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Mina 3. Un peu d'indépendance

Chapitre 3

Mina 5. les petits boulots

Avec plusieurs femmes
Quatre jours après le départ de ses parents, Mina rentre après sa journée de cours. Sur le trajet, elle pense à beaucoup de chose dont une qu’elle ne peut pas ignorer…l’argent. Mais quand elle ouvre la porte de son petit appartement, cette pensée disparaît aussitôt. Et pour cause.
Elle voit Mylène nue sur le clic clac, les genoux pliés et écartés, les pieds posés sur la table basse. Le corps couvert de sueur, les cheveux en bataille. Elle s’enfonce un énorme phallus en latex entre les cuisses. 
Sans un mot, Mina laisse tomber son sac. Elle marche vers son amie. Elle retire ses vêtements. Mylène, le souffle court, la regarde avancer, une main tient le gode couvert de mouille, l’autre tire sur un téton. Mina la rejoint sur le clic-clac. Elle l’embrasse, aspire la langue de Mylène et la suce comme une petite bite. Les mains de Mina caressent un sein, le ventre. Elle passe une jambe au-dessus de la tête de sa partenaire et pose sa chatte déjà humide sur les lèvres. Mylène sort sa langue, lèche, titille le clito.
— J’adoooore quand tu fais ça, lâche Mina alors qu’elle sent la langue s’enfoncer dans son anus.
Elle se redresse contre le dossier du clic clac. Elle frotte ses fesses contre la langue et le nez de Mylène. Mina ne tarde pas à gémir, de la mouille coule de sa fente dont elle écarte les lèvres pour y glisser plusieurs doigts. Mylène relâche le gode qui sort de sa chatte en faisant un bruit de succion et tombe sur le sol. 
La jeune étudiante descend du clic-clac, ramasse l’imposant gode qu’elle fixe à sa taille avec les lanières. Une fois en place, Mina rit en voyant son reflet dans le miroir accroché au mur au-dessus d’elle.
— Pourquoi ris-tu ? demande Mylène qui caresse le gode.
— Je viens d’avoir une image en tête.
— Laquelle ? ajoute Mylène.
Mina caresse le gode lentement avec les deux mains sans arriver à en faire le tour avec ses doigts. Elle passe sur le gland factice.
— Celle d’une corne de rhinocéros, répond-elle en poussant d’un coup son bassin en avant.
Le gode bute sur l’intérieur d’une cuisse avant de pénétrer violement la chatte de Mylène.
— AAhhh...crie-t-elle alors qu’elle pose ses mains contre le ventre de Mina pour l’arrêter.
Son corps se tord sous la violence du choc. Elle resserre les cuisses. D’un geste rapide, Mina attrape Mylène par les hanches. Elle pousse encore plus fort, plus loin. Le visage de Mylène se crispe. Elle ouvre la bouche comme un poisson hors de l’eau sans pouvoir en sortir un son. 
Quand le pubis de Mina claque contre celui de Mylène, Mina recule son bassin. Le gode sort complètement de la chatte dont les lèvres restent écartées quelques secondes. Il pénètre à nouveau ce sexe avec autant de force que la première fois. Le gode se couvre de mouille qui coule ensuite entre les fesses de Mylène. 
Après plusieurs minutes de baise intense et sauvage, Mina lui remonte les jambes contre la poitrine, écrase les seins gonflés de son amie. Debout, genoux pliés et écartés, Mina ne tarde pas à pénétrer cette fente en pesant de tout son poids. Mylène gémit plus fort, elle râle. 
La douleur des pénétrations laisse place à l’excitation, l’envie d’être prise avec rage et force. Elle projette son bassin vers le gode qui glisse en elle. La poitrine des deux femmes ballote en tous sens. Le clito de Mylène est écrasé, excité, masturbé. 
Lorsque Mina le serre entre ses doigts, Mylène pousse un long gémissement. Son sexe se referme sur le gode qui s’enfonce une dernière fois et reste planté en elle. Mina s’écroule sur sa partenaire pour l’embrasser. Elles restent collées pendant plusieurs minutes. Des caresses douces apaisent Mylène. Elle pousse un petit cri lorsque Mina se retire de sa chatte aux lèvres boursoufflées.

