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Le miroir

Chapitre 1

Divers
Je suis là, à genoux devant ce grand miroir, tu tournes autour de moi, passant ta main sur mes épaules sur mon ventre, dans mon dos, tu me caresses les cheveux.
— Tu es belle ! Regarde-toi ! Regarde comme tu es belle quand tu es offerte à moi.
Je relève les yeux vers la surface miroitante et nous regarde : toi, si beau, puissant, conquérant, habillé de ton costume sombre, cravate écarlate et moi nue, soumise, à ta disposition.
— Mains dans le dos ! me dis-tu en sortant un foulard de soie de ta poche de poitrine.
Tu me le noues autour des poignets, tu me caresses un sein puis l’autre et viens doucement murmurer à mon oreille.
— Je veux que tu ne quittes pas le miroir des yeux, je veux que tu regardes ce que je te ferai, que tu voies ton propre plaisir s’épanouir petit à petit.
Je lève les yeux et regarde ton reflet, je te vois te déplacer dans la pièce vers une commode, y ouvrir un tiroir et y prendre une cravache. Tu reviens vers moi pour me caresser doucement à l’aide de celle-ci. Un petit coup sur ma hanche et tu repars la balader sur ma peau, un autre coup sur un sein, je gémis. Tu caresses encore tout mon corps avec cet ustensile. Tu arrêtes ton choix, là sur une fesse, là une hanche, là mon ventre ou là une cuisse.
— Écarte les jambes... penche-toi en arrière !
A présent, tu peux voir la naissance de mon intimité, mon clitoris pointant déjà d’anticipation sous le rideau de mes poils pubiens.
— Ma petite chatte angora est déjà tout excitée. Écarte encore plus !
La cravache tapote l’intérieur de mes cuisses, ne s’arrêtant qu’au moment où tu es satisfait. Pour me torturer un peu plus, tu m’assènes un coup puissant sur la vulve. Je sursaute et pousse un petit cri.
— Chut ! Sinon je te bâillonne.
Je te souris à travers le miroir et pousse un non retentissant.

