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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mlle Nelly

Chapitre 1

Hétéro
J’ai 24 ans, je suis professeur des écoles à Noeux les mines, professeur est un bien grand mot, j’essaie d’apprendre à une trentaine de garnements déchaînés à ne pas sortir de ma classe totalement incultes ! Tout ça pour dire que le soir venu, je n’aspire qu’au calme et la tranquillité. J’ai trouvé un logement dans ce qu’on appelle ou appelait un coron, mais c’est bien rénové et c’est calme, je suis entouré de gentils retraités ! Même les enfants de ces gens quand ils leurs rendent visite, me font plus penser à mes parents qu’à autre chose !
Une de mes voisine, c’est, vous vous en doutez, puisque c’est le titre, Mademoiselle Nelly, la soixante dizaine bien tassée qui vit avec sa demi douzaine de chats et son gros chien un bâtard, croisé je ne sais combien de fois avec d’autres croisés. il la colle toujours où qu’elle aille ! Je l’ai souvent blaguée, en lui disant qu’il était plus amoureux qu’un homme ! Elle haussait les épaules en rougissant ! Je ui rends de multiples petits services, en lui faisant des courses ou de petites réparations.
Un samedi matin bien doux de juin, je lui avais promis de lui réparer une étagère. En prévision, j’avais mis une salopette, et pris les quelques outils que je jugeais nécessaire. Je me présente chez, elle et comme à mon habitude, je toque deux petits coups et entre sans attendre. Je regarde si elle est dans la salle à manger, mais n’y trouve personne. J’entends un bruit qui m’inquiète dans la cuisine ou je me précipite, c’est tellement courant qu’une personne âgée se casse le col du fémur en glissant sur le carrelage.Je suis suffoqué de trouver Nelly à genoux sur une couverture, complètement nue qui s’agrippe à un tabouret avec Rusty qui la grimpe ! Il y va de bon cour le bougre, il lui a enserré la taille et la besogne à toute vitesse ! Ses énormes mamelles ballottent dans tous les sens pendant que la vieille demoiselle jouit visiblement comme une folle.
— Vas y mon Rusty baise ta maman, fais moi du bien, allez, ouiiii entre ton gros noeud dans ma chatte ! Ah j’aime quand tu te vides dans mon ventre..
Je dois avouer que malgré l’age avancé de ma voisine, le spectacle de cette énorme bite violacée qui entrait et sortait à toute vitesse de la chatte de Nelly était surréaliste surtout qu’elle avait raison, une boule de la taille d’une orange montait sur sa bite. J’ai bandé instantanément ! Je ne savais pas quoi faire, et au bout de trente secondes, j’ai sorti ma bite sans m’en rendre compte et je me suis furieusement astiqué ! Nelly ne pouvait me voir, elle était presque de dos. Je me suis dit que je n’allais pas tenir longtemps à la vue de ce spectacle et qu’apres tout, ça faisait un moment que je n’avais pas baisé, et cette vieille salope n’allait pas refuser un jeune mâle dans sa bouche !

Je me suis donc avancé la bite à la main et me suis présenté devant sa bouche. Elle était tellement pâmée qu’elle n’a même pas protesté, elle ne me voyait simplement pas, malgré ses grosses lunettes de myope qui se baladaient sur son visage déformé par le plaisir. Elle avait la bouche grande ouverte, et je m’y suis engouffré sans permission. C’est à ce moment là qu’elle s’est rendue compte de ma présence.

— Alors vieille salope, c’est vraiment ton amoureux ce chien, suce moi, regarde cette belle grosse bite bien fraîche ! aïe, tu fais mal, tu ne sais pas sucer ! tu me rayes le gland ! appliques toi !

Sans un mot elle a sorti ma bite de sa bouche et a posé son dentier sous le tabouret.. Ca choque au premier abord, mais j’avais trop envie. Elle a refermé sa bouche sans dents sur mon chibre et a commencé à me pomper au rythme du piston du chien. Jamais de ma vie je n’avais été sucé comme ça, cette vieille bouche qui me serrait la queue était sensationnelle, elle s’appliquait avec la langue et en même temps je m’activais entre ses gencives, ça faisait comme une double pipe, c’était divin. Je l’encourageais par des mots de plus en plus crus tout en filmant le spectacle avec mon téléphone, c’est bien pratique ces joujoux, ça vous laisse des souvenirs.

— T’es vraiment une pute, je n’aurais jamais cru qu’une grenouille de bénitier comme toi puisse se faire tringler, mais alors par ton chien..t’as pas honte veille truie, pompes plus fort, je vais te gicler au fond de la gorge, tu vas tout avaler salope. espèce de chienne en chaleur !

Je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et j’ai giclé au fond de sa gorge de longs jets de foutre. Je lui tenais la nuque malgré ses protestations pour la forcer à avaler. Quand j’ai senti que j’étais presque vidé, j’ai sorti ma bite de sa bouche et j’ai fini en arrosant ses lunettes ! C’était géant.
— Ouvre la bouche que je vois si tu as avalé !