Les deux femmes restent sur le clic-clac pour baiser, se lécher, s’embrasser. Elles vont dans la chambre au milieu de la nuit pour continuer leurs ébats et dormir un peu.
Quelques heures plus tard, Mina se lève péniblement du lit. Elle se dirige vers la salle de bain puis avance à petits pas vers le coin cuisine. Elle prépare un chocolat chaud et un café. Elle s’assoit sur un haut tabouret. Mylène la rejoint quelques minutes plus tard. Elle dépose un baiser sur le front de son amie et va s’assoir sur le clic-clac. Elle sourit en voyant l’état dans lequel est l’appartement.
— J’ai besoin d’argent, dit Mina soudainement.
— Comment ça besoin d’argent, questionne Mylène qui tourne la tête vers son amour.
— Oui de l’argent. Ce n’est pas avec mes aides d’étudiante que je peux y arriver ! dit-elle à Mylène.
— Et tes parents ?
— Quoi mes parents ! répond-elle en se redressant sur le haut tabouret.
— Ils ne peuvent pas t’aider ?
Elle baisse la tête sur sa tasse de chocolat.
— Ils le font déjà...mais je veux pouvoir y arriver seule ! ajoute-t-elle.
Mylène se lève du clic clac. Elle marche au milieu des revues étalées sur le carrelage, d’un pantalon froissé, d’une culotte roulée en boule et autres vêtements éparpillés. Mylène se lève.
— Alors qu’est-ce que tu envisages pour subvenir à tes besoins ? demande Mylène qui s’adosse au réfrigérateur après avoir rempli une tasse de café.
— Il faut que je trouve un boulot, répond Mina.
— Un boulot ! Le silence s’installe quelques secondes. Ok, reprend Mylène, je vais en parler à mon chef et il verra ce qu’il peut faire.
— Tu es sérieuse ? demande Mina qui rejoint son amie.
— Oui sérieuse, rétorque Mylène.
 Elle fixe sa jeune partenaire, passe son pouce au-dessus de la lèvre supérieure de Mina pour essuyer la mousse chocolatée. Elle porte ensuite son pouce à sa bouche pour le lécher.
— Mais tu dois aussi chercher de ton côté ma chérie, ajoute Mylène, parce que si ça ne marche pas, tu dois trouver par toi-même.
Lorsque Mylène ferme la porte de l’appartement une heure plus tard pour se rendre à son travail, Mina se jette sur son téléphone pour appeler sa mère. Elle lui explique qu’elle veut trouver un travail, que Mylène va en parler à son chef.
Le lendemain, Mina feuillette les petites annonces dans les journaux, sur internet. N’importe quel travail, elle doit trouver : Toiletteur pour chiens...vendeuse en magasin...aide à domicile...serveuse…hôtesse de caisse.
Elle prend le dernier journal qu’elle a récupéré dans sa boîte aux lettres. Elle espère tomber sur quelque chose d’intéressant. Elle trouve une annonce pour un poste de serveur(se), débutant(e) accepté(e). Elle compose le numéro.
— Oui le poste est encore disponible...même si une personne est à l’essai, répond une douce voix de femme.
— Et vous pensez que ça va marcher avec cette personne ? demande Mina.
— Je ne sais pas...venez quand même pour un premier contact et nous verrons.
Mina raccroche sans trop vraiment y croire. Elle compose un autre numéro. Le discours est presque le même. Elle en compose un autre...sans résultat. Elle va sous la douche, s’habille rapidement, va en cours. Elle demande à ses amies si elles ne connaissent pas quelqu’un pour un travail.
Aucune réponse positive. Après ses cours elle monte dans le bus. Un jeune s’assoit à côté d’elle.
— Salut, dit-il. Moi c’est Max.
Mina recule, ouvre les yeux en grand, surprise.
— Désolé...je ne veux pas te faire peur. Il croise ses bras devant lui. Je t’ai entendu parlé à la fac...je peux t’aider si tu veux.
Mina cligne plusieurs fois des yeux, reste calme et se demande si tout cela est sérieux.
