Suite à ce week-end de pure folie, notre amitié avec Thomas et Marie s’en est trouvée réellement renforcée. Nous passions quasiment tous nos week-ends ensemble. Le plus souvent, nous allions au restaurant, puis en boite pour bien se vider la tête. Les soirées se terminaient bien souvent en sympathique partie à quatre, dans une ambiance des plus charnelle. Cela étant, Marie et Mina passaient également beaucoup de temps ensemble. Elles se faisaient souvent des soirées entre copines. Il arrivait souvent qu’à son retour, je puisse sentir que la soirée avait été chaude car à cet instant, Mina avait follement envie de faire l’amour, ce qui évidemment n’était pas pour me déplaire. Pour les vacances de Pâques, nous avions prévu de passer quelques jours dans un hôtel cinq étoiles, avec piscine et spa, jacuzzi, hammam et sauna. Au dernier moment, Thomas a malheureusement dû nous lâcher à cause de sa trop importante charge de travail. Je me suis donc retrouvé à partir rien qu’avec Marie et ma chère et tendre, me demandant presque si je n’allais pas devoir leur tenir la chandelle. Nous avions choisi de partir avec la voiture de Marie. Tel un gentleman, je proposai à ma chérie de prendre la place de devant à côté de Marie qui conduisait, afin qu’elles puissent toutes les deux papoter pendant le voyage. De mon côté, j’en profitai pour faire une petite sieste à l’arrière du véhicule. C’était le printemps et l’arrivée des beaux jours. Mina portait une jolie petite robe légère. Elle avait pris soin d’épiler ses magnifiques jambes afin de les rendre douces comme de la soie. En me réveillant, je vis que Marie avait déposé une main sur son genou et ne cessait de la caresser. Elle fit doucement remonter sa main sur sa cuisse, tandis que Mina écartait un peu plus les jambes afin de lui laisser le libre accès à sa culotte. Je fis alors semblant de dormir, mais ne me privait pas de les épier discrètement, d’autant qu’elles ne faisaient absolument pas attention à moi. Tout en conduisant, Marie lui caressait désormais l’entre-jambe. Mina se mit à soupirer. Elle choisit d’incliner son siège afin de pouvoir mieux étendre ses jambes et se détendre dans une position plus optimale. Cette situation m’excitait au plus haut point. Et je n’étais bien entendu pas le seul. Je vis sur le visage de Mina, à sa façon de respirer de plus en plus fort et de se mordre les lèvres, à quel point elle prenait du plaisir. Marie alternait avec hâte les passages de sa main droite sur le levier de vitesse et sur le sexe de Mina qu’elle caressait à travers la culotte. J’entendis ensuite Mina exprimer à sa copine : — Oooohhhh… putain ma salope, tu me fais bien mouiller dis-donc ! — Huuumm… j’espère bien ma coquine. C’est le but tu sais. Retires donc ta culotte. Je pourrais mieux te branler. Mina se retourna alors vers moi et découvrit à cet instant que je ne dormais plus. Je lui fis un sourire et acquiesça de la tête afin qu’elle s’autorise à retirer sa petite culotte. Mina s’exécuta. Elle retira sa culotte et se tourna à nouveau vers moi pour me dire : — Prends ma culotte, s’il te plait mon chéri. C’est avec joie que j’acceptai sa requête. Je ne pus m’empêcher de renifler l’odeur exaltante de cette petite culotte en dentelle. Une poussée d’adrénaline envahit alors mes sens tant ce tissu avait le goût de cyprine. Marie choisit finalement de s’arrêter dans un petit chemin isolé afin de pouvoir mieux manœuvrer. Mina me regardait fixement tandis que Marie lui donnait du plaisir à l’aide de ses doigts de fée. J’avais terriblement envie d’elle et me rapprochai de ma chérie afin de l’embrasser, puis déposai de très nombreux bisous langoureux dans son cou, sa bouche et sur ses joues. Je décidai ensuite de déloger ses seins des balconnets de son soutien-gorge afin de pouvoir mieux les prendre en main. Marie décida quant à elle de venir les bouffer, puis fit descendre ses baisers sur ses cuisses, pour ensuite rapprocher sa bouche de la petite chatte de ma copine. Je pus alors prendre le relais et me mit à mon tour à me délecter de ses gros nichons. Mina se mit à gémir de plus en plus fort. Elle mouillait comme jamais. Des doigts glissent dans sa fente, tantôt les miens, tantôt ceux de Marie. Mina écarta encore plus les jambes tandis que Marie enfonça sa langue dans sa vulve. Je décidai alors d’incliner complétement le fauteuil de ma chérie afin qu’elle se trouve allongée. Je l’embrassai à pleine bouche tandis que Marie lui bouffait la chatte avec passion. Bientôt, ma chérie ne put plus se contrôler. Un orgasme allait incessamment sous peu la submerger. Quant à moi, je bandais comme un âne la voyant se crispait avant de faire échapper de sa gorge un long gémissement. Mina a joui et elle a joui longuement. Mon dieu que c’était bon de la voir ainsi prendre son pied. Puis, le silence reprit possession de ce moment. Seules nos respirations conjointes trahissaient encore l’extrême excitation qui nous avait tous les trois submergés. Marie l’embrassa à son tour et Mina lui exprima sa reconnaissance : — Merci ma chérie. C’était vraiment délicieux. — C’est moi qui te remercie ma belle. Je me suis régalé à bouffer ta petite chatte. Puis, Marie se tourna vers moi : — Et toi Alex ? J’espère que toi aussi tu as pris ton pied ? — Bien-sûr. Putain, qu’est-ce que c’était bon. Vous êtes vraiment des sacrées vicieuses toutes les deux. — Et tu n’as encore rien vu mon chéri. Les vacances ne font que commencer.