Elle s’est exécutée, elle avait bien tout avalé. A ce moment là elle a eu un énième orgasme sous les coups de son chien et s’est effondrée sur le tabouret. Rusty indifférent a ce remue ménage et pas jaloux pour deux sous est venu me renifler la pine, il a même tenté un coup de langue que je n’ai pu éviter, c’était agréable, mais je ne me sentais pas prêt pour ça. Je n’avais pas débandé, et la vue du foutre s’écoulant de cette grosse chatte poilue me donnait envie de plonger ma pine entre ces énormes lèvres distendues. J’ai appelé le chien et lui ai collé la truffe entre les cuisses. Docile il a nettoyé le sexe de sa maîtresse qui s’est remise à gémir, elle cambrait les reins et écartelait sa chatte avec les mains pour aider la langue du chien à la pénétrer le plus loin possible. Au bout d’un instant, il s’est désintéressé de nous et est parti nettoyer sa propre queue. Nelly était toujours sur son tabouret et a commencé à se relever. Je l’ai bloquée en position et me suis positionné à l’entrée de sa chatte. Passive, elle s’est cambrée. Les fesses relevées de ma nouvelle surprenante maîtresse, m’ont fait changer d’avis et j’ai pointé mon gland sur sa rosette, elle a poussé un hurlement de douleur quand je me suis enfoncé d’un grand coup, je venais de l’enculer sans aucune douceur, et j’ai bien senti à la difficulté que j’avais eu qu’elle n’était pas habituée. Sans pitié, d’une autre poussée j’ai fait pénétrer mes 18 cm dans ce gros fessier bien étroit. Elle couinait sa douleur en me suppliant d’arrêter, mais j’étais trop énervé, je me suis penché sur elle et j’ai pris ses gros seins à pleines mains et j’ai commencé à la pistonner violemment en l’insultant. Je n’en revenais pas, je baisais ma vieille voisine si gentille que je n’aurais pas osé tutoyer la veille. Et le pire c’est que j’y prenais un plaisir énorme, je crois même que c’est la meilleure baise de ma vie. Mes couilles butaient contre ses fesses, elle commençait à s’habituer et ses grognements devenaient plus des halètements de plaisir. Je n’en revenais pas de l’élasticité de sa poitrine, c’était étonnant. J’avais toujours cru qu’à partir d’un certain age, le corps devenait flasque, mais ses seins étaient durs, peut être pas comme à 20 ans, mais c’était très agréable. Je n’ai pas su la faire jouir, mais j’avoue que ce n’était pas le but du jeu. Que me suis vidé dans ses entrailles avec des grognements d’homme des cavernes. Conscient qu’il lui manquait quelque chose, j’ai pris un marteau à ma ceinture, un vieux marteau avec un manche d’au moins 25 cm poli par le temps. Il est entré sans problème dans son trou béant, elle a un peu protesté, mais au point où on en était, elle était complètement deshinibée. Je l’ai pistonné au moins 15 minutes en branlant son clito. Elle hurlait son plaisir en mouillant comme une serpillère. Quand elle a joui, j’ai retiré le manche qui est sorti avec un petit bruit répugnant, et comble de vice, je me suis présenté devant sa bouche. Sans aucune réticence elle a gobé ma queue et l’a nettoyée consciencieusement. A ma demande, elle a même léché le manche du marteau et ses lunettes maculées de foutre.
Le résultat était plutôt bizarre, au lieu de rendre les verres transparents, ça les a complètement maculé, en laissant une trace brunâtre sur l’un des verres. Je le lui ai fait remarquer en riant, elle s’est précipité dans sa chambre avec des mon Dieu, mon Dieu catastrophés. J’ai bien essayé de frapper à sa porte, mais elle n’a pas répondu. Un peu désolé, je suis rentré chez moi, sans effectuer la réparation promise, mais bien content de ma journée.
J’ai réfléchi à ça toute la nuit, et je me suis dit, que finalement, si l’on restait discret, ça pourrait devenir mon vide couille.. Je sais le mot n’est pas beau, mais je n’arrivais pas à m’habituer à appeler cette femme âgée de 50 ans de plus ma maîtresse ou ma petite amie. J’ai maté la vidéo que j’avais faite, et je me suis branlé 3 fois de plus en regardant et me souvenant du plaisir que j’avais eu.
Le dimanche, je l’ai appelée, mais elle a raccroché en entendant ma voix. Je l’ai vu partir à la messe et ironiquement, je me suis demandé si elle allait communier. à son retour, elle était obligée de passer devant chez moi, et même si elle a essayé de passer rapidement, je l’ai chopée par une aile et l’ai fermement amenée chez moi.
