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Mina, mes désirs deviennent de plus en plus pressants...

Chapitre 1

Erotique
Je suis une jeune femme, sortie de l’adolescence, je me prénomme Mina, je suis de taille moyenne avec une forte poitrine 95 D, je suis rondelette avec des bouées d’amour un peu partout. J’ai les cheveux châtains, mi-longs, des yeux en forme d’amandes de couleur marron. Je suis très timide, et je n’ai pratiquement pas de copains ou de copines, car je suis assez craintive, timide, rondelette et très réservée. En plus, je suis fille unique. Depuis toujours, vu ma taille et mon embonpoint, je n’ai connu que la solitude et la mise à l’écart de la part des jeunes que je fréquente ou plutôt que je côtoie. Je me suis donc fait une raison en ce qui concerne ma solitude, je me consacre essentiellement à mes études.
Nous habitons un HLM, en centre-ville au cinquième étage. Ma chambre est accolée à celle de mes parents, les murs sont assez fins, et j’entends tout lorsqu’ils font des galipettes (des câlins, l’amour quoi !). Donc pour ne pas entendre les grincements de leur lit, ou les gémissements de ma mère, lors de leurs ébats sexuels, je mets mon baladeur avec des écouteurs, et je mets la musique assez forte, pour ne rien entendre de leurs séances sexuelles.
Mais voilà que depuis quelque temps, je suis de plus en plus intéressée par leurs agissements, et, en les entendant s’ébattre dans leur chambre, j’éprouve quelques difficultés à rester là, sans rien faire. Maintenant quand ils le font, je commence par avoir chaud, puis mon corps frissonne, et j’ai des envies de me toucher.
Étant donné que je suis trop timide, que j’ai des bouées d’amour, par-ci par-là, que j’ai un surpoids assez conséquent, puisqu’aucun garçon ne s’intéresse à moi, à part pour faire des plaisanteries assez douteuses sur ma taille et sur mon poids, je ne suis pas trop intéressée par la gent masculine. Ce qui n’empêche pas que j’ai certains désirs corporels qui commencent à se faire sentir et même à se faire reconnaître, et dont j’en prends note, puis que j’essaye de combler comme je le peux, à mon niveau. Je me vois mal demander à mes parents de m’acheter un gode ou un autre instrument pouvant servir à assouvir mes désirs sexuels actuels. Et puis comme il n’y a pas de boutique érotique à proximité de là où nous habitons, je suis obligée de faire avec ce que j’ai à ma disposition...
Dès que je les entends démarrer, je m’enferme à clé dans ma chambre, pour qu’on ne me surprenne pas en train de me donner du plaisir, puis, je me déshabille complètement et je me couche dans mon lit sur les draps. Ensuite je commence par me caresser les seins, qui sont assez imposants, puis je me mets à prendre mes tétons entre mes pouces et mes index et je joue avec, en les faisant tourner entre mes doigts. Puis, je les tire vers ma bouche et j’essaye de les téter. Après cela, mes mains descendent et parcourent mon ventre. Puis avec ma main gauche, je descends plus bas vers mon entrejambe, et je la pose sur ma vulve. Ensuite avec la paume de ma main, je frotte mon pubis, tandis qu’avec ma main droite, j’alterne les caresses entre mon ventre, mon nombril et mes seins.
A ce moment-là, j’ai de plus en plus chaud, et j’ai tout mon corps qui frissonne maintenant. Alors que mon minou s’humidifie et commence à couler sans que je puisse l’arrêter, je rentre mon majeur entre mes grandes lèvres, que j’enfonce de plus en plus loin dans mon intimité toute trempée. Puis, je les fais aller et venir dans celle-ci, d’abord doucement, puis de plus en plus vite, me servant des gémissements de ma mère pour accélérer ou pour diminuer mes va-et-vient, de façon à ce que j’arrive à jouir en même temps qu’elle. Chose que j’arrive de mieux en mieux à reproduire maintenant afin que nous jouissions ensemble toutes les deux au même moment.
En même temps que je me fais jouir, je me projette dans la tête l’image de mes parents en train de copuler, et je m’imagine que c’est le sexe de mon père qui remplace mon doigt. Cela fait un certain temps que j’arrive à me satisfaire de la sorte, mais depuis quelques jours, cela ne me suffit plus, j’ai envie de plus, j’ai envie de sentir quelque chose de plus gros, de plus grand que mon doigt dans mon abricot. Et j’ai rapidement trouvé ce qui pourrait remplacer avantageusement mon doigt, en voyant dernièrement ma mère préparer à manger dans la cuisine.
J’ai vu qu’elle avait des carottes posées sur la table de celle-ci, il y en avait de toutes les tailles, des petites, des longues, des plus courtes, mais plus grosses, puis des beaucoup plus grosses et longues. Voyant cela, une idée m’est venue en tête, et comme je n’avais rien d’autre sous la main, ils pouvaient convenir en attendant que je trouve un objet plus adéquat et plus approprié, je me suis décidée à aller en acheter au supermarché du coin.
Ce qui était dit, a ensuite été fait, j’ai donc acheté plusieurs carottes de différentes tailles et de différentes longueurs, et je les ai planquées dans ma table de nuit. Puis quand mes parents ont refait l’amour dans leur chambre, j’ai reproduit le même scénario qu’auparavant.
Je me suis donc enfermée dans ma chambre, et je me suis servi de ces aliments pour mon usage personnel. Et au lieu de m’enfoncer un doigt dans mon minou, j’ai enfoncé une carotte, d’abord de petit calibre et courte, puis de plus en plus grosse et de plus en plus longue. C’est carrément autre chose, c’est plus intéressant, plus jouissif, plus gros et plus intense qu’avec un simple doigt. Et en fin de pratique, lorsque je n’entends plus mes parents, je suce l’aliment que j’ai utilisé, gouttant ainsi à ma propre mouille, et ensuite je le mange, faisant ainsi disparaître l’objet de mes vices et mon compagnon du moment, ô combien bénéfique lors de mes jouissances nocturnes.
Et si jamais ma mère découvre les carottes dans le tiroir de ma table de nuit, j’ai une excuse : c’est en cas de faim nocturne, et plutôt que de manger de sucreries, il vaut mieux manger des carottes, c’est mieux pour mon poids. Et donc plus aucune suspicion en ce qui concerne son utilisation. Pour l’instant, je me satisfais complètement et je suis très heureuse ainsi.
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