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La MILF de Pokemon GO

Chapitre 7

Erotique
Le jour du Nouvel An fut une véritable corvée pour moi. Je passai ma journée entre des nouveaux repas et des visites de famille pour souhaiter la bonne année. Des corvées annuelles contre lesquelles je pestais et qui m’empêchaient de prendre la voiture pour débarquer à l’improviste sur le lieu de vacances de Wendye. Comme à notre habitude, nous discutions par messages mais cela ne me comblait plus suffisamment. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’elle était partie en vacances à la mer avec des amis et sa fille. Elle s’était éloignée de moi de plusieurs centaines de kilomètres. Mon corps était en manque du sien. J’avais essayé de remplir ce manque par un appel visio très érotique et une masturbation mutuelle à distance mais tout ça ne remplaçait pas le toucher de nos corps, l’échange de baisers, les véritables caresses et l’union intime de nos désirs. Le désir avait place à une franche frustration qui faisait bouillir intérieurement tout mon corps.

Si je ne pouvais rejoindre ma belle MILF en ce jour de Nouvel An, je me fis la promesse d’aller la retrouver dès le lendemain en débarquant à l’improviste sur son lieu de villégiature. Lors du réveillon de Nouvel An, j’avais pu rassembler toutes les informations nécessaires. Je connaissais la ville et la résidence de vacances dans laquelle elle était descendue avec ses amis. Je savais également qu’elle y séjournait pour encore plusieurs jours. Et, cerise sur le gâteau, j’avais appris, lors de nos derniers messages échangés, que ses amis et sa fille seraient absents demain après-midi. Ils voulaient absolument aller voir une régate dans la ville voisine mais Wendye n’était pas trop partante pour cette excursion. Elle m’avait avouée devoir y aller à contre-cœur en trainant des pieds pour faire plaisir à sa fille mais qu’elle espérait un contre-temps de dernière minute pour y échapper. Fort de toutes ces informations, ma décision fut prise de débarquer par surprise demain matin sur le lieu de villégiature de ma belle rousse pour la revoir. Il fallait ensuite la convaincre de laisser aller ses amis et sa fille voir cette régate sans elle afin de profiter de nos retrouvailles. Le plan était sans accros et dès lendemain matin, je pris la voiture et la direction de la mer.

Après quelques heures de route, j’arrivais dans la ville que Wendye m’avait inconsciemment indiquée. Je trouvais rapidement la résidence grâce au GPS. C’était une de ces grandes résidences de vacances un peu vétustes composée de plusieurs grands bâtiments à étages regroupant des appartements de vacances. En arrivant sur le parking, je repérai immédiatement la voiture de Wendye. J’étais bien au bon endroit. Je me garai assez loin d’elle, pour ne pas éveiller les soupçons. Mon désir de la revoir se mêla à un stress nouveau qui m’envahissait peu à peu. Je n’avais évidemment pas averti Wendye de ma venue. Comment allait-elle réagir ? Dans ses messages, elle m’indiquait régulièrement son manque de moi et son envie de me voir. Mais peut-être voulait-elle tout de même profiter de ses vacances comme d’un havre de paix tranquille ? Le doute m’envahissait. J’avais pourtant faire des heures de route pour la voir et l’envie fut la plus forte face au doute. Je sortis de la voiture et vint me placer au centre du parking, en veillant à être visible par le plus d’appartements possible. Une fois bien placé, je sortis mon téléphone et écrivis :

-    Est-ce que tu es dans ton appartement ?
-    Oui, me répondit-elle rapidement. Pourquoi cette question ?
-    Est-ce que la vue depuis ton appartement donne sur le parking ?
-     Oui...mais je ne comprends toujours pas pourquoi ces questions.
-    Regarde par la fenêtre !

Je rangeai mon téléphone en poche et entrepris de scruter toutes les fenêtres des appartements autour de moi en tournant sur moi-même. J’étais devenu une véritable girouette virevoltante au gré de ma propre excitation. Fébrilement, j’inspectai chaque mouvement derrière chaque fenêtre. Bientôt, je vis un rideau s’agiter à une fenêtre sur ma droite, au troisième étage du bloc. Une silhouette familière se découpa à la baie vitrée, derrière un rideau blanc semi-transparent. L’ombre qu’elle dessinait sculptait des courbes que je connaissais par cœur. Les rayons du soleil firent briller une chevelure rousse. L’ombre, toute en rondeurs, ne bougeait pas. Je fis un grand signe de la main. Pas de réponse de la silhouette mais mon téléphone sonna immédiatement dans ma poche. Je décrochai.

-    Qu’est-ce que tu fais là ?

La voix de Wendye était semblable à un murmure. Je sentais sa surprise. Ses amis devaient sûrement être dans la même pièce qu’elle et elle parlait à voix basse pour ne pas attirer leur attention.

-    Tu me manquais trop !
-    C’est à la fois trop mignon et flippant. Tu as fait tout ce chemin rien que pour me voir ?
-    Oui mais ne flippe pas ! Contente-toi du côté mignon !

J’entendis un soupir que j’eus du mal à interpréter.

-    Ne bouge pas, j’arrive !

La silhouette disparut. Sachant maintenant dans quel bloc d’appartements Wendye logeait, je me dirigeais vers le sas d’entrée du dit bloc. J’ouvris la porte extérieure et entra dans le sas. Une autre porte fermée à clé me bloquait l’accès à la résidence. Rapidement, des bruits de pas résonnèrent dans l’escalier derrière la porte d’entrée intérieure. Celle-ci s’ouvrit pour me dévoiler ma voluptueuse Wendye. Mes yeux dévorèrent sa plastique ronde de quadra. Je me rendis compte que tout son corps m’avait manqué et mon désir de la revoir fut légèrement comblé. A présent, un autre désir s’emparait de moi : je voulais la toucher. Mais, mon regard envieux quitta l’inspection de son corps si désirable pour se fixer sur son regard et, là, je fus incapable de déterminer son état d’esprit. Son regard passa de la surprise, puis à l’étonnement avant de s’adoucir et d’enfin s’égayer à ma vue. Si j’avais préparé une phrase, celle-ci ne me vint jamais et je restai dans un silence complet. La vue de cette femme qui m’attirait comme au premier jour me faisait perdre tous mes mots. Les heures de route et les kilomètres engloutis pour venir ici m’apparurent mérités pour ce simple sourire envieux qu’elle me lançait. Toujours muet, je m’avançai vers elle doucement. Je voyais qu’elle aussi ne savait comment réagir. La raison et le désir devaient encore se battre en duel dans sa tête. Plus je m’approchai et plus j’espérais faire gagner son désir face à sa raison. Elle me laissait la rejoindre sans rien dire. Nos silences s’accordèrent sur notre envie mutuelle de nous revoir. Un sourire éclaira enfin son magnifique visage et elle me sauta dans les bras. Je la serrai fort contre moi, pour que jamais elle ne parte à nouveau aussi loin de moi.

