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Mlle Dickin

Chapitre 1

Divers
— DICK, et plus loin "IN".

Le professeur Choron s’efforce de ne pas écorcher le nom de sa nouvelle recrue, venue tout droit d’Angleterre.
— DICKIN.
Samantha sourit malicieusement en donnant une leçon de prononciation au directeur de l’hôpital comme s’il s’agissait d’un collégien, alors qu’il pourrait largement être son père. Son nouvel employeur n’est manifestement pas insensible à ses charmes, et même si elle n’a nullement l’intention de céder à ses avances, il est toujours préférable d’entrer dans ses bonnes grâces.
— Non cela ne va pas professeur, il faut davantage détacher les syllabes. Regardez-moi bien, je vais vous montrer. Coller la langue sur votre palais comme je le fais, et prononcer "DICK".
Voir la bouche d’une aussi jolie jeune femme s’ouvrir avec autant de sensualité, décuple le désir de bien faire du sexagénaire.
— DICK.— C’est bien, le félicite la jeune femme. Maintenant, sortez le bout de la langue entre vos lèvres serrées et prononcez "Innnnn" en expirant lentement.— Innnn.— Bravo ! Maintenant en entier : DICK... Innnnn.— DICKIN.
A la moue de sa recrue, le professeur comprend que c’est un nouvel échec.
— Désolé mademoiselle, je crois que je n’y arriverais jamais.— Ce n’est pas grave monsieur, très peu de Français arrivent à prononcer mon nom correctement. Vous n’avez qu’à m’appeler "Samantha".— Cela ne vous dérange pas.
— Non pas du tout, au contraire.— Et bien dans ce cas, bienvenue dans cet hôpital "Samantha". Venez avec moi, je vais vous présenter l’équipe pédiatrique avec laquelle vous allez travailler.

Une heure plus tard, dans la salle de pause du personnel soignant.
"..... bienvenue dans cet hôpital "Samantha", prononce une infirmière d’une voix exagérément suave.
— Alors c’est vrai, tu as tout entendu Virginie ?— Bien sûr, j’étais en train de consulter un dossier à quelques mètres du professeur Choron quand il a reçu la nouvelle pédiatre, mais il était tellement subjugué par elle qu’il n’a même pas remarqué ma présence.— Elle est si belle que ça, demande une de ses collègues.— Ouais, elle est pas mal. Mais ce n’est pas sa beauté en elle-même qui a fait craquer le directeur, mais plutôt sa façon de parler, de bouger, de minauder...— En somme, elle m’a l’air d’être une petite salope ! — Tu résumes de façon un peu abrupte Etienne, mais c’est effectivement l’impression qu’elle m’a donnée.— Pourquoi tu dis ça Virginie, à cause de sa voix suave, de ses manières ? demande Maeva, une autre infirmière.— Oui, et en particulier à la façon dont elle jouait avec sa langue quand elle essayait de lui apprendre à prononcer son nom.
Virginie recommence à imiter Samantha d’une voix caricaturale.
"Non, pas DICKIN, mais DICK Innnn. Il faut pointer le bout de la langue entre vos lèvres et prononcer doucement Innn en expirant lentement".
Joignant le geste à la parole, elle sort la langue et prononce "Innnn" d’une façon obscène.
— DICK IN!
J’y crois pas, personne n’a fait le lien, la coupe brutalement Maeva.
— Quel lien ?— Mais enfin voyons, tu as fait de l’Anglais. DICK en argot cela veut dire "bite", quant à In, cela signifie "dans".— Ah ah ha.— Mademoiselle "BITE dedans", c’est trop drôle. Bite dans quoi à votre avis ?— Oh et bien, sûrement dans la chatte ! Comment on dit "chatte" en Anglais ?— Pussy!— Dick in the Pussy, ça sonne bien non ?

