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Mlle Nelly

Chapitre 2

Zoophilie
En bon célibataire, je fini ma vaisselle, pour avoir l’esprit en paix avant d’aller troncher ma vieille ! J’ai la queue raide rien qu’à imaginer ce que je vais lui faire subir, si elle m’a avoué aimer baiser, ça va être un plaisir.
Je prends mon temps, il est 16heures, j’ai maté un film à la télé pour la laisser languir, malgré moi, je ne peux m’empêcher de jouer avec ma bite. Elle doit se demander si je vais venir. Peut être est elle soulagée ? Peut être se dit elle que j’ai réfléchi et que je ne veux plus de son vieux corps. Je me décide, j’ai juste mis un short et un tee shirt, après tout, il fait beau ! Soyons à l’aise. Je frappe discrètement, je n’attends pas la réponse et j’entre, Rusty m’accueille en me faisant la fête. Je caresse mon partenaire de baise. Nelly est là, la tête basse.
— J’espérais que tu ne viendrais pas ! — Ben voyons, j’ai trouvé une vraie salope, tu ne crois pas que je vais laisser tomber ?— S’il te plait pas de vulgarité !— Écoute pétasse, tu vas devenir ma chose, je vais te tringler comme j’en aurais envie, alors ta morale à trois sous..— ..— Bon, commençons, à poil! je veux voir tes grosses mamelles qui pendent.
Sans un mot elle se déshabille, et c’est vrai que hors action, le temps a un peu fait ses ravages, mais bon, je suis là pour baiser et ma bite ne débande pas ! Je lui montre en la sortant du short. Elle s’approche, je la fais asseoir et me hisse sur la table en chêne du salon. Elle sait ce que je cherche, retire le dentier et se me à me malaxer la tige avec les gencives pendant que sa langue s’active sur mon gland ! Un délice ! Depuis le temps que je me branle la bite en pensant à ce que je vais lui faire je ne sais pas si je pourrais me retenir longtemps, d’ailleurs, je n’ai pas envie vraiment de me retenir. Je lui attrape la nuque, fais deux ou trais allers retours, m’enfonce le plus profondément possible et gicle en ahanant.. C’est trop bon, elle avale difficilement en hoquetant et me regarde les yeux pleins de larmes.— Pourquoi ?— T’aimes pas le foutre ?— Si, j’aurais volontiers tout avalé, pourquoi me forcer ?— Ça va être toute la journée comme ça !— ..— Où est mon pote Rusty, il a le droit à sa pipe aussi, non ?— Non pas ça, je n’ai jamais fait de fellation à un animal !— Hmmmm, ça me plait encore plus ! Rustyyyyy ! viens mon pépère, maman va te faire plaisir !
Nelly, ne pense plus à la pipe qu’elle vient de faire, le chien, a bien senti l’odeur de sexe dans la pièce, il se doute bien qu’il va baiser sa patronne, sa bite est déjà sortie du fourreau. Il se jette maladroitement sur Nelly, il est surpris, celle-ci se tiens coite sur son siège, le pauvre a l’habitude de la monter en levrette et ne comprend pas pourquoi sa chienne n’est pas en position !je calme le chien et en le tenant par son collier je le traîne le plus près possible de la pipeuse ! Elle me regarde désespérée. Quand je lui dit sèchement « suce », elle approche en tremblant une main de la bite du chien, et commence un petit va et vient. Je pousse le cul du clebs vers sa tête, après un dernier regard implorant elle descend du tabouret, passe sous le ventre de Rusty et embouche le bout de la pine. Elle teste la bite du chien, me sourit en me disant que ce n’est pas mauvais après tout. Le chien surpris, se laisse faire et se croyant sûrement au fond de sa chatte, commence à lui baiser la bouche. Nelly, maintenant bien dans son rôle suce franchement et essaye de garder le sexe qui enfle au fond de sa bouche. Lorsqu’il commence à gicler, elle hésite une fraction de seconde minaude un surprenant » vas y mon amour, donne moi tout » et tente sans succès d’avaler la quantité impressionnante de foutre qui gicle maintenant à flot de la pine du chien ! Au bout d’une dizaine de minute, les deux partenaires se séparent, Nelly à l’air épuisée, une cascade de sperme coule entre ses grosses mamelles. J’ai peur d’y être allé un peu fort, mais elle me sourit tendrement ! Je l’aide à se lever, pour aller à la douche. En fait, j’avais cette intention dès mon arrivée. J’y entre avec elle, la nettoie avec douceur, ce qui redonne vigueur à ma pine. Elle la sent contre ses fesses et commence à la branler. Je la repousse, en lui disant « plus tard ». Je m’empare d’un rasoir et de mousse et lui montre son sexe.— J’ai envie de te voir toute nue.— Mais.— Je voudrais te manger, mais ta touffe me rebute ! il faut raser tout ça.