Malgré ma grosse couche de vêtements d’hiver, l’excitant contact physique de son corps se communiqua rapidement au mien. Une bouffée de chaleur bien alimenté par mon propre désir déforma immédiatement mon pantalon. Ma main caressa son visage enfoui dans mes bras. Elle releva la tête, se mordit les lèvres d’envie avant de totalement céder et de m’embrasser à pleine bouche. Je fus surpris de son initiative. Elle, qui dernièrement prenait tout son temps avec moi, voire même jouait beaucoup avec mon excitation, laissait ici complètement éclater son désir. Nos langues se retrouvèrent et dansèrent à nouveau ensemble. Ma surprise fut encore plus totale lorsque je sentis Wendye me pousser rudement contre le mur du sas d’entrée. Malgré sa force physique toute relative, le choc fut aussi inattendu que violent. Je ne lui tenais pas rigueur et préférais laisser exploser son envie. Je sentis d’ailleurs ses baisers se faire plus profonds. Sa langue ne caressait plus la mienne mais cherchait à l’enrouler toujours plus. Ses lèvres se soudaient aux miennes. La passion me dévorait presque au sens premier du terme.

Bientôt, je sentis ses mains se balader sous ma grosse veste d’hiver, cherchant un moyen d’accéder à un contact plus direct avec ma peau. Voulant jauger la mesure de son excitation, je ne fis rien pour l’aider, la laissant tâtonner frénétiquement à travers mon pull et mon pantalon. La tendresse de nos derniers ébats avait laissé place à une furieuse envie de mon corps chez ma MILF. J’étais très étonné de ce changement de mentalité mais intérieurement je l’appréciais. Je voulais savoir jusqu’où son envie la pousserait et je la laissais prendre toutes les initiatives.

Une de ses mains se balada bientôt sur mon pantalon. Mon sexe, déjà bien dressé, gagna encore plus en grosseur sous le coup de cette palpation. Les doigts de Wendye agrippèrent mon manche à travers le tissu et commencèrent un mouvement de va-et-vient. Sous le coup de mon excitation irrépressible, je sentis rapidement que ce traitement allait me faire jouir. Tous ces jours sans pouvoir toucher ma belle rousse m’avaient rendu très tendu. Cette masturbation à travers mon pantalon allait vite faire exploser mon trop-plein de foutre retenu depuis ces derniers jours.

Ma bouche, toujours soudée à la sienne, émit un grommellement annonciateur de l’explosion prochaine. Il n’échappa à Wendye qui décolla rapidement ses lèvres des miennes pour plonger un regard satisfait dans le mien. Un sourire ravi se dessina aux coins de ses lèvres. Par défi, je soutins son regard malgré ma queue, au bord de la jouissance, qui tressautait dans mon pantalon. Les doigts de Wendye remontèrent au-dessus de ma braguette pour mieux redescendre sous mon pantalon. Je la sentis écarter mon boxer de sa main experte avant que ses doigts ne se referment autour de leur proie. Sans trop comprendre ce qu’il m’arrivait, je me retrouvais donc plaqué contre le mur d’un sas d’entrée d’une résidence de vacances par ma belle quadra rousse qui plongeait sa main caressante dans mon pantalon pour masturber frénétiquement ma queue. Je luttais pour retarder au maximum l’explosion imminente. J’avais tellement désiré cette femme depuis plusieurs jours que je me retrouvais maintenant dans la délicate situation de devoir évacuer une partie de ce désir refoulé pour profiter le plus longtemps possible de cette masturbation. J’aurais pu faire dériver mon esprit vers d’autres pensées moins érotiques pour faire durer mon plaisir mais je ne voulais pas l’amoindrir. La maman que je désirais depuis si longtemps était en train de me branler sous mon pantalon avec une ardeur que je ne lui connaissais pas. La femme blessée en amour et incapable d’aimer était en train de laisser exploser tout son désir pour moi. Et moi de mon côté, j’allais bientôt exploser également. Un autre grommèlement indiqua à Wendye l’arrivée imminente de mon éjaculation. Encore quelques mouvements et c’était bon. Les premiers picotements se firent ressentir. Je me cambrai en arrière en fermant les yeux. L’éjaculation arrivait. Mais au moment décisif, Wendye arrêta net son mouvement masturbatoire. Instinctivement, mon bassin continua son mouvement pour aller à la rencontre des doigts de ma MILF mais il ne rencontra que du vide. J’ouvris les yeux pour découvrir que Wendye s’était reculée de quelques pas et me regardait en souriant.

-    Alors qu’est-ce que ça fait ? me questionna-t-elle amusée.-    De….de….quoi tu parles ? arrivais-je difficilement à articuler.-    De monter jusqu’à l’orgasme et au dernier moment de le voir se refuser à toi !-    Je….je…..-    J’avoue que c’est cruel mais comme ça tu ressens ce que j’ai ressentis la dernière fois dans mon bain. Moi aussi, je peux t’allumer puis te laisser en plan. N’oublie pas que je suis plus âgée que toi et que, par conséquent, j’ai plus d’expérience dans ce domaine.
Je restai planté là devant elle comme un idiot avec une bosse imposante qui déformait toujours mon pantalon. Mon esprit encore embrouillé d’excitation avait du mal à suivre son raisonnement.
-    La dernière fois dans ton bain, on a été dérangés, arrivais-je enfin à articuler après avoir repris mon souffle. Ce n’était pas du tout mon intention de te laisser sur ta faim !-    Je le sais mais j’étais quand même frustrée. Maintenant tu l’es aussi. On va dire qu’on est quitte !
Elle me tendit la main comme pour sceller notre accord. Je regardai sa main tendue d’un air incrédule. Wendye partit dans un rire dont elle avait le secret. Le genre de rire qui vous faisait chavirer le cœur et qui lui permettait de se faire pardonner de tout. Cédant une nouvelle fois à son sourire charmeur, j’attrapai sa main et la serra sincèrement.

-    On est quitte, répondis-je avec une frustration non dissimulée dans la voix. Même si je ne trouve pas ça très équilibré quand même. Si j’avais su que c’était pour recevoir une telle douche froide, je n’aurais pas fait tout ce chemin.
-    C’est très mignon de t’être déplacé. J’avoue que ça m’a fait de l’effet de te voir au milieu du parking.

Je me rapprochai légèrement d’elle.

-    Alors je peux rester ?
-    C’est compliqué ! Tu comprends bien que je ne peux pas te faire monter. Mes amis sont là et je ne veux pas qu’ils me voient avec quelqu’un. Ils vont tout de suite s’imaginer des choses.
-    Tu penses quand même pouvoir d’éclipser un peu pour qu’on passe du temps ensemble ?
-    Laisse-moi une minute !

