que tout se passe bien et ne jamais se prendre les pieds dans le tapis, il faut en dire le moins possible, me conseille-t-elle.- Ça veut dire quoi en dire le moins possible ?- C’est simple me répond-elle. Tu es fils unique et tu vis avec ta mère divorcée. Je suis ton amie et on se voit de temps en temps en soirée ou chez toi le week-end car ta mère est souvent absente. Voilà, c’est tout !- OK, j’en dis le minimum. Mais c’est tout de même un sacré numéro d’équilibriste avec mes copains et avec ta copine Anna.- Oui je le reconnais, acquiesce-t-elle. Mais jusqu’à présent on s’en tire plutôt pas mal !Cette affaire de service à rendre à Anna m’inquiète un peu.- Elle ne t’a pas dit de quoi il s’agit ? demandé-je.- Je crois que c’est un petit service informatique. Quand elle a su que tu étais un vrai geek, elle m’a dit qu’il fallait absolument que tu l’aides.- Tu n’en sais pas plus ?- J’ai cru comprendre, d’après ce qu’elle m’a dit, que c’était pour des photos sur un site internet, m’explique-t-elle. Comme je sais qu’elle expose souvent dans les vide-greniers pour vendre ses anciennes chaussures et ses vieilles fringues, ça ne m’étonnerait pas qu’elle veuille se mettre sur Vinted. En ce moment, c’est le site en pointe et plusieurs collègues y sont déjà.
C’est le mercredi vers 14h30 qu’Anna me téléphone.- Bonjour Dimitri, c’est Anna la copine de Clothilde. Je ne te dérange pas ?- Bonjour Anna. Non pas du tout, mon prochain cours ne reprend que dans 30 minutes.- Super ! me répond-elle. Je me permets de t’appeler car il parait que tu es un as de l’informatique et j’ai justement besoin d’un petit coup de main. Comme beaucoup de femmes, je suis nulle et ça me prend la tête.- J’espère que je serai à la hauteur, lui dis-je. Je me débrouille mais je ne suis pas un ingénieur informaticien. Clothilde m’a dit que c’est une affaire de site internet et de photos ?- Oui, c’est cela ! Quand pourrais-tu passer ? me demande-t-elle.- Je termine mes cours tous les jours à 17h00. Tu habites où pour que je vois comment m’organiser en métro.- J’habite avenue Mozart dans le 16ème arrondissement, me précise-t-elle. C’est la station de métro La Muette sur la ligne 9 ou bien le RER C.- Oui je vois. C’est facile à rejoindre de ma fac, la rassuré-je.- Alors on dit demain en fin d’après-midi vers 18h00, décide-telle. Je t’envoie l’adresse exact et les codes d’accès dans l’après-midi.- Ok à demain.Ouf je suis rassuré, cela ne semble pas un plan trop galère. Avec ma mère, je m’attendais à pire ! 19h00, je suis à la maison avec ma mère et nous sommes en train de boire un petit apéro avant de dîner comme cela nous arrive parfois.- Ta copine Anna m’a téléphoné, je la vois demain à 18h00, lui annoncé-je.- C’est bien chéri, elle a dû être ravie que tu puisses te libérer si vite.- Tu sais, le but c’est de régler cette affaire au plus vite pour passer à autre chose. Mais au fait, il y a longtemps que tu la connais ? lui demandé-je.Ma mère m’explique alors que sa collègue Anna est arrivée deux ou trois ans après elle à la SNCF Même si elle est un peu plus jeune que ma mère, 42 pour l’une et 48 pour l’autre, elles ont tout de suite sympathisé et déjeunent quasiment tous les jours ensemble à la cafétaria de la gare Saint Lazare. C’est ainsi que, de fil en aiguille, elles ont échangé des confidences et Anna a fini par lui dire qu’elle souffre des absences répétées de son mari et de ses déplacements hebdomadaires en province. Il revient fatigué et ne lui consacre plus beaucoup de temps.- Et toi, tu lui as dit quoi ? lui demandé-je.- Je lui ai répondu que je suis divorcée depuis déjà dix et que je vis avant mon grand garçon de 20 ans qui est étudiant, me répond-elle.