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La MILF de Pokemon GO

Chapitre 4

Erotique
Cette relation me tournait de plus en plus la tête. Wendye était une vraie MILF. Déjà parce que c’était une maman que je voulais me taper avec une envie grandissante, mais aussi dans son état d’esprit épicurien qui voulait qu’on se fasse mutuellement plaisir sans entrer dans une véritable relation amoureuse. Elle avait été blessée par d’anciennes relations qui lui avaient fait fermer son cœur et ériger des barrières contre les attouchements physiques des hommes. Cela faisait des années qu’elle se protégeait sentimentalement et physiquement en éloignant tous les hommes qui s’approchaient ou s’intéressaient à elle. Pourtant, moi l’inexpérimenté de trente-trois ans, j’avais doucement forcé ses défenses. Tellement forcé qu’hier soir, je m’étais retrouvé avec ma main dans sa culotte humide de plaisir. Après un long baiser passionné, j’avais accédé à son intimité et je l’avais fait jouir. Sensation qu’elle avait perdue depuis des années.
Cette magnifique femme mâture de dix ans mon aînée s’offrait totalement à moi. Enfin presque totalement puisqu’il manquait encore l’étape finale : lui faire enfin l’amour. Nos préliminaires duraient depuis des semaines, en faisant lentement mais sûrement monter la tension et le désir. Mais l’attente touchait à sa fin, je le sentais. Après nos échanges physiques d’hier, nous savions vers quoi nous nous dirigions et mon excitation grandissait.

Noël approchait. Nous avions prévu de nous voir quelques jours avant le réveillon pour nous échanger nos petits cadeaux. Comme à notre habitude, nous nous réjouissions de ce petit rendez-vous, surtout que Wendye m’apprit qu’il serait difficile de se revoir après. Son agenda était presque complet entre les courses pour les réveillons, s’occuper de sa petite fille, la conduire à ses diverses activités, voir sa famille ... Elle n’aurait malheureusement que peu de temps à pouvoir me consacrer et promis, pour se déculpabiliser, de passer une longue soirée avec moi samedi, quelques jours avant Noël. La perspective de l’avoir pour moi seul chez moi toute une soirée raviva mon excitation. Celle-ci se dégonfla aussi vite lorsque Wendye m’informa qu’elle voulait qu’on profite de cette soirée en allant au ciné. Gentleman, j’acceptai même si cette idée manquait d’intimité.

Nous passâmes les quelques jours qui nous séparaient de notre rendez-vous à discuter par Messenger comme à notre habitude et à nous voir de temps en temps lors des raids de Pokemon GO. L’hiver étant parfaitement bien installé et les températures ayant chuté, les joueurs n’étaient plus aussi nombreux aux raids. Seuls les habitués bravaient le froid pour aller tapoter sur leur téléphone dans l’espoir de capturer une créature légendaire. Et malheureusement pour moi, lorsque Wendye apparaissait lors de ces raids, elle était accompagnée par sa petite fille. J’essayais alors de me rendre aimable et prévenant avec elle dans l’espoir de gagner encore plus de points auprès de sa désirable maman. Et cela fonctionnait. La récompense était maigre et consistait en des compliments, mais cela me suffisait, à défaut de récompenses plus physiques.
Le jour de notre rencard d’avant Noël arriva enfin et, comble de l’excitation, je vis Wendye deux fois ce jour-là. Une première fois lors d’un raid matinal et une deuxième fois le soir chez moi. Je pense que l’idée de me revoir commençait à la titiller, car elle vint sans sa fille ce matin-là et joua quelque peu les allumeuses. Malgré la présence d’une petite dizaine d’autres joueurs, elle se plaçait délibérément à mes côtés, sa main me frôlant même parfois. Elle voulait clairement m’indiquer sa présence physique, ce qui ne me laissait pas indifférent. J’avais beaucoup de mal à me concentrer sur mon jeu et à organiser le raid comme à mon habitude.