— Je ne t’ai pas permis de t’exprimer... tu l’auras voulu.
Tu vas prendre dans le meuble bas un bâillon et viens l’installer sur la bouche.
— Redresse-toi puis mets-toi face contre terre.
Tu me regardes me redresser difficilement et me battre avec mes liens pour me mettre dans la position souhaitée, j’y arrive péniblement sous ton regard acéré. Je te sens t’éloigner et revenir. Tu me soulèves doucement le buste pour installer un bolster de yoga dessous. Je peux de nouveau parfaitement voir à travers le miroir et la scène que je découvre me fait déglutir d’appréhension : derrière une femme un peu ronde, penchée en position de totale soumission, se trouve un homme superbe dont le costume bien taillé n’arrive pas à cacher son érection. Il est en train de retirer sa ceinture.
— Tu m’as désobéi sciemment. En plus tu as eu l’effronterie de protester. Tu mérites une punition : dix coups de ceinture. Tu ne bouges pas. Tu ne t’écartes pas. Chaque transgression te vaudra un coup de plus. Hoche la tête si tu as compris.
Mes yeux plongés dans le reflet des tiens, je bascule lentement la tête d’avant en arrière. Je vois ton bras armé descendre rapidement sur ma croupe. Clac.
— Un, tu vois ma chérie, je suis gentil avec toi, la première n’est pas si forte.
C’est toi qui le dis ! Non de non que ça fait mal. Clac !
— Deux...
Clac.
— Trois...
Clac.
— Quatre...
Clac.
— Cinq...
Mon cul est cuisant. Tu t’arrêtes un instant et me caresses les fesses. Je gémis de plaisir sous tes mains apaisantes.
— Il prend une jolie couleur, mais je trouve qu’il manque de décoration.
Tu retournes vers cette satanée commode pour revenir les mains encombrées. Tu t’agenouilles derrière moi, je ne vois pas ce que tu fais, mais j’entends le bruit d’un tube que l’on vide. Puis une de tes mains écarte mon cul et un doigt vient taquiner ma rosette, il est humide et vu la facilité avec laquelle tu l’insères en moi, je n’ai aucun doute sur la nature du liquide. Après un court instant de ce traitement, tu te redresses et me présentes un rosebud de taille moyenne, en verre transparent.
— Ni trop gros, ni trop petit. Il va te plaire. Tu vas être gentille et bien le garder en toi pendant la fin de la punition.
J’avais oublié qu’il me restait cinq coups à subir ! Mamamia ! Tu poses ta main gauche sur mon dos pour me faire cambrer les reins et je sens le jouet s’installer doucement en moi. Il est plus imposant que je ne l’imaginais et tu forces un peu pour finir de l’enfoncer dans mes entrailles, sous mes gémissements d’inconfort. Tu te redresses, la ceinture à la main, et te réinstalles jambes écartées derrière moi.
— Tu vas compter les derniers pour moi, je veux entendre ta voix étouffée derrière le bâillon.
Ton bras se lève et s’abat. Clac. Je m’exécute, voix assourdie et suppliante.
— Siiixphhhmm ...
Je rêve de me soustraire au supplice, la pause n’a pas atténué la douleur, bien au contraire. Clac
— Septphhhmm.
Je laisse échapper un sanglot. A travers le miroir, je te vois caresser ton entrejambe. Je sens mon sexe s’humidifier en réaction. Clac
— Huitphhhmmm...— C’est bien ! Bonne fille ! Encore deux et après ce ne sera que du plaisir.
Clac.
— Neufffphhhmmm ... Onnnmonnn !
Je suis à la limite, des larmes coulent sur mes joues. Je dois résister. Clac.
Je ne tiens plus et mon corps réagit en se portant à l’avant. Nonnnnn !
— Dixxxxphhhhmmmm ... Piphhhhtierrrphhmmmm !— Un coup de plus pour avoir bougé !
La ceinture s’abaisse sur mon cul, mais c’est plus une caresse qu’une véritable tape. Tu as toujours reconnu mes limites.
Tu te penches et viens passer ta main sur mon con. Tu balades tes doigts sur mes lèvres et mon antre. Tu approches ton visage de mon sexe, ton nez le renifle, ta langue le lape.
— Tu es si mouillée déjà !
Ta bouche vient emprisonner mon clitoris dur et gonflé. J’entends le son de la fermeture éclair de ton pantalon. Je t’imagine, caché par mes grosses fesses, te masturbant pendant que tu me doigtes et me lèches. Je gémis sous mon bâillon, le miroir me renvoie l’image d’une femme au bord de l’extase, corps tendu, tête chavirée, yeux révulsés. Mon bassin se tend vers toi. Une claque résonne sur mon cul, j’en hoquette.
— Pas bouger !
Tu reprends ton ouvrage, jusqu’à ma limite. Sous ta langue, mon vagin se contracte, signe évident de mon apothéose. Toujours aussi cruel, tu te relèves, me refusant l’orgasme.
Et enfin ! Tu viens me pénétrer d’un mouvement lent. Ta queue me perfore alors qu’une de tes mains vienne jouer avec le plug fiché dans mon cul, l’autre vient s’appuyer sur mes mains liées et j’en profite pour joindre mes doigts aux tiens. Tes mouvements sont lents et calculés, me maintenant sur le fil du rasoir, à cette presque jouissance.
— Tu aimerais jouir ? me demandes-tu à travers le miroir.
Mon reflet te répond d’un hochement de tête.
— Ton orgasme m’appartient. Je suis le maître de ton corps, tu le sais !
Mon image acquiesce à nouveau.
— Si tu savais comme j’aime ton corps, tes courbes comme j’aime ta soumission, même tes petites rébellions !
Tu accélères alors que tu prononces ces mots. Je gémis sous mon bâillon, tu continues encore plus fort. Tu te penches sur moi pour venir me mordre et m’aspirer l’épaule et ainsi me marquer. Tes coups de boutoir deviennent plus violents. Je sens monter en moi l’orgasme tant attendu. Tu deviens frénétique, je me cambre. Je sens ta queue devenir plus dure, gonflée pour finir par éclater en moi. Alors que les jets tapissent mes parois, c’est à moi d’exploser sur ton sexe. Tu deviens lourd, ton corps pèse sur moi alors que tu te ramollis dans ma chatte.
Après que nos respirations se sont calmées, tu te relèves et scrutes le miroir.
— Tu es si belle ainsi, je pense que je vais te laisser un moment profiter de la vision, ne quitte pas des yeux le miroir.
Tu te réajustes, te retournes et quittes la pièce. Me laissant seule en face de mon double, croupe en l’air, mains attachées et cul pluggés.
Je t’attends.
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