Wendye se dirigea vers la porte intérieure du sas avant de revenir sur ses pas pour tapoter gentiment sur mon entrejambe.

-    Encore désolé mais je ne pouvais pas résister, fit-elle comme si elle s’adressait à ma queue. Mais promis la prochaine fois, on se fera plaisir jusqu’au bout.
-    Promis ? lui demandais-je avec une envie à peine dissimulée dans la voix.

Délaissant mon entrejambe, elle posa une main sur mon visage et m’embrassa rapidement sur les lèvres.

-    Promis !

Elle ouvrit la porte et s’engouffra dans l’escalier pour rejoindre son appartement. Je vis la porte se refermer doucement sur ses dernières paroles, sur cette promesse.

Le temps de ces premiers jours de janvier était froid sans être polaire. Le vent balayait le sable et le faisait voler délicatement à travers la plage. Quelques mouettes criardes entamaient un concert assez désagréable pour les oreilles. La mer en hors-saison était calme. Seuls quelques promeneurs chaudement emmitouflés se baladaient les mains dans les poches sur le sable mouillé. Moi, je ne gardais pas ma main dans ma poche. Je la laissais nonchalamment trainer le long de mon corps pendant que je marchais. Ce n’était plus vraiment une main mais plutôt un appât, comme si je pêchais. Et la cible de cette pêche n’était autre que la main de Wendye qui se promenait à mes côtés sur cette plage quasi désertée. Elle avait réussi à convaincre ses amis qu’elle devait aller faire les courses seule. La maman qu’elle était avait pris sur elle de refuser que sa fille l’accompagne malgré son insistance, prétextant que le magasin était loin et que ce serait trop fatiguant pour la petite de marcher jusque-là. Son mensonge avait fonctionné et aucun de ses amis n’avait omis d’objection à cette demande pendant que sa fille se résignait. Mais Wendye n’avait pas du tout pris le chemin du magasin. Elle s’était empressée de me retrouver dans le sas d’entrée, de me claquer un rapide baiser sur les lèvres avant de prendre le chemin de plage. Nous avions discuté de ses vacances, un peu de ses amis et de sa fille et de cette année nouvelle qui commençait. Elle m’avait confié une nouvelle fois sa joie de m’avoir dans sa vie et s’était à demi-mot excusée de ne pas encore pouvoir officialiser notre relation. Je fus surpris par cette confession. Mon cœur s’était résigné à vivre notre relation de manière clandestine mais si Wendye voulait l’officialiser, je voulais que ce soit de sa propre initiative sans que je l’y pousse.

Nous étions donc en train de discuter de tout et de rien en se baladant sur cette plage balayée par un vent froid de janvier. Ma main se balançait toujours le long de mon corps, espérant à chaque pas que Wendye l’attrape. Bientôt notre discussion s’arrêta en même temps que notre balade. Nous étions face à la mer, avec les vagues qui s’écrasaient à nos pieds. Malgré les embruns, je sentais le parfum de cette femme si attirante m’enivrer. Je tournais ma tête pour contempler ma belle rousse dont les cheveux volaient au gré du vent marin. Elle tourna la tête vers moi, me sourit et prit enfin ma main dans la sienne. A cet instant, j’eus le sentiment de former malgré tout un couple. Ce contact physique tellement attendu eut tôt fait de ranimer mon excitation passablement bien frustrée depuis que j’avais été à moitié masturbé par Wendye.

-    Tu connais un coin tranquille ? lui demandais-je
-    Tu veux que je tienne déjà ma promesse ? me questionna-t-elle sans me répondre.
-    Il y a un peu de ça, fis-je en lui adressant un sourire sans équivoque.
-    Viens par ici, fit-elle en m’entrainant vers des rochers tout proches.

Je sentais dans cette main qui m’entrainait à l’abri des regards une excitation poindre. Ma belle MILF allait-elle se lâcher un peu ou bien était-ce encore une de ses petites douches froides dont elle avait le secret ? Je me laissai guider pour obtenir ma réponse. Bientôt, nous arrivâmes dans une petite zone de rochers qui bordait la plage. Ils n’étaient pas bien gros mais fournissaient tout de même une cachette précaire aux yeux des autres promeneurs. Pour mieux nous cacher, Wendye me fit s’asseoir sur un de ces rochers mouillés d’eau de mer. Ainsi assis, nous étions parfaitement entourés par les rochers et devenions invisibles du monde extérieur.

A peine, eussé-je le temps de m’asseoir que je sentis ses mains envieuses m’enlacer le visage pendant que ses lèvres se joignaient aux miennes. Comme à chaque fois, je pris sur moi de contrôler mon désir en me rappelant les bons conseils divulgués par Wendye quelques jours plus tôt. Il faut savourer chaque instant d’échange physique avec tous ses sens m’avait-elle dit. Ce que je mis en pratique immédiatement.
Je retrouvais le goût de ses lèvres charnues. Je sentais sa langue venir caresser la mienne. J’ouvris légèrement les yeux pour la voir profiter de ce baiser. Je m’enivrais de son parfum mêlé à l’air marin. J’écoutais le son des vagues bercer notre tendre échange buccal. Mes mains entourèrent son visage et le poussèrent encore plus vers mes lèvres. Je ne voulais plus quitter ces lèvres qui m’avaient tant manquées. Combien de temps dura notre baiser ? Je ne saurais le dire mais après ce qui me semblait être de longues minutes, Wendye détacha ses lèvres des miennes. Surpris, je rouvris les yeux à temps pour la voir se pincer les lèvres d’envie avec un regard rieur.

-    Tes baisers sont toujours aussi passionnés !
-    C’est parce que je me souviens de tes instructions sur la manière de les savourer avec les cinq sens.
-    Je suis contente d’avoir un élève aussi attentif à mes conseils ! Les messages et les appels visio ont leur petit charme. Ils sont même très excitants, fit-elle en baissant les yeux de honte. Mais j’aime le côté classique d’un échange purement physique.
-    Moi aussi, répondis-je simplement en lui caressant le visage.

Elle tourna la tête et embrassa ma main qui la caressait. Ses yeux se fermèrent pendant qu’elle couvrait de petits baisers mes doigts caressants. Elle s’attarda un peu plus sur mon index. J’en profitai pour jouer un peu avec elle. Je fis se promener mon index sur ses lèvres mouillées de salive. Je parcourus sa bouche d’un doigt, m’attardant un peu plus sur sa lèvre inférieure. Wendye continuait à embrasser mon doigt lorsqu’il passait au milieu de sa bouche. Mais ce n’était pas ce que je recherchais. J’arrêta bientôt ma promenade autour de ses lèvres pour venir placer mon index au centre de celles-ci. J’abaissa légèrement sa lèvre inférieure et j’introduisis mon index dans sa bouche. Je sentis une légère surprise de la part de ma partenaire avant qu’elle se détende. Mon doigt explorateur fut rapidement accueilli par la langue de Wendye qui se mit à le caresser dans sa bouche pendant que ses lèvres le suçaient délicatement.

