Trois semaines se sont écoulées depuis la sortie à la colline aux oiseaux, et notre héroïne vit maintenant dans la maison de Stéphane. Et en ce samedi matin, les parents de ce dernier viennent prendre les enfants pour le week-end.
— Samantha, je te présente mon père et ma mère. Le couple de quinquagénaires s’approche et embrasse la jeune femme. — Voici donc la fameuse Samantha dont mon fils n’arrête pas de me parler. J’avais hâte de faire ta connaissance.— Merci madame.— Madame, et pourquoi pas mamie pendant que tu y es! Appelle-moi Evelyne ou belle-maman, et tutoie- moi.— Comme vous voulez, pardon comme tu veux, Evelyne.— Tu sais, mon fils a retrouvé le sourire depuis qu’il a fait ta connaissance. Tu as intérêt à le rendre heureux, il le mérite.— Je sais belle-maman, je ferais tout pour son bonheur et celui de notre famille. Pressé de se retrouver seul avec son amour, Stéphane interrompt la conversation. — Vous serez bien sages avec papy et mamie les enfants.— Oui papa, aussi sages que lorsqu’on est avec maman répondent les trois bambins avec une pointe de malice. Leur père ne relève pas cette réponse à la limite de l’insolence, mais il n’est pas dupe. Il sait très bien que ses marmots vont mettre la maison de leur grand-parents sens dessus dessous dés qu’il aura le dos tourné, mais ne sont-ils pas un peu là pour ça?Quoi qu’il en soit, il est content de se "débarrasser" d’eux le temps d’un week-end. Parce que cela va lui permettre de souffler un peu bien sur, mais aussi parce qu’il va pouvoir s’occuper sérieusement de Samantha, et ce sans aucune retenue si vous voyez ce que je veux dire. Et ainsi, les enfants à peine partis avec ses parents, il place une main dans le dos de son amante, l’autre sous ses fesses puis la soulève comme une fleur. — Oh mais chéri, qu’est ce que tu fais?— Je vais faire découvrir la chambre nuptiale à ma femme. C’est bien la tradition de faire franchir le seuil de la porte à son épouse en la portant dans ses bras, n’est ce pas?— Mais enfin, nous ne sommes pas mariés.
— Pas encore. Samantha enserre le cou de son homme et l’embrasse tendrement. — Chéri, tu es fou.— Oui, fou de toi. Tout en l’embrassant, Stéphane pose délicatement son aimée sur le lit et s’allonge sur elle. — Fais-moi l’amour tout de suite! Lui crie t’elle. D’un coup de rein, elle se retourne et se retrouve maintenant sur lui. Ses mains fines s’acharnent sur le pantalon et libère la grosse queue déjà raide de Stéphane, qu’elle humidifie à coups de langue. Elle relève ensuite sa robe et s’empale aussitôt sur le sexe dressé. La coquine, elle n’avait pas mis de petite culotte! — Oh ouiiiii. Samantha pousse un petit gémissement quand le gros gland pénètre son anus. Elle attend quelques secondes que la douleur s’atténue, puis entame un mouvement de va et vient en haussant et baissant les fesses. — Tu aimes?— Oh oui ma chérie, continue comme ça, c’est bon.— Cette fois, c’est moi qui te baise!— Oh oui, continue à me baiser comme ça, j’adore. Stéphane ne comprends pas la signification du sourire énigmatique que Samantha lui donne en réponse. Comme elle aimerait le baiser en effet, mais d’une autre façon. Elle voudrait tout lui avouer, lui dire de se mettre à quatre patte l’anus bien offert et lui faire découvrir les plaisirs de la sodomie. La jeune femme se mets à rêver. Elle s’imagine demander à son chéri de fermer les yeux, puis enlever l’horrible pansement sensé protéger sa maladie vaginale, qu’elle a confectionné pour cacher son sexe. Cette pensée le fait d’ailleurs se tendre désespérément sous cette protection, augmentant encore son désir.Oh comme elle aimerait chevaucher Stéphane telle une hussarde, enfoncer sa queue bien raide au fond de son anus et le faire hurler de plaisir! Mais elle n’ose pas. Stéphane vient tout juste de la demander en mariage, comment réagirait-il? Son bonheur soudain est si grand qu’elle ne veut pas prendre le risque de tout gâcher. Alors tant-pis, elle se tait et augmente la cadence de ses va et vient. Un jour peut-être...?Et ainsi, a défaut de l’enculer pour de vrai, elle s’acharne de plus en plus fort sur la queue de son amant.Tandis que perdue dans ses pensées Samantha lève les yeux vers le ciel, Stéphane contemple les petits seins qui sautent en cadence sous ses yeux émerveillés. Bon sang qu’elle est belle se dit-il. Il voudrait que cet instant dure éternellement. En éclatant tel un feu d’artifice, un jet tiède ramène les deux amants à la réalité. Samantha couvre alors Stéphane de baisers pour le remercier. — C’était merveilleux mon amour, j’ai hâte de recommencer.