A la fin du raid, je sentis Wendye dans mon dos. Même sans la voir, sa simple présence me grisait. S’il n’y avait pas eu autant d’autres personnes à côté de nous, je me serais retourné pour lui rouler une pelle magistrale. Je sentais son regard passer au-dessus de mon épaule pour regarder mon téléphone. Je faisais tourner mon doigt sur mon écran pour tenter d’attraper ce Pokémon.
— Je comprends maintenant, me murmura-t-elle dans mon dos.— Tu comprends quoi ? lui demandais-je sans me retourner.— La dextérité de ton doigt ! C’est parce que tu t’entraînes tous les jours en attrapant tes Pokémons. — Tu as tout compris, fis-je en réprimant un tremblement issu d’un souvenir de notre soirée. J’ai le toucher Pokémon.— Je préfère que tu touches autre chose que les Pokémons avec ton doigt.
Surpris par ces mots, mon doigt glissa et je ratais la capture.
— Dommage, fit Wendye, amusée dans mon dos.

Je me retournais vers elle. Les autres joueurs étaient plongés dans leurs téléphones, absorbés par le jeu. Ils ne prêtaient pas attention à nous, j’en profitais donc.
— C’est un coup bas, lui dis-je en baissant ma voix pour ne pas attirer l’attention.— En effet, c’était bas, en dessous de la ceinture même !— Ce n’est pas sympa de faire de telles allusions. Il y a du monde autour de nous ! — J’aime bien jouer avec toi un peu !— Tu joueras ce soir !— Je n’attends que ça !
J’acquiesçais et me retournais vers les autres joueurs qui m’appelaient pour de l’aide. Je n’eus pas le temps d’avancer vers eux que ma MILF préférée me balançait une dernière allusion graveleuse dans mon dos.
— Au fait, la dernière fois, ma culotte était trop mouillée à cause de ton fameux lancer Pokémon. Je pense qu’il est préférable que je n’en mette pas pour ce soir afin d’éviter les accidents.
Tout mon corps se paralysa d’un coup. Je sentis mon sang simultanément monter à mes joues et descendre gonfler ma queue. Wendye éclata d’un fou rire, heureuse de son effet. Les autres joueurs la regardèrent sans comprendre. J’essayais de faire bonne figure en leur indiquant que tout allait bien et finit péniblement le raid. Le groupe se disloqua après quelques minutes. Ma belle allumeuse remonta dans sa voiture après m’avoir lancé un « à ce soir » lourd de sens.

Dire que j’étais surexcité en attendant ma belle rousse au soir était un euphémisme. Mon désir, encore plus renforcé par ses allusions matinales, était gonflé à bloc tout comme mon pantalon. Intérieurement, je ne savais pas comment j’allais décemment aller au cinéma avec ma MILF si désirable et me retenir de lui sauter dessus pendant les deux heures qu’allait durer le film. Heureusement, nous avions prévu qu’elle vienne un peu plus tôt chez moi pour nous échanger nos cadeaux de Noël. Pour ma part, je lui avais acheté un panneau de bois qui disait « le bonheur est sous la couette ». Naïvement, le texte devait faire allusion à l’envie qu’avait Wendye de paresser dans son lit surtout les dimanches. Mais, à présent, le sens érotique caché me sautait aux yeux et je me dis que ce serait une revanche sur les allusions faites par ma belle rousse ce matin.
Après de longues minutes d’attente, on sonna à la porte. J’ouvris pour découvrir le physique si attirant de ma maman préférée sur le pas de ma porte. Ses lourds vêtements d’hiver cachaient malheureusement ses belles formes, mais ceux-ci furent vite enlevés et je redécouvris avec désir sa voluptueuse plastique. Je l’enjoignis de s’asseoir sur mon fameux canapé et en profitais pour essayer de déceler une culotte sous son jeans. Si ce dernier était moulant, il n’en était pas moins épais et il m’était impossible de me faire un avis sur la présence ou non de la fameuse petite culotte.
— J’ai senti, fit Wendye en s’asseyant.— Quoi ?— Ton regard sur mes fesses ! Une femme sait quand on l’observe.— Je ne faisais que vérifier tes dires de ce matin.— Voyons, voyons, jeune homme. Ce ne sont pas des manières !

J’adorais ce vouvoiement faussement outré qu’elle utilisait parfois. Oui j’étais un jeune homme dix ans plus jeune qu’elle, mais je rattrapai doucement mon retard d’expérience. Et ce soir, je voulais même combler complètement ce retard. Je m’excusais poliment pour entrer dans son jeu puis je la félicitais.
— Tu es très en beauté ce soir.— Flatteur. C’est l’esprit de Noël qui te fait dire autant de bêtises ?— Non, je le pense vraiment.— Prends ton cadeau, me fit-elle me tendant une boîte, avant que je ne rougisse trop.
Je déballais le cadeau pour découvrir un coussin aux couleurs de Pokemon GO.
— Mais attends, fis-je, c’est ton équipe dans le jeu, pas la mienne !— Je sais ! C’est pour que tu ne m’oublies pas.— Comment pourrais-je t’oublier ? Tu occupes toutes mes pensées du matin au soir.