Assez fier de voir mon audace récompensée, je laissais faire ma belle rousse. J’admirais ce spectacle hautement érotique d’une quadra pétrie de désir qui suçait avidement mon doigt dans sa bouche. Le désir montait également en moi. Ma queue se mit en érection dans mon pantalon. Mais, comme à chaque fois, je préférai alimenter le désir de ma partenaire plutôt que le mien.

De ma main libre, je partis en exploration du bas-ventre de Wendye. Sa grosse veste d’hiver et ses nombreuses couches de vêtements freinèrent énormément mon entreprise mais mon désir était plus fort. Je trouvais bientôt l’accès aux boutons de son pantalon que j’entrepris de faire sauter. J’entendis ma belle quadra soupirer d’aise lorsqu’elle comprit mon intention. Pour m’aider à la déboutonner, elle tourna ses hanches sur le rocher pour me faciliter l’accès à son bassin. Bien aidé par cette nouvelle position, je pus enfin déboutonner complètement le pantalon de Wendye et engouffrer ma main dans celui-ci. Mes doigts rencontrèrent une culotte en dentelle, signe que ma belle MILF ne s’attendait pas du tout à ma visite impromptue. Elle, qui d’habitude, ne portait aucun sous-vêtement lors de nos rencontres. Qu’à cela ne tienne, cet obstacle n’était pas insurmontable et ma main eut tôt fait de le soulever pour s’introduire plus loin dans l’intimité de Wendye. J’entendis ma belle excitée gémir un peu plus bruyamment, laissant son désir s’exprimer. Mes doigts sentirent bientôt quelques poils pubiens les caresser avant d’atteindre l’humidité caractéristique des lèvres intimes de ma partenaire. Je poussais au maximum ma main dans la culotte de Wendye pour que tous mes doigts soient en contact avec sa chatte déjà mouillée d’envie.

Les gémissements de Wendye devinrent des râles pétris de désir. Son bassin commençait à onduler pour accentuer le moindre contact avec mes doigts. Ceux-ci ne se firent pas prier pour caresser, toucher et exciter la moindre parcelle intime de ma quadra gémissante. Je ressentis l’effet de mes caresses sur Wendye par la succion de mon doigt toujours emprisonné dans sa bouche. Sa langue avait redoublé d’envie. Les caresses buccales étaient plus intenses, plus désireuses. Ses lèvres me suçaient le doigt avec plus de vigueur, comme si elles voulaient sucer ma propre queue.

Grisé par cette envie, mes doigts arrêtèrent leur exploration et agrippèrent rudement la culotte de Wendye pour la faire descendre d’un geste brusque. L’intimité de Wendye fut ainsi dévoilée et surtout plus accessible. Ma douce gémissante ouvra les yeux de surprise pour essayer de comprendre mes intentions. Je dégageai lentement mon index maintenant complètement mouillé par sa langue et ses lèvres. Sans dire un mot, je tendis mon index lubrifié par ses soins devant le visage de Wendye avant de le descendre doucement vers son entrejambe. Devinant sa destination, son regard suivit avec envie la descente de mon doigt. Je sentis son corps être parcouru par un frisson d’impatience. Profitant de mon effet, je fis monter un peu plus son excitation en caressant ses lèvres intimes. Je sentis un autre frisson la parcourir. Ses jambes tremblèrent. Je caressais par petits mouvements circulaires sa chatte dégoulinante d’envie. La respiration de Wendye devint hachée. Je fixai mes yeux dans son regard. Elle me regarda en retour. J’y lu toute l’envie et l’impatience qui dévoraient à présent son corps. Sans plus de cérémonie, j’enfonçai violemment mon doigt à l’intérieur de sa chatte. La tête de Wendye bascula en arrière pour laisser exploser un cri d’extase. Si quelque promeneur s’était baladé trop près de nos rochers à cet instant, ce cri de jouissance n’aurait pas pu lui échapper. Heureusement pour nous, personne ne se baladait à proximité. Je pouvais donc continuer mon entreprise intime sans peur d’être dérangé.

Mon index entièrement plongé dans la chatte de Wendye se mit à la ramoner intérieurement. A chaque mouvement de va-et-vient, je titillais du doigt l’intérieur du vagin de ma belle quadra. Mais, ce fut rapidement insuffisant. Je sortis donc entièrement mon index avant de le faire replonger en compagnie du majeur. Deux doigts exploraient maintenant chaque recoin intime de cette belle chatte dégoulinante. Cherchant toujours à s’engouffrer plus profondément, ils s’agitaient dans ce tunnel chaud et mou. Le grand cri d’extase de Wendye avait laissé place à de longs soupirs rythmés par les assauts de mes doigts. Sa tête hochait de plaisir à chacune de mes pénétrations. Après quelques mouvements masturbatoires, je ressortis à nouveau mes doigts avant de les faire replonger en compagnie de l’annulaire. Un nouveau long cri d’extase emplit l’air marin. Les hanches de Wendye ondulaient de plus belle. Ses jambes tremblèrent sous le coup de ce triple doigté. Elle semblait en transe. Plus aucune notion du monde extérieur, de la plage, des rochers, des promeneurs aux alentours. Plus rien ne comptait à part le désir que lui procuraient mes doigts. J’admirais ce spectacle d’une femme laissant libre cours à ses pulsions et cédant à l’excitation que je lui procurais.

Mon propre désir était alimenté par les gémissements de plaisir de ma belle rousse ainsi doigtée. Mon pantalon contenait tant bien que mal ma propre érection mais je n’en tenais pas compte. Seul comptait la jouissance de ma partenaire. Mes doigts la ramonaient avec encore plus d’ardeur. Je sentais la cyprine couler sur ma main. Je menais ma belle rousse au bord de l’explosion mais au dernier moment je retirais prestement mes doigts. Sans laisser le temps à Wendye de reprendre son souffle, je m’agenouillai rapidement dans le sable mouillé pour plonger mon visage dans son entrejambe et entreprendre un cunnilingus profond. Nouveau frisson d’excitation chez ma partenaire. Ma langue écarta les poils pubiens avant de lécher avec avidité les petites lèvres. Caressant avec envie, je parcourus l’entièreté de la chatte humide qui s’ouvrait à moi. Les cris redoublés de ma partenaire m’indiquaient quelles zones étaient plus sensibles. Je m’y attardais goulument sans lui laisser de répit.

