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Mille neuf cent soixante huit

Chapitre 3

Février

Inceste
Les vacances de fevrier 1968 étaient arrivées. Peu nous importait à maman et moi la météo. Dès la fin de l’après-midi la Renault 4L était prête à appareiller. Surtout garnie de victuailles fraîches et de quoi maintenir le stock, et aussi en linge propre et le matériel de base de randonnée qui ne nous quittait jamais.
Et nous nous sommes lancés une fois de plus vers la montagne, vers notre vie à nous, vers le chalet. Notre chalet.
Le ciel était des plus menaçants; chargé. La météo était mauvaise mais normale en fait. Ils annonçaient de la neige, quoi de plus normal en février? Et nous étions parés, pneus cloutés et chaines facilement accessibles, deux crics de levage pour les 4 chaînes ! Maman était fille de paysan et avait l’esprit pratique. Elle avait sa tenue de montagne. Chaussettes de laine écrue sur des bas de laine épais. Jupe écossaise en grosse laine et gros pull de même. J’avais aussi mon épais knicker et mes chaussettes , chaussé de lourds godillots en cuir, avec une toute autant pesante canadienne.
La neige se mit à tomber sur la nationale. Jusqu’au hameau de A.. ça se passa à peu près bien. Au hameau ma mère décida de chainer.
-Sur la place de l’église! On y sera à plat. Allez chacun son côté! On monte sur crics, c’est plus rapide et plus sûr.
On a monté les chaînes en un tour de main. Fallait voir maman à la manoeuvre. On avait la pratique. L’énergie de cette femme était spectaculaire.
Après le hameau on quittait l’asphalte. Enfin l’asphalte à l’époque était assez théorique .
La Renault4 avait des capacités de franchissement qui rendraient jaloux les gros SUV d’aujourd’hui. Dans les bois la neige était freinée par les grands sapins et le petit véhicule avec ses 4 chaînes montait toujours malgré les précipitations qui s’intensifiaient. Mais après quelques kilomètres ce fût impossible. La neige dépassait les pares chocs.
— On laisse la voiture à la carrière. On descendra demain à ski la chercher si c’est encore possible avec le tracteur du pére H.
Le hic, c’est que pour le moment, les skis c’est au chalet qu’ils étaient.
— On ne prend que les sacs, de la nourriture sèche, les couvertures au cas où. Mais si on traîne pas, on sera au chalet avant minuit. Prêt camarade?
Maman était revenue quelque part dans sa tête en 44 45. C’était risqué. Mais je savais qu’elle aimait ça, et moi aussi.
Et nous voilà partis à pince. À partir de 40cm de fraîche, chaque pas devient un effort extrême. Mais tant qu’il neige le froid est moins vif.

Logiquement plus nous montions, plus il y avait de neige. À la lisière du bois on en avait jusqu’au cuisses. Heureusement la neige était poudreuse.
Elle n’offrait pas une résistance extrême à la levée.
On ne voyait presque plus les branches de coudrier que l’on plantait en été pour baliser la piste.
— Ahlala j’ai de la neige jusque dans ma culotte!
S’écria maman. Je rapelle qu’elle était en jupe. Et ça la faisait rire. Elle se tournait vers moi en riant. On n’y voyait que grâce au blanc de la neige, en dépit de la nuit, mais malgré le lourd sac tyrolien en toile et cuir, je sentais qu’elle rayonnait. Je la trouvais alors sexy en diable. Une vraie déesse. Une créature mythique de la forêt. Mi fée mi sorcière. Une ancienne guerrière pour de bon.
Dans l’alpage il a vraiment fallu que l’on profite de notre parfaite connaissance du terrain pour tomber pile sur le chalet. Le froid devenait beaucoup plus vif. Ça aurait pu vite devenir critique.
Ma mère poussa la lourde porte. Et se précipita, moi derrière à sa suite dans le chalet.