"Certes, mais en ce qui me concerne, ce serait plutôt "Dick in the ASS", car j’adore me faire sodomiser. Ou éventuellement " Dick in the MOUTH", car je suis également une excellente fellatrice."
Samantha DICKIN se tient à l’entrée de la salle de pause. Elle a surpris la conversation alors qu’elle se trouvait dans le couloir, et personne ne l’a vue entrer. Un silence glacial envahit brusquement la pièce.
— Bien, reprend calmement la nouvelle pédiatre. Je pense que vous avez assez révisé votre Anglais pour aujourd’hui et je vous invite donc à reprendre le travail.
Chacun retourne à ses occupations, mais une fois parvenu dans le couloir, un brancardier donne un coup de coude à son collègue.
— Tu sais quoi Oscar, que ce soit dans la chatte, le cul ou la bouche, je la lui fourre quand elle veut ma queue !— T’as raison Etienne, à mon avis, elle ne demande que ça.— Tu crois vraiment ?— Non, mais t’as pas vu sa façon de parler ? Elle sent le cul à plein nez, tu devrais tenter ta chance.

Samantha DICKIN se révèle très vite une excellente pédiatre, à la fois compétente et humaine, que ce soit avec ses patients ou ses collaborateurs. Le petit dérapage initial est donc très vite oublié, et elle est rapidement adoptée par toute son équipe. Par tout ? Pas tout à fait. Etienne Malerba, un des brancardiers de son service, la regarde toujours bizarrement. Et quelques semaines plus tard, alors qu’elle termine son service :
— Bonsoir Mlle DICK Innn.
Etienne a prononcé ce nom avec une telle lueur de perversité dans le regard que Samantha est aussitôt mal à l’aise. Cependant, elle s’efforce de ne pas le montrer et répond calmement :
— Bonsoir Etienne, je m’apprêtais à rentrer chez moi.
Le brancardier pose son bras contre le mur du couloir pour lui barrer le passage.
— Allons madame, ne soyez pas si pressée. Vous ne m’avez même pas dit si je prononçais votre nom correctement. "Dick innnn", répète-il une nouvelle fois en sifflant la deuxième syllabe tel un serpent.
Samantha essaie de ne pas laisser transparaître son malaise grandissant.
— C’est absolument parfait M. MALERBA.
Etienne continue d’agiter sa langue de façon obscène.
— Merci, mais il faut dire que j’ai toujours été très doué pour les langues.— Je suis ravie de l’apprendre, mais il faut vraiment que je rentre.— Voyons mademoiselle vous avez bien quelques minutes, je veux simplement discuter. Comme je vous l’ai dit, je m’intéresse beaucoup aux langues.
Mlle "Bite dedans", cela ne vous gêne pas d’avoir un nom qui a une telle signification en Français ?
— Je trouve cette conversation très déplacée M. MALERBA !— Allons mademoiselle, répondez à ma question. Cela ne vous dérange pas de vous appeler ainsi ?— DICKIN est le nom que mes parents m’ont donné et j’en suis fière. En tout cas, ce n’est pas parce ce qu’il excite des pervers dans votre genre que je vais en changer !— Non c’est sûr, mais moi voyez-vous, je crois que non seulement vous en êtes fière, mais qu’en plus il vous plaît.— Ca suffit maintenant, allez-vous-en !— Pas tout de suite, répond Etienne en se serrant contre elle.
Samantha est coincée. A cette heure tardive, il n’y a plus personne dans le service, et à force de trimballer des brancards à longueur de journée Malerba a acquis une sacrée poigne.
— Laissez-moi !— Allez ma jolie, ne joue pas à la vierge effarouchée, je sais que tu n’attends que ça.— Non, lâchez-moi !
Mais l’homme fou d’excitation ne l’écoute plus.
— Tu disais quoi déjà? Que tu aimais te faire enculer et tailler des pipes ? On verra ça une autre fois. Moi j’ai des goûts plus traditionnels, ce que je préfère s’est fourrer une bonne chatte.
Samantha essaie de se dégager, mais c’est peine perdue. Etienne la plaque contre un angle et lui met les deux bras dans le dos. Puis il réunit les deux poignets et les enserre avec une de ses mains larges comme celle d’un ours. La deuxième est maintenant entièrement libre d’aller où il veut. Il la glisse entre les jambes de sa victime et la remonte lentement.