- En tout cas, elle ne semble pas avoir froid aux yeux si j’en crois ce que j’ai vu l’autre soir chez nous. Mon copain Léo ne s’en est pas encore remis, lui précisé-je avec un grand sourire.- Je sais qu’Anna aime bien faire la fête et je crois qu’elle avait un peu trop bu ! De toute façon, ils sont majeurs tous les deux. Il t’a dit quoi exactement Léo ? me demande-t-elle soudain.Hors de question que je cite in extenso les propos de Léo, ce serait un peu trop hard pour ma mère ! Je décide donc d’improviser.- Il a dit qu’elle est charmante, élégante et a beaucoup de conversation.- C’est tout ? réagit ma mère- Euh ! Disons qu’il a dit aussi que c’est un super bon coup ! avouais-je. En passant à table, je me dis que la conversation va en rester là mais pas du tout ! A peine le potage aux potirons et légumes variés est-il servi que ma mère reprend ses questions.- Et sur moi, que disent tes trois copains ? attaque-t-elle J’hésite, il faut que je trouve le juste milieu ! Je vais la jouer en finesse !- Rien, ils ne disent rien sur ma mère car ils ne la connaissent pas ! lui rétorqué-je avec un petit sourire narquois.- Allons, ne fais pas l’idiot ! Tu comprends bien ce que je veux dire, me répond-elle.- Ils disent que tu es super bien foutue et très excitante.- C’est tout ? poursuit-elle comme si elle cherchait à me pousser dans mes retranchements.- Ils disent que tu es super bandante et que tu dois être un super coup ! Voilà tu sais maintenant ! lui lancé-je pour l’obliger à changer de sujet.Mon stratagème semble réussir car elle passe à autre chose. Mais voilà qu’elle remet cela au dessert.- Ah j’oubliais ! attaque-t-elle. Tu as fait l’amour à Anna l’autre matin quand nous étions dans le lit.Ah, ce serait donc sa copine que j’ai baisée au réveil. Jusque-là j’avais un doute ! Ce serait donc elle aussi qui m’aurait sucé le soir après nous avoir rejoint. Là, impossible de mentir à ma mère car comme elle était aussi dans le lit !- Oui maman, mais en fait c’est elle qui m’a cherché. Elle m’a excité et je n’ai pas pu faire autrement, lui avoué-je. - Mais tu as bien fait mon chéri, je ne suis pas jalouse ! me dit-elle avant de se lever pour débarrasser la table.Tandis qu’elle range la cuisine, je vais prendre une bonne douche. Mais en fait, c’est surtout un prétexte pour fouiller le panier de linge sale, en sortir un petit string encore odorant de ma mère et me branler longuement dans la douceur du tissu. A la fac, le jeudi passe vite avec un rapide déjeuner pour se remettre des épreuves écrites du matin et se préparer pour celles de l’après-midi. Pas vraiment le temps de discuter à la pause car chacun veut relire ses fiches. Moi, je pense un peu à mon rendez-vous en fin d’après-midi chez Anna.Aussitôt la dernière épreuve du jour terminée, je fonce vers la station de métro et me met en route. Sorti de la station Porte de La Muette, je regarde le sms qu’elle m’a adressé hier après-midi : « 186 avenue Mozart - code 78B27 – Interphone de La Judie ». Une bourgeoise MILF !Je descends l’avenue Mozart en direction de la Seine et trouve sans difficulté l’immeuble recherché, style haussmannien avec une superbe porte d’entrée en fer forgé. Je tape le code et entre dans le hall. Je cherche le nom sur l’interphone et sonne. - Oui, me répond une voix féminine au bout de quelques instants.- Bonjour, c’est Dimitri, dis-je.- Bonjour Dimitri, je t’ouvre la porte. C’est au second étage, porte de gauche, poursuit la voix.La porte s’ouvre et me voici dans l’ascenseur. A peine en suis-je sorti que la porte de droite en chêne massif s’ouvre et Anna apparait dans l’encadrement. Elle me fait la bise et m’invite à entrer.Quelques instants plus tard, je suis assis dans un immense salon décoré de grands tableaux de peinture. Je suis installé dans un canapé face à Anna qui a choisit un petit fauteuil. - Je te sers un verre, me dit-elle d’autorité. Tu prends un Baileys comme moi ?