— Je n’ai jamais épilé mon sexe.— Tu vas voir..— Mais à mon age..— Fermes la.
Et nous nous escrimons sur sa grosse moule. Le début est un peu pénible, il faut tailler, mais comme j’en profite pour laisser mes doigts traîner un peu partout, elle mouille rapidement et m’aide à ne pas faire de « bêtise » ! C’est vrai qu’un sexe de cet age, n’a pas grande chose à voir avec celui d’une jeunette..
J’emmène ma maîtresse dans sa chambre pour la récompenser. Après tout, elle a beaucoup donné, mais peu reçu ! Je l’allonge sur le lit. Elle tient sa chatte à l’abri de ses mains. Le rasoir doit lui avoir créé quelques sensations inconnues. Je remonte ses genoux en la regardant dans les yeux. Je me glisse entre ses cuisses, elle pense que je vais la pénétrer, mais je m’allonge sur elle et embrasse ses gros seins, ils sont énormes, ne tiennent pas dans mes deux mains et je les tète goulûment, les tétons s’allongent dans ma bouche, ils deviennent durs, je m’acharne sur eux. Je l’entends marmonner :
— Vas y mon petit, suce maman ! que c’est bon, ça fait si longtemps, je ne savais plus que c’était aussi bon, mon Dieu, je ne vais quand même pas déjà jouir, continue Lucas, je n’ai pas joui par là depuis des siècles ! ahhhhhhhh...
Elle s’agrippe à ma tignasse et m’étouffe entre ses mamelles ! J’arrive à me dégager vers le bas et m’attaque à son clito ! Il est déjà bien dardé et bande comme un malade. Je me fais un plaisir de lui faire une petite pipe, mes mains explorent ses cavités, le lit est trempé par sa mouille et trois doigts la pénètrent sans difficulté mon autre main lui travaille la rondelle et c’est sans problème que j’y entre mon pouce. Elle se branle sur mes doigts, s’empale littéralement, se sert de mes mains pendant que je la suce avec enthousiasme ! Elle jouit maintenant sans interruptions en hurlant des insanités dont je ne la croyais pas capable. J’ai trop envie, je me positionne à l’entrée de sa grotte et la pénètre d’un coup sec. Elle est dégoulinante et hurle son bonheur de me sentir fichée en elle je la pistonne comme un forcené ! Je n’ai jamais baisé comme ça, on dirait que je veux m’enfoncer entièrement en elle ! Nelly en est à son sixième orgasme au moins quand il se produit un évènement que je n’avais pas prévu. Rusty entre dans la chambre. J’avais pourtant bien fermé la porte, et quand je me retourne pour voir comment il est entré, je vois deux bonnes sours, la soixantaine, nous fixer d’un regard noir !
Nelly pousse un hurlement, surpris je me retire et essaie de cacher mon érection. Les deux nouvelles arrivantes se précipitent sur ma maîtresse et la traînent sans aucun égard sous la douche où elle a droit à un jet glacée et quelques mots gentils où « putain, traînée, salope » sont les plus délicats dont je me souvienne ! Elle est ensuite attachée aux barreaux du lit avec les cordes des rideaux et les deux sours se mettent à fouetter violemment Nelly avec des ceintures sorties de je ne sais quel tiroir !
— Notre propre sour se conduire comme une putain ! tu n’as pas honte traînée,— Pitié Sylvia, tu me fais mal !— Salope, si tu en sors vivante, tu auras de la chance ! une vieille peau comme toi ! on t’avait prévenue il y a des années !— Non Michèle laisse moi !