— Doucement, laisse moi un peu souffler.— D’accord. Et si on faisait un peu de shopping pendant que les enfant ne sont pas là, ça te laisserait le temps de reprendre des forces. Comme à son habitude, la jeune femme se douche à l’abri de tout regard. Stéphane attends patiemment que la salle de bain se libère avant d’y pénétrer à son tour. Il connait les réticences de sa bien aimée à ce sujet et a appris à les respecter. — Voilà, tu peux y aller. Prends ton temps, pendant ce temps je vais me faire belle pour toi. Samantha n’a pas menti en disant qu’elle allait se faire belle. En fait, elle est éblouissante de beauté quand son homme la rejoint. — Alors, je te plais? Elle lève un de ses pieds chaussés de talons aiguilles, et s’en sert de pivot pour effectuer un tour complet en faisant virevolter sa nouvelle robe. Rouge à poids noirs, celle-ci lui donne l’allure d’une danseuse de flamenco. — Tu es absolument sublime.— Et mes chaussures? La coquine remut la pointe d’un de ses magnifiques escarpins rouges vifs. Le sexe de Stéphane se redresse instantanément — Magnifique! Mais n’est-ce pas un peu "too much" pour faire du shopping?— Pour un shopping traditionnel si. Mais pour ce que j’ai l’intention de faire c’est la tenue idéale. La preuve tu rebandes déjà. Samantha pose la main sur le sexe palpitant à travers le pantalon, déclenchant une nouvelle envie de son homme de la rebaiser sur le champ. — Refaisons l’amour là tout de suite. Mais la jeune femme ne l’entend pas de cette oreille. — Non, pas tout de suite. J’ai d’autres projets pour toi...., et ta queue. Ne laissant pas le temps à son amant de répondre, elle le tire par la main jusqu’à la voiture. — Mais enfin, vas-tu me dire ce que tu comptes faire?— Non, sinon ce ne serait pas une surprise. Tout ce que je peux te dire c’est que je vais te donner du plaisirs comme tu n’en as encore jamais eu, se contente-elle de répondre d’une voie aguicheuse. Stéphane bande comme un fou en essayant de deviner ce qu’elle lui réserve. Sa queue lui fait mal à force d’être empêchée de se déployer par la double couche de tissu. La jolie petite garce en est parfaitement consciente et s’amuse à accentuer son désir en passant le bout de sa langue sur ses lèvres vermillons. — Samantha, tu es ignoble. Tu pourrais au moins me tailler une petite pipe pour me soulager. Elle le regarde avec un sourire moqueur. — Tu aimes que je te suce quand tu conduis, n’est-ce pas?— Oh oui, tu sais bien que j’adore ça.— Je pourrais le faire en effet. Surtout que les enfants ne sont pas là et que je pourrais te pomper à fond sans craindre de les réveiller.— Alors, tu veux bien? Demande t’il d’une voix implorante. Mais la belle ne se laisse pas attendrir si facilement. Si elle pose ses doigts délicats sur la bosse qui déforme le pantalon, ce n’est pas pour en défaire la braguette! Stéphane se crispe sur le volant tandis que les ongles effilés s’enfoncent dans son gland. Malgré l’épaisseur du tissu, la douleur est intense et il débande aussitôt. — Mais enfin chérie, pourquoi m’as tu fait ça?— Si je ne veux pas te faire jouir au fond de ma gorge tout de suite, ce n’est pas pour que tu jutes bêtement comme un puceau! Comme je te l’ai déjà dit j’ai d’autres projets mais ne t’inquiète pas, tu ne seras pas déçu. Et puis tu ne vas plus souffrir très longtemps, nous sommes presque arrivés. Stéphane éprouve un véritable sentiment de délivrance quand il stationne enfin la voiture sur le parking d’un gigantesque centre commercial. — Bon et maintenant, qu’est-ce qu’on fait?