Les joues de Wendye s’empourprèrent. Pour la soulager, je lui tendis mon cadeau.
— Le bonheur est sous la couette?
Franchement ? fit-elle en rigolant.
— Je me suis rendu compte un peu tard du double sens.— J’adore !— Évidemment, avec ton esprit tordu !— Tu me connais bien. Merci.
Profitant qu’il fallait la remercier, je me penchais vers son visage et l’embrassai rapidement sur les lèvres. Un petit smack comme on disait. Je voulais lui rappeler notre dernière soirée et lui montrer que je voulais recommencer. Wendye ne fit aucune remarque sur mon baiser rapide et, après m’avoir également remercié pour le cadeau, elle regarda son téléphone pour y lire l’heure.
— On a encore un peu de temps avant que le film ne commence. — Tu veux profiter de mes bras en attendant ?
Sans répondre, elle se lova dans mes bras. Je sentis ses seins se presser contre ma poitrine. La chaleur de son corps se communiqua au mien.
— Tu m’as manqué !
Sans attendre, je commençais déjà à lui caresser le visage. Mais celui-ci était partiellement obstrué par ses grandes boucles d’oreille créoles. Mes caresses n’étaient pas continues sur son visage puisque je devais éviter ces anneaux d’or qui tombaient sur sa joue. Elle sentit mon embêtement et se redressa pour retirer ses boucles d’oreille.
— Voilà, c’est mieux, fit-elle avec ses oreilles nues.
Je lui pris le visage à deux mains avant qu’elle retourne se lover sur mon épaule. Je fis un petit baiser à la commissure de ses lèvres. Un sourire se dessina sur son visage. Je recommençais sur l’autre commissure avant de planter un nouveau bref baiser sur ses lèvres. Cette fois, je la vis mordre sa lèvre inférieure. Les yeux fermés, elle goûtait mon baiser furtif. J’approchais mon visage du sien et l’embrassais à pleine bouche. Cette sensation datait d’à peine quelques jours, mais elle m’avait manqué. Nos lèvres collées l’une à l’autre, nos langues qui se cherchaient, cette passion qui nous enivrait.

Mes mains avaient quitté son visage pour se promener sur le corps magnifique de ma MILF rousse. Je faisais glisser mes mains sur son dos, accentuant par moments la pression quand j’arrivais à sa chute de reins délicieuse. Je caressais ses hanches larges. Malheureusement, la position assise à côté de moi de Wendye bloquait le passage de mes mains sur certaines parties de son corps. La quadra comprit mon embêtement et se mit alors à califourchon sur mes genoux. L’effet dans mon pantalon ne se fit pas attendre. Je bandais déjà avec force.

Dans cette position, j’avais tout le loisir de parcourir son corps malheureusement encore complètement caché par ses vêtements. Je voulus tout de même en profiter pour avoir le fin mot à propos de cette fameuse culotte. Mes mains agrippèrent voluptueusement ses belles fesses rondes. Pendant que nous continuions notre baiser plein de fougue, j’entrepris de passer mes mains sous son pantalon. Mais celui-ci trop serré m’interdisait la descente vers ses fesses. Le peu que je pus sentir me confirma cependant l’absence de culotte chez ma partenaire.
— Tu as ta réponse ? me questionna-t-elle en se dégageant de notre baiser.
Je hochais silencieusement la tête. Comme mes mains n’avaient pas accès à son magnifique fessier, je les déplaçais sous le pull de Wendye et j’entamais une montée caressante vers sa poitrine. Sa peau était encore plus chaude. Je m’attardais quelques secondes sur son ventre en le pétrissant amoureusement avant d’atteindre le soutien-gorge. Si ma belle MILF avait délaissé un sous-vêtement sous sa ceinture, elle avait malheureusement gardé le sien au-dessus. Qu’à cela ne tienne, je dégageais bientôt ses deux globes de leur lingerie et entreprenais un massage circulaire de ses seins. Je me focalisais uniquement sur mon sens du toucher complètement en éveil pour caresser les magnifiques seins cachés à ma vue.

