Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 297 J'aime
  • 7 Commentaires

Mme Ashley, MILF très grande taille

Chapitre 1

Erotique
Synopsis: Je me rends chez mon ami Eric par un chaud après-midi du mois de juin pour profiter de sa piscine, mais seule sa mère Ashley, sculpturale mannequin grande taille d’1m85, pulpeuse à souhait, et très attirée par les minets comme moi est présente...

Ce début d’été s’annonce chaud, il est 15H et le thermomètre affiche 33°. J’enfourche mon vélo pour parcourir le kilomètre qui me sépare de la somptueuse maison de maître dans laquelle habite mon pote Eric avec ses parents. Il m’a proposé de profiter de leur immense piscine, et je ne me suis pas fait prier ! Je vérifie que mon maillot de bain est bien dans mon sac et je file comme le vent.
***
Je sonne à la grille qui s’ouvre sans que j’ai besoin de répondre à l’interphone. J’entre et je gare mon vélo contre le mur à côté de la porte d’entrée puis sonne. Je comprends aux lourds claquements de talons, et à l’immense silhouette qui se dessine derrière le verre fumé que c’est Ashley, la mère d’Eric, qui vient m’ouvrir. Dès que la porte s’ouvre, mes yeux sont pile à hauteur du décolleté généreux qu’arbore mon hôte. Perchée sur ses talons, elle doit bien faire 1m95. A 20 ans passés, je mesure 1m70 et n’ai plus d’espoir de grandir. Si seulement quelques poils pouvaient apparaître sur mon torse, mes jambes et mon visage, je me sentirais un peu plus viril, et on ne me confondrait plus avec un ado. Mme Ashley est une femme à la beauté rare. Elle a commencé sa carrière de mannequin à 16 ans. Il faut dire qu’elle faisait déjà 1m85 à cet âge, avait des mensurations de rêve, et un visage d’une beauté irréelle. Ce fut pour elle le début de son “calvaire”.
Elle avait déjà un métabolisme qui lui faisait stocker très facilement les graisses et ne se nourrissait en conséquence quasi uniquement de salades vertes, de radis et de coca light, et passait des heures à s’échiner en cardio dans les salles de sport. Elle était fatiguée et affamée en permanence, et ses voyages tout autour du globe n’arrangeaient pas sa santé. Elle était déjà en couple avec le père d’Eric dont elle tomba “accidentellement” enceinte à 20 ans. Je dis accidentellement parce qu’elle pensait sincèrement que son rythme de travail et son régime draconien la rendaient infertile sans avoir besoin de contraception. Cette grossesse fut une délivrance pour elle. Elle prit plus de 30 kilos, mais n’en perdit que cinq. Malgré la pression de son agence, elle refusa de reprendre le même mode de fonctionnement après son accouchement. Elle se sentait tellement mieux dans son corps et dans sa tête maintenant !
Alors qu’elle croyait sa carrière brisée, elle devint au contraire l’égérie des femmes à la silhouette épanouie, la rendant encore plus célèbre qu’auparavant. Bien qu’elle laissa tomber les régimes, elle fréquenta toujours autant les salles de sport et remplaça une partie des heures qu’elle passait à courir sur un tapis par du pur levage de fonte. Elle apprit à aimer se sentir grande et forte. Les haltères ne lui font pas peur depuis, et on m’a rapporté que squatter 150 kilos était tout à fait dans ses capacités. Elle avait maintenant 39 ans et la femme que j’avais devant moi n’avait rien à envier en sensualité à la fille anorexique qu’elle était 20 ans plus tôt. Elle pesait maintenant 110 kilos, très harmonieusement répartis, surtout sur son 120E de tour de poitrine dont j’avais du mal à détourner le regard.
Je la connaissais depuis toujours et cette femme plantureuse m’avait toujours énormément excité, jusqu’à devenir l’objet principal de mes stimulations mentales pendant mes séances masturbatoires, surtout depuis ce qu’il s’était passé il y a environ un an.
C’est donc l’été passé qu’Eric et moi, ainsi que nos mères respectives avions décidé de faire une balade jusqu’à la rivière, où, glissant sur un galet humide, j’étais tombé et m’étais foulé la cheville. J’étais incapable de poser le pied par terre, et le petit chemin qu’il fallait prendre pour remonter ne permettait pas de faire descendre un engin motorisé. Alors que ma mère paniquait devant la situation, Ashley la rassura :
— Ne paniquez pas, le chemin fait à peine plus d’un kilomètre, je vais le porter.
Nous regardâmes la belle, nous demandant si elle se rendait bien compte de ce qu’elle se proposait de faire. Ma mère voulut s’en assurer.
— C’est vrai que malgré ses 19 ans, il n’est ni grand ni épais, mais ce n’est plus l’enfant que tu avais l’habitude de porter il y a quelques années. Je doute que tu puisses le monter sur cette distance avec 200 m de dénivelé ?— Combien pèse-t-il maintenant ? 60, 65 kilos ?
Assis par terre, je lui répondis d’une voix peu assurée.