Les ordres fusaient à mon intention logiques et précis.
— Monte les radiateurs gaz, ils sont juste en hors gel. Allume le chauffe eau gaz et les lampes à gaz.
— Débarrasse toi de tous tes vêtements avec la neige. Faut pas rester mouillés. Je vais faire du thé et je m’occupe du feu.
Se faisant maman s’était effectivement débarrassé aussi et vivement de ses vêtements. Être au sec était beaucoup plus sûr. Tout en en faisant autant, je la regardais subjugué. Elle s’est retrouvée en culotte et soutif, à courir partout. Toujours en riant.
— On a été trop fort. Tu as vu comme c’était beau? C’était bath non?
En l’occurence c’était moi qui la trouvait bath. Presque nue; pourtant ce n’étaient pas des sous-vêtements en dentelle qu’elle portait !
Malheureusement ça n’a pas duré. Elle a vite attrapé sa robe de chambre.
— Faut manger un peu. Le thé est chaud, je réchauffe les patates qui sont dans nos sacs.
Après on pourra dormir.
Ce que nous fîmes sans autre forme de procès. Chacun dans un des lits jumeaux, non sans avoir placé une brique trop tiède ( le fourneau n’avait pas chauffé assez) dans les lits.
Nous nous sommes glissés sous les énormes édredons de plumes ancestraux et avons plongé dans un intense sommeil.
Pourtant nous ne dormîmes que quelques heures. Vers cinq heures un froid intense nous réveilla. La neige avait dû cesser et la nuit s’éclaircir. Le froid succédait à la neige dans un ciel rempli d’étoiles brillantes et rondes en raison de la pureté de l’air glacé.
— Tu as vu maman, il y a des fougères de glace sur la double vitre jusqu’au deuxième carreau !
Deux carreaux gelés sur trois de hauteur indiquaient un gel intense.
— Maman je peux venir avec toi pour avoir plus chaud?
— Oui il faut . C’est le mieux.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me glissai dans le lit tout en chevauchant ma mère. La tradition héritée de l’enfance voulait que je fusse côté mur.
Je me serrai très fort contre la chemise de nuit qui enveloppait le corps musclé .
Maman se rendormit sur le dos et moi contre elle. Tout collés serrés.
Je me réveillai le premier. Il faisait jour. J’avais envie de faire pipi. J’étais toujours en position latérale droite, tout contre le corps de ma mère sur toute la longueur. Je m’apperçu que je bandais fort. J’avais la tête sur le bras gauche de maman. Je m’apperçu que la manche de sa chemise de nuit était relevée jusqu’à l’épaule. À travers le coton je devinais le lobe d’un sein et son mamelon. Sans réfléchir, le coeur battant j’entrepris de soulever doucement le tissu, largement coupé  peu serré, petit à petit; je finis par distinguer clairement un sein. Sur le dos il formait un dôme parfait et surmonté d’un grand téton. Trop grand. L’aréole était de taille modeste et bien rose. Mais le téton qui la surmontait beaucoup plus grand que ce que j’ai pu voir plus tard dans ma vie. Je ne le trouvai pas beau, mais néanmoins il m’excitait énormément.
C’est alors que maman se réveilla.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je regarde.
— Tu devrais plutôt te trouver une copine pour ça.
La voix était calme. Elle contredisait ainsi cette simple parole de reproche.
— Je regarde ça fait pas de mal
— ...
Ce silence fût aussitôt traduit par moi pour une acceptation que je désirais et attendais plus que tout.
De ma main gauche je fis glisser la culotte de mon pyjama en dégageant et libérant juste ma bite. J’en fis autant en remontant la chemise de nuit de maman jusqu’au ventre. Me verge se tenait gonflée à bloc en biais, partant de la cuisse jusqu’au pli du ventre mince et en frottant à mi chemin contre l’os de la hanche. Une partie douce à l’extrême. Je vis le grand téton se redresser. Ma mère se tenait immobile. Totalement. Les yeux au plafond. Le téton érigé sous le coton de la chemise de nuit l’envie d’uriner,me conduisirent à risquer de légers mouvements de la hanche, d’avant en arrière dans un simulacre d’acte sexuel au ralenti. Le résultat de quatre ou cinq allers retours suffirent à me faire cracher le morceau. Un gros, gros morceau.
