Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 6 Commentaires

Miss Jeux Interdits

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
En attendant le retour de mon épouse, je retourne dans la salle. Au-delà du nom du club, Jeux Interdits, j’aurais dû comprendre plus rapidement qu’il s’agissait d’un club libertin : les hommes sont en tenue de ville tandis que les femmes sont, dans leur majorité, assez peu habillées. N’ayant pas été en boite de nuit depuis au moins quinze ans, j’avais mis cela sur le compte de la libération des mœurs, mais quand des femmes de trente, quarante ou même cinquante ans sont majoritairement habillés avec des robes ultra courtes ou ajourées dans lesquelles je ne laisserais pas sortir ma fille, il y un loup. Soudain, je reçois une grande frappe dans le dos.
— Mais qui voilà ? C’est notre Jean !
Je ne l’avais pas vu venir, celui-là ! Gérard, un connard patenté avec qui j’ai fait mes études. Beau mec, brillant, mais arrogant et méprisant. Je ne l’ai pas vu depuis vingt ans, et cela ne m’a absolument pas manqué. Evidemment, il fallait qu’il soit ici, aujourd’hui !
— Qu’est-ce que tu deviens ?— Pas grand-chose, et toi ?
Et voilà, c’est parti, pendant cinq minutes, je subis la chronologie de son évolution de carrière depuis la fac, dont je me fous totalement.
— Et sinon, Jean, c’est ta femme qui t’a sucé comme ça devant tout le monde ? — Euh, oui, c’est mon épouse... — Bravo !
Connard, va !
— Et toi, Gérard, marié ? — Euh oui...— Ton épouse n’est pas là ?— Euh, non, elle n’aime pas trop venir dans ce genre d’endroit.
Il doit la baratiner, prétendre qu’il dine avec des clients ou que sais-je encore. Etudiant, il avait toujours au moins deux copines en même temps, qu’il traitait comme de la merde.Evidemment, c’est le moment que choisi mon épouse pour réapparaitre, habillée cette fois.