— Tu t’es déjà fait sucer dans un magasin? Stéphane avale sa salive de travers. — Quoi?— T’es tu déjà fait pomper le nœud à quelques mètres d’une foule d’inconnus?— Non jamais, c’est beaucoup trop risqué. Mais toi, ne me dis pas que tu... Samantha lui répond par le petit sourire moqueur qui lui va si bien, et le prends par la main. — Allez-viens n’ai pas peur, je vais m’occuper de tout. Tu n’auras qu’à te laisser faire. Sans lui laisser le temps de réfléchir, elle l’entraine dans la galerie marchande. Elle n’est pas peu fière de déambuler ainsi au bras d’un si bel homme, et observe avec plaisir les regards qui se portent sur eux. — C’est moi qui rêve ou tout le monde nous regarde?— Tu ne rêves pas, on attire les regards en effet.— Mais pourquoi?— Peut-être à cause des talons aiguilles que je porte ou alors de la bouche à pipe que je me suis faite. Les gens voient bien que je suis une salope et certains devinent même peut-être ce que j’ai l’intention de faire.— Et qu’à tu l’intention de faire?— Ne fais pas l’innocent, tu le sais très bien : te faire juter au fond de ma gorge à l’intérieur de ce centre commercial. Stéphane, très mal à l’aise, ressent un léger soulagement en voyant un panneau WC à l’écart tout au fond d’une impasse. Là au moins il y aurait peu de risque d’être surpris. — La, c’est pas mal, qu’en pense tu?— Tu veux que je te suce dans les chiottes! Tu me prends pour une vulgaire salope! — Mais non heu...enfin pas du tout. Heu,...ce n’est pas ça... Samantha éclate de rire en voyant son homme essayer de se justifier. — Ha ha ha, si tu te voyais. On dirais un enfant pris la main dans le sac. Tu est vraiment trop chou. Rassure toi, tailler une pipe dans les toilettes ne me pose aucun problème ; je l’ai fait très souvent et j’adore ça. Mais aujourd’hui j’ai envie d’offrir mieux à l’homme que j’aime, je veux l’emmener au sommet de l’excitation et pas simplement le faire jouir comme un simple puceau. La jeune femme ponctue sa phrase par un baiser. — Là regarde, ce sera beaucoup mieux. Elle désigne un grand magasin d’ameublement et de décoration. — Je vais entrer seule afin de ne pas éveiller les soupçons et tu me suivras à une dizaine de mètres comme si de rien n’était. Dés que j’aurais trouvé l’endroit idéal, je te ferai un petit signe et tu me rejoindras. Ok?— Ok. Cela fait maintenant dix bonnes minutes que Samantha arpente les rayons en examinant tel ou tel objet comme une cliente lambda, entrant puis ressortant de zones témoins où sont exposés chambres, cuisines ou salles de bain. Pendant ce temps, son homme la suit à distance en faisant semblant de s’intéresser aux articles en vente. Mais en fait, la seule chose qu’il regarde vraiment, c’est son amante qui s’amuse à passer délicatement ses longs ongles vernis sur les meubles, tout en jouant avec ses talons aiguilles. La voir ainsi décuple son excitation et il a bien du mal à masquer la bosse qui déforme l’avant de son pantalon. La belle en est parfaitement consciente et Stéphane pense qu’elle fait durer la recherche exprès pour le faire languir le plus possible. Enfin pourtant, la jeune femme finit par se poster devant l’entrée d’une salle de bain d’exposition, et remue discrètement son index pour lui dire de la rejoindre.Stéphane se raidit en voyant le doigt s’agiter, et après avoir pris une bonne inspiration il se dirige calmement vers elle. A peine est-il arrivé à sa hauteur qu’elle l’empoigne et le fait pénétrer d’un coup dans la cabine de douche. Aussitôt sa langue se mets à fouiller la bouche de son homme tandis que ses doigts agiles s’occupent de libérer son sexe.En transe, Samantha empoigne le membre et commence à l’astiquer — Je n’en peux plus d’attendre, j’ai tellement envie de sentir ta grosse queue dans ma bouche! Et la belle s’agenouille avant de gober le gland palpitant. Aussitôt ses doigts experts caressent la verge du sommet à la base, tandis que sa langue s’amuse à titiller le bout du gland. Puis