S’en suivit un court instant d’immobilité.
Puis ma mère :
— C’est malin, je suis toute mouillée maintenant.
Sur le coup je ne pensai qu’au sperme étalé sur son ventre. Par la suite et en y repenssant, je me dis que pas seulement ...
L’envie d’uriner devenant trop prégnante je dû rompre le charme et me lever précipitemment pour courir me soulager, ce ne fus pas si simple, je bandais encore. Maman me suivi dans la foulée pour en faire autant. Je pu voir la tâche de sperme sur sa chemise de nuit.
La journée fût chargée après un thé et de la bouillie d’avoine engloutie comme si rien ne s’était passé. On descendit par la piste en ski jusqu’à la 4L alors sous la neige jusqu’aux poignées de porte.
On a chargé dans les sacs le nécessaire fort lourd, essentiellement de la nourriture pour 8 jours. Et on est remontés. Skis en bois, chaussure de cuir et peau de phoque, dans la fraîche.
— On va descendre au hameau chercher le tracteur du père H. On redescendra la voiture au hameau. Ici en montant ce sera pas possible. Y a trop de couche de neige. Et on n’en a nul besoin, de l’auto.
Plat de pâtes vite cuites et descente jusqu’à la ferme H. On skie l’un derrière l’autre. Maman en tête. On godille dans la fraîche. Je peux voire ses hanches onduler, bâton à rond de cuir, ski amont puis inversement. Son fuseau la moule. La moule dans son fuseau. Je divague. Le style est fluide. Les branches chargées de neige nous fouettent de temps en temps. Arrivée. Discussion avec le père H.Faut tout raconter. Ils ont le temps en hiver. 
-Boudiou Henriette t’as encore fait des conneries. T’aurais pu y rester cte fois là. Déjà que t’as failli nous faire fusiller par les Boches... Et avec le jeune encore... Tu changeras pas. T’fais rien qu’à ta tête.
— Ça c’est sûr et... T’inquiète pas pour le jeune. Il est pas loin de devenir un homme.L’allusion je l’ai prise pour moi. Rapport au réveil un peu chaud.
— Ça pour sûr. Un beau gars de chez nous! ( Et là quelques mots probablement en patois que je ne distinguai pas, mais qui les fit bien rire).
— Ç’la dit ma petite Henriette, pour le tracteur c’est "non". C’est pas un chasse neige et y pourrait verser. T’inquiète pas la neige va se tasser. Tu devrais pouvoir descendre ta chignole. Mais monter pour sûr que non.
— C’est ce qu’on va faire. T’aurais pas des oeufs et du lait à vendre?
— Pitin, t’as encore un réseau à nourrir? C’est pas bien la saison mais on va te trouver ça.
Transactions faites on est remontés. Les oeufs, du lait, du pain, du jambon sec en prime. De quoi picniquer en route. Car la remontée fût longue par le chemin forestier. On dépassa la voiture et nous rejoignîmes le chalet vers 17h30 à la tombée de la nuit.
Je n’avais pas beaucoup pû contempler le cul de ma mère. Elle m’avait fait passer en premier pour faire la trace:
"Place aux jeunes!" Mais j’y pensais sans cesse. Le chemin m’en paru plus court.
Le soir se passa des plus calmement. Il régnait une bonne chaleur au rez de chaussée et ça ne nous disait rien de monter dans la chambre non chauffée. On s’était tous deux mis à l’aise. On avait même partagé un petit verre d’alcool local.