Après plusieurs secondes de caresses buccales, j’écartais les lèvres intimes de Wendye avec mes mains pour mieux plonger ma langue profondément en elle. Le râle qui en découla fut plus long que les autres. Tout mon corps poussait en avant pour faire s’enfouir mon visage dans l’entrejambe de Wendye. Ma bouche tendue au maximum pour s’enfoncer toujours plus dans cette grotte intime. Je dardais les parois vaginales de ma langue. Les ondulations toujours plus intenses du bassin de Wendye me secouaient légèrement et je devais redoubler de force pour garder ma bouche collée à sa chatte. L’air marin était empli de gémissements d’extase. Plus aucune retenue de la part de Wendye, obnubilée par son seul désir, elle cherchait à jouir. Il fallait que je la fasse atteindre ce petit nirvana.

Ma langue ressortit de sa chatte pour aller se concentrer sur son petit bouton intime. Profitant que la voie était libre, mes doigts replongèrent envieusement dans le vagin de Wendye. Celle-ci était maintenant léchée et doigtée avec avidité. Je l’entendais haleter de plaisir pendant que ses cuisses tremblaient d’excitation. Bientôt son dos s’arqua sur le rocher et un ultime râle s’échappa de sa bouche. Je sentis un jet de cyprine dégouliner de sa chatte. Wendye venait de jouir. Intensément. Profondément.

Je décollai mon visage de son entrejambe et la regardai satisfait. Elle était magnifique. Sa tête renversée en arrière par le plaisir, ses longs cheveux volants au vent, sa bouche ouverte dans un dernier cri muet. Je me redressai et alla planter un baiser envieux sur ses lèvres.

-    C’est….c’est….vraiment mieux que les appels vidéos, conclu-t-elle à demi-essoufflée.
-    Je suis d’accord ! J’espère que tu es moins frustrée maintenant.-    Disons....que ça a bien aidé. Mais j’ai encore envie de toi !

Pendant qu’elle reboutonnait son pantalon, elle me demanda si je comptais rester pour le reste de la journée.

-    Je ne demande que ça ! Mais tes amis ?
-    Du calme, jeune homme, me rabroua-t-elle gentiment. Je ne t’invite pas à les rencontrer ou passer la nuit. Je veux juste…profiter un peu plus de toi !
-    Dis-moi à quoi tu penses alors.
-    Cet après-midi, mes amis doivent emmener ma fille voir une régate. Je leur ai déjà dit que je n’étais pas emballée par cette sortie. Donc je pensais les laisser aller sans moi. Comme ça, nous aurons l’appartement rien que pour nous deux !

Intérieurement, je jubilais de voir Wendye arriver à la même idée que moi.

-    L’idée est très tentante, répondis-je nonchalamment.

Sans y penser et un peu par réflexe, j’attrapai sa main pour l’aider à se relever et nous sortîmes de notre cachette rocheuse pour rejoindre la ville. Main dans la main, en dépit d’une petite peur de tomber sur un des amis de Wendye en ville, nous allâmes finalement au magasin qui servait d’excuse à la sortie de Wendye. Elle y acheta quelques emplettes pour peaufiner son alibi avant que nous reprenions le chemin de sa résidence de vacances. Arrivé au coin de la rue, elle s’arrêta et me lâcha la main à contre-cœur.

-    Désolé mais je ne peux pas me permettre qu’on nous voie ensemble.
-    Je comprends et je n’en attendais pas moins.
-    Je meurs d’envie que tu restes à mes côtés mais c’est trop tôt. Mes amis vont poser trop de questions. Ça va vite me saouler !

Je me rapprochai et lui caressai tendrement le visage pour qu’elle lève ses magnifiques yeux verts dans ma direction.

-    Je comprends, repris-je. De toute façon, on se voit cet après-midi.
-    Oui, me lâcha-t-elle dans un souffle. Tu me manques déjà !

Je l’embrassai passionnément avant de la regarder s’éloigner vers son appartement. Un peu à contre-cœur, je pris la direction du centre-ville. Je n’avais pas encore fait quelques mètres que mon téléphone sonnait déjà. Un message de Wendye. Un simple smiley envoyant un cœur. Je répondis par un autre smiley avec les joues rouges.

Les heures suivantes passèrent très lentement. Le temps semblait vouloir s’étirer indéfiniment jusqu’en début d’après-midi. Wendye et moi continuions notre discussion habituelle par messages interposés. Dans ceux-ci, elle me confirma que ses amis et sa petite fille allaient partir voir la fameuse régate vers 14h. Son excuse de vouloir rester seule à l’appartement avait fonctionné et ses amis n’avaient pas trop posé de questions. A l’heure dite, elle m’enverrait un petit message d’invitation à la rejoindre dans son appartement de vacances.

Je trouvais notre relation secrète assez perturbante. Par moments, j’aurais voulu crier sur les toits que je sortais avec la plus désirable des mamans. Mais je devais prendre sur moi car, au final, même si nous aimions discuter, nous voir et surtout passer de merveilleux moments physiques, nous n’étions pas vraiment ensemble. Elle avait encore du mal à s’avouer la vraie nature de notre relation même si je lui laissais tout le temps nécessaire pour s’en rendre compte par elle-même. En attendant, nous étions obligés de nous cacher pour nous voir et j’avoue que cela ajoutait un petit piment assez excitant.

Vers 14h, n’y tenant plus, je me postais discrètement en vue de la résidence de vacances de Wendye. D’où j’étais, je voyais parfaitement la porte d’entrée ainsi que la baie vitrée de son appartement. Je scrutais toutes les allées et venues. Bientôt, je vis sortir une petite troupe d’adultes avec une enfant d’une dizaine d’années. Je reconnus la petite fille de Wendye. Ils s’éloignèrent bientôt vers le centre-ville et la régate. A peine quelques secondes plus tard, mon téléphone m’avertissait d’un nouveau message.

-    Ils viennent de partir. Tu peux me rejoindre. Appartement 36B. La porte sera ouverte. Je t’attends avec une surprise !

Mon cœur rata un battement et je me dépêchai d’entrer dans l’immeuble à appartements.

 Lorsque j’arrivai devant la porte de l’appartement, j’étais fébrile. A quelle surprise devais-je m’attendre ? Mon esprit dopé à l’excitation avait déjà envisagé toutes sortes de scénarios. Je m’imaginais découvrir Wendye en petite lingerie affriolante ou dans le plus simple appareil. Les lumières tamisées. Une petite musique en fond. Connaissant l’esprit parfois taquin de ma belle, la fameuse surprise pouvait très bien être une nouvelle douche froide. Et si ce n’était pas de la taquinerie, peut-être que la raison aurait gagné Wendye. Peut-être aurait-elle eu finalement peur de ce rendez-vous en cachette et me congédierait parce qu’elle n’assumerait pas ? J’inspirai profondément pour chasser toutes ces idées et ouvrit la porte. Ce qui m’attendait derrière dépassa toutes mes attentes !

