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Mina 3. Un peu d'indépendance

Chapitre 2

Mina 4. Mina nous présente son amie

Avec plusieurs femmes
Anissa n’est pas surprise lorsque je lui raconte ce qui s’est passé pendant les quelques jours chez Mina.
— Et pourtant je t’ai dit d’être sage ! dit Anissa adossée au réfrigérateur.
— Oui je sais...l mais c’était si bon, si excitant. Son petit cul...et ses seins...un peu comme...
— Un peu comme les miens ! ajoute-t-elle pour finir la phrase à ma place alors que je regarde sa poitrine couverte par un teeshirt.
— En moins gros, dis-je.
Je m’approche, lui prend la tasse des mains. Elle passe ses bras derrière ma tête. Anissa est belle même au réveil. Elle penche la tête sur le côté en souriant. Elle baisse les yeux sur sa poitrine et me regarde ensuite en faisant un clin d’œil. 
C’est le signal. 
Je remonte son tee-shirt sur sa taille, le ventre puis le retire. Je plaque ma bouche sur ses tétons. J’empoigne ses gros seins, je les presse l’un contre l’autre. Anissa m’attrape par les cheveux et glisse ma tête entre ses deux demi-sphères. Elle appuie un peu sur mes épaules pour m’inciter à me mettre à genoux. J’embrasse son ventre, introduisant ma langue dans son nombril. 
Sa peau a un goût de pêche. Ma langue continue son chemin sur le pubis, son entrecuisse où les poils repoussent, ça râpe sur la langue. Je n’ai pas de mal à trouver le clito qui commence déjà à durcir.
— HHuummm, gémit-elle en pliant les jambes et appuyant ses fesses contre le réfrigérateur.
Ma langue fouille sa fente à l’odeur piquante, mon nez frotte contre son bouton.
— C’est toujours aussi boooonn, lâche-t-elle quand j’enfonce trois doigts entre ses lèvres gonflées.
Je les introduis, les tourne dans sa chatte maintenant dilatée. Elle m’attrape derrière la tête et m’attire contre elle avec force. Elle frotte sa chatte humide contre mon visage. 

Je tends une main pour attraper un sein, tirer sur un téton. Elle râle plus fort. Je sens de la mouille couler dans ma bouche, sur mon menton. Elle resserre rapidement les jambes lorsqu’elle jouit, inondant un peu plus mon visage. Je me lève pour la prendre dans mes bras.

Mina est allongée nue sur le clic-clac dans son studio, un bras dans le vide, la main posée sur le carrelage. Un coin du drap couvre ses fesses marquées par des zébrures. Une bouteille vide renversée. 
Sur la table basse au milieu de livres et magasines, deux verres, dont un encore plein, sont posés et un flacon de gel lubrifiant. Un bruit de chasse d’eau, puis celui de la douche. Mina ouvre un œil, lève la tête puis la repose en soufflant. La porte de la salle de bain s’ouvre quinze minutes plus tard.
— Réveille-toi ma chérie, résonne une voix douce à son oreille.
Mina ouvre un œil, tourne la tête et sourit.
— Bonjour Mylène, répond Mina en passant une main dans la longue chevelure blonde encore humide. Bien dormi ? demande-t-elle en se redressant sur un coude.
— Oui ça va. Maintenant il faut te lever ou tu vas encore être en retard ! répond Mylène en lui donnant une petite claque sur les fesses.
— AAïïïïee ! crie Mina en se levant, se retrouvant nue devant son amie.
Mylène la prend par la taille et la retourne pour regarder ses fesses à la lumière du soleil.
— Désolée ma chérie, j’y suis allé un peu fort hier soir, ajoute-t-elle en posant ses lèvres sur les courbes rouges des fesses.
Mina avance le bassin, surprise par cette douce caresse. Elle pose une main sur le crâne de Mylène. Les lèvres chaudes et humides effleurent la peau tendre et meurtrie. 
Elle se retourne. Son amie est à genoux devant elle. Mina lui prend le visage entre les mains et l’attire vers elle, contre sa fente qui dégage encore une odeur forte de mouille et de cyprine. Mylène sort la langue qui s’enfonce sans difficulté dans la fente de Mina. Le nez frotte le bouton. Elle glisse une main entre les fesses de sa jeune amante pour titiller l’anus dilaté à l’extrême toute la soirée. La pénétration est encore facile.
— Tu vas me faire jouiiirr ! crie Mina en agrippant les cheveux de Mylène pour écraser son visage dessus.
La jeune femme se laisse tomber sur le clic-clac, les jambes tremblantes et le souffle court.Mylène vient se blottir contre elle, lui caresse les cheveux.