— Ne crains rien...tout est réglo, ajoute-t-il en souriant.
Elle commence la discussion avec Max qui lui explique que sa tante tient une boulangerie, qu’elle a besoin d’aide le matin les week-end et une matinée dans la semaine. La discussion se poursuit. Elle le trouve sympa, marrant et accepte sa proposition. Une fois chez elle, elle appelle Mylène pour lui parler de sa rencontre avec Max et de la proposition faite.
— C’est bien ma chérie, répond Mylène, mais avant de prendre ta décision, j’ai négocié avec mon chef et ça n’a pas été facile.
Mina entend le souffle fort de Mylène dans le téléphone, un raclement de gorge puis un silence de quelques secondes.
— Donc...dit-elle enfin, tu as rendez-vous demain matin à 8h30 au centre de tri avec mon chef.
Les deux femmes discutent encore pendant un moment. Mina raccroche le sourire aux lèvres. Elle est heureuse à l’idée de pouvoir travailler et enfin se débrouiller seule. Elle s’endort rapidement.
Le lendemain matin. 8h25. Elle est assise dans une salle d’attente aux murs jaunes et fauteuils bleus. Une femme d’une cinquante d’années, cheveux tirés en arrière par un chignon apparaît dans l’encadrement de la porte.
— Un responsable va vous recevoir, dit-elle en pointant son bras et main tendue vers le couloir.
Mina se lève comme montée sur un ressort et se dirige vers le bout du couloir. Toute excitée à l’idée de rencontrer son futur employeur et prise dans son élan, elle ouvre la porte sans frapper. Ce qu’elle voit pendant deux secondes la cloue sur place, la mâchoire ouverte prête à se décrocher, les yeux comme des billes.
— Approchez-vous ! dit l’homme en contournant son bureau et rentrant sa chemise dans son pantalon. Je suis Monsieur B. Alors vous êtes Mina c’est ça ?
— Bonjour Monsieur B. oui, répond-elle en tendant la main qui disparaît entièrement dans celle de l’homme d’âge mûr, la soixantaine avec une barbe courte.
Cheveux blancs coupés très courts à la brosse, un corps musclé, des bras aussi gros que ses cuisses, Il avance souriant vers Mina.
— Après une courte discussion et long entretien, Mylène m’a dit que vous êtes étudiante.
— Oui c’est ça ! répond Mina encore un peu gênée.
— Et que vous cherchez un travail, ajoute-t-il.
— Oui, répond-elle doucement.
Elle regarde autour d’elle. Des coupes, des trophées sportifs, des photos. Son regard se pose à nouveau sur son interlocuteur. Il l’invite à s’assoir. Il retourne sur son fauteuil, pose les coudes sur son bureau, croise les mains devant son menton. Il la scrute, l’observe. Il lui pose des questions sur son parcours scolaire, ce qu’elle a comme loisirs.
— Qu’est-ce que vous savez faire ? demande-t-il en se levant.
Il s’assoit sur le bord du bureau juste en face de Mina qui n’arrive pas à croire ce qu’elle voit.
Là, devant ses yeux se dessine sous le pantalon de Monsieur B., un renflement imposant qui descend le long de la cuisse. Elle n’arrive pas à regarder ailleurs.
— Et bien ? dit-il en prenant et soulevant le menton de Mina.
— Pas grand-chose ! répond-elle en souriant, mais je veux apprendre et faire tout ce que vous pouvez me demander.
— Ah oui ? Vraiment tout ? demande-t-il en se redressant.
Monsieur B. se caresse doucement la bosse à travers son pantalon. Il empoigne sa bite et la masse. Mina le regarde faire. Elle se dit que pour le moment il ne se passe rien de mal. Elle est prête à tout et veut voir jusqu’où Monsieur B. va aller.
Cela devient plus excitant quand il tire doucement sur la fermeture éclair de son pantalon. Mina ressent de la chaleur, des picotements dans son ventre. Monsieur B. plonge une main dans l’ouverture. Quand il sort son membre elle reste figée, le regard bloqué. Sa respiration devient courte et rapide. Elle resserre les cuisses, se tortille sur le fauteuil. Elle sent sa poitrine gonfler, ses tétons durcir.