Debout au milieu de l’appartement richement décoré de tableaux sur la mer et de maquettes de bateaux, se tenait ma belle MILF rousse dans une robe noire parsemées d’impressions de fleurs blanches. Cette robe, je la reconnus instantanément. C’était celle qu’elle portait lors de notre première rencontre au pied de cette arène virtuelle de Pokemon GO. Cette robe noire à fleurs qui sculptait sublimement les formes de Wendye. Sa poitrine semblait vouloir sortir de son corsage trop étroit tandis que le bas de la robe s’arrêtait aux genoux pour dévoiler ses magnifiques jambes. Fière de son effet, elle tourna sur elle-même en faisant voleter sa robe telle Marilyn Monroe. Sa robe tournoyait et fit se dévoiler légèrement ses fesses lors de cette douce virevolte. Je la désirais instantanément.

-    Voilà ta surprise, me lança-t-elle avec un sourire radieux. Ça te plait ?
-    Tu es sublime !
-    Flatteur ! Je savais que cette robe te plaisait, tu me l’avais déjà dit. Et ça tombe bien parce que c’est ma préférée aussi. D’ailleurs, peu importe la saison, je la prends toujours avec moi dans mes bagages. Je me suis dit que c’était l’occasion de la porter pour te faire plaisir.

Comme hypnotisé par ce corps si désirable, je m’avançai tel un automate. Wendye restait au milieu de la pièce sans bouger. Le soleil qui passait par la baie vitrée derrière elle l’éclairait de la plus belle des manières. La robe suffisamment transparente dévoilait les courbes de sa propriétaire sous ce contre-jour coquin. Son entrejambe fut éclairé en ombre chinoise, faisant encore plus gonfler mon désir dans mon pantalon. J’étais arrivé à sa hauteur et la bosse que faisait ma queue gonflée dans mon pantalon ne pouvait plus lui échapper. Un léger sourire satisfait de son effet me le confirma.

-    Et comme à chacun de nos rendez-vous, j’ai repris mes habitudes vestimentaires concernant mes sous-vêtements.

Pour confirmer ses dires, elle agrippa ma main, tandis qu’elle relevait sa robe, et la plaqua sur sa douce toison libre de toute culotte. Je sentis immédiatement une légère humidité mouiller mes doigts. Je n’en revenais pas de l’audace nouvelle et de la libération dont faisait preuve Wendye.

-    La meilleure des sensations, lui susurrais-je à l’oreille pendant que mes doigts lui caressaient la chatte.
-    Tu es toujours aussi doué pour me donner du plaisir mais si j’ai mis cette robe c’est pour que ça te plaise à toi ! Alors n’oublie pas ton propre plaisir ! Je suis toute à toi !

Cette phrase eut sur moi un effet d’électro-choc. Depuis le début de notre relation, j’avais toujours fait attention à tous mes gestes, à ne pas brusquer ma belle MILF blessée par d’anciennes relations et j’avais pris le temps de la laisser venir à moi. De mon côté, j’avais profité de cette lente découverte des plaisirs pour me dépuceler étape après étape. Initié par la plus désirable des professeurs, j’avais tâtonné des premiers baisers avant de les maitriser. J’avais longtemps caressé ce corps magnifique avant de le posséder. J’avais pris soin de faire passer le plaisir de Wendye avant le mien pour qu’elle réveille ses désirs enfouis. Mais il était temps de penser un peu à moi !

Je passai rapidement une main sur sa nuque puis dans sa longue chevelure rousse. Sans ménagement, j’agrippai ses cheveux pour tirer sa tête en arrière. Un peu surprise par ce geste brusque, Wendye ouvrit la bouche pour protester mais je ne lui en laissai guère l’opportunité. Poussé par une pulsion nouvelle, je gobai sa bouche avec la mienne. C’était un baiser assez rude et entièrement guidé par l’excitation et le désir. J’entendis un petit cri de surprise étouffé emplir la bouche de Wendye puis ses muscles se détendirent. Elle acceptait ce changement d’attitude chez moi.

Il n’était pas question de la violenter mais de laisser mes désirs prendre le dessus pour une fois. Je la désirais tellement. Mon envie d’elle prenait le contrôle sur ma tendresse habituelle. Ma bouche délaissa la sienne pour aller embrasser son cou. Je léchais plus que je n’embrassais. L’envie me dévorait toujours plus. Mes mains avaient pris possession de ses fesses que je malaxais avec délectation. Cette robe qui m’avait tellement excité lors de notre première rencontre me facilitait l’accès à son corps. Je la relevais au-dessus de sa croupe pour que mes mains caressent sa peau satinée. Son corps ondulait déjà d’envie sous l’assaut de mes caresses et de mes baisers. J’étais moins doux, plus sauvage mais Wendye semblait apprécier. Elle m’avait déjà avoué aimer être dominée. J’allais la satisfaire tout en laissant exploser mon propre désir.

Mes mains remontèrent sous sa robe pour passer de ses fesses à son dos. Mes doigts caressaient d’abord doucement ce corps si désirable avant d’augmenter le rythme et de finir par un simili de griffures. L’effet escompté ne se fit pas attendre et Wendye se raidit sous le coup.

-    Dis donc, jeune homme !

J’interprétai ces quelques mots comme une réprimande et délaissai immédiatement le dos de ma belle rousse.

-    Pardon !
-    Non, non, continue. C’est juste étonnant de ta part mais j’aime beaucoup ce côté sauvage.

Rassuré, je laissai de nouveau éclater mon envie d’elle. Mes mains attrapèrent le bord du corsage de sa robe et les écartèrent au maximum. Malgré mon excitation, je prenais bien soin de ne pas faire craquer le tissu de cette robe qui m’excitait tant. Celle-ci fut suffisamment ample pour que je puisse extirper la grosse poitrine de Wendye de sa prison de textile. Les deux magnifiques globes de chair s’exhibaient maintenant pour le plus grand bonheur de mon regard envieux. Mes mains commencèrent à les caresser avec envie avant de vite laisser la place à ma bouche qui les engloutit à tour de rôle. Je sentis les tétons se dresser d’excitation sous mes coups de langue.

-    Oh…oui….c’est bon !

Poussé par les cris de plaisir de ma MILF, je me mis à lécher, mordiller et caresser autant que je le pouvais ses deux gros seins. Entre deux tétées, je jetais un coup d’œil à l’appartement. Un peu plus loin, derrière Wendye, se trouvait une table de cuisine en bois. Mon excitation voulait passer à l’étape supérieure : pénétrer Wendye. Le lit aurait été plus accueillant mais mon excitation n’en pouvait plus d’attendre. La table était plus proche. Elle fera l’affaire.