Le feu crépitait doucement dans le petit fourneau de fonte presque porté au rouge quand maman décida d’aller se coucher, bien sûr via la salle de bain. Je remarquai quelle avait laissé entrouverte la porte de la cuisine et aussi celle de la salle de bain, qui certes ne se verrouillait pas, mais avait tout de même une poignée . Je remarquai ces détails. Aucun de ces détails ne m’échappaient depuis ce matin. L’alcool d’herbe tournait un peu, au même rythme de mes pensées et plus encore de mes désirs illicites. Je m’apperçu que je bandais. Sans aucun délai, n’y tenant plus, je me levai et entrai sans frapper dans la salle de bain où ma mère se tenait devant le lavabo, entièrement nue. Je n’avais aucun plan. J’avais ou du pif, ou de la chance.
Elle sursauta et se tourna vers moi les deux mains en arrière paumes appuyées sur la vasque. Ça dégageait et remontait sa poitrine, la rendant offerte et sensuelle au possible.
Elle aurait pu mettre un bras sur ses seins un autre sur sa touffe, me hurler de sortir,mais non. Elle se tournait vers moi, avec ces hanches larges, son corps fin et musclé, ses petits seins bien ronds et fermes. Si fermes et précédés de ces mamelons bien particuliers qui pointaient vers le plafond en raison de sa position acculée à la vasque.
— Tu voulais me voir nue, et bien je pense que c’est fait maintenant.
Je pris cela pour une invitation. Sans réfléchir je me précipitai vers ces trésors exposés, offerts pour tout dire. Je me suis jeté à genoux au pied de ce mont de vénus invisible sous une épaisse toison. Je n’aurais jamais cru qu’il eut pu y en avoir autant, de poils. La mode d’alors n’était certes pas au rasage, mais tout de même... Ça me déplu mais je me suis jeté avec avidité dans cette forêt. D’une main j’écartais le réseau de poils gênants et de l’autre je cherchais ces petits seins fermes et les mamelons d’exception. Je les triturai, me rappelant mes lectures au grenier. Je les tirai encore plus vers le haut . Il était si facile de les rouler entre les doigts.
J’ai essayé de ne pas trop être brutal, de contrôler ma langue qui fouillait le sexe lavé de frais. Et là l’odeur me plu. À l’extrême. Je sentis la fente couler sous la langue. Écartant les obstacles pubiens et les lèvres délicieuses que je tirais délicatement entre mes doigts, les pinçant le plus doucement possible, y appliquant de doux baisers, je finis par sentir le bouton d’amour. Pas très gros, mais ferme. Sans doute déjà gonflé de désir. Je sentais les deux mains de maman appuyer sur ma tête mais sans pression excessive. Je remarquai qu’elle se dressait sur la plante des pieds tout en gémissant à peine. Je tournais et tournais et tournais ma langue avec avidité. Tout autour du bouton. Je sentis aussi le petit trou de l’urètre, ce qui provoqua un gémissement plus fort que les autres. Je tentai une pénétration avec mes doigts mais ma mère pris mon poignet et reposa ma main sur le haut de son pubis. Je continuais mon massage de la langue, tirai un peu plus fort sur les mamelons érigés, par petites saccades, quand je sentis les cuisses me serrer les oreilles et vibrer de plusieurs secousses silencieuses. Maman me repoussa de suite sans ménagement.
— Laisse moi me rafraîchir.
Je sortis de la salle de bain la tête et le corps à l’envers . Plein d’odeurs excitantes, le sexe gonflé. Frustré et comblé tout à la fois. J’avais eu un orgasme le matin et maman un le soir.
Maman sorti de la salle et monta se coucher.
— Je te préviens, on dort chacun dans son lit. Ne vas pas te faire des idées.
Voilà qui était clair. Je me suis vidé au lit sans discrètion, mais très vite compte tenu de l’excitation . On plongea tous deux dans le sommeil, sans doutes épuisés par tant d’exercices et d’émotions.
