J’étais tout excitée, les heures me semblaient une éternité à attendre notre départ pour chez Denis et Mizzo.Ces 2 futurs partenaires m’avaient alléchée par leur physique, bien que je n’aie encore fait connaissance qu’avec le proéminent jouet de Mizzo. En effet, celui-ci possédait le membre canin le plus énorme qu’il m’ait été donné de voir, en fait, son vrai nom aurait dû être "Rocco".10 minutes avant de partir, mon homme me servit un cognac. Le but n’était pas de m’enivrer, mais juste de me calmer, car il m’avait surpris la main dans la culotte. Déjà en m’habillant, j’avais été prise d’une frénésie vestimentaire qui s’était traduite par plusieurs essais qui ne m’avaient pas satisfaite.Mettre ma robe rouge, celle qui moule mes formes et s’arrête à quelques centimètres de mon minou ? Ou alors ma jupette en cuir noir assortie à son soutien-gorge pigeonnant ? Ou ma jupe écossaise, ou ma robe "filet", ou mon minishort en jeans que j’ai moi-même — arrangé. J’ai finalement opté pour la jupette en cuir et son soutien-gorge, une jarretière rouge et des stilettos rouges également. Hésitante sur le choix de mon string, j’ai fait appel à mon mari qui m’a conseillé un avec une légère dentelle (de couleur rouge aussi).L’heure H venue, j’ai enfilé un petit manteau 3/4 pour me rendre à la voiture, car ma tenue outrancière aurait fait jaser le voisinage.Il y avait une dizaine de kilomètres à parcourir, après seulement 2 minutes, j’ai demandé à mon homme de s’arrêter pour que je puisse retirer ce manteau qui me donnait beaucoup trop chaud. En vérité, même s’il est vrai que j’avais fort chaud, je savais que nous allions prendre l’autoroute et j’avais envie d’être remarquée par des routiers éventuels. Mon homme l’avait deviné, il me connaît, et à chaque dépassement de camion, il ralentissait à hauteur des cabines. Enfin, nous arrivâmes chez Denis. Ce n’était pas une simple maison, mais une demeure bourgeoise digne d’un roman érotique du 18ème siècle. La grille franchie, il restait près de 50 mètres d’allée nous menant à la porte d’entrée.Tout en les parcourant, je me faisais des films, m’imaginant un employé venant nous ouvrir la porte et nous disant qu’il allait — prévenir. Monsieur, qu’un groupe de vieux bourgeois bedonnants et fumant des cigares nous attendaient pour se livrer à une orgie sur mon corps.Mais rien de tout ça, c’est Denis qui vint lui-même nous ouvrir.
Il resta pantois à la découverte de ma tenue, se reculant quelque peu pour mieux la contempler.Il s’adressa à mon homme pour lui demander: "je peux ?" et n’attendit pas sa réponse pour m’enlacer et m’embrasser avec une ferveur torride. Sa langue tournait autour de la mienne pendant que ses mains s’étaient égarées sous ma jupe et me pétrissaient les fesses. Pour peu, il m’aurait baisée dans le hall !!Il finit par se calmer et nous fit entrer au salon, vaste pièce garnie de meubles anciens et contenant plusieurs canapés. Dans l’un d’eux se prélassait Mizzo qui, dès qu’il me vit, vint me renifler de partout. C’est à ce moment que je compris que Denis ne devait pas avoir une grande expérience des soirées zoophiles, car il s’exprima ainsi: "j’ai lavé le sexe de Mizzo avec du désinfectant avant de le savonner, voudrez-vous qu’il porte un préservatif lorsque vous le sucerez ?Peut-être suis-je ignorante, mais je crois qu’il est difficile de mettre un préservatif à un chien !Bref, en riant, je lui ai dit que non.Sur un guéridon, il y avait une bouteille de champagne qui baignait dans un seau à champagne rempli de glaçons, ainsi que 3 coupes. Il nous invita à nous asseoir, fit sauter le bouchon et nous servit. Je ne vais pas citer la marque, mais il n’avait pas lésiné sur la qualité, ce champagne était délicieux.Habitué aux soirées candaulistes, mon mari avait pris place sur un autre canapé que le mien, laissant ainsi tout loisir à notre hôte de venir se lover contre moi.Après une petite hésitation (timidité ?), Denis vint prendre place à mon côté et trinqua avec moi. Quelques