Sans que ma bouche ne quitte ses seins durcis de plaisir, j’agrippai les hanches de ma partenaire pour la pousser avec autorité vers la table. Après quelques pas à reculons, celle-ci buta contre le rebord de la table et comprit mon intention. Elle releva sa robe jusqu’au-dessus de son bassin et posa ses fesses sur la table. Maintenant assise sur le rebord de la table, elle attrapa mon visage perdu dans son opulente poitrine et m’attira dans un baiser aussi passionné que violent. J’en profitai pour déboutonner mon pantalon qui tomba rapidement sur mes chevilles. Mon boxer suivit bientôt le même chemin, libérant la bête dressée qu’il contenait. Mon sexe se dressait fièrement vers le ciel, gorgé d’excitation.

Je délaissai les lèvres de Wendye pour mieux capter son regard. Je la vis baisser des yeux envieux vers mon sexe à l’orée du sien. Impatiente, elle fit s’avancer son bassin vers le mien. Sa chatte humide n’attendait que ma queue. Elle la désirait. Je regardai Wendye s’ouvrir à moi. Tout son corps était rempli d’excitation. Sa poitrine débordait orgueilleusement hors de sa robe. Sa toison perlait déjà de mouille. Je pris ma queue dans une main et la poussa à l’entrée de sa grotte intime sans la pénétrer. Je caressai mon gland sur ses lèvres dans un délicat mouvement de haut en bas. Mon regard se planta à nouveau dans celui de ma partenaire.

-    Prends-moi, me fit-elle dans un murmure excité.

J’avançai mon bassin et la pénétrai d’un coup sec. Bien aidé par sa lubrification naturelle, je m’enfonçai jusqu’à la garde pendant que Wendye hurla de plaisir. Sous le coup de l’excitation et du choc, ses bras s’enroulèrent autour de mon cou. Sa poitrine s’écrasa contre la mienne. Je ne lui laissai pas le temps de souffler et entreprit de la marteler à un rythme effréné. Je la possédais violemment et chacun de ses cris amplifiaient encore plus ce désir de la posséder. L’excitation avait pris le contrôle total de mon corps et je n’étais plus maitre de mes mouvements. Ceux-ci n’avaient plus qu’un seul but : me procurer le plus grand plaisir. Mes mouvements de bassin étaient de plus en plus profonds. J’agrippai Wendye par les hanches pour la pousser à ma rencontre pendant que celle-ci m’agrippai toujours vigoureusement le cou pour accueillir mes pénétrations toujours plus rudes. Les bruits mouillés de chocs entre nos peaux remplissaient la pièce, surmontés par les gémissements de ma partenaire. Cette douce violence plaisait à Wendye. Je sentais ses parois vaginales engloutir ma queue à chacun de mes assauts. Des pulsations intimes comprimaient mon sexe pénétrant.

Wendye voulait articuler des ordres érotiques à mon encontre pour m’intimer de ne pas baisser le rythme mais rien de compréhensible ne franchissait ses lèvres. Seuls des cris monosyllabiques de plaisir et des râles de jouissance s’échappaient de sa bouche. Nous étions tous les deux guidés par notre seul plaisir. Je la pénétrai avec toujours plus de vigueur, m’enfonçant toujours plus loin. Je sentais son bassin bouger sous moi pour accueillir au mieux mes coups de boutoir. J’agrippai ses hanches avec plus de fermeté, laissant des traces blanches sur sa peau. Ses seins, comprimés contre ma poitrine, tressautaient à chaque choc de pénétration. Ma bouche ne se fit pas prier et goba avec envie l’un d’eux. Wendye grommela. Je mordillais gentiment ses tétons dressés pendant que je m’activais à la pénétrer avec toujours plus d’ardeur. Ma bouche quitta les deux globes de chair ferme de ma quadra pour aller rechercher sa bouche. Nos langues reprient un ballet commun. Je sentis poindre un picotement annonciateur d’une jouissance prochaine. Je décidais de calmer un peu mes ardeurs pour profiter au maximum de cet échange intime pénétrant. Mes mains quittèrent les hanches de Wendye pour aller se balader sur sa poitrine. Mes pénétrations se firent plus lentes mais tout aussi profondes, ce qui permis à ma partenaire de reprendre un peu de souffle.

-    J’aime…..beaucoup….ce nouveau….rythme, m’avoua-t-elle entre deux râles.
-    Tu m’as demandé de penser à mon propre plaisir. Je m’exécute.
-    Ton plaisir…..m’en procure également…. Continue !

Mes mains toujours aux prises avec ses seins se mirent à pousser ma MILF pour la faire s’allonger entièrement sur la table. Maintenant complètement allongée, je la contemplais avec envie. Sa robe relevée au-dessus du bassin et descendue au niveau du corsage pour dévoiler son opulente poitrine. Ses hanches voluptueuses accueillaient toujours mes lentes pénétrations. Ses cuisses se serrèrent autour de mon bassin pour l’obliger à continuer son mouvement de va-et-vient. Mes mains parcoururent son corps trempé de sueur et de désir. Je jouais avec ses tétons. Je pétrissais ses seins. Je descendis lentement vers sa chatte humide et alla titiller amoureusement son bouton de plaisir. Wendye me sourit. Heureux de mon effet, je roulais son bouton entre mon pouce et mon index. Celui-ci se dressa un peu plus pendant que ma belle soupira d’aise.

Mes caresses remontèrent à nouveau en direction de sa poitrine qui débordait de sa robe. Je les agrippais fermement ce qui fit s’échapper un petit râle de surprise chez ma partenaire. Je me penchai en avant pour mieux contempler le visage de Wendye. Je lui souris d’un air entendu avant de m’enfoncer profondément en elle. Ma pénétration était lente pour que nous puissions goûter ensemble à chaque centimètre. Une douce sensation humide gagna ma queue pendant que je m’agrippai encore plus aux seins de Wendye pour accentuer ma pénétration. Ma belle rousse hurla de plaisir. Je sentis mon pubis cogner sur le sien. Tout le poids de mon corps était concentré dans mon bassin pour le pousser au plus profond de Wendye. Je voulais m’enfoncer en elle pour ne faire qu’un avec elle. Ma queue était complètement engloutie par sa chatte humide. Je vis son visage se crisper sous l’effet du plaisir procuré par cette profonde pénétration. Mon bassin fit quelques petits mouvements de va-et-vient pour toucher un maximum de parois vaginales.