Le lendemain matin, thé, puis café au lait de ferme bien gras, omelette royale.
— Allez camarade: Aux skis! On prend les deux pelles, celle de chantier et celle à neige, et direction la carrière. On mangera au hameau si tout va bien.
Re belotte comme on dit. On est descendus par la piste. C’est plus dur qu’à travers bois et champs, les virages sont plus délicat à négocier. Parfois ça remonte.
Arrivés à la carrière on a déchaussé et on a pelleté. On avait chaud malgré le froid assez vif .
— Ouh! dit maman, faut que je fasse pipiiiii!
Décidément ça revenait comme un leitmotiv. Mais cette fois elle retroussa son fuseau, écarta bien les cuisses et le jet sorti de son intimité, fin et courbe comme une lame de sabre. Elle s’était ouverte devant moi. Manifestement exprès.  C’était pas la place qui manquait pour faire ça . 
— J’aime bien faire fondre la neige devant moi. Ouhouhouh ( comme une enfant)!
— Et moi je veux bien te nettoyer...
Elle bascula alors, sans rien dire, le dos dans la neige protégée par sa canadienne mais les fesses dans la neige, en riant comme une gamine. Je me jetai une fois de plus en avant, et enfoui tout aussitôt ma tête entre les cuisses. Ça sentait un peu la pomme verte et le café. À cause de l’urine. Pour rire je pris un peu de neige poudreuse et en frottai doucement la toison. Ma mère cria comme quand on joue à se lancer des boules de neige, mais se remit vite à pousser des petits gémissements. Je compris qu’il ne fallait pas languir. Je tournai ma langue illico sur le seul clitoris sans m’égarer.  Plus vite plus fort qu’au soir. Elle eu alors une vibration de l’intérieur des cuisses. Je sentis une coulée douce.
Aussitôt elle se remit debout. S’essuya avec un peu de neige. Rajusta ses vêtements après avoir secoué la neige résiduelle.
— Et toi tu as envie?
— Tu parles. Bien sûr.
Sans un mot de plus, elle ouvrit les boutons de cuivre du knickers et sorti non sans peine mon sexe déjà gonflé à mort. Elle entreprit alors une branlette en se tenant de trois quart arrière. Elle avait pris mon sexe entre trois doigts et le branlait doucement. Comme si c’était moi, mais c’était elle, avec sa main à elle. Cette fois je pu tenir un peu plus longtemps avant que mon sperme ne se perdit dans la neige, non loin de la trace d’urine.
La voiture avait été retournée au prix de pas mal d’efforts. On entama alors la descente, lente, vers le village. On ne pouvait aller bien vite au risque de se prendre le ravin ou d’aller finir entre les arbres.
Nous sommes arrivés au hameau de A. dans la soirée. Il était trop tard pour remonter. Le père H nous prêta sa grange à foin pour la nuit à condition de ne pas fumer. Mais personne ne fumait. Il faisait tiède au dessus des bêtes. On déplia deux couvertures dans le foin. La situation aurait pu être érotique. Le foin, ses odeurs douces sont paraît il propices aux ébats. Il n’en fût rien. En vrai le foin c’est un dernier recours. Mais c’est inconfortable, piquant, et probablement plein de bestioles.
Au matin nous avons rechaussé les skis pour repartir en sens inverse. Une fois de plus. Nous avions donc passé la moitié des vacances à s’occuper indirectement de la voiture. Mais après tout nous avons skié, et c’était là le but du voyage. En prime et d’un commun accord nous avions franchi l’interdit suprême.
Le soir je passai du temps à me raser le pubis et les roubignoles. J’anticipais ainsi sur les modes à venir. Je n’avais pas apprécié la foufoune trop poilue. Enfin si, énormément, mais ça diminuait pour moi le plaisir. C’est avec fierté que je sortis nu de la salle de bain et m’exhibai ainsi, le pubis glabre devant maman.
— Tu as vu? C’est mieux comme ça non?