Mina est surprise par la taille du sexe. Jamais elle n’en a vu de si gros et long. Elle passe sa langue sur ses lèvres.
— Impressionnant, dit Monsieur B. en prenant sa bite en main.
Il tire sur la peau pour mettre le gland couleur pourpre à nu. Il a la taille d’une pêche. Il tend l’autre main pour attraper un sein, un téton de Mina qui pointe sous le chemisier. 
Elle ne porte pas de soutien-gorge. Mina sent son ventre se nouer, se tordre. Les lèvres de son sexe gonflent. 
Sans un mot, elle porte la main sur ce membre. Elle le caresse timidement d’abord, puis avec plus d’assurance. Elle presse ce pieu de chair entre ses mains. Elle n’arrive pas à en faire le tour avec ses doigts. Le membre commence à gonfler, à durcir. Monsieur B. gémit doucement.
— Mylène a raison...tu as les mains douces.
Monsieur B. relève la tête de Mina. Il lui sourit.
— As-tu autre chose de doux ? ajoute-t-il en la poussant contre le dossier du fauteuil.
Mina lâche la bite des mains. Son regard reste accroché à ce morceau de chair qui pend. Ses yeux brillent. Sa bouche se remplie de salive. Elle se lèche les lèvres. Monsieur B. sourit. Il attrape son sexe et le branle doucement. Mina se mord la lèvre. Elle se caresse un sein à travers son chemisier.
— Tu es très mignonne, lui dit Monsieur B.
Il se caresse jusqu’à ce que sa bite soit dure, dressée. Il approche le gland humide contre les lèvres de Mina. Elle ouvre la bouche dans l’attente de recevoir ce membre qui l’excite. Monsieur B. pousse un peu plus en avant. 
Ce morceau de chair est à quelques centimètres. Mina peut sentir l’odeur piquante du gland décalotté. Encore un centimètre puis le bout glisse entre les lèvres de la jeune métisse. Mina ouvre la mâchoire au maximum mais seulement la moitié du gland peut s’enfoncer. Monsieur B. s’arrête. Il sort son sexe d’entre les lèvres. Il lui caresse doucement la joue, les lèvres. 
Mina lèche les doigts, les suce. Puis elle avance la tête, tire la langue sur le gland. Monsieur B. ne bouge pas et laisse faire Mina. Elle sent le gland pénétrer sa bouche. Elle l’aspire petit-à-petit. Quand il est tout entier entre ses lèvres, elle le tète, le suce. Monsieur B. râle. Il donne de petits coups de reins pour s’enfoncer davantage.
Elle ne réagit pas quand il lui enlève son chemisier. Elle sent ses tétons tirés, pincés. Monsieur B. la soulève et l’allonge sur le bureau, les jambes dans le vide. Elle voit la tête de Monsieur B. remonter entre ses cuisses, les lèvres sur sa peau.
— HHuummmm, gémit Mina qui resserre les cuisses sur la tête de Monsieur B.
Elle cambre les reins. C’est comme une libération. Monsieur B. tire la culotte de la jeune femme sur le côté. Il plonge la langue dans cette fente humide. Sa langue fouille l’intimité, s’enfonce profondément en elle. Son clito est stimulé par des caresses, il est pincé. Mina attrape cette tête pour l’attirer vers elle.
— Allez-yyyyy...plus fooooort, crie Mina lorsqu’elle sent un doigt titiller son anus et le pénétrer.
Son corps se tend, frissonne sous l’effet de la jouissance. Elle se laisse tomber sur le bureau. Deux mains se posent sur sa poitrine, puis elle sent le monstre de chair glisser entre ses seins. Monsieur B. se masturbe jusqu’à éjaculer sur sa poitrine. Elle regarde le sperme clair couler sur la peau brune. Monsieur B. lui tend un rouleau de papier.
— Vous commencez la semaine prochaine, dit-il.
Dans le bus qui la ramène chez elle en fin de matinée, Mina sent des regards sur elle. Elle ferme les boutons du chemisier jusqu’au cou. L’odeur de sperme se repend autour d’elle comme un nuage de fumée.