La dénommée Michèle, était montée maintenant à califourchon sur le dos de sa sour et la fessait à la volée. J’étais toujours à poil dans un coin de la chambre, personne ne s’occupait de moi. J’avoue que le spectacle me faisait prodigieusement bander. Le cul rouge de Nelly, et aussi dans la fureur de l’assaut, Michèle était dépoitraillée et j’entrevoyais que la nature avait été aussi généreuse avec les deux sours ! Sylvia étant sortie pour je ne sais quelle raison, je m’approche du lit et essaye de maîtriser la furie. Je l’empoignais, pour la faire descendre du dos de sa sour, mais elle est costaud et je suis obliger de l’agripper sans cérémonie, sa robe se retrousse et à ma grande surprise, elle n’a pas de culotte.. Dans la lutte, sa tête s’est découverte et tout a l’air entièrement glabre chez elle ! Ma bite qui avait quelque peu molli dans la bagarre, retrouve sa raideur quand involontairement je la saisis à la fourche ! Ça l’électrocute et elle cesse la lutte, la maintenant fermement, j’arrive à détacher Nelly qui a l’air folle de rage. Elle se jette sur sa sour et l’attache au lit juste quand Sylvia refait son apparition avec une bassine emplie d’eau et de glaçons. En furie ma maîtresse se précipite sur sa deuxième sour et après un cour instant de lutte elle réussi à l’attacher à coté de Michèle. J’avoue être baba de la conclusion de l’action et sa rapidité ! Nelly injurie copieusement ses sours. Elle leur arrache leurs robes et les frappe sur les seins. C’est au tour des agresseuses de demander grâce. J’interviens en retirant Nelly du lit !— Viens ici m’intime t’elle !— Qu’est ce qu’on fait maintenant ?— Tu vas me baiser sur elles ! elles vont voir ces salopes ce qu’est de jouir !— Mon fils, ne faites pas ça !— Regarde soeurette, comme il trique pour moi ! une jeune bite, t’en a jamais vue ? pas vrai ? viens mon Lucas fourres moi, fais moi jouir ! tiens baise moi le cul ! je veux que tu me défonces !
Je ne sais plus ou j’en suis, mon sexe me fait mal, tellement la situation m’excite, mais en même temps, ce n’est pas bien légal tout ça ! Nelly se couche sur ses sours, elle glisse une de ses jambes entre les cuisses de chacune et m’invite à la monter, ce que je fais finalement sans hésiter. Je l’encule sans précaution, ce qui fait hurler ma maîtresse. Je la bourre violemment ! Ce qui fait frotter ses cuisses sur la chatte des bonnes sours ! Ma vieille salope laisse libre cours à sa jouissance, elle en rajoute sûrement une bonne couche et quand je me répands dans son cul, elle est morte de rire !
— Viens voir mon Lucas, ces deux putes sont trempées !— Merde t’as raison, dis je en doigtant les deux prisonnières qui se débattent !— Vas y branle les, je reviens !— Ne faites pas ça mon fils, l’enfer vous..
Dans mon délire je m’enfonce dans leurs chattes gluantes, et avec mes pouces j’agace leurs clito. Probablement n’ont-elles pas l’habitude d’une main masculine puisqu’elles partent rapidement en gémissement. Sylvia jouit immédiatement et Michèle explose quand Nelly rentre dans la pièce.
— Regarde moi ces deux putes ! ça fait les malignes et dix secondes de branlette suffisent à les envoyer au ciel !— Libérez nous, on ne dira rien !— Bien sûr que vous ne direz rien ! regarde mon chéri, j’ai trouvé leur cadeau habituel, de beaux gros cierges ! cette fois, ce n’est pas moi qui m’en servirais !— Non tu n’oseras pas !— On parie ?— Vous me faites chier depuis 30 ans parce que j’ai fauté, maintenant à vous d’être violées !