Il est 9h05 quand les deux femmes se séparent sur le trottoir devant l’immeuble où vit Mina.
— Demain j’ai la distribution de colis ensuite j’ai le tri au dépôt. Après demain je suis en déplacement. On peut se voir Samedi si tu veux, explique Mylène.
— Ah...Samedi...c’est que Samedi, répond Mina un peu gênée.
— Qu’est-ce qu’il y a ? demande Mylène.
Mina passe une main sur son front, sur sa nuque.
— Et bien Samedi...euh...mes parents viennent me voir, ça fait longtemps qu’on ne sait pas vu alors...euh.
— Raison de plus...comme ça tu me les présenteras ! rétorque Mylène qui l’embrasse avant de s’éloigner sans laisser le temps à Mina de répondre.
Mina se retrouve seule sur le trottoir, les bras ballants sans réagir.
Deux jours plus tard, les parents de Mina arrivent. Ils ont réservé une chambre dans un hôtel à proximité. Les retrouvailles sont chaleureuses.
— Pendant que vous allez faire vos achats, je vais m’occuper de cette fuite dans la salle de bain, dis-je.
Anissa récupère les clés de voiture, Mina retourne les coussins, fouille dans son sac à la recherche de son téléphone.
— Bon...allez on y va ! Tu peux te passer de ton téléphone pendant quelques heures, dit Anissa la main posée sur la poignée de porte.
Mina la regarde, attrape son sac et se dirige vers la porte, l’air triste.

