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Mille neuf cent soixante huit

Chapitre 1

Confessions d'un vieillard

Inceste
Me voici arrivé très bientôt au seuil de la vie. Celui par lequel on en sort définitivement. Et je suis ici pour rédiger une confession. Con fessé ne voilà déjà-t-il pas un bon programme? Pourtant il ne sera pas question de ce genre de propos. Pour ceux qui s’attendent à des "oh" et à des "ha" issus de la pornographie, ils seront peut être déçus. Mais je rassure déjà les autres : Du sexe il y en aura, et de l’interdit aussi.
Mais d’abord un peu d’histoire: Mon père et ma mère étaient tous deux issus de la résistance armée. Ils se sont rencontrés  au parti communiste après la guerre. Parti qu’ils quittèrent un peu plus tard. Mon père était plus vieux que ma mère. Elle était encore mineure pendant le maquis où elle effectuait des liaisons en montagne entre les groupes. 
Mon père, héros officiel, diplômé ingénieur avant le conflit et issu d’une famille bourgeoise eu rapidement une excellente situation. Ma mère issue de la paysannerie de nos montagnes avait hérité des propriétés familiales. Le couple les vendit à l’exception d’un terrain très pentu et d’une grange qu’ils transformèrent en chalet: Une vaste cave voûtée deux pièces, salle de bain en dur en rdc et une chambre unique, en bois de mélèze à l’étage surmontée d’un grenier où l’on accédait de l’extérieur par une échelle de bois. Point d’électricité. Éclairage, eau de source, eau chaude et deux radiateurs au propane, chauffage au bois. Un coin isolé loin des pistes de ski qui fleurissaient déjà, mais très haut et froid en hiver. Un refuge de liberté. À l’écart des hommes et du temps.Mon père décéda brutalement dans un accident de voiture "dans l’exercice de ses fonctions". Ma mère toucha la prime de l’assurance, un capital et pû ainsi reprendre un travail de secrétaire à temps partiel. De quoi se dégager du temps pendant les vacances scolaires. Elle vendit le vaste F5 en boulevard chic et acheta un petit F2 dans les tous nouveaux quartiers d’après guerre.
Elle conserva cependant le chalet, le terrain attenant sans valeur, héritage personnel et objet de tous nos bonheurs. Dès la fin de semaine ou lors de toutes vacances on se précipitait à bord de sa Renault 4L dernier modèle vers les cimes, la voiture chargée par des chemins de terre vertigineux.Ces séjours estompaient le chagrin immense dû à la mort du père. Nous dormions ma mère et moi dans la pièce du haut meublée de deux lits jumeaux situés aux deux coins de la pièce. De format paysan non standard, ils n’étaient ni petits ni grands. On pouvait s’y glisser à deux pour quelques heures, peut être pas toute la nuit. Je sus en profiter plus tard y compris dans ma vie de vrai adulte quand j’y amenais des maîtresses, et avant aussi...Nous ne manquions pas d’activités au chalet. Été comme hiver. Ma mère était une skieuse hors pair. Pour ses origines c’était une nécessité. Pas un sport. J’ai bien sûr hérité de ce talent. L’été comme l’hiver se passaient en randonnées sportives parfois en terrains extrêmes. Sans parler des cueillettes diverses, du terrain à entretenir, des stères de bois à rentrer. C’est moi qui m’y collait.
Inutile de vous dire que ces activités vous forgent des corps d’athlètes. Je n’ai jamais trouvé ma mère particulièrement jolie. Le visage était carré surmonté des touffes de cheveux frisés naturellement et à la mode d’après guerre. Elle n’avait pas adopté les coupes années 60 de mes cousines avec rubans serrés. Sa silhouette était mince mais gâchée à mon goût par des cuisses trop grosses ( j’ai les mêmes, moches mais quels muscles!) pourtant sans un soupçon de graisse. Mollets et biceps d’acier. Ceux qui connaissent nos montagnes reconnaîtront ce genre de physique. Les yeux étaient aussi d’ acier, la couleur cete fois, bordés de bleu ciel. Aussi fascinants à ce qu’il paraît que mes yeux d’un vert intense hérité de ma grand mère maternelle. J’ai aussi un physique ramassé tout en muscles. Peu rapide, mais tout en puissance. À mon âge je peux encore monter un mur en agglos; si le dos le permet.
Dans la semaine ma mère ne s’habillait quasiment qu’en deuil ou au mieux en gris. Une souris grise en ville. Arrivée au chalet elle se métamorphosait en paysanne colorée. Bigarrée en fait. N’importe comment en fait. Et toujours en jupe. Ou en robe à la rigueur. 90% du temps. Avec ou sans bas selon la température. Ses seuls pantalons étaient les fuseaux de ski, de l’époque , moulants à souhait qui lui donnaient des allures de sculpture du xxème siècle aux hanches exagérées. À cause de ses hanches, elle détestait les pantalons.Personellement je n’avais pas d’amie intime. Les garçons et les filles vivaient encore séparés avant 68. Les supports pour se former à la sexualité étaient rares et interdits. Bien que très en avance moralement et intellectuelement, mes parents n’en parlaient pas. Pourtant j’allais souvent au grenier du chalet pour y jouer ou y rester au calme à songer ou à me toucher. Sans plus. Au milieu de vieux bouquins entreposés là, j’y avais trouvé en format poche, en deux volumes, un traité (sans images) d’éducation sexuelle. Oh! Rien d’affriolant... trois pages pour les femmes, autant pour les hommes, tout au plus, traitant de leurs plaisirs sexuels. Le reste était sur la reproduction, les maladies, les hormones etc. Bien utile en fait, mais ce n’est pas ce que j’ai préféré. Bien entendu. Je me suis paluché bien des fois sur les quelques pages qui parlaient du clitoris des mamelons des zones sensibles , de la masturbation féminine. Ces quelques paragraphes m’ont bien satisfait. Et éduqué finalement aussi. Comme support je m’imaginais quelques voisines, mes cousines ( on y reviendra beaucoup plus tard) et bien sûr ma mère. Mais après l’acte "avec" cette dernière je me sentais plus mal à l’aise. Je sentais confusément le malaise de notre situation. Un enfant qui grandissait et la solitude de ma mère qui n’avait pas d’amants connus.
J’avais laissé de côté le livre en grandissant et me masturbais sans supports d’autant plus facilement qu’à ces âges il en faut peu pour se donner du plaisir. Ma mère ne faisait aucun commentaire sur les taches dans mon lit, les cartes de France comme on les appelait alors. Elle lavait le linge . Au chalet c’était plus dur car nous dormions à l’étage dans les lits jumeaux. Parfois j’allais me soulager dans les bois. Mais parfois je me masturbais délibérément le soir avec ma mère dans la chambre. Je me doutais qu’elle se doutait, et ça me mettait en état de grande excitation.
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