Et elle enfonce sans ménagement les cierges, qui sont biens plus gros que ma bite dans les deux sexes glabres ! Nelly raille ses sours en affirmant que pour des vierges, elles ont l’introduction facile. C’est confirmé par la mouille qui luit à chaque piston au fond de leur chatte. On n’entend bientôt plus que les râles de plaisir des deux religieuses. Elles insistent même pour que leur sour aille plus fort et plus loin, ce que Nelly fait avec délectation. J’en profite évidemment pour filmer la scène, on n’y voit que leurs visages pâmés et leurs attributs « en joie » ! Ça peut servir, on n’est jamais trop prudents. Sylvia surtout jouit bruyamment elle est mouillée à un point inimaginable, je n’ai jamais vu de femme fontaine, mais ça doit être ça. Apres plusieurs orgasmes les sours sont avachies, cuisses grandes ouvertes, sans plus aucune pudeur. Elles se remettent doucement de leurs émotions, Nelly en profite pour les retourner comme des crêpes, elle glisse des coussins sous leur ventre ce qui faire remonter leurs fesses ! Apparemment soumises, elles se laissent faire. Ma vieille m’attrape par la bite et me suce frénétiquement, j’ai une forme d’enfer, je rebande aussi sec !
— Tu vas les enculer maintenant, moi je vais chercher ma caméra, il faut immortaliser ça !
Pas une récrimination ne vient du lit, juste quelques soupirs. Même quand je monte sur le lit leur travailler un peu la rosette, elles ne se dérobent pas, Michèle se positionne même pour être doigtée plus facilement. Nelly revient avec son caméscope.
— Alors mes chéries, on ne fait plus les saintes nitouches !— Pardonne nous.— Toutes ces années où vous m’avez fait croire que vous étiez pures.— J’avoue, nous aimons le sexe, mais malheureusement le père supérieur a changé, et le nouveau est très pieu alors nous faisons ça entre nous !— Ah parce que vous êtes gouines ?— Oui— Vous vous rendez compte que j’enregistre tout ça ! je peux vous détacher, vous serez obéissantes ?— Oui
Je détache ces deux salopes et leur demande de s’embrasser. Elles obtempèrent sans problème, leur baiser est tellement passionné, baveux que c’en est totalement obscène ! On ne peut douter qu’elles soient amantes et aimantes. Sans qu’on ne leur demande rien, elles se mettent tête-bêche et entament un 69 effréné. On voit qu’elles ont l’habitude, Michèle ingurgite toute la cyprine qui jaillit de la chatte de sa sour ! Elles se doigtent à toute vitesse en se traitant de pute et de salope en chaleur ! Nelly tourne autour d’elles en les encourageant avec des mots crus, elle filme d’une main et de l’autre se branle. J’en fais autant, tellement c’est excitant. Il y a une heure, j’ignorais tout de la famille de ma voisine et là, je réalise le fantasme de beaucoup d’hommes, je vais baiser deux vieilles bonnes sours !!!! Elles réclament les cierges, que je leur donne volontiers ! Je n’aurais jamais osé goder une femme de la façon qu’ont ces deux chiennes de se donner du plaisir, il y a une violence dans le piston qu’elles impriment incroyable ! Elle se donnent en spectacle, hurlent des mots sans aucun sens, les cierges clapotent dans leurs vieilles chattes trempées. Je décide de passer à l’action, grimpe derrière Sylvia, Michèle prend ma bite en main et se jette dessus le regard glauque, complètement dans son délire, elle me pompe comme une forcenée. Je me retire de sa bouche, pointe le cul de sa sour et l’encule d’un coup sec ! Sylvia hurle comme une bête qu’on égorge sous le rire dément de Michèle.
— Vas y encule la cette truie, elle n’a jamais voulu que lui gode le fion ! Plus fort ! Tu sens mes doigts dans sa chatte ! Pousse, plus vite défonce là !