— Salut, dit Max qui s’assoit en face d’elle.
— Salut, répond-elle en essayant de mettre de la distance entre eux.
Elle s’enfonce contre le dossier de la banquette pour éviter que Max ne sente son odeur. Il la regarde de la tête aux pieds avec un petit sourire.
— Alors j’ai vu ma tante...elle est d’accord pour que tu commences demain, dit-il.
— D’accord, répond Mina simplement.
Elle descend du bus à l’arrêt suivant. Mina rentre chez elle, passe sous la douche. Elle s’assoit sur le clic-clac en buvant un soda. Elle pense à Monsieur B., à ce qui s’est passé. Elle se demande si elle doit en parler à Mylène. Mais sa réflexion ne dure pas longtemps. Mylène entre et se précipite vers son amie.
— Alors ça y est ! tu commences la semaine prochaine ! dit-elle en prenant Mina dans ses bras. Je suis fière de toi, ajoute-t-elle en l’embrassant.
Mina reste un peu passive, ne sachant pas comment aborder le sujet.
— Oui...c’est cool, répond-elle simplement, jouant avec un coin de serviette enroulée autour de son buste.
— Qu’est-ce qui ne va pas ? demande Mylène la prenant par les épaules.
La serviette se dénoue et glisse sur sa taille. Aucune des deux femmes ne fait un geste pour la remettre en place et cacher la poitrine. Mina est hésitante. Elle regarde son amante quelques secondes avant de détourner le regard.
— Et bien...ton Monsieur B. est...très...impressionnant, dit-elle enfin.
— Oui c’est vrai il est dynamique, c’est un battant.
— C’est sûr...répond Mina en remontant ses genoux pour s’assoir en boule sur le clic-clac.
— Alors pourquoi tu fais cette tête ! enchaîne Mylène.
Mina souffle un grand coup avant d’expliquer, d’un trait sans s’arrêter, ce qui s’est passé entre Monsieur B. et elle dans le bureau. Pendant qu’elle parle, Mylène la regarde sans l’interrompre. Elle l’écoute avec attention. Extérieurement elle ne montre rien mais c’est à l’intérieur de son corps que tout s’emballe. Elle sent sa poitrine gonfler, sa chatte mouiller. 
Elle glisse doucement une main entre ses cuisses pour se caresser. Sa respiration devient plus courte. Elle pose la tête sur le clic-clac, ferme les yeux. Elle écarte une cuisse pour poser sa main à plat sur sa fente. Mylène appuie doucement sur son clito à travers le pantalon en toile. Elle n’entend pas que Mina s’est arrêtée de parler, trop absorber par sa caresse. Elle ne réagit pas et se laisse faire quand deux mains se pose sur ses seins.
— En fait...dit Mina doucement à l’oreille de sa compagne, c’était super excitant... et je suis certaine que tu es au courant de ce qui s’est passé, ajoute-t-elle en l’embrassant à pleine bouche.
Leurs lèvres se touchent, se choquent, la langue joue avec celle de l’autre. Mina retire la chemise de Mylène dont les seins libres sans soutien-gorge rebondissent. Elle se jette dessus pour les sucer, les embrasser. Elle pince un téton entre ses dents et tire dessus.
— Aïïïïïïee ! lâche Mylène en lui prenant la tête entre les mains.
— Oui je sais tout et j’ai même proposé à Monsieur B. de le faire, dit-elle en jetant la serviette encore humide sur le carrelage. Et en plus...si tu veux tout savoir ma chérie...j’ai tout vu...et je me suis caressé, masturbé en vous regardant.
Mina reste étonnée par cette révélation, ne sachant pas si c’est vrai ou non.
Mylène lui fait oui de le tête en souriant avant de se colle à son amante. Elles s’allongent sur le carrelage au pied du clic-clac en position soixante-neuf. Mina lèche le sexe qui dégage une forte odeur de mouille et de sperme. Les deux femmes se doigtent, se masturbe mutuellement. Lorsque Mina sent le poing fermé contre sa fente humide et couverte de salive, elle resserre rapidement les cuisses.
