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Miss Jeux Interdits

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Lundi, seize heures trente. Alors que je me prépare à rentrer chez moi, je reçois un appel de la secrétaire de direction :
— Bonjour Jean, pourriez-vous passer par ici avant de partir ?— Oui, d’accord, je serai là dans quelques minutes.
Que me veut-on ? J’espère que ce n’est pas pour que, “exceptionnellement”, j’annule une fois encore mes congés !Alors que j’arrive à la porte de son secrétariat, le directeur m’attends déjà dans l’entrebâillement de la porte de son bureau.
— Bonjour Jean, je vous attendais. Entrez dans mon bureau.
Je m’exécute et ferme la porte derrière moi.
— Jean, comme vous le savez peut-être, mes adjoints et moi allons deux fois par an dans les Ardennes pour un weekend au vert et je souhaiterais que votre épouse et vous vous joigniez à nous lors de notre prochaine descente. — Je vous remercie, Monsieur le directeur, mais j’avoue que c’est inattendu. Il faut que j’en parle à mon épouse. — Je comprends tout à fait.
S’en suit un laïus de quelques minutes sur la croissance de l’entreprise, les nouveaux besoins des clients, la nécessité d’aller de l’avant.
— Bref, j’aimerais vous voir hors du cadre de l’entreprise, pour mieux vous connaitre. Vous l’avez compris, je veux renforcer l’équipe dirigeante, et l’on me rapporte que vous êtes un excellent élément, qui pourrait prendre ce nouveau poste de direction.— Je suis flatté, Monsieur le directeur. — Parlez-en avec votre épouse, expliquez bien de quoi il s’agit, mais pour que ce soit clair, je compte vivement sur votre présence.
Une fois rentré chez moi, j’explique donc la situation à Anna, mon épouse.
— Ah, c’est sympa, ça.
— Oui, mais ne t’emballe pas !— Pourquoi ?— Daniel et Jacques seront là, accompagnés de leurs épouses.— Ah ?! Bon, ils vont se tenir à carreau, c’est dans leur intérêt, non ? Mais pourquoi le boss t’invite t’il a un weekend avec ses directeurs adjoints ?— Il m’a dit qu’il pense à moi pour un troisième poste de direction.— Comme ça, soudainement ?— Oui, ça me surprend aussi.— Bon, de toute manière, tu n’as pas vraiment le choix, si j’ai bien compris ?— Non, pas vraiment.
Le lendemain, j’informe donc la secrétaire que mon épouse et moi serons bien présents et moins de trente minutes plus tard, je reçois un email avec tous les détails pour le weekend.Samedi, 17 heures. Après deux heures de route, nous arrivons enfin à l’hôtel, un joli manoir aux portes des Ardennes. Après un rapide passage à la réception, nous rejoignons notre chambre et à peine avons-nous eu le temps de nous installer que le téléphone sonne.
— Bonjour Jean, vous êtes bien arrivés ?— Oui, monsieur.— Pas de manière, Jean, appelez-moi Serge. Nous vous attendons à 18 heures au bar pour l’apéritif.
L’heure venue, nous descendons au bar. Jacques et Daniel sont déjà là, avec leurs épouses respectives, Christine et Élodie. Je fais les présentations. Mes collègues feraient de bons comédiens : impassibles devant leurs épouses, ils font mine de rencontrer Anna pour la première fois.
Christine doit avoir mon âge, peut-être un peu plus. Pour parler vulgairement, elle a quelques heures de vol, mais c’est manifestement une femme qui s’entretient. Avec son tailleur et ses hauts talons, elle fait très BCBG, si quelqu’un utilise encore cet acronyme.
Élodie est plus jeune, peut-être même plus jeune qu’Anna. Daniel s’est remarié il y a deux ans, après un divorce compliqué, à en croire les rumeurs qui circulaient à l’époque dans la boite. Je ne l’avais jamais vue, et avec ses talons de douze centimètres et sa jupe un peu trop courte, elle fait un peu poule de luxe, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Anna sympathise avec les deux épouses, mais alors qu’elles conversent, je me surprends à revoir mentalement mon épouse se faire démonter par mes deux collègues et cet enfoiré de Gérard lors de cette soirée au Jeux Interdits. Je ne peux m’empêcher d’être gêné par cette situation, qui apparemment ne dérange que moi.
L’apéritif est suivi d’un repas agréable dans le style “nouvelle cuisine” à la fin duquel Serge prend la parole.
— il n’est pas bien tard, je vous propose d’aller poursuivre la conversation dans un salon que j’ai réservé pour le weekend. Nous y serons plus tranquilles et nous pourrons faire monter des cafés et digestifs pour ceux qui le souhaitent.
Le salon, décoré dans le même style chic mais désuet que les chambres est très spacieux. Au centre, on trouve une table basse encadrée par deux petits canapés et deux fauteuils aux extrémités. Serge a pris place dans le fauteuil du fond, Daniel et Jacques dans le canapé de gauche, leurs épouses dans celui d’en face. Anna les y rejoint tandis que je m’assieds dans le second fauteuil en bout de table, en face à Serge. Sur la table, deux seaux à Champagne et des coupes nous attendaient : tant pis pour les cafés.