ses lèvres charnues entament un mouvement de va et vient sur toute la longueur de la tige pendant qu’elle masse les couilles gonflées avec la paume de ses mains. Stéphane savait déjà que Samantha était une suceuse experte, mais cette fois-ci elle est complétement déchainée. Est-ce l’adrénaline due à la présence d’autres clients à quelques mètres, ou la joie d’avoir été demandée en mariage? Toujours est-il qu’elle se donne à fond. Rien n’est trop beau pour donner du plaisir à son amoureux, et elle caresse, suce, lèche, gobe dans un tourbillon de sensualité. " Elle est pas mal celle-là quand pense-tu?" Une voix masculine vient de retentir à quelques mètres. Stéphane retient son souffle, quand à Samantha elle reste figée les doigts enroulés autour des couilles, et la bite de son homme toujours en bouche. "Non, je n’aime pas la couleur. Allons voir ailleurs." répond une voix féminine. Le danger s’éloigne mais il pourrait revenir à tout instant. Loin de la refroidir, ce coup de semonce décuple l’ardeur de Samantha qui se remet à pomper de plus bel.Stéphane ferme les yeux, il sent que la délivrance ne va plus tarder. Ses doigts serrent le montant de la porte tellement fort qu’ils en deviennent blancs."Humpffffff".Seul un gémissement étouffé s’échappe lorsque son foutre rempli la bouche de sa suceuse. Il s’est mordu les lèvres pour ne pas crier. En bonne fellatrice consciencieuse, Samantha remet en ordres les "affaires" de son homme pendant qu’il reprend ses esprits. — Attends un peu avant de me rejoindre. Elle sort discrètement et Stéphane la retrouve quelques dizaines de mètres plus loin alors qu’elle observe nonchalamment un grand miroir. Samantha se comporte comme si de rien n’était, comme une cliente ordinaire. Pas un indice, pas un seul geste ne pourrait laisser penser qu’elle vient de faire cracher une queue au fond de sa gorge. Bon sang se dit Stéphane, combien de fois a t’elle déjà fait cela?Il l’a rejoint et elle l’accueille par un grand sourire. — Alors, tu as aimé?— Samantha, tu me rends fou. Je ne sais pas quoi dire.— Alors ne dis rien, embrasse moi. Après un baiser passionné, les deux tourtereaux se remettent à arpenter la galerie marchande la main dans la main, la tête pleine de rêves. Leur bonheur est total, parfait. Trop parfait même, chacun sait qu’un tel bonheur ne peut pas durer.D’ailleurs, comme pour confirmer cet adage, une voix retentit. — Hé, mais c’est mademoiselle DICK-INNNNN! Stéphane observe l’individu qui a interpellé sa future femme avec stupéfaction. — C’est qui cet ahuri?— Etienne MALERBA, un abruti qui travaille dans mon service.— Ah d’accord.— Vous ne me présentez pas votre copine, demande le type une fois arrivé devant eux. Stéphane regarde sa compagne en fronçant les sourcils — Votre "Copine". Pourquoi ce type m’appelle ta "copine"? Etienne met sa main devant la bouche. — Oups, je crois que j’ai fait une bourde!— Quelle bourde demande Stéphane inquiet.— Mlle DICKINNNNN! C’est pas vrai, ne me dites pas qu’il ne sait pas? Devant l’absence de réponse de cette dernière, le brancardier s’adresse directement à Stéphane. — Mademoiselle DICK-INNNNN a une queue entre les jambes, c’est un mec. Alors j’ai cru que tu étais PD toi aussi! Désolé pour cette erreur mon vieux. Stéphane a un petit mouvement de recul et lâche subitement la main de Samantha. Ce geste fait plus de mal à la jeune trans que toutes les insultes qu’elle a reçues depuis qu’elle a changé de sexe. — Espèce d’ordure! Malerba bloque la main qui s’apprêtait à le gifler et crache méchamment. — Tu m’a eu une fois mais pas deux salope! Stéphane s’interpose et Etienne lui dit: — Toi le PD, ne te mêle pas de ça. Un premier coup part, puis un autre et encore un autre. Stéphane a rapidement le dessus, et son adversaire quitte les lieux en lançant une bordée d’injures. — Samantha, t’es ou? La jeune femme n’est plus là. Elle s’est enfuie durant la bagarre et Stéphane a juste le temps de la voir monter dans un taxi.
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