Au bout d’un long moment, Michèle me supplie de l’enculer à son tour. Je fais le tour du lit, mais avant de m’exécuter, j’oblige Nelly, réticente, mais soumise à nettoyer la merde qui est sur ma bite. Elle le fait en pestant et en promettant à ses sours qu’elles allaient le lui payer ! Je grimpe Michèle sans aucun problème, la sodomie ayant l’air de lui plaire. Bien enfoncé dans le cul le plus confortable des trois, je m’active et la pousse à un bruyant orgasme ! Je gicle au fond de ses boyaux et oblige Sylvia à gober les fils de foutre qui sortent de sa rosette encore ouverte. Le problème est que Nelly réclame sa part de jouissance ! Elle n’a jamais fait l’amour à une femme et ses deux sours l’initient avec beaucoup de joie. J’ai l’honneur d’immortaliser la scène. Elles se font un plaisir à manger le corps de ma maîtresse avec beaucoup d’expérience. Nelly est amené à de multiples orgasmes grâce à deux langues et quatre mains expertes. Je filme en gros plan son visage et ses yeux exorbités quand ses deux frangines, complètement déchaînées et sans pitié la double gode avec les cierges, elle alternent avec un sourire mauvais leurs vas et viens dans la chatte et le cul de la pauvre Nelly, je ne sais si pauvre est le véritable mot parce que ses cris de plaisir font raisonner la maison. Elle s’effondre au bout d’un long moment terrassée par une onde de jouissance trop forte.
Les trois corps sont mêlés dans le lit ravagé, et moi je bande encore ! Laquelle vais-je baiser... J’élimine Nelly, qui est tellement dilatée par les godes que je m’y perdrait, commence à « triturer » ses sours qui sont maintenant partantes pour prendre de la bite dans leurs vieilles chattes. Rusty vient déranger mes plans en me reniflant le cul. Je le tire par le collier vers les deux nones qui ne l’ont pas vu. Il « langue » Sylvia qui pense sûrement que je lui fais une gâterie. Sa sour se relève et constate l’air effaré ce que le chien est en train de faire. Mais cette perverse a vite l’air d’apprécier ce que subit sa sour. Elle lui glisse un mot à l’oreille. Sylvia sursaute et essaye de se dégager. Michèle la retient par les épaules et me demande de l’aider. Apres quelques secondes de lutte, Sylvia se laisse aller, complètement dominée par tout le monde et il peut continuer à lui bouffer la chatte ! Au bout d’un petit moment, elle commence à haleter et recommence à offrir des quantités de son jus au chien qui apprécie et lape de plus belle.je n’ai jamais entendu une femme hululer quand elle jouit, mais là, pleine de honte et de plaisir mêlé, Sylvia ne sait comment exprimer ce plaisir qui submerge son intérieur ! Nous en profitons maintenant complices avec Michèle pour la retourner. Le chien qui bande depuis longtemps monte sur sa nouvelle femelle qui se rend enfin compte de la situation et se débat comme une forcenée. Nelly qui est enfin sortie de son coma post-orgasmique saisit la bite du chien et la dirige vers la chatte de la malheureuse qui supplie ses sours de ne pas laisser le chien la prendre. Avec un rire démoniaque les deux frangines ne tiennent aucun compte de la supplique. Nelly lui fait même remarquer que c’est « sa vengeance pour avoir bouffé sa merde ». Rusty entame sa saillie sous les encouragements de sa maîtresse, Sylvia enserrée entre les pattes du chien a les yeux qui lui sortent de la tête en tentant de tenir la cadence. Michèle se branle comme une folle en matant le spectacle et réclame quelque chose dans sa chatte. Je me fais un plaisir de la positionner à quatre pattes et de la prendre en levrette tout en essayant de tenir le rythme du chien. Nelly nous malaxe les couilles à Rusty et moi. Sylvia est maintenant complètement la chienne de son amant, elle lui réclame du foutre et jouit comme une folle quand Rusty fait entrer en elle la grosse boule qui a grossi le long de sa bite et se soude a elle en déversant ses énormes quantités de foutre. Il se vide en elle au moins vingt minutes. Je ne sais pas si elle a eu des orgasmes tout ce temps ou si elle a eu un orgasme de vingt minute mais elle a hurlé son plaisir jusqu’à ce que Rusty se décolle d’elle et s’éloigne la queue pendante sans s’occuper de rien ! J’ai continué longtemps à baiser les trois sours ce jour là, quand je suis parti, j’avais les couilles bien vides, la bite en feu d’avoir trop baisé. Les trois sours étaient là-bas, nue, avachies.. Mais réconciliées ! Et avoir trois vieilles salopes sous la main n’est pas pour me déplaire !
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