Les conversations reprennent où nous les avions laissées. Mais alors que le boss vient de resservir une seconde coupe de Champagne, un tube des années 90 retentit dans les hauts parleurs, qui jusque-là diffusaient une discrète musique d’ambiance. Aussitôt, Christine et Élodie se lèvent et commencent à danser comme des adolescentes. A l’autre bout de la table, Serge esquisse un petit sourire narquois.
Les morceaux s’enchaînent et les coupes sont à nouveau vides quand Christine s’écrie :
— il fait chaud ici, vous ne trouvez pas ?
Aussitôt, elle commence à ouvrir son chemisier, tout en continuant à danser. Elle est rapidement accompagnée par Élodie, qui ne s’arrête pas au chemisier : elle laisse tomber sa jupe trop courte sur ses chevilles, dévoilant un string suffisamment transparent pour laisser voir le début de sa vulve. Les deux femmes, maintenant tournées vers leurs conjoints, continuent à danser de plus en plus vivement et invitent Anna à les accompagner. Jacques s’approche de moi :
— Alors, Jean, tu croyais que nous n’avions pas vu que tu nous filmais au Jeux Interdits?
Me voilà pris à mon propre jeu : c’était bien, comme je le pressentais, un traquenard.Le spectacle des deux épouses qui dansent en lingerie fait monter la température et le boss et mes collègues ont dégagés leur sexe de leur pantalon et sont maintenant en train de s’astiquer en les regardant.
Anna est maintenant attirée par les deux épouses à s’agenouiller devant mon patron. Une fois installée, ce dernier lui montre du regard ce qu’il attend d’elle. Anne se penche vers lui et commence à appliquer des coups de langue sur son gland. Ce salaud à une bite énorme !
Accroupies aux côtés de mon épouse, les deux femmes écartent son string et commencent à fouiller son intimité avec leurs doigts puis, assez rapidement, lèchent à tour de rôle sa vulve et son anus. Je vois d’ici qu’elle mouille abondamment et l’ardeur qu’elle met à sucer la queue de Serge est révélatrice de son niveau d’excitation.
Après quelques minutes, Christine attrape une boite en bois posée à côté du fauteuil, que je n’avais pas remarqué jusque-là. Elle en sort deux godes de bonnes tailles, un noir et un rosé, qu’elle donne à Elodie. Sans ménagement, Christine enfonce le gode noir dans la chatte d’Anna, et applique des vas et vient de plus en plus amples. Pendant ce temps, Elodie a appliqué le bout du gode rose sur le petit trou de ma femme et appuie de plus en plus, si bien qu’il fini par entrer. Pendant ce temps les deux époux, qui se branlent avec frénésie, ne perdent rien du spectacle.
Soudain, le boss attrape mon épouse par les cheveux et imprime à sa tête un mouvement de va vient de plus en plus ample en direction de ses couilles. Les deux amies se relèvent, abandonnant les jouets toujours profondément enfoncés dans les orifices de mon épouse, et se dirigent vers les canapés sur lesquels les attendent leurs époux. Mais, oh surprise, elles rejoignent chacune le conjoint de l’autre, auxquels elles commencent à prodiguer de généreuses fellations.
Entretemps, les godes ont fini par tomber sur la moquette, me laissant voir d’ici les trous bien dilatés de ma femme. C’est alors que Serge l’invite à se relever et l’attrape pour qu’elle se tourne face vers moi. Il fait rapidement glisser son string vers le sol et, aussitôt qu’elle à lever les pieds pour s’en débarrasse, il l’attire vers lui pour l’empaler sur son sexe turgescent. Mon épouse, qui s’est pourtant déjà enfilée de sacrés calibres par le passé, fait la grimace.
Serge se laisse glisser sur l’avant du fauteuil, fait basculer Anna en arrière et dans le même mouvement, attrape ses jambes par-dessous les cuisses, puis par-dessous les genoux, pour les ramener vers ses épaules. Anna est face à moi, les jambes en l’air, toujours chaussée de ses sandales à haut-talons, la bite de Serge profondément enfoncée dans le cul ! Cet enfoiré la ramone comme jamais avant elle ne s’était faite ramonée !
— Tu aimes ça, hein, salope ?!
Anna, incapable de répondre, pousse des petits cris de souris au rythme des allers et venues du sexe de Serge dans son cul.Tandis que ma femme se fait défoncer, les deux épouses, assises dos au conjoint qui la prend, se font peloter les seins et démonter la chatte. Vu la disposition des fauteuils, chacun peut voir son conjoint baisser ou être baisé, tout en regardant Serge enculer Anna. D’abord surpris par la synchronicité de leurs actions, je ne tarde pas à comprendre qu’ils exécutent probablement un scénario convenu au préalable avec Serge, et même probablement imposé par lui.Mes collègues, ayant joui, rappellent leurs épouses à eux... pour qu’elles goutent au mélange de cyprine et de foutre qui enduit leur sexe. Puis vient le tour de Serge, qui jouit bruyamment !
— Allez, Anna, allez embrasser votre mari !
Alors qu’elle s’avance vers moi chancelante, Serge s’écrit, a l’intention de tous :
— Quelle belle cochonne vous avez la, mon cher Jean ! Je ne suis pas un ingrat, si ce week-end est satisfaisant, ce sera bon pour votre carrière.
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