Tout à ma manœuvre, je ne perdais aucune miette de son visage en extase et de ses légers soupirs. Les yeux fermés, les lèvres pincées, Wendye se focalisait sur le plaisir que mes mains lui donnaient. Doucement, mes caresses circulaires tournaient autour de ses mamelons sans jamais les toucher. Je faisais monter le plaisir avant d’arriver à ma destination. Quelques frissons parcouraient son corps. Enfin, mes doigts arrivèrent au contact de ses mamelons qui se dressèrent immédiatement sous l’effet de mes caresses.
— Toujours..... aussi... doué... avec ton toucher, souffla-t-elle entre deux gémissements de plaisir.
Par mes doigts, j’augmentais l’extase en elle. Je sentais son corps demandeur de mes caresses. Son bassin bougeait pour aller au contact du mien. Elle sentait mon érection et l’entretenait de la sorte. Brusquement, je sortis mes mains de sous ses vêtements pour les empoigner et les faire remonter au-dessus de ses seins. Ainsi dégagés, les magnifiques globes de Wendye s’offrirent enfin à ma vue. De gros seins lourds et fermes. Des aréoles parfaites. Des mamelons dressés et gonflés de désir. La tentation fut trop grande et je me jetais dessus tel un affamé.
— Tu oses, minauda-t-elle faussement outrée.
Bien sûr que j’osais. Je léchais, je mordillais, je tétais, je faisais rouler les mamelons entre mes dents. Leur contact était doux. Ses magnifiques seins que j’avais désirés il y a quelques mois déjà sous cette robe d’été étaient à présent prisonniers de ma bouche. Pendant que mes lèvres s’occupaient d’un sein, mes mains caressaient l’autre. Pas de jaloux. Régulièrement, j’alternais pour offrir à chacun une dose équilibrée de caresses et de succions. Une fois repue, ma bouche quitta la poitrine de ma MILF pour retourner à ses lèvres. Mon désir n’était pas rassasié. Je poussais doucement ma partenaire sur le côté pour la coucher dans le canapé. Elle se laissait guider et, cette fois, ce fut moi qui me plaçais au-dessus d’elle pour continuer à l’embrasser une nouvelle fois sur les lèvres et dans le cou. Parfaitement allongée, elle se laissait dominer.
— On fait quand même beaucoup de choses alors qu’on n’est pas ensemble, me dit-elle entre deux baisers.— Est-ce qu’il faut vraiment officialiser notre relation pour se faire plaisir ? lui demandais-je.— Non, j’aime en profiter tout simplement. Je me laisse complètement aller avec toi.— Alors, profitons de Noël pour nous faire un cadeau. J’ai très envie de toi Wendye.— Moi aussi. Je te veux !
La phrase était lancée. Toutes les barrières de ma belle quadra tombaient. Plus aucune défense. Elle acceptait de se donner à moi entièrement. Je devais maintenant en être à la hauteur.

Dans un premier temps, je décidais de la remercier en essayant de la faire jouir à nouveau. Cette fois cependant, je n’allais pas y mettre que mes doigts. Mes mains descendirent lentement au niveau de ses hanches puis cherchèrent le bouton de son jeans. D’un geste empli de désir, je déboutonnai son jeans et le fis glisser vers ses pieds. Wendye m’aida dans mon entreprise en se contorsionnant suffisamment pour m’aider à la libérer de son vêtement. Ses chaussures encore à ses pieds arrêtèrent la douce descente. Mon excitation était trop grande que pour être ainsi freinée. Les chaussures volèrent bientôt à travers la pièce, suivies du jeans. Avant de toucher le bas de son corps maintenant complètement dénudé, je pris le temps de l’admirer. Ses jambes étaient potelées. Les cuisses larges et fermes. Mais toute mon attention se posa sur sa chatte poilue sans être broussailleuse. Elle gardait les cuisses serrées, dans un dernier réflexe de pudeur.
Je ne pouvais donc pas distinguer ses lèvres intimes. Il fallait donc que je trouve les caresses qui autoriseraient son accès.