- Oui c’est parfait !Tandis qu’elle s’éloigne vers le bar, je la détaille des pieds à la tête. C’est vraiment une belle femme, très BCBG, le fantasme absolu pour mes copains et moi. Aujourd’hui elle porte une mini-jupe en cuir noire et il me semble deviner que ce sont des bas. Son petit pull, noir également, lui sculpte outrageusement les seins. Bon sang, qu’elle poitrine ! Ses escarpins argentés à talons hauts, plutôt voyants, tranchent avec sa tenue très BCBG et lui donneraient presque un petit air de pute. Oui, elle est vraiment l’archétype de la MILF dont tous les jeunes garçons rêvent d’avoir une photo en lingerie sous l’oreiller pour se branler dessus tous les soirs. Elle revient avec les deux verres de Baileys et nous trinquons en grignotant quelques biscuits d’apéro. Alors que je pense qu’elle va en venir à la raison de ma présence, je suis surpris par ses premières paroles.- Je te remercie encore de m’avoir reçu chez toi l’autre soir en l’absence de ta mère. Clothilde et toi avez été très sympas de me garder avec vous pour me remonter le moral. Je n’étais vraiment pas état de passer seule la nuit.- C’est normal ! Je sais que Clothilde a beaucoup d’affectation pour toi.- Il y a longtemps que tu la connais et que vous sortez ensemble ? me demande-t-elle soudain.Là il faut faire attention car si elle a déjà posé la question à ma mère, je risque de commettre un impair. Mais j’ai retenu la leçon de ma mère « En dire le moins possible ».- Quelque temps ! lui dis-je de manière très évasive.- En tout cas, vous semblez vous entendre très bien ! poursuit-elle. Tu aimes les femmes plus âgées que toi, comme tes copains ?Y’a urgence à ce que je reste sur mes gardes sans pour autant esquiver ses questions.- Oui, lui rétorqué-je. Je crois que beaucoup de jeunes hommes sont attirés par des femmes d’expérience, séduisantes et très désirables.- De même que certaines femmes matures sont attirées par de jeunes hommes qui pourraient avoir l’âge de leurs enfants, me répond-elle du tac au tac.Avant que je puisse répondre quoi que ce soit, elle a déjà repris la parole.- Tu as dû bien te retenir de crier lorsqu’elle t’a sucé alors que je dormais près de vous ! Et elle a dû faire de même au petit matin quand tu l’as longuement prise avant le réveil.Il n’y a plus rien à y comprendre ! Les deux femmes se seraient-elles mises d’accord pour me faire tourner en bourrique et se moquer de moi ? Je préfère ne rien dire et décide de changer de sujet.- Tu voulais donc que je fasse quelques photos pour un site internet, si j’ai bien compris ce que m’a dit Clothilde ? lancé-je pour faire diversion.- Oui c’est cela, suis-moi ! dit-elle en se levant. A ma grande plus grande surprise, je me retrouve dans sa chambre mais je suis vite rassuré en voyant quelques chaussures posées devant une fauteuil encombré de vêtements près d’un petit bureau face à la fenêtre qui donne sur un parc invisible de l’avenue. C’est bien ça, elle veut quelques photos de ses affaires pour les vendre sur Vinted. - Voilà, me dit-elle, j’envisage de m’inscrire sur un site internet et j’ai besoin de quelques photos. Tu vas m’aider à choisir les tenues qui conviendraient le mieux.Alors que je sors mon téléphone portable, je la vois prendre un masque vénitien noir, avec paillettes et plumes, pour le porter devant son visage.- Je préfère que l’on ne me reconnaissance pas sur les photos, m’annonce-t-elle.Je ne suis pas au bout de mes surprises lorsqu’elle retire son pull noir et fait glisser sa mini-jupe jusqu’à ses pieds.