— Et tu es fier de toi? Tu te prends pour qui? Tu te crois mon amant pour t’exposer ainsi ? Allez file te coucher.
Aï... Ce soir là il ne se passa rien. Le lendemain non plus. Les vacances se terminaient. Elles ne duraient alors qu’une semaine.
Nous vaquions à nos occupations comme si de rien n’était. Pourtant le vendredi en plein repas du soir, maman me demanda de but en blanc, sans préavis :
— Est-ce que tu serais capable de sauter du train en marche ?
— Ben je pense que oui.
— Vaudrait mieux que tu sois sûr. Je ne tiens pas à finir ma vie chez une faiseuse d’ange.
— Je suis sûr maintenant. J’y arriverai.
— Alors demain tu pourras venir dans mon lit.
— Pourquoi pas ce soir.
— Parceque c’est moi qui choisit. 
La journée me parut longue. Le temps se radoucissait, la neige devenait plus lourde. On avait skié sur la ligne de crête. La neige collait aux lames de bois. Mal fartées sans doute.
La soirée fût plus longue encore. J’avais compris que je devais me comporter absolument normalement. Ce n’est que vers 21 heures que maman installée près du feu commença à écarter la lourde robe de chambre et à toucher sa culotte tout en lisant du Sagan. Je n’en pouvais plus de désir. Tout à coup le signal :Très calme.
— Allez on monte.
Elle me précéda dans l’étroit escalier. Arrivée dans la chambre elle enleva la robe de chambre. Elle avait une chemise de nuit plus légère que la première fois. Elle retira sa culotte.
Elle se glissa sous les couvertures et le lourd édredon où des briques brûlantes avaient chauffé le lit des heures avant.
C’était chaud et douillet.
-Allez viens, t’attends quoi? Tu veux geler sur place?.. Non gardes ton pyjama.
J’obéi avec plaisir. Je me glissai contre elle. Je voulu baiser son cou, ses lèvres .
— Calme toi. Tu n’es pas mon amant. Je te l’ai déjà dit.
Alors je descendit directement vers son intimité. Et là, petite surprise en remontant sa chemise:
— Tu t’es coupé les poils ? Pas rasée?
— Tu aurais voulu quoi? Une petite fille de prime jeunesse ? Le sexe nu? Les femmes ont du poil là, un point c’est tout. Mais tu as raison. Trop c’est trop.
Et elle dirigea ma tête vers sa vulve. Impérieuse. Je la baisai la léchai jouai avec les grandes et petites lèvres à loisir. D’autant que la courte toison s’y prêtait désormais parfaitement. Elle aimait que je frôle l’urètre. Je remontais mes deux mains vers ses longs mamelons dressés. Je les tirais encore plus haut, puis je pelotais les fermes petits globes parfaits. Je suçais. Je buvais. Elle aimait que mon pouce gratte son pubis pendant que ma langue tournait autour du clitoris. C’est ainsi que vint la secousse. Je sentis la chatte couler. Sans délai elle me fit remonter. Je baissai ma culotte pour dégager l’essentiel.
— Tu te souviens? Tu sautes en marche?
— Promis.
Je la pénétrai enfin. Je pénétrais une femme pour la première fois. Elle était sur le dos. Moi entre ses jambes. Elle n’a pas eu besoin de me guider. Pour la première fois je suçais ses seins. En effet, elle ne m’avait pas allaité. Je sentis une surface plus rugueuse avec la bite. Je me concentrai sur cette partie haute. Maman gémit encore, eu une nouvelle secousse. Je sortis alors et lachai tout sur son ventre.
— Bien joué mon grand. Va dans ton lit maintenant.
Les vacances se terminaient. Le retour eu lieu avec un minimum de paroles. Sans histoire. Le temps serait long jusqu’à Pâques. Je me demandais si en ville il y aurait des parenthèses semblables mues par des désirs réciproques et impérieux.

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