— Non arrêtez, je vous en supplie !— Calme-toi ma jolie. Tu vas adorer tu verras.
Insensible aux suppliques, Etienne continue de remonter sa main en forçant les cuisses serrées. Encore quelques centimètres et il aura atteint son but.
Mais.....
Son visage change soudainement d’expression et sous l’effet de la surprise, il desserre légèrement son emprise. Samantha profite de cette occasion inespérée pour remonter brutalement son genou entre les jambes de son agresseur. Le souffle coupé, le brancardier se plie en deux et la jeune femme en profite pour prendre la fuite.
Arrivée dans son appartement, elle se met à réfléchir à ce qu’elle peut faire. Le mieux serait de porter plainte contre ce salaud pour agression sexuelle, mais va-t-on la croire ? Il n’y avait aucun témoin, pas de caméra, et ce sera donc la parole d’une femme à peine arrivée, mais à la réputation déjà sulfureuse, contre celle d’un homme employé de longue date, marié et père de famille de surcroît ! Il niera ou dira qu’elle l’a provoqué et s’en tirera à bon compte.Mais ce qui inquiète surtout Samantha, c’est que si elle va voir la police, tout le monde découvrira la vérité. Or elle n’a pas traversé la Manche pour repartir si vite.Tant pis pour ce porc, se dit-elle, le mieux est de faire comme si rien ne s’était jamais passé.
Le lendemain, ainsi que les jours suivants, Samantha et Etienne n’échangent pas un seul regard et les seules paroles qu’elle lui adresse sont des directives de nature strictement professionnelle. Elle ne fait pas la moindre allusion à ce qui s’est passé, et l’œil le plus averti ne pourrait déceler l’existence du moindre problème entre eux.A début, Etienne MALERBA fait également profil bas. Il est parvenu aux mêmes conclusions que Samantha quant aux résultats d’un éventuel dépôt de plainte, mais sait-on jamais. Cependant, le temps passant, il comprend que la jeune femme n’a pas envie que son petit secret soit étalé au grand jour, et décide d’en profiter.Et donc, quelques jours après, il repasse à l’offensive pendant que ses collègues sont en pause.
— Mme DICKIN, il y a longtemps que nous n’avons pas discuté.— Je n’ai rien à vous dire.— Allons allons, ne soyez pas si catégorique. Vous savez, les rumeurs peuvent se répandre très vite dans cet hôpital.— Vous voulez me faire chanter ?— Mais non, absolument pas. Je souhaite juste passer du bon temps avec vous, madame DICK Innnn...— Vous oubliez que je pourrais raconter ce qui s’est passé à la police.— Non je ne l’ai pas oublié, j’ai même bien réfléchi à la question. Mais si vous ne l’avez pas encore fait, c’est que vous tenez vraiment beaucoup à votre secret. Et puis de toute façon, ce serait votre parole contre la mienne.
Samantha sait que cette ordure a raison, porter plainte ne servirait à rien. Alors que faire à part céder à ce chantage ignoble, même si elle vivra alors constamment dans la crainte et la honte ? Elle affiche une mine dépitée avant de répondre :
— Vous avez gagné, venez avec moi.
Etienne la suit en se frottant les mains, il ne pensait pas que ce serait si facile. Il va enfin baiser cette salope !Sa joie est cependant de courte durée, car Samantha ouvre subitement la porte de la salle de pause au lieu de celle d’une chambre vide.Surpris par cette intrusion soudaine, l’ensemble du personnel présent se tourne vers elle.
— Mesdames messieurs, je souhaite retenir votre attention quelques minutes. M. Malerba ici présent a découvert quelque chose concernant ma vie privée et il espère obtenir des faveurs sexuelles de ma part en échange de son silence. Mais comme il est hors de question que je suce ce porc, et encore moins que me fasse baiser par lui, j’ai décidé de vous révéler mon secret : je suis une femme... transsexuelle !
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