— Mademoiselle Nelly, c’est dimanche, vous prendrez bien un doigt de vin cuit.— Je n’ai pas le temps Lucas, laissez moi— Juste deux minutes, je voudrais vous montrer quelque chose.— Deux minutes frissonna t’elle quand nous sommes entré, mais Lucas, s’il vous plait oubliez pour hier j’ai tellement honte de moi.— Ecoute Nelly, il n’y a pas de problème, tu es une femme, moi un homme. J’ai beaucoup aimé, mais je suis désolé si je ne t’ai pas fais jouir moi même, la prochaine..— Il n’y aura pas, jamais de prochaine fois.— Mais si, ne m’oblige pas à te forcer, et tutoies moi, après ce qu’on a fait.— S’il vous plait..— Regarde dis en lançant la vidéo sur mon écran de télé.. On voit bien que Rusty te fait jouir lui, au fait veux tu que je t’offre le marteau ?— ...— Et mon foutre sur tes lunettes, tiens, tu as nettoyé la merde..— ...— Là par contre on voit bien ma pine au fond de ton cul, mais on ne sait pas si tes cris sont de douleur ou de plaisir !— Salaud, j’avais mal..— Je ne savais pas qu’une femme qui se fait baiser par son clebs, ne supporte pas la sodomie. mais ça va changer. Tiens la séance de gode est formidable, surtout avec le son !— Qu’est ce que tu veux à la fin ?— Toi— Mais j’ai 76 ans, je suis vieille, décatie..— Tu es belle. et bonne ! je t’assures lui dis je en me mettant sur le canapé à coté d’elle. Mes maîtresses de 20 ans ne m’on jamais sucé comme toi, tes seins sont de velours et ton cul tellement étroit. Je sais bien que ce n’est pas les mots qu’on attend d’un homme qui fait la cours, mais je n’ai pas envie d’avoir une fiancée, mais d’une femelle qui s’enverra en l’air avec moi !— ...— Je te promets que Rusty et moi seront de merveilleux amants.— ...J’avais posé ma main sur sa jambe, elle ne me regardait pas, mais fixait l’écran où son chien et moi la prenions sans ménagement. Elle a frissonné quand ma main a atteint son sexe, je ne sais pas si c’est son visage ravagé de plaisir sur l’écran ou mes doigts qui investissaient sa grotte légèrement humide qui la faisait frissonner mais elle ne se rebellait pas.— Alors, tu veux bien,— Oui murmura t’elle vaincue.— Tu aimes le sexe ?— Oh oui frissonnait elle alors que je trouvais son clito démesuré.— Waouh, c’est formidable ça.— Tu sais à mon age, on a des « escalopes », tu seras déçu je suis distendue, je suis grosse..— N’essayes même pas, je te trouve très belle, mais ce clito, c’est impressionnant lui dis en le branlant entre deux doigts.— Il a toujours été plus grand que la normale, gémit elle en mouillant de plus en plus.— En fait t’aimes ça !— Ouiiii continue, mon Dieu je suis folle...J’ai abandonné la conversation, pour relever sa robe la débarrasser de sa culotte de grand mère et souder ma langue sur son bouton d’amour, ce n’était pas un bouton, mais une petite bite. Pas plus petite que la seule que j’avais sucée à camarade de pensionnat quand nous avions 12 ans. Elle s’est détendue et m’a caressé les cheveux en bredouillant des mes oui affolés. Je la doigtais, en sentant confusément que si j’insistais, toute ma main pourrait la pénétrer. Comme je ne savais pas comment elle réagirait, j’ai décidé de ne pas insister pour le moment.Elle me faisait plus penser à une lycéenne qu’à une femme mûre. Ma bite me faisait mal, et je décidais de passer aux choses sérieuses, elle ruisselait et je ne voyais pas pourquoi retarder les choses sérieuses.
— Chérie, je vais te prendre lui dis je en l’embrassant fougueusement et en la débarrassant définitivement de ses fringues.— Ouiiii me dit elle en se cachant le corps avec ses mains, mais ne me regarde pas, je suis moche.— Regarde ma bite, tu crois que si tu étais moche elle serait dure comme ça lui dis je en la forçant à écarter les bras.— Baise moi, vite, fort, longtemps.— Je ne sais pas si je pourrais me retenir longtemps, mais on a tout un dimanche devant nous et toutes les vacances !
Elle se cambra quand je la pénétrais fougueusement et jouit presque instantanément ! Je malaxais ses gros seins en tirant sur les pointes, c’était formidable, elle était un peu large, mais j’étais aux anges. Je la pistonnais avec bonheur pendant une bonne ½ heures, mes branlettes de la nuit m’aidaient à tenir. Au bout du 5 ou 6eme orgasme, ma belle demanda grâce et j’accélérais encore, je me suis répandu en elle alors qu’elle serrait mes hanches comme dans un étau avec ses jambes, pas mal pour une vieille. D’elle-même, elle a enlevé ses « dents » et m’a tendrement débarrassé de nos secrétions intimes.— Tu veux rester manger ?— Non je bois ce « doigt », railla t’elle, d’apéro et je me sauve, je n’aime pas laisser Rusty seul trop longtemps.— T’en as pas eu assez ? tu vas te faire tringler ?— Sois poli, tu peux me parler comme tu veux quand on fait l’amour, mais en dehors, je voudrais que tu me respectes. Me dit elle en me déposant un bisou sur le nez.— Tu parles, quand je vois de quoi tu es capable.
Je l’ai laissée partir avec regret en lui faisant promettre de laisser la porte ouverte cet apres midi.
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