banalités furent échangées, nous demandant si nous avions trouvé facilement, mais très vite, une des mains à Denis entra en contact avec ma cuisse. J’eus un léger frisson, non pas qu’il fasse froid, mais d’excitation. Cette excitation qui avait commencé chez moi et qui augmentait au contact de Denis et à la vue de Mizzo.Dans ma tête se mêlaient plein d’interrogations, surtout de savoir si Mizzo me donnerait du plaisir (tous les chiens ne savent pas, certains sont trop nerveux et d’autres trop amorphes). Si Denis correspondait exactement au type d’amants que j’apprécie (âgé, pas trop grand, enrobé), je reconnais que ce jour-là, c’était essentiellement Mizzo qui m’intéressait.Ayant terminé nos coupes, Denis s’empara de la mienne qu’il déposa en compagnie de la sienne sur le guéridon. Se collant contre moi, il m’embrassa furieusement et une main écarta le petit tissu de mon string afin d’avoir accès à mon minou qui était déjà dégoulinant.Avec délicatesse, il me masturbait et un clapotis se faisait entendre. Encore une fois, l’expérience d’un vieux me donnait raison de les apprécier, ils ont généralement ce que j’appelle des "doigts d’or". J’ai eu, sur ce canapé, mon premier orgasme de la soirée. Le premier, mais loin d’être le dernier !Après dix bonnes minutes de baisers et de doigtés, il se leva et me demanda de le rejoindre près d’une grande table au fond de la pièce. J’ai vite compris, il n’était pas le premier à avoir ce désir. Je me suis allongée dessus et l’ai laissé s’amuser avec mon corps dont ses lèvres et ses mains en ont découvert presque l’entièreté verso. Il m’a retiré mon string et écarté les fesses afin de glisser entre elles une langue bien baveuse. — Va-t-il me pénétrer ? me suis demandée, mais je n’avais pas terminé ma pensée que j’ai senti un doigt visiteur s’enfoncer petit à petit. Ma position ne permettait pas une grande facilité pour ça, délicatement, j’ai replié mes jambes sous mon ventre afin qu’il puisse mieux me satisfaire. Qu’il s’agisse d’un plug, d’un doigt ou deux, d’un membre viril, j’aime être sodomisée. Et tout en me doigtant vigoureusement, notre ami Denis crachait sur mon dos et m’injuriait avec des adjectifs de circonstance. — Salope, petite chienne...— Mizzo et moi allons te défoncer le cul et te faire hurler devant ton mari.
Dans ma petite tête de rubrique, j’ai prié pour que cela soit vrai, surtout avec Mizzo.Denis a fini par ôter son doigt ( à regret pour moi) et m’a retournée avant de me tirer par les jambes afin que ma chatte soit au bord de la table. — Ecarte bien tes jambes ma pute, mon copain va venir. Il a appelé Mizzo et lui a mis la truffe entre mes cuisses. Directement, de sa grande langue, il m’a léché le minou dont Denis écartait bien les lèvres. Régulièrement, il me râpait le clitoris, provoquant quelques soubresauts de ma part.Denis s’en inquiéta, croyant probablement à des douleurs, et me demanda si je voulais qu’il cesse. Je lui ai répondu qu’au contraire, je désirais qu’il continue, que j’avais vraiment bon.Et comme par enchantement, je ne sais d’ailleurs d’où il la sortit, une bombe de crème chantilly qu’il tenait dans la main pénétra ma chatte et l’emplit jusqu’à déborder. Mizzo se déchaîna, sa langue s’enfouit profondément en moi pour aller y chercher tout ce qui y était. C’est là que j’eus mon second orgasme et me suis mise à gémir sans retenue.J’ai aperçu Denis penché vers mon homme et qui lui parlait. Mon homme opinait "oui" de la tête, mais tout en faisant un signe de la main que je compris presque aussitôt.Denis me déposa un tissu sur les yeux puis me donna des petites gifles. Et pendant que d’une main, il me giflait (raisonnablement), l’autre me pinçait les tétons et m’étirait les seins l’un après l’autre. J’adoreeeeeeeeeeeee, mais pourquoi m’avoir caché les yeux ?Et la soirée ne faisait que commencer, Denis et surtout Mizzo allaient me faire jouir de nombreuses fois. Tout ça sous le regard et, parfois, la participation de l’amour de ma vie.A suivre