Je me plaçais ma tête à côté de ses cuisses que je commençais à les couvrir de caresses avant d’y déposer quelques petits baisers. J’entendis quelques souffles d’approbation m’incitant à continuer mon exploration. Je fis parcourir mes doigts de long en large. Mes mains englobèrent bientôt le haut de ses cuisses dans un massage sensuel. Je cherchais à ce qu’elle se relâche et me permette d’accéder à son intimité. Je fis un peu jouer mes ongles sur sa peau. Des frissons répondirent à mes douces griffures. Je plaçais mes mains sur ses entrecuisses et les poussèrent lentement. Wendye se laissa faire et bientôt sa chatte s’offrit entièrement à ma vue. Ses grandes lèves arboraient une pilosité savamment travaillée. Ses petites lèvres roses de désir m’invitaient à leur rencontre. Mais ce qui augmenta plus encore mon désir était ces poils humides et cette petite tache de cyprine qui maculait mon canapé. Elle mouillait d’excitation.
Cette humidité était un appel auquel je ne pouvais résister, et bientôt, j’approchais ma bouche de cette source.

Mes lèvres embrassèrent son intimité, laissant échapper un soupir d’extase chez ma partenaire. Ma langue goûtait goulûment le liquide qui suintait de sa chatte mouillée. Je lapais à grands coups de langue ce lubrifiant naturel. Je suçais ses lèvres intimes. Je découvrais pour la première fois cette odeur à la fois forte et excitante. Ma langue ne s’arrêtait pas. Elle savourait chaque recoin intime de ma belle partenaire qui se cambrait de plus en plus sous les assauts de ma bouche. Les soupirs se faisaient de plus en plus bruyants. La retenue n’était plus de rigueur. Ses mains attrapèrent mes cheveux et poussaient ma tête encore plus au contact de sa chatte. Pour la contenter, j’accélérais la vitesse de mes caresses buccales. Mon cunnilingus se fit aussi plus profond, enfonçant ma langue à l’intérieur de son vagin. Mes doigts écartèrent ses petites lèvres pour gagner en profondeur. J’embrassais maintenant sa chatte à pleine bouche.
Je goûtais l’intérieur de ses parois vaginales avec délice. Après plusieurs secondes de ce traitement, je retirais ma langue pour qu’un doigt explorateur prenne le relais. Ce changement fit pousser un long râle de plaisir chez ma partenaire.
— C’est trop bon, vas-y !
Je n’avais évidemment pas attendu son ordre pour commencer mon doigté intime. Je sentais sa mouille lubrifier complètement mon doigt pendant qu’il s’enfonçait toujours plus profond dans cette douce cavité. Ma bouche se plaqua à nouveau sur sa chatte, mais en visant cette fois son petit bouton rose. Je le suçais avec délectation pendant que mon doigt pistonnait le vagin de ma MILF avec vigueur. Celle-ci se cambrait encore plus, cherchant un contact intime toujours plus grand avec mon doigt et ma bouche.
— Mmmmh... oui... oui.....
Un deuxième doigt s’engouffra dans la cavité humide. Je tentais bientôt un troisième doigt. Son arrivée fut accueillie par des râles toujours plus emplis de désir. Je me redressais légèrement pour mieux doigter ma partenaire. Je voyais ses seins se soulever et se rabaisser. Ils étaient parfaits et je les délaissais. Ma bouche les engloutit à nouveau, passant de l’un à l’autre avec une envie dévorante. Tout le corps de Wendye exultait sous mes caresses intimes. Elle redécouvrait des plaisirs enfouis depuis longtemps tandis que moi je les découvrais tout court. Les râles s’intensifiaient. Mes doigts accéléraient encore la cadence. Un dernier soubresaut. Un long râle de plaisir. Wendye atteignit l’orgasme. Je sentis tout le bas de son corps trembler sous la douce convulsion de l’extase. Je ralentis mon geste intime jusqu’à l’arrêter complètement pour qu’elle reprenne son souffle. Elle ouvrit enfin les yeux.
— Tu es tellement doué. Comment tu fais ?— Je suis à l’écoute de ton plaisir.— Tu dois aussi penser au tien. Allez, venez, jeune homme, fit-elle en écartant les cuisses. Faites-moi l’amour !
Il est des invitations qui ne se refusent pas. Wendye était allongée dans mon canapé, ses cheveux plaqués de sueur sur le front, son pull et son chemisier remontés au-dessus de sa poitrine. Tout le reste de son corps était nu, désirable et magnifique. Je me déshabillais rapidement. Bientôt nu moi aussi, je me couchais sur ma belle quadra si désirable. L’espace d’un instant, j’hésitais. Je n’avais pas de préservatif. L’hésitation ne dura pas. Wendye avait posé une main sur mon visage pour le caresser doucement. Elle sentait une peur poindre en moi. Elle se redressa pour que ses lèvres viennent joindre les miennes dans un baiser passionné. C’était sa façon de me rassurer. Elle se rallongea bientôt et ouvrit encore un peu plus ses cuisses. Mon sexe en érection était au bord de l’explosion.

