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Miss Fréjus 2005 : mon pote, sa mère et moi

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
L’été prochain je retourne dans le sud et ça me rappel ce qu’il s’est passé il y a 3 ans en camping à Fréjus.(C’est du vrai)
C’était début août et mon pote et moi trouvions minable le fait pour deux jeunes de 18 ans de partir en camping accompagnés de l’une de leur maman mais c’était la seule opportunité de partir de Paris vu que nous n’avions pas le permis de conduire.
Dans la voiture durant le voyage je redoutais ce séjour pour plusieurs raisons.Tout d’abord alors que mon pote était plutôt du genre beau gosse, mon physique était moins enviable. De plus mon pote m’énervait souvent du fait de son air supérieur et de son caractère prétentieux mais il fallait faire avec..
Et finalement ce fût pour moi mes meilleurs vacances avec un souvenir mémorable, mais pas pour mon pote..
Le camping était un 4 étoiles placé pas trop loin ni de la mer ni de la ville de Fréjus. Il était placé juste à coté d’un autre camping moins huppé. Alors que la mère de mon pote faisait la queue pour obtenir les clés du mobile-home dans la voiture mon pote m’expliquait ses projets en me montrant notamment son stock de préservatifs.
Dès notre arrivée nous commençâmes à repérer les filles..
Déjà tout commençait bien avec notre emplacement car à l’exception d’un gros homme poilu élevé à la bière que l’on appelait Balou, les autres mobile-home comptaient de nombreuses présences féminines..
Car il ne faut pas mentir mon pote et moi on était là pour ça, et nous n’étions sans doute pas les seuls..
Par contre le séjour s’annonçait long et ennuyeux pour la mère de mon ami qui allait passer l’essentiel de son temps toute seule à lire ou se balader.
Au bout de 2 jours mon pote s’était déjà trouvé une belle copine avec qui il exécutait ses plans. Nous et d’autres avions pris l’habitude de nous moquer de Balou cet homme seul provençal, qui avec son maillot de foot et ses bières, nous faisais penser au stéréotype de la personne beauf.
Il semblait de plus guère apprécier les touristes parisiens.
Mon pote me chambrait en disant qu’il se trouverait une fille avant moi ce qui semblait peu évident à la vue de l’hygiène de vie du bonhomme.
A la piscine cet homme avait fait impression avec sa grande carcasse et son gros ventre poilu.
Néanmoins son slip de bain laissait apparaitre des attributs masculins assez impressionnant.
L’homme en tout cas ne se gênait pas pour mater les filles et femmes de la piscine ce qui n’était pas très étonnant.
Au bout de 4-5 jours son attitude envers nous changea.
Elle passa en effet de l’ignorance ou du mépris à un sourir moqueur plutôt flippant.

Après 6 jours sur place on s’était constitué un petit groupe d’une dizaine de jeunes, on trainait surtout en ville ou sur la plage mais ce soir là vers minuit on s’étaient posé à coté de la piscine. Le camping paraissait désert sans doute à cause des activités prévues en ville.
A un moment quelqu’un parti aux toilettes revint avec un large sourir et nous rapporta qu’il avait entendu du bruit en provenance des douches.
Selon lui un couple était en train de faire ses petites affaires dans les douches. Je ne me sentais pas l’âme d’un voyeur mais les autres avaient visiblement envie de s’amuser, alors je suivis le mouvement.
Nous nous sommes alors approchés furtivement des douches à l’écoute de tout bruit suspect..
Effectivement, enfermé dans l’une des douches se trouvait à priori un couple en pleine action. Je me souviens bien à ce moment là comment cette situation m’a excité comme les autres mecs d’ailleurs.
On s’était approché discrètement pour voir sous la porte qui nous laissait voir leurs pieds.
Ainsi on pouvait comprendre que la femme , légèrement sur la pointe des pieds, s’appuyait face à la paroi tandis que l’homme la pénétrait par derrière.
Aux gémissements étouffés de la femme s’ajoutait quelques mots crus de l’homme.
Par chuchotements on se demandait s’il s’agissait d’une pénétration vaginale ou annale, le débat ne dura pas longtemps grâce aux envolées lyriques de l’homme.
Comme me le souffla mon pote, elle se faisait bien enculer.
La scène était très excitante et est sans doute restée ancrée dans nos mémoires.
Les paroles de l’homme, en plus de nous indiquer l’orifice pénétré, semblaient être celles du notre voisin beauf Balou.
Les pieds poilus de l’homme étaient un indice supplémentaire et très pertinent.
La perspective de voir en action le fameux Balou nous amusa encore plus. Mon ami me fît remarquer qu’il avait eu raison en prévoyant que Balou trouverait une fille avant moi.