L’excitation reprit le dessus et mon rythme de pénétration s’accéléra. Bientôt, mon bassin fit des mouvements plus amples. Ressortant presque entièrement ma queue de sa chatte, j’y replongeai directement avec toujours plus d’ardeur. Je repris vite mes violents coups de boutoir, assénant les pénétrations à ma partenaire criant avec toujours plus de plaisir dans la voix. La table subissait également mes assauts et reculait tant et plus. Plusieurs fois je dû réajuster ma position pour continuer à empaler profondément Wendye sur ma queue. Celle-ci se tordait dans tous les sens, se cambrait, bougeait la tête dans tous les sens en grommelant de jouissance.

Toujours fermement agrippé à ses gros seins, je regardai le reste de l’appartement pour y trouver un autre endroit et changer de position. Sur ma droite, la grande baie vitrée s’étendait. Un simple rideau transparent masquait la vue depuis l’extérieur et le parking. Wendye ne voulait pas qu’on expose notre relation. Je décidai qu’il en serait autrement. Je n’avais plus de retenue, seule mon excitation parlait et agissait pour moi. J’arrêtai brutalement mes coups de boutoir et mes mains lâchèrent les seins de Wendye, la libérant momentanément. Quelques traces blanches parsemaient maintenant les magnifiques globes de chair. Je me retirai d’elle sans ménagement. Mon sexe toujours dressé vers le ciel dégoulinait de mouille. Ma MILF, exténuée, soupirait, allongée sur la table. Sans lui laisser le temps de respirer, je lui attrapai les poignets et la forçai à se relever. Elle chancela mais se mit debout malgré ses jambes tremblantes. Je la poussai avec fermeté vers la baie vitrée. Par réflexe et pour éviter de chuter, elle mit ses mains en avant et se réceptionna contre la vitre. Je pris un instant pour admirer cette vue si érotique d’une belle quadra à moitié nue me tournant le dos pour exposer ses fesses potelées et sa chatte ruisselante de mouille. Je voyais son dos haleter pendant qu’elle essayait de retrouver son souffle.

-    Qu’est-ce que tu fais ? me demanda-t-elle avec une pointe de peur dans sa voix essoufflée. On va nous voir !
-    Le rideau va te cacher des regards extérieurs. Le seul qui te voit c’est moi ! Et crois-moi j’adore ce que je vois !

Je posais mes mains sur ses fesses et les pétrir d’envie. Instinctivement, son bassin s’agita doucement sous mes caresses. Lentement, je relevais un peu plus sa robe pour mieux me dégager l’accès à sa chatte. Je pris ensuite ma queue humide dans une main. Je recommençai ma délicate caresse de ses lèvres intimes avec mon gland. Je jaugeais la réaction de ma partenaire. Je sentis ses hanches onduler, cherchant à enfouir de nouveau ma queue en elle.

-    On continue ? la questionnais-je d’une voix murmurée.
-    Vas-y ! Prends-moi !

D’un geste brusque, je m’enfonçai de nouveau dans sa chatte dégoulinante. Je parvins à rester maitre de mon excitation et à ne pas m’enfoncer complètement d’un coup. Ma pénétration fut tout de même accueillie par un nouveau râle de plaisir. Mes mains saisirent les hanches de Wendye et j’entrepris de la labourer avec un rythme crescendo. Plus j’accélérais le rythme, plus mes pénétrations se firent profondes et plus les râles de plaisir se muèrent en cris de jouissance chez ma belle rousse. Je vis ses mains s’accrocher au rideau. Derrière la vitre, le parking était désert mais quelques passants marchaient nonchalamment dans la rue, sans se douter du spectacle érotique qui se déroulait quelques étages plus hauts. Mon bassin poussait toujours plus en avant le corps de Wendye. Nos pubis s’entrechoquaient bruyamment. Ses fesses rondes tressaillaient à chaque impact. A travers le rideau, je pus distinguer en miroir le visage de Wendye tordu de plaisir se refléter sur la baie vitrée. Ses yeux fermés pour profiter de cette jouissance. Sa bouche ouverte dans un râle de plaisir. Elle était magnifique dans l’extase.

Mon bas ventre fut bientôt parsemé de picotements annonciateurs de l’éjaculation. Sentant jouissance arriver, je redoublais d’entrain dans mes mouvements de pénétration. Le corps de Wendye subissait avec toujours plus d’intensité mes assauts. Cherchant à la pénétrer toujours plus profondément, je m’avançai pour la pousser contre la baie vitrée. Ses mains s’écartèrent faisaient s’ouvrir le rideau tandis que son visage et ses seins s’écrasèrent contre la vitre. Plus rien ne cachait à présent notre spectacle de coït bestial à la vue des passants. Wendye avait la moitié de son corps dénudé collé à la vitre pendant que je martelais toujours l’autre avec plus d’acharnement.

Cette fois, je sentis l’orgasme déferler en moi. Je me collai au plus profond du vagin de ma MILF et me déversa en elle. De longs jets de sperme emplirent sa grotte intime pendant que nos cris de plaisir s’unirent une dernière fois. La jouissance était commune et puissante. J’appuyai à mon tour les mains contre la baie vitrée pour reprendre mon souffle. Je sentis le corps de Wendye se détendre après avoir tremblé de tout son être sous le coup de cet orgasme. La jouissance et l’excitation nous avaient quitté. Nous étions tous deux redevenus des poids morts. Je me retirai en sentant ses muscles intimes m’enserrer une dernière fois la queue, comme pour tenter de la retenir prisonnière. Un long filet de sperme et de mouille mêlés coula de ma queue enfin libre. Quelques gouttes maculèrent le sol. Wendye se retourna, me sourit et m’embrassa à pleine bouche.

-    C’était parfait, me souffla-t-elle.
-    Tu ne m’en veux pas pour cette exposition aux yeux de tous ?
-    J’ai toujours aimé cette position et le faire devant une baie vitrée a rajouté un petit piment que je ne connaissais pas. J’avoue avoir trouvé ça excitant.
-    Il faudra donc que je me laisse un peu plus aller à écouter mes désirs dans ce cas.
-    Je suis partante, me fit-elle en renfermant à nouveau sa poitrine dans sa prison de tissu et redescendant sa robe jusqu’aux genoux. Mais en attendant, il faut qu’on se quitte.
-    Tu rentres quand ?
-    Dans deux jours.
-    C’est trop long !
-    Plus c’est long, plus c’est bon !
-    Tu me manques déjà !

Pour toute réponse, Wendye m’embrassa une dernière fois. Je me rhabillai également avant de quitter son appartement pour reprendre le chemin de ma voiture. En arrivant sur le parking, je levai les yeux vers l’appartement de ma MILF. Une ombre sensuelle se dessinait derrière le rideau blanc maintenant complètement fermé. Je lui fis un signe de la main qu’elle me rendit et montai dans ma voiture pour rentrer chez moi.
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