— Plutôt 55 kilos.— Seulement ! Mais tu es une plume ! Ce ne sera pas un problème. Aidez-le à se mettre sur mon dos.
Eric et ma mère m’aidèrent à me tenir sur un pied pendant qu’ Ashley me présenta son dos. Je me souviens encore de la sensation que j’eus à ce moment-là. C’était la première fois ,je crois, que je me tenais aussi près d’elle. Elle portait un legging qui moulait ses fesses monumentales, et ne laissait pas de place à l’imagination. Mes yeux dépassaient à peine de ses larges épaules. Son fessier imposant trônait à hauteur de ma taille. Elle s’accroupit et je m’assis sur sa large croupe, avec l’aide de ma mère. Mes pieds ne touchaient plus le sol et mes jambes reposaient sur ses hanches. Elle mit ses mains sous mes cuisses et se releva. Je mis mes mains autour de son cou. Ma mère n’était pas rassurée de voir son fils sur le dos de cette amazone, même si je paraissais minusculèrent léger porté ainsi.
— Ca va aller Ashley ?— Sans souci ! Il est si léger que c’est à peine si je sens son poids.
J’étais même confortablement installé sur sa large chute de rein. Une foule de sentiments m’envahissait, et à ma grande surprise, j’étais surtout très excité d’être soulevé avec facilité par cette amazone. Mon sexe s’était dressé contre le dos de la belle, et ce n’était pas son fin Tee-shirt qui allait l’empêcher de s’en rendre compte ! Ma mère s’enquit de mon état.
— Tu es bien mon chéri ?— Oui maman, ça va aller.
Ashley joua de son humour pour aller dans mon sens.
— Je vous assure qu’il est très bien: mes grosses fesses sont très confortables !
Je sentis à son ton ironique que mon érection n’était pas passée inaperçue, et rougit comme une écrevisse, ce qui inquiéta ma mère.
— Tu es tout rouge mon chéri ? Tu es sûr que ça va ?— Oui maman !
Ashley me porta sur toute la distance, d’un pas assuré, sans jamais me poser. Elle fit juste une courte pause à mi-chemin. Malgré la douleur à ma cheville, mon sexe ne désenflait pas ! Il était même de plus en plus stimulé par les frottements avec la croupe de ma porteuse. Je m’efforçais de regarder droit devant moi, car si je baissais un peu les yeux, mon regard tombait sur les énormes seins de la belle qui se balançaient au gré de ses pas, dévoilant parfois la bordure d’une large et sombre aréole. Je sentais dans mon bas-ventre ce frisson si caractéristique des prémices d’un orgasme et me concentrais pour ne pas exploser ! Mais quand elle recula un peu ses mains pour les mettre sous mes fesses et me repositionner d’une puissante impulsion, j’éjaculai dans mon slip. Je contins mon gémissement en me mordant les lèvres, mais ne pouvais contrôler mon tremblement de plaisir, inquiétant un peu plus ma mère qui devait me croire fiévreux.
— Tu es sûr que ça va mon chéri ? Tu trembles ?— Oui, je t’assure que je me sens bien.
Je croisai les doigts pour que mon sperme ne perçât pas à travers mon slip et mon short, et ne mouillât le dos d’Ashley. Il ne restait qu’une centaine de mètres à faire avant d’atteindre les voitures, et pour mon plus grand soulagement, ce ne fut pas assez long pour que mon sexe qui venait de s’épancher ne reprenne de la vigueur et ne tende à nouveau la toile mon short.
Ma mère ouvrit la porte de notre voiture et Ashley s’accroupit pour me déposer directement sur le siège. Lorgnant du coin de l’œil sur mon entrejambe, je devinais une auréole, mais qui ne se voyait heureusement que très peu sur le tissu noir, et puis les regards étaient plus focalisés sur ma cheville qui avait doublé de taille. Je vis ma sauveuse porter sa main dans son dos pour le frotter, tout en fronçant les sourcils. Bon sang ! Elle avait dû sentir l’humidité de mon sperme ! Elle regarda sa main, palpa la substance gluante dans ses doigts, puis les mis sous les narines. Elle me fixa alors d’un regard perçant avec un petit sourire en coin. Elle avait sûrement reconnu ce qu’était ce liquide gluant qui souillait son dos. Toujours en me fixant, elle essuya ses doigts sur ses lèvres pulpeuses, puis laissa sa langue sensuellement récolter ma semence pour l’avaler, en fermant les yeux de plaisir. Je restai bouche bée face à sa réaction.
Ma mère ferma la portière et m’emmena en trombe aux urgences.
Ashley et moi n’avons jamais reparlé de ce qu’il s’est passé quand elle me portait, il faut dire que nous ne nous sommes jamais retrouvées seules ensemble depuis. A la suite de cet épisode, cette immense beauté hante des rêves où je me retrouve dans ses bras, où je peux jouer avec ses seins ou son fessier monumental.
Diffuse en direct !
Regarder son live