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Le miroir

Chapitre 2

Erotique
Je t’ai laissée devant le miroir. Mon Amour tu es magnifique. Je te regarde à travers l’écran, mon café à la main. Tu restes immobile, comme je te l’ai ordonné. Cela fait maintenant dix minutes, j’attends juste le moment ou tu commenceras à donner des signes d’inconfort. Cela ne saurait tarder, je te connais, bientôt tu tireras sur tes liens, tu relâcheras ta concentration et je pourrai revenir continuer nos jeux. Je me ferai autoritaire et inflexible, te gronderai car tu ne te seras pas tenue sage. Encore une gorgée du breuvage noir pour faire taire mon impatience. Je change l’angle de la caméra, à présent, je peux voir ton beau cul, imposant, rond, tout en chair. Mon dieu que j’aime ces fesses, grosses et moelleuses. J’aime la façon dont elles ballotent à chaque claques que je leurs porte. Tout à l’heure j’en aurai joui dans mon pantalon. J’ai dû trouver l’excuse de t’enfiler ce plug pour reprendre contenance. Tiens ! tu viens de bouger. Il est temps de rentrer en scène.
— Alors ma douce ? As-tu apprécié ce moment d’intimité ? Redresse-toi. Je t’ai apportée de l’eau.
Je viens près de toi, t’enlève le bâillon et porte à tes lèvres la bouteille que j’ai ramené. Tu bois goulûment et j’imagine déjà ce que je pourrai faire de cette bouche gourmande.
— Merci Monsieur.
Je viens te caresser les cheveux, la joue. J’adore te voir ainsi, reconnaissante, obéissante. Mais jusqu’à quand ? je te connais, tu aimes le jeu, me pousser à réagir. Je ne compte plus le nombre de fois ou tu as défié mon autorité, m’obligeant comme tout à l’heure à rougir ton arrière train. Je crois que tu aimes trop ça.
— Tu as bougé vilaine fille ?— Non Monsieur.— Ne me ment pas !
J’ai empoigné ta chevelure et te tire la tête en arrière, mes lèvres effleurent les tiennes alors que je te réprimande.
— Tu ne peux t’empêcher d’être impertinente… cette bouche devrait être pleine d’autre chose que de tes mensonges.
Je défais ma braguette et sors mon sexe, il est déjà à moitié bander, je ne peux vraiment pas rester serein devant toi. Tes yeux me happent, ton corps s’offre, ta bouche s’ouvre déjà pour engloutir mon mandrin. Mais ce n’est pas ce que je désire de suite. Je me place face au miroir, tu tournes la tête pour suivre ma queue du regard.
— Tu t’es assez admirer. Mets-toi dos à la glace. Regarde-moi. Je vais te détacher et tu vas me branler et rester bouche ouverte, langue tendue.
J’aime te voir te démener pour te mettre en place. Tes seins ballotent sous l’effort, pendants et lourds. J’ai envie de prendre en bouche tes mamelons clairs et de mordiller tes tétons proéminents. Je me permets seulement de venir les pincer fermement, tu en gémis.

— Baisse la tête que je t’enlève tes liens.
Notre reflet me renvoie tes jolis pieds coincés sous ta croupe, tes hanches un peu larges sur une taille étonnement fine, tes épaules tendues en arrière par les liens qui retiennent tes bras en arrière. Je me presse de les défaire. Te voici libre, je masse délicatement tes poignets, vérifie qu’ils ne sont pas blessés, quelques marques rouges qui disparaîtront facilement. Un jour je te ligoterai complètement, tu seras belle ainsi parée, chaque nœud mettra en valeur une partie de ton corps. Dieu, ma queue durcit rien qu’à cette idée.
Je suis maintenant en place bien droit devant toi, jambes légèrement écartées. Ho putain ! je jouirai presque de nous mater ainsi, tes mains qui s’agitent sur ma queue, ta tête inclinée en arrière dont juste le nez et la langue bien tendue ne ressortent du reflet en face de moi. Pour corser le jeu, je fais un pas en arrière t’obligeant à te pencher plus en avant pour que je reste à ta porté. Cela te force à relever ta croupe et je peux ainsi admirer à travers le miroir le bijou planté dans ton cul. Les restes de notre jouissance sont encore visibles sur les poils qui garnissent ta petite chatte. Cela fini de me raidir complètement. Je ne pense pas pouvoir un jour me lasser de toi, tu es devenue mon obsession. Je t’imagine dans des positions vulgaires et sexy, obéissant à mes moindre désirs. Je ne pose plus un œil sur mon image, uniquement fasciné par ton corps plié et soumis.
— Glisse ta main sur ta chatte et doigte-toi !
Ta position devient impossible, à tout moment, tu peux t’effondrer sur moi. Cela ne m’empêche pas d’entendre tes gémissements. La main qui s’est glissée entre tes jambes masse frénétiquement ton clitoris. Tu bascules légèrement vers l’avant et je décide enfin de te soutenir en emprisonnant tes épaules.
— Maintenant ! Lèche-moi ! Applique-toi, comme ça oui !
Ta langue fait de longs mouvements sur ma queue, n’oubliant pas un centimètre. Tu t’éternises sur mon gland pour récolter les gouttes qui suintent de mon méat. Ho ! Salope ! Tu commences à fredonner « les sucettes à l’anis » tout en continuant ton travail, je suis presque au bord de l’explosion, uniquement à cause de cette stupide ritournelle et de tes yeux rieurs plongés dans les miens.
— Tu es incorrigible ! Mains sur les genoux ! Redresse-toi ! ouvre ! Tourne-toi d’un quart de tour ! Regarde-nous, toi soumise devant moi ainsi offerte, si belle et abandonnée ! Je vais te baiser la gueule en punition de ta petite chanson, tu as voulu faire ta maligne ? Maintenant assume !
Le miroir m’en est témoin, je ne suis pas tendre avec toi. Je te défonce ta petite bouche de poupée, la bave coule sur ton menton et tu pleures sous la force et la profondeur de mes mouvements. Tu m’as excité, complètement transporté par la passion du moment. Je te veux à ma merci et je t’ai. Tes yeux passent de mon visage à notre reflet, je sais que tu mouilles, que tu voudrais te soulager mais je te l’interdit. Mon plaisir en est décuplé.
Putain ! Je vais jouir ! Je me retire de toi, te pousse à quatre pattes et enlève ton jouet pour m’installer à sa place. Ma queue lubrifiée n’a aucune peine à glisser dans ton petit trou et je viens enfin satisfaire ton clito dur en le massant avec la même vigueur que ma queue s’enfonce en toi. Mes doigts poisseux de ta cyprine sont délicieux quand je me les lèche, cela agit sur moi comme un aphrodisiaque et je retourne vite à la source pour récolter encore de ce nectar dont je ne me lasse jamais. Les gémissements que tu émets à chacune de mes poussées augmentent encore plus la monté du plaisir qui me submerge. Tu te contractes sur moi, au paroxysme de ta jouissance et ton orgasme conduit inexorablement au mien.
Nous finissons dans les bras l’un de l’autre, apaisés et heureux après cette séance intense de plaisir. Tu me caresses négligemment mes avant-bras alors que tu regardes nos visages à travers la glace.
— Crois-tu qu’il y avait beaucoup de monde derrière le miroir ?— Alice, mon cœur, j’espère bien. On étaient là pour ça non ?
Espiègle, tu fais un coucou à la vitre sans tain. Puis tu me souris, rayonnante et enfin m’embrasses langoureusement.
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