— Tu ne me présentes pas, Jean ? — Si. Anna, je te présente Gérard, avec qui j’ai fait mes études. — Enchantée. — Enchanté, Anna !
J’essaye de mettre fin à la conversation.
— Bon, Gérard, on ne va pas te déranger plus longtemps, on va rentrer à Bruxelles. — Jean, on n’est pas pressé, on peut rester avec ton ami. — Oui, allons-nous asseoir, je vous offre un verre.
Un, ce n’est pas mon ami, deux, je n’ai guère envie qu’il fasse son numéro de charme avec mon épouse, comme il le faisait déjà avec mes copines lorsqu’on était étudiants. Mais je suis un peu contraint de temporiser : sa famille est l’actionnaire principal dans la boite qui m’emploie et il connait personnellement plusieurs cadres dirigeants. Je n’ai pas envie de me fâcher inutilement avec lui. Nous nous installons donc dans un canapé proche de la piste et Gérard commande une bouteille de champagne.
— Allez, fêtons dignement nos retrouvailles... et votre titre de Miss, Anna !
Ah, c’est tout son style, ça ! Il est évident qu’il va chercher à profiter de la situation...Alors que nous parlons depuis une dizaine de minutes ou, plus précisément, que nous l’écoutons depuis une dizaine de minutes, la sonnerie de son téléphone retentit. Il décroche, et dans le bruit ambiant je distingue juste ces quelques mots : “On est près de la piste, on vous attend”. A qui parle-t-il, bon sang ? Je ne vais pas tarder à le savoir. Quelques minutes plus tard, le DRH et le directeur commercial de ma boite apparaissent. Cet enfoiré a dû les appeler dès qu’il m’a reconnu sur le podium, ce qui explique qu’ils arrivent maintenant. Je fais les présentations puis Gérard intervient :
— Je vous propose que nous montions à l’étage, on y sera plus tranquille pour parler.
Nous montons au premier étage, aussi appelé, je l’apprendrai plus tard, le “coin câlins” et nous entrons dans un petit salon un peu particulier : il y a un grand divan, deux fauteuils, une table basse et, surtout, face au divan, un petit podium avec une barre de Pole Dance. Avec l’arrivée de mes deux collègues, Gérard a fait monter une seconde bouteille de champagne et les sert. Mon épouse, qui a presque fini sa deuxième coupe, est déjà guillerette, et Gérard l’invite à la finir pour lui en servir une troisième. Après une vingtaine de minutes de conversation convenue et factice, Daniel, le directeur financier, lance les hostilités :
— Anna, Gérard nous a dit que vous dansiez très bien. Vous ne voudriez pas nous montrer vos talents, si Jean est d’accord bien sûr ?
Sans vraiment attendre mon consentement, dont elle n’a pas besoin, mon épouse se lève, déjà bien chauffée par le Champagne, monte sur le petit podium et commence à danser. Presque aussitôt, Jacques, le DRH, intervient :
— Anna, dans la description que Gérard nous a faite, vous étiez moins habillée ! — Minute, papillon, vous être bien pressé ! On n’est pas au travail, ici !
Tout en continuant à danser, Anna déboutonne son chemisier, lentement, puis l’enlève. Puis elle dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses chevilles. Elle est maintenant en lingerie, un ensemble en tulle transparent, perchée sur des escarpins noirs vernis. D’un coup, elle se baisse pour se retrouver accroupie, jambes jointes, face aux trois compères. Elle pose alors les mains sur les genoux et les écarte jusqu’à ce que ses jambes, largement ouvertes, laissent voir, au travers du string, une partie de son intimité. Tout en se mordillant la lèvre inférieure, elle glisse trois doigts de sa main droite sous le string et commence à se caresser. Un à un, elle introduit le majeur, l’index, puis l’annulaire dans sa chatte puis d’un mouvement d’un poignet de plus en plus ample, elle se masturbe en gémissant avec une intensité croissante.
Les trois compères, qui n’en pouvaient plus de se retenir, ont ouvert leur braguette puis baissé leur pantalon. Affalés dans le canapé, jambes écartées, ils se branlent, les yeux braqués sur ma femme. Anna ressort les doigts trempés de cyprine et les porte à sa bouche, pour les lécher d’abord puis les introduire bien profondément dans sa bouche, avant de les glisser à nouveau dans sa chatte. Les trois enfoirés se paluchent avec frénésie quand Gérard lâche :
— Enlève ta culotte, cochonne !
Mon épouse ne se fait pas prier, elle retire son string, déjà bien humide, et le lance vers Gérard. Puis elle descend du podium pour venir s’installer sur la table basse, juste devant le divan. En appui sur la main gauche, cuisses largement ouvertes, elle replonge les trois doigts de sa main droite dans sa chatte.
Gérard n’en a plus pour longtemps avant de balancer la purée. Anna, qui l’a remarqué, se redresse, pose les pieds au sol et se jette sur sa bite et l’enfonce profondément dans sa bouche : il jouit presque aussitôt en poussant un râle presque inquiétant : j’ai un instant cru qu’il faisait un malaise, cet enfoiré !
Anna reste empalée sur sa bite une quinzaine de secondes, avant de se redresser et d’avaler tout le foutre. C’est le signal qu’attendaient mes deux collègues pour se lever et sauter sur elle : Jacques attrape sa tête pour l’attirer sans ménagement vers son sexe turgescent, tout en se coordonnant avec Daniel qui la pousse vers la table basse.
Ma femme est maintenant à quatre pattes sur la table basse, la bite de Jacques en bouche, tandis que Daniel s’affaire bruyamment dans sa chatte. Tout en la baisant, ils se parlent, comme si je n’étais pas là :
— Tu as vu comme elle suce ?— Oui, je vois, c’est une sacrée cochonne ! Et cette chatte, tu m’en diras des nouvelles ! — Des filles qui aiment la bite, j’en ai vu, mais des comme elle, rarement quand même !
Entretemps, Gérard repris ses esprits :
— Et messieurs, ne m’oubliez pas !
Il se lève et s’approche de la table, ou mes deux collègues ne semblent guère pressés de lui laisser une place. Il se penche sur Anna pour lui caresser les seins d’abord, puis pincer ses tétons, qu’il fait rouler entre ses pouces et indexes. Puis, tout en continuant de la pincer de la main gauche, il approche les doigts de son petit trou, sur lequel il appuie de plus en plus fort. Un doigt, puis deux finissent par rentrer et il commence à baiser le cul de ma femme avec ses doigts. Excité par cette vision, Daniel fini par éjaculer à son tour.
— Laisse-moi la place, Daniel, je vais lui défoncer le cul !— Et moi, Gérard, je vais passer en dessous, on va la prendre à deux !
Mon épouse est maintenant prise en double par mon DRH et cet enfoiré de Gérard, qui la sodomise sans ménagement. Elle gueule à gorge déployée ! Heureusement, on a fermé le verrou du salon...Ils la démontent pendant quelques minutes avant d’être rejoint par Daniel, le seul qui n’a pas encore profité de ses talents de suceuse. Il approche sa queue de la bouche d’Anna, qui l’attrape au passage. Ses cris sont maintenant étouffés, tandis que Gérard prend un malin plaisir à donner de grands coups de reins qui la pousse toujours plus loin sur la bite de Daniel, qui ne résiste pas trop longtemps à ce traitement : il éjacule dans la bouche de ma femme en poussant un long soupir ! Trop secouée, mon épouse ne parvient pas à retenir le sperme, qui dégouline de sa bouche pour atterrir sur Daniel, qui n’a su en éviter qu’une partie. Il semble bien refroidi et engueule copieusement Daniel. Très amusé par cette petite mésaventure, je peine à ne pas éclater de rire alors que Gérard fini par éjaculer lui aussi.
— Très sympathique, ton épouse, Jean !— Ah oui, très sympathique !
C’est ça, les mecs, foutez-vous de ma gueule ! Trop occupés à baisé ma femme, ils n’ont même pas remarqué que je les avais discrètement filmés avec mon téléphone. On ne sait jamais, cela peut servir...
Diffuse en direct !
Regarder son live