Je change le joint du robinet. J’entends un bip. J’ouvre la petite armoire contre le mur, le téléphone de Mina. Un autre Bip. L’écran s’allume, deux messages reçu. Je pose le téléphone sur la table snack et retourne dans la salle de bain. 
Je termine avec le robinet. Je dois m’occuper du joint d’évacuation. Je suis assis sur le carrelage de la salle de bain, la tête sous le lavabo. J’entends une porte s’ouvrir puis se fermer. Puis aucun bruit. Je retourne sous le lavabo. 
Après quelques minutes une voix de femme me fait sursauter.
— Je suppose que vous êtes le père de Mina !
Je me redresse et me cogne le crâne contre le lavabo.Une femme aux cheveux blonds d’une quarantaine d’année est debout dans l’encadrement de la porte.
— Oui c’est ça...salut, dis-je en posant une main sur ma tête.
— Je suis désolé de vous avoir fait peur, je suis Mylène, rétorque-t-elle en se penchant vers moi.
Elle tend sa main en guise de bonjour. Je ne peux pas m’empêcher de regarder dans le décolleté de sa chemise dont deux boutons sont défaits. Dessous, j’aperçois deux gros seins qui débordent d’un soutien-gorge qui semble trop petit.
Les présentations faîtes, elle m’explique qu’elle est une très bonne amie de Mina, qu’elle a terminé sa tournée au travail et qu’elle passe pour voir si tout va bien. Elle me demande ensuite où est Mina.
— Elle est sortie avec sa mère pour faire des achats.
— Je comprends maintenant. Bon...je vais vous laisser terminer, ajoute-t-elle en se retournant.
Comme pour la poitrine, je mate son petit cul serré dans un pantalon qui lui rentre entre les fesses.
— Tu veux un café ? me demande Mylène du coin cuisine.
— Euh...oui, dis-je surpris par l’utilisation du tu.
Elle revient quelques minutes plus tard, deux tasses fumantes dans les mains. Elle s’assoit sur la cuvette des toilettes.
— Tu es une amie de longue date ? je demande à Mylène.
— Non...mais on s’entend très bien, on partage beaucoup de choses ensembles, dit-elle en passant un doigt sur le bord de sa tasse.
Je constate qu’un autre bouton est défait laissant voir le haut de son soutien-gorge. Mylène a les avant-bras posés sur ses coudes coinçant ainsi sa poitrine entre ses bras. Les reins cambrés cela accentue encore plus la projection de ses seins en avant. 
Lorsque je pose la tasse devant moi je remarque aussitôt que mes couilles dépassent sur le côté du short que je porte et le bout de ma bite apparaît. Elle glisse sur le carrelage et se met à quatre pattes devant moi.
— Mina a raison quand elle dit que tu as une grosse bite.
Sa main remonte sur ma cuisse, ses doigts se referment sur mes couilles.
— Maintenant à moi d’en juger.
Elle tire sur l’élastique du short pour sortir ma bite. Elle baisse la tête et pose sa langue sur le bout avant de refermer les lèvres dessus. La caresse est douce, chaude. Son cul reste en l’air. Je pose une main dessus, je le fesse doucement d’abord puis plus fort.
— Huumm...Huummm, gémit-elle chaque fois que me main frappe son cul.
Je l’empoigne, l’attire vers moi ce qui a un effet sur sa bouche qui me suce. Ma bite s’enfonce un peu plus à chaque fois. Elle défait sa chemise et retire son soutien-gorge pour laisser pendre ses seins. Les tétons durs au centre des larges auréoles effleurent le carrelage. Elle déboutonne son pantalon. Je glisse une main sur ses fesses, dans sa raie humide.
— Ouiii ! râle-t-elle lorsque mes doigts s’introduisent entre les lèvres gonflées de sa fente toute aussi humide.
Elle tire sur mon short et caleçon. Elle se lève, fait glisser son pantalon et culotte sur ses hanches. Son sexe, aux lèvres épaisses, surmonté d’un triangle de poils taillés apparaît. Un anneau est planté sur le clitoris. Sans attendre elle sort un préservatif de la poche de son pantalon. 
Pourquoi a-t-elle ça dans sa poche ? je n’en sais rien.
D’une main experte elle couvre ma bite. Une fois en place elle s’empale direct avec force sur ma bite.
— AArrghhhhh...crie-t-elle, comme c’est booonn, ajoute-t-elle en se déhanchant sur moi.
Elle commence à me chevaucher, donnant des coups de reins violents sur ma bite. Ses fesses cognent, claquent sur mes cuisses chaque fois qu’elle se laisse tomber sur moi. Je suce ses seins qu’elle serre l’un contre l’autre, pince les tétons entre mes dents.
— J’adoooorre, gémit-elle.
Elle passe ses bras autour de mon cou. La pénétration devient plus rapide, plus forte. Lorsqu’elle plante ses ongles dans mon dos, je comprends qu’elle va jouir. Elle me serre contre elle, ses jambes se referment sur mes reins pour m’attire plus profond en elle. 
Les pressions de son sexe sur ma bite sont violentes, les mouvements saccadés de son bassin sont puissants. Je n’arrive pas à me retenir et j’explose dans le préservatif. Mylène me relâche doucement en émettant un petit rire nerveux. Je lui caresse le dos, elle frissonne.
— J’avais oublié comme c’est bon de se faire baiser comme ça ! dit-elle après quelques minutes.
Elle se lève, s’essuie entre les cuisses avec du papier toilette. Elle se rhabille et retourne dans la pièce principale. Je me rhabille à mon tour et termine les travaux.

Vers 11 heures, Anissa et Mina rentrent de leurs sorties dans les magasins.
— Regarde ton téléphone est là, dit Anissa quand elle pose son sac sur la table snack.
Anissa est surprise de me voir assise dans un fauteuil en compagnie d’une jeune femme. Elle me lance un regard interrogateur.
— Je te présente Mylène ! dit Mina en prenant la main de l’autre jeune femme.
Elle la tire vers elle pour que Mylène se lève. Elle enroule un bras autour des épaules.
— Bonjour ! répond Anissa, et vous êtes ? demande-t-elle d’un air méfiant en regardant sa fille colée à Mylène.
— Et bien...Mina hésite, elle baisse son regard vers ses pieds.
— Je vais tout vous expliquer ! reprend Mylène qui entraîne Anissa et Mina par le bras dans la chambre.