En tout cas à en juger par la pression imposée sur la paroi de la douche et des réactions de la femme, Balou semblait y aller fort.
Mon pote à ce moment pensa avoir une bonne idée:
partir chercher le vigile..
On était pas vraiment d’accord, personnellement je trouvais ça vraiment con et pas marrant du tout..
De plus nous n’étions même pas sûr de l’identité des protagonistes.
Mais cette initiative était approuvée par le groupe toujours à la recherche du moindre amusement.
Ce qui était sûr par contre c’est que cette relation n’avait rien de romantique et que la pauvre prenait cher.
Je n’aurai pas aimé être à la place de cette femme se faisant sodomiser par un tel homme, qui de plus semblait monté comme un cheval de part ce qu’il avait montré à la piscine.
Alors quelques minutes plus tard voilà mon pote et le vigile qui débarquent. Le vigile (qui comme tout bon vigile de camping était un type vraiment chiant qui nous a bien emmerdé pendant le séjour) frappa violemment à la porte de la douche leur rappelant qu’elles étaient fermées à cette heure-ci.
Alors que tout le monde se marre, un homme d’un quarantaine d’année bien enrobé et poilu sort de la cabine, c’était bien notre Balou!!
Ce dernier sortit de la douche en toute décontraction absolument pas gêné comme on pouvait s’y attendre.
Ensuite sort une femme du même âge par contre elle assez paniquée qui trouve même le moyen de glisser en sortant de la cabine, et qui part en courant par l’autre sortie sans même nous jeter un coup d’oeil.
Tout le monde se marre encore sauf moi et mon pote,
encore sous le choc, car cette femme n’était autre que sa mère !
Balou s’en va à son tour en nous jetant un petit coup d’oeil complice, à ce moment j’ai compris pourquoi ce type étrange nous adressait un sourir narquois lors des derniers jours.
Le reste de la nuit à été très compliqué pour mon pote qui n’a que très peu dormit.
Le lendemain matin au petit déjeuner alors que mon copain dort encore, sa mère me demande l’air innocent ou nous étions la veille au soir, en ville je lui ai répondu pour éviter toute tension.
Elle avait alors paru bien soulagée.
A mon tour je lui demanda ce qu’elle avait fait, elle me répondit qu’est était restée au mobile-home..
Néanmoins elle m’annonça que la randonnée initialement prévue pour l’après midi, peut-être en raison de séquelles
de son activité nocturne..
A partir de là les vacances pour moi ont été énormes et beaucoup plus crispées pour mon pote dont la mère a été sujette à de nombreuses rumeurs et moqueries.
Pour moi ces vacances ont donc commencé à devenir exceptionnelles car du haut de mes 18 ans j’étais marqué par cette scène de la douche que je m’imaginais déjà raconter à tout le lycée.
Pour mon ami la situation était clairement différente car si pour moi ce fût mes meilleurs vacances, pour lui ce furent sans doute les pires. En effet sa mère était devenue la star du camping: "Miss Fréjus 2005" comme les gens l’appelaient.
La mère de mon pote était devenue la femme facile que tout individu en manque allait draguer..
Mon pote eu beaucoup de mal à supporter ce nouveau statut de
fils de femme facile et de nombreuses disputes et bagarres en découlèrent.
De mon coté j’avais bien compris qu’il n’y avait pas que nous deux qui étions venu pour trouver du sexe, en effet la mère de mon pote avait sans doute la même ambition.
Désormais je me demandais qui allait être son nouveau partenaires, le vigile, le voisin ou encore le groupe de lascars qui lui faisait du rentre-dedans étaient autant de candidats crédibles au vu des antécédents de la maman.
Je le savais et mon ami le savait aussi ce qui conduisit à de nombreuses embrouilles.
Néanmoins alors que pour la deuxième semaine notre voisin balou avait quitté les lieux, je fut déçu de la suite des événements car il ne se passa rien de visible.
Sous la pression de monte on s’était quelque peu transformé en garde du corps pour sa mère, mais le départ de Balou l’avait bien sur énormément soulagé, et cela nous permis de relâcher notre garde enfin surtout la sienne. D’autant que sa mère ne restait finalement que très peu dans le camping, préférant les excursions pédestres.
Le jour du départ alors que notre maman préférée attendait la visite d’un membre du camping pour vérifier l’état du mobile-home, moi et mon ami étions sortis du camp.
Dans l’autre camping situé à quelques dizaines de mètres du notre c’était aussi la vague de départs.
Au loin un homme nous adressa un geste de salutation, c’était Balou..
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