- Je pense que l’on pourrait commencer par cette première tenue, me dit-elle.Quel canon ! La voici en guêpière rouge avec un tanga assorti, bas autofixants noir et escarpins argentés.Ma queue se redresse dans mon pantalon et je me demande dans quel plan je suis tombé. Anna s’allonge alors sur le lit dans une pause des plus sensuelles, une vraie chatte !- Voilà, fais quelques photos et je changerai de tenue ! me dit-elle.Je fais quelques photos sous différents angles, j’ai l’impression que mon petit oiseau va bondir hors de mon pantalon. Pendant la demi-heure qui suit, sans aucune pudeur, elle se déshabille, met différentes lingeries, enfile des bas, change de chaussures et je continue à faire les photos. Tout y passe, corset, bustier, serre-taille et porte-jarretelles, string et autres culottes, bottines, cuissardes. Autant dire que je ne risque pas de débander !Je la prends en photo sur le lit dans des pauses lascives, sur le fauteuil dans des positions plus érotiques et même devant un grand miroir où elle se fait très aguichante. Pendant toute la séance, elle ne cesse de me lancer des regards coquins et de dessiner un adorable sourire de ses lèvres soulignées d’un audacieux rose bonbon.Alors qu’elle est en porte-jarretelles avec un soutien-gorge redresse-seins qui sublime ses larges aréoles et un ravissant string qui lui fait de superbes fesses, elle revient au bureau dans la chambre.- Assieds-toi Dimitri, tu peux transférer les photos sur mon ordinateur, me dit-elle. Je copie les photos dans un répertoire que j’intitule Photos et elle se colle à moi pour prendre la main sur l’appareil. Elle fait quelques clics et nous voici sur le site Lieuxdedrague. Elle fait encore un clic et fait apparaitre la fiche d’un profil intitulée « Parisienne coquine 42ans ». Moi qui pensais qu’on devait se retrouver sur Vinted, je suis surpris mais n’en fait rien paraître.Anna m’explique alors qu’elle envisage de s’inscrire sur ce site pour fantasmer un peu en discutant avec des jeunes hommes mais que c’est plus pour du virtuel que pour du réel. Elle me précise que cela l’aidera à meubler ses soirées solitaires lorsque son mari est en déplacements pour son travail. Je me garde bien de la juger !- Oui, c’est une idée comme une autre, lui dis-je. Je pense que beaucoup de personnes, hommes et femmes, font comme toi. Je suis certain que c’est plus par jeu que pour autre chose. On aime avoir un avatar pour vivre de temps en temps une autre vie, ajouté-je.- Je vois que tu me comprends, me dit-elle. C’est rassurant.- Pourrais-tu lire ma fiche et me dire ce que tu en penses, poursuit-elle puis on ajoutera quelques photos.Je parcours la fiche sans répondre à sa question.- Je suis mariée et mesure 1m70 pour 55 kg.- Je cherche un homme entre 20 et 25 ans.- Moi : Européenne. Sexe. Avec homme. Masturber. Sucer. Me faire lécher. Me faire prendre.- Je cherche : Blanc. Noir. Arabe. Sportif. Sympa. Joueur. Se faire sucer. Lécher. Prendre.- Annonce : Parisienne mature, sexy et BCBG, délaissée par son mari recherche jeunes hommes pour jeux libertins. Je ne reçois pas, déplacement possible à votre domicile, à l’hôtel, en sauna ou en club.- Alors ? me redemande-t-elle.- J’aime bien, lui dis-je. Il y a juste ce qu’il faut pour exciter la curiosité.- On va rajouter quelques photos si tu veux bien. Mais tu sais, je n’ai pas encore validé et diffusé la fiche, me précise-t-elle. Je vais réfléchir encore un peu avant de franchir le pas.