12h20. Mylène sort de la chambre, referme la porte et vient s’assoir à côté de moi sur le canapé. Elle ne porte que sa chemise complètement ouverte. Quelques gouttes de sueur dans le cou, des mèches de cheveux collées sur le front.
— Les explications ont été rapides, dit-elle en venant s’assoir à cheval sur moi, mais la pratique un peu plus longue et approfondie.
— Quelles explications ? et quelles pratiques ? je demande alors qu’elle retire sa chemise.
— Et bien...que sa fille est en couple avec une femme...moi ! rétorque-t-elle en passant ses mains sous ses seins pour les soulever. Et qu’en plus elle aime les hommes...tout comme moi, ajoute Mylène qui écrase sa poitrine contre mon visage.
J’empoigne alors ses fesses, je les écrase, les masse. Mylène frotte sa poitrine, ses tétons contre ma figure. Ma bouche suce les tétons encore durs. Elle se redresse et s’assoit sur moi, son entrecuisse cogne contre ma bite. Elle frotte sa chatte sur mon short sur lequel apparaît une trace d’humidité. 
Elle pose ses mains sur le dossier du clic-clac, faisant balloter ses seins de droite à gauche sur mon visage. Ses tétons accrochent mon nez à chaque mouvement. 
Je glisse une main entre ses cuisses. C’est encore chaud. Les lèvres gonflées et le clito bandé témoignent de l’excitation dans laquelle elle est. Mes doigts la pénètrent facilement. Elle se laisse tomber sur ma main qui s’enfonce presque entièrement en elle. 
Je claque ses fesses. Elle cambre les reins quand j’enfonce deux doigts entre ses fesses. De la mouille coule sur ma main. Elle m’embrasse entre deux gémissements.
— Je veux ta bite maintenant, dit-elle.
Vingt secondes plus tard, Mylène s’enfile ma bite, couverte d’un préservatif, entre les cuisses. Elle se laisse retomber sur moi avec force et même violence. Ses fesses claquent contre mes cuisses. Ses seins remuent en tous sens. Son clito s’écrase sur mon pubis. Je le pince entre mes doigts.
— AAhhh...j’en veux encoooooore, crie-t-elle.
Deux secondes plus tard, les têtes de Mina et Anissa apparaissent. Les deux femmes s’avancent. Anissa s’assoit sur une chaise, écarte les cuisses et regarde Mylène qui s’empale sur ma bite couverte de mouille. Lorsque Mina monte debout sur le clic-clac, Mylène s’arrête, regarde par-dessus son épaule. Elle sourit. 
Mina est harnachée d’un gode ceinture long et plus gros que ma bite. Elle le caresse doucement en s’attardant sur le bout. Elle crache dans sa main pour couvrir la bite factice de salive. Mylène ferme les yeux et souffle lorsque Mina enfonce le gode dans le cul ouvert. 
Du coin de l’œil je vois Anissa qui se masturbe et pince ses tétons durs. J’enfonce et sort ma bite de quelques centimètres pendant la pénétration anale. Je ne sais pas de combien le gode est entré mais je sens le phallus frotter contre ma bite à travers la fine paroi.
— AArrghhh...lâche Mylène avant d’avoir le souffle coupé, le visage crispé.
Mina pose ses mains sur les épaules de sa partenaire et s’enfonce d’un seul coup. La caresse du gode contre ma bite dans l’orifice est excitante. Ma queue est massée sur toute la longueur, le frein est aussi stimulé. 
Mina ressort et s’enfonce à nouveau. Ses coups de reins sont violents, je n’ai pas besoin de bouger. Chaque fois qu’elle investit l’anus dilaté, Mylène se soulève, faisant coulisser ma bite dans sa fente puis retombe quand Mina recule son bassin. 
De son côté, Anissa s’enfonce une main entre ses cuisses dans la même cadence que les mouvements du bassin de Mina. Elle pince et tire sur ses tétons dressés. 
Je sens de la mouille couler sur mes couilles. J’écarte les fesses de Mylène qui cambre encore les reins. Ses orifices sont pénétrés en simultané ou en même temps.
— Vous allez me déchireeeeer, râle Mylène en écrasant ses seins contre moi.
Mina pèse de tout son poids sur les reins de son amie. Les couilles en caoutchouc cognent contre les miennes. La cadence est rapide. Les cheveux de Mylène sont en bataille. Quand le gode sort de l’anus, un pet obscène résonne dans la pièce. 