— Ah non ma chérie...pas avec moi ! dit Mylène qui passe les cuisses de Mina sous ses bras et lui ouvre ainsi l’entrecuisse.
Le comportement de Mylène a changé. Elle devient plus directe, plus autoritaire. Mina est coincée. Elle sent une pression sur sa fente. Elle respire doucement et profondément. Elle sait que la pénétration est inévitable. Elle se détend.
Les muscles de son sexe se contractent. Mylène pousse doucement puis de plus en plus fort. La main s’introduit avec une petite résistance. Lorsque tous les doigts disparaissent, Mylène pèse de tout son poids. La main entre d’un seul coup jusqu’au poignet.
— Aarrgghhh, lâche Mina en plantant ses ongles dans les fesses de Mylène sous l’effet de surprise.
Le poing de Mylène est planté en elle, les lèvres de son sexe étirées. Mina ne bouge plus. Elle respire fort. Mylène sort lentement la main avant de l’enfoncer une nouvelle fois plus profond. La moitié de l’avant-bras disparaît. Cette pénétration dure plusieurs minutes. De la mouille et de la cyprine couvrent le membre supérieur de Mylène. 
Mina ne ressent plus de douleur mais un léger picotement dans son ventre. Son anus se contracte à chaque pénétration. Mylène en profite pour y enfoncer plusieurs doigts.
— OOuuiiii, râle Mina en soulevant son bassin.
Mina tire sur ses tétons. Elle sent la jouissance venir. Sa poitrine se gonfle, son sexe écrase le poing en elle. Une dernière pénétration et Mina soulève son bassin d’une telle force que Mylène est projetée contre le clic clac. La main est expulsée du vagin. Mina se tord sur le carrelage, son corps est secoué par des violents spasmes. 
Mylène revient sur elle, lui donne des coups sur les fesses, le son résonne dans la pièce. Elle se met à califourchon sur Mina. Le sexe de la jeune métisse aux lèvres gonflées est encore ouvert. Mylène pose sa main dessus, le masse en faisant des cercles sur le clito qui bande. Elle le frappe du plat de la main, l’écrase entre ses doigts.
— OOuiii encooooore, continue de crier Mina.
Mylène pousse une nouvelle fois sa main entre les cuisses de Mina. Elle s’enfonce entièrement dans sa fente. Le corps de Mina n’arrête pas de se tordre. Son bassin se soulève et retombe lourdement sur le carrelage.
— Tu en veux encore ? répond Mylène en accélérant la pénétration de sa main qui sort parfois entièrement, couverte de mouille, le poing serré.
Elle l’enfonce encore plus vite et plus profondément. Elle pousse si fort que tout l’avant-bras s’enfonce.
— AAArrrggghh, lâche Mina qui ne contrôle plus rien.
Allongée sur le dos, les bras en croix, elle subit les assauts répétés de Mylène. Le corps de Mina se contracte une dernière fois puis retombe. Le bras est expulsé. Tous ses muscles se tendent, tremblent. Un orgasme puissant laisse la jeune femme sans voix, le souffle coupé. Le visage en sueur elle se laisse tomber sur le carrelage.
Mylène ramasse la serviette pour couvrir sa partenaire. La respiration devient plus calme, plus lente après dix minutes. Elle l’aide à se relever pour s’assoir et va chercher un verre d’eau. Mylène retourne s’assoir à la table snack.
Assise dans le clic-clac, Mina regarde son amie perchée sur un haut tabouret.
— Qu’est-ce qui t’a pris ? demande Mina, pourquoi toute cette force ce soir ?
— Parce que maintenant tu es à moi...tu m’appartiens ! répond Mylène.
Mina ouvre les yeux, surprise par cette réponse.
— Tu fais ce que j’ordonne et décide.
Après le départ de Mylène une heure plus tard, elle se retrouve seule sur le lit. Leur relation vient de prendre une autre direction vers laquelle Mina est novice. Elle ne sait pas si ce sera en bien ou en mal, mais elle décide à cet instant de continuer et de découvrir ce que Mylène lui réserve.
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