- Oui tu as raison, lui dis-je. De toute façon, il y a un onglet pour supprimer la fiche quand tu le souhaites. Nous reparcourons ensuite tous les deux la vingtaine de photos que j’ai faites Elle est assise tout près de moi, toujours en lingerie. Je respire son parfum capiteux et par moment ses cheveux m’effleurent le bras qui manipule la souris. J’ai une de ces triques ! Si mes copains me voyaient là avec elle, ils seraient écœurés et jaloux.Elle me dit de choisir les quatre photos que je préfère et les ajouter à sa fiche. En photo principale, je choisis celle où elle est allongée sur le lit. Sexy et sensuelle, parfait pour appâter les visiteurs du site.Sur la seconde, elle est debout face à un grand miroir. On voit parfaitement sa chute de reins et ses fesses sublimés par les lacets du bustier bien serré autour sa taille. Quel cul mes amis !Sur la troisième, elle est assise dans le fauteuil, les deux jambes passées par-dessus l’accoudoir le buste penché en arrière pour souligner son 95C qui a du mal à être contenu dans la guêpière qu’elle porte.Pour la quatrième photo, je n’hésite pas une seconde. Je sélectionne et ajoute la photo où elle est étendue offerte sur le lit avec son soutien-gorge redresse-seins. Ses jambes sont grandes ouvertes et le petit string rouge qu’elle porte en plus de ses bas s’insère dans la fente de son sexe. Une vraie invitation à se jeter sur elle et la baiser comme la dernière des salopes.Voilà la fiche est enfin complétée, j’en ai mal à la bite tellement je suis excité !- C’est fini, lui annoncé-je. Tu n’auras plus qu’à cliquer sur « Valider et diffuser la fiche » lorsque tu seras décidée à le faire. Elle m’entraîne de nouveau au salon et nous ressert un verre de Baileys. Alors que je suis en train de boire, elle prend son verre et vient se mettre à genoux près de moi. Je suis figé comme une statue, incapable de faire quoi que ce soit. Elle me débraguette, extrait ma queue tendue du caleçon et boit une gorgée de son verre.- Il n’y a rien de meilleur pour accompagner le Baileys, me dit-elle.Puis elle se penche et prend ma queue en bouche. Je bois moi aussi une gorgée de Baileys et me cale au fond du canapé. Je n’en reviens pas, la copine de ma mère est en train de me faire une superbe pipe après m’avoir bien excité pendant la séance de photos. Je n’en parlerai surtout pas à mes trois postes car ils ne me croiraient pas.Pour un jeune comme moi, qui peut compter sur les doigts d’une seule main les pipes qu’on lui a déjà prodiguées, là j’ai vraiment affaire à une professionnelle de la fellation. Un vrai aspirateur à bites !Elle m’embouche jusqu’en fond de gorge, m’excite le gland de la pointe de sa langue et m’enserre entre ses lèvres comme un véritable étau. Je n’en peux plus !- Ohhhh ouiiiii, je viens ! lancé-je dans un long râle de plaisir.Anna reste soudée à mon bas ventre et prend tout mon sperme en bouche jusqu’à la dernière goutte. Puis elle redresse la tête, la bouche bien fermée et se saisit de son verre. Ecartant légèrement les lèvres, elle boit un peu de Baileys et agite sa bouche comme si elle se rinçait les dents. Puis, en me faisant un large sourire, elle avale tout le contenu de sa bouche et s’essuie les lèvres.- Du Baileys et du foutre, le cocktail idéal des MILF ! me dit-elle.Quelques instants plus tard, toujours en lingerie perchée sur ses talons hauts, elle me raccompagne jusqu’à la porte de l’appartement et m’embrasse sur la bouche.- Merci pour ton aide, me dit-elle avant de refermer la porte entre nous deux. Environ une heure plus tard, j’arrive à l’appartement ; ma mère y est déjà préparant le dîner. Je prends une douche rapide ; bien vidé comme je le suis, je n’ai pas la force de me branler dans la lingerie de ma daronne.Je reviens dans la cuisine où flottent des senteurs qui me mettent en appétit, je suis prêt à m’installer lorsque ma mère me dit- J’ai eu une journée éreintante aujourd’hui. On va prendre un petit verre, ça va me faire du bien !Deux secondes plus tard, elle revient avec deux verres de Baileys.- Alors cette aide informatique avec Anna, ça s’est bien passé ? me demande-t-elle.Je ne sais pas pourquoi mais son sourire me dit qu’elle sait déjà tout …
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