Anissa nous rejoint. Elle prend le phallus en latex en main pour diriger le bout vers ce trou dilaté à l’extrême.
— AArrgghhhh, gémit Mylène une nouvelle fois en rejetant la tête en arrière.
Tout son corps se tend et se crispe. La raison ? Le gode a d’abord heurté une fesse avant de glisser contre la cuisse et de s’enfoncer avec force dans la chatte baveuse. Mylène reçoit ainsi ma bite et le gode en même temps. Cette double pénétration involontaire n’est pas pour déplaire à notre partenaire.
— Comme c’est booonn, dit-elle en râlant, allez-y plus fort…ensembles.
Elle se redresse, tend ses bras au-dessus de ma tête. J’en profite pour lui sucer les tétons. Mylène bouge son bassin donnant des coups violents. Le bas-ventre de Mina claque fort sur les fesses de Mylène qui gémit, râle de plus en plus fort.
— J’en peux plus...voilàààà...ouuiiii...je viiiiiiiiiiiieennns, crie Mylène.
Tout son corps se tend, ses jambes tremblent. Les parois de sa chatte se referment, se contractent sur ma bite avant d’être expulsée de sa fente en même temps que le gode avec plusieurs jets de liquide incolore. Mon bas-ventre, mes couilles sont trempées. Mina ne s’arrête pas là. Elle reprend la bite en plastique entre ses mains et l’enfonce d’un coup puissant entre les fesses écartées devant elle.
— Ennccoooooore ! crie Mylène alors qu’elle glisse une main entre elle et moi.
Elle prend ma bite et s’empale à nouveau sur moi quand Mina recule son bassin. On la baise avec violence. Chacun répond aux cris, aux gémissements de l’autre encore plus fort. 
Anissa monte debout sur le clic-clac. Elle vient plaquer sa chatte couverte de mouille contre la bouche de Mylène. Elle se frotte sur son visage, enfonce le menton entre ses lèvres pendantes, le nez accroche le clito. 
Anissa ne tarde pas à jouir en utilisant le visage de Mylène pour se branler. Les longs gémissements étouffés de Mylène sont aussi un signe d’un nouvel orgasme. Elle se laisse tomber sur moi, le souffle court et rapide. Je sens le gode en plastique contre ma bite quitter le conduit anal.
Après plusieurs secondes, Mylène se soulève et glisse sur le carrelage. Mina la rejoint en lui prenant la tête entre ses mains et l’embrasse à pleine bouche. Le gode est couvert de mouille. 
Anissa m’embrasse, sourit et rejoint les deux femmes. Ma bite encore dressée n’est plus couverte par le préservatif. Il s’est déchiré contre le gode en plastique.
— Lève-toi ! me dit Anissa.
Debout, adossé à la table snack, Mina est à genoux entre mes cuisses. Mylène me caresse la bite lentement, faisant glisser la peau au maximum pour décalotté le gland. Mina pose sa langue dessus, le lèche. 
Anissa s’assoit sur un haut tabouret et nous regarde. 
Mina enfonce ma bite dans sa bouche, son nez venant contre mes poils pubiens. Mylène embrasse mes tétons, les suce, les pince et les mord. La pénétration de ma bite dans la bouche est plus rapide, profonde.
Mina serre les lèvres sur la queue, le bout de sa langue titille mes couilles. Je baisse les yeux pour croiser son regard. Anissa revient vers moi et m’embrasse. Mina ressort ma bite de sa bouche pour venir téter le gland. Mylène referme ses doigts sur ma queue couverte de salive et la branle. Elle rejoint Mina à genoux entre mes cuisses. Les deux jeunes femmes me lèchent en même temps. Leurs langues se mêlent sur ma bite, les couilles se contractent, ma bite gonfle et j’éjacule sur la langue de Mina. 

Elle referme ses lèvres sur ma bite, le sperme coule dans sa bouche, quelques gouttes glissent sur son menton. Mylène embrasse son amie. Elle partage mon sperme dans un long baiser intense. 

Je m’assois sur un haut tabouret. Anissa se colle contre moi. On regarde Mina et Mylène blotti l’une contre l’autre sur le carrelage.

Mina tourne la tête vers nous.
— Qu’est-ce qu’on mange à midi ? demande-t-elle.
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