Ashley se tient donc devant moi dans une fine robe en lin blanche qui laisse deviner sa peau dorée et ses sous-vêtements blancs qui contiennent difficilement ses formes avantageuses. Je décroche avec difficulté mon regard du profond décolleté dans lequel j’aimerai enfouir mon visage pour admirer et saluer le magnifique visage de ma porteuse. Elle est très brune avec un nez fin et de belles pommettes parsemées de taches de rousseur. Son sourire à la dentition parfaite est lumineux et entouré de lèvres très pulpeuses que j’ai rêvées plus d’une fois d’embrasser et de sentir autour de mon... — Bonjour Kevin ! Je suis si heureuse de te voir. La belle passe alors ses bras autour de mon torse et me sert contre elle, comprimant mon visage contre sa grosse poitrine toujours aussi ferme. Elle oublie parfois que j’ai 20 ans et me traite encore comme l’enfant qu’elle n’a pas vu grandir, et ce n’est pas mon visage imberbe et ses 25 centimètres de plus qui l’aide à le lui rappeler. — Cette tête de linotte d’Eric a oublié qu’il avait rendez-vous chez le dentiste en ville et devait en profiter pour faire des courses ! Son père l’a emmené et ils ne seront pas de retour avant 3 heures. Mais ce n’est pas gênant, tu vas quand même pouvoir profiter de la piscine. Je viendrai te tenir compagnie quand j’aurai fini de passer mes coups de fil. L’idée de me retrouver seule avec ma déesse en maillot de bain dessina un large sourire sur mon visage. Elle est si belle en bikini, comme sur les photos de ses shootings qui emplissent mon disque dur ! — Suis-moi ! La belle se retourne et je peux admirer à travers la robe transparente, ses larges fesses joliment mises en valeur par une culotte échancrée, qui se meuvent élégamment au gré de sa démarche de mannequin. Je la suis jusqu’à la terrasse de la piscine où une fois arrivé, je lui demande si je peux aller me changer dans la chambre d’Eric. — Ne sois pas gêné ! La piscine est à l’abri de tous les regards, tu peux te changer ici devant moi. Ce n’est pas comme si je ne t’avais jamais vu nu. C’est vrai que nos mères sont si fusionnelles qu’il a sûrement dû lui arriver de me donner le bain quand j’étais petit, mais ça fait si longtemps que je me sens quand même gêné, mais aussi excité de me retrouver nu sous ses yeux. Je lui tourne le dos puis enlève mon short, mon slip et mon t-shirt. Je la sens me regarder des pieds à la tête, peut-être même insiste-t-elle sur mes petites fesses. Totalement nu, je m’accroupis pour récupérer mon slip de bain dans mon sac à dos quand elle s’adresse à moi. — Il me semble que tu as un peu grandi depuis l’année passée ? Par contre, tu as toujours une peau de bébé et une silhouette toute fine. Tu es tellement mignon. Je connais beaucoup de femmes qui aiment les hommes aussi minces que toi... Son compliment me rend rouge comme une tomate. Et mon sexe, flatté par ces éloges autant que par cette agréable sensation de sentir son regard désireux sur mon corps d’éphèbe, commence à se dresser. Je la sens sourire de malice. Je me relève, enfile mon maillot et tente d’y dissimuler autant que possible mon sexe en semi-érection. Je me retourne face à la géante. Ça fait bien longtemps que je ne me suis retrouvé aussi peu habillé en sa présence, et maintenant que j’ai mon corps d’adulte, je me rends compte d’à quel point cette femme est grande et bien bâtie. Elle me regarde tendrement avec ses bras croisés sous sa poitrine, faisant remonter un peu plus le galbe de ses seins sous sa gorge. Elle me fait me sentir si petit et si faible. — Profite bien mon petit Kevin, je te rejoins dès que je peux. Elle s’en va alors en direction de son bureau, me laissant seul sur la terrasse, me délectant de sa silhouette pulpeuse qui s’éloigne. Je plonge dans une eau encore un peu froide, où je me laisse bercer par le chant des oiseaux, anticipant la venue de ma déesse, imaginant comment elle pourrait être habillée, quand, quelques minutes plus tard, je la vois surgir en peignoir. Je me tiens debout dans la piscine, avec l’eau qui m’arrive à hauteur du plexus, attendant le spectacle qui va débuter. A quelques mètres du bord, elle se dévoile en maillot deux pièces et prend la pose comme si elle se trouvait devant un parterre de photographe. — Alors Kevin, qu’en penses-tu ? Il y a encore de beaux restes ? Elle est absolument divine ! Elle porte un bikini blanc qui fait ressortir sa peau bronzée. Le haut n’a pas de bretelles, et bien que sa poitrine paraisse lourde, elle ne s’affaisse pas pour autant ! On distingue même en filigrane les deux larges et sombres aréoles que j’ai déjà eu le bonheur d’entrapercevoir pendant mon voyage sur son dos. Ses membres sont épais, mais joliment dessinés par une musculature que l’on sent puissante et intelligemment travaillée. A chaque changement de position, son soutien-gorge peu arrimé manque de dévoiler ses fabuleux atouts tant il a du mal à les contenir. Son ventre est exceptionnellement plat pour une femme de son gabarit. — Vous êtes superbe Mme Ashley ! Le temps n’a pas de prise sur vous !— Vilain flatteur ! J’ai encore pris 4 kilos l’année passée. Elle avait posé sa main sur sa fesse droite comme pour m’indiquer où elle pensait avoir gagné du poids. Peu importe où ils s’étaient fixés, elle me brûlait les yeux, et j’avais déjà hissé la grand-voile dans mon slip de bain ! Elle plonge sans faire d’éclaboussure, pour émerger quelques mètres plus loin. Elle meut son corps immense avec la grâce d’une sirène et dégage une impression de puissance surnaturelle pour déplacer un corps si lourd avec autant de facilité. Tel un délicieux kraken, elle disparaît sous la surface dont le reflet m’empêche de voir où elle se déplace, et finit par surgir si proche derrière moi, que je sens même ses tétons durcis par l’excitation frôler mes fesses puis mes épaules.