Je plaçais mes hanches face à celles de ma partenaire et m’ouvris le passage vers l’extase. Je sentis chaque centimètre de cette première pénétration. Les parois intimes qui avalaient doucement ma queue. La mouille qui lubrifiait ce passage intime. Le tendre soupir qui s’échappait de la bouche de ma MILF. Je m’enfonçais jusqu’à ce que la moitié de ma queue soit au chaud dans sa chatte. Je savourais un bref instant avant de continuer ma pénétration jusqu’à rentrer entièrement mon sexe en elle. Nos pubis se heurtèrent doucement dans un léger son humide. Je sentais mon sexe prisonnier, entouré par ses parois vaginales qui l’engloutissaient. Naturellement, je commençais mon mouvement de va-et-vient. Mes hanches remontèrent jusqu’à ce que seul mon gland reste à l’intérieur puis elles descendirent pour s’enfoncer complètement à l’intérieur de ma partenaire.
— Mmmmh... oui... c’est bon... très bon...
Je me campais bien sur mes coudes. Mon visage à quelques centimètres de celui de Wendye. J’en profitais pour l’embrasser à pleine bouche. Nos langues dansèrent une nouvelle fois ensemble tandis que j’imprimais une nouvelle cadence à mes hanches, accélérant le mouvement de va-et-vient. Nos bouches toujours soudées l’une à l’autre, je sentais sa voix muette transformée en vibrations de plaisir. Ses mains agrippèrent mes fesses, m’intimant de continuer sur ce rythme. Je sentais déjà mon sexe se gonfler de plaisir et je ne savais si j’allais pouvoir garder le rythme sans exploser. Nos bassins allaient à la rencontre de l’autre. Nous étions parfaitement connectés. Toutes ces semaines de préliminaires, de découverte du corps de l’autre avaient généré un tel plaisir d’attente que nous étions en train d’exploser tous deux de plaisir. L’attente était enfin comblée. J’étais en train de labourer vigoureusement ma belle maman quadragénaire qui m’obsédait depuis tant de mois.
Je la faisais crier de plaisir à chacune de mes profondes pénétrations. Ma queue, de bonne taille, coulissait allégrement dans sa chatte remplie de mouille. Elle avait délaissé mon baiser pour laisser s’exprimer pleinement ses cris d’extase qui redoublaient d’intensité.

Je sentis bientôt les picotements annonciateurs de l’éjaculation. J’essayais de ralentir le rythme pour prolonger le plaisir, mais ma partenaire ne voulait pas lâcher mes fesses et m’ordonnait tacitement de garder un rythme soutenu à ma pénétration. N’ayant pas d’autre choix, je continuais de donner de vigoureux coups de boutoir qui étaient accompagnés par des râles de plaisir de ma partenaire. Je sentais ses parois intimes enserrer ma queue. J’essayais de varier les sensations érogènes en bougeant légèrement mon bassin afin de toucher d’autres zones intimes. Mon entreprise était guidée par les cris de plaisir de Wendye, me fournissant les indications sur les zones à pilonner.

Graduellement, le désir gonflait en moi. Au bout de quelques coups rageux, je sentis la décharge électrique se répandre à travers ma queue et je giclais abondamment. Les doigts de Wendye se crispèrent une dernière fois sur mes fesses pendant qu’elle hurla une dernière fois de plaisir. Nos corps emmêlés eurent encore quelques derniers soubresauts avant de se figer complètement. Fatigués, nous restâmes un moment moi en elle. Je sentis ses parois intimes se relâcher lentement comme pour libérer son tendre prisonnier qui venait de lui donner un nouvel orgasme. Je me retirais alors, non sans embrasser une dernière fois Wendye.
— C’était intense. Je n’avais jamais connu ça.— Tu m’avais pourtant dit que ton précédent amant t’arrachait de beaux orgasmes.— Pas des comme ça ! Tu es très très doué !

Mon ego était flatté et je ne pus m’empêcher de sourire. Après quelques minutes, Wendye se rhabilla et ne passâmes la fin de soirée devant un simple film au lieu d’aller au cinéma comme c’était prévu. Nous nous étions offert un magnifique cadeau de Noël. Chacun de nous deux en était pleinement conscient et nous ne comptions pas en rester là.
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