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Mme Axelle et sa lopette

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Après avoir tout rangé, je regarde mes mails. Il y a un mail de Madame : "J’espère que tu as pris ton pied ma salope. Moi, je te trouve très motivé, on va donc pouvoir passer à la vitesse supérieure. À bientôt..."
Je décide de lui répondre avant que ma salope ne rentre :
— Oui Mme Axelle, j’ai adoré être puni comme cela. Je voulais vous demander l’autorisation de jouir, car ma salope m’a appelé tout à l’heure pour me dire qu’elle avait une surprise pour moi. — Oui, tu fais jouir ta salope comme jamais, et tente une photo... Mais n’oublie pas la courgette cuisinée !!!
Il est bientôt 18h et je me lance dans la préparation du repas : courgettes sautées à l’ail (je me dis que cela coupera peut-être l’odeur...) avec deux belles bavettes à l’échalote accompagné d’un bon verre de vin (pour détendre ma salope)
Céline rentre et me salue avec un petit smack et me demande :
— Alors, tu va mieux, tu t’es bien reposé ? — Oui merci, ça va, le docteur m’a donné trois jours d’arrêt maladie. — Et toi, tu as passé une bonne journée au travail ? — Bof le directeur m’a pris la tête. Il n’y a pas assez de réservations pour Pâques, il va falloir que je bosse encore plus que d’habitude pour combler les objectifs de la boîte. Enfin bref, parlons d’autre chose s’il te plaît et sers-moi du vin puisque tu as ouvert une bouteille !!!
Je m’exécute et puis je lui sers le repas. J’ai une montée d’adrénaline en la servant (j’ai très peur qu’elle sente l’odeur de la courgette... ) Ouf, mes craintes ne sont pas fondées et nous pouvons discuter tranquillement le reste du dîner... Après le repas, nous nous installons sur le canapé et je commence à allumer la télévision pour regarder les infos, ma salope commence alors à poser sa main sur ma cuisse et me dit :
— Je t’ai parlé d’une surprise au téléphone tout à l’heure, tu te rappelles ? — Oui, bien sûr ma chérie.
Elle commence par baisser mon pantalon et me caresse en disant :
— Ça fait longtemps, tu trouves pas... J’ai envie de me détendre un peu, tu vas y arriver ?
— Oui bien sûr que je vais y arriver.
Son regard plein de malice me dévisage. Elle commence à se déshabiller devant moi. Elle a mis son super ensemble noir à dentelles : celui que je lui ai acheté à la Saint-Valentin et qu’elle n’a jamais mis ! Je lui fais remarquer :
— AH, enfin, tu t’es décidée à le mettre ! Il te va super bien, tu es trop sexy !
Elle me répond : "Chut !" et elle commence à me sucer.
— C’est trop bon Céline, merci !
Malheureusement pour moi, je suis une lope qui n’arrive pas à me retenir et je jouis en moins de trois minutes dans sa bouche !!! Je suis très étonné que ma salope avale. Après avoir pris mon sperme en bouche, elle s’approche de moi et m’embrasse en me rendant ma semence !!!
— C’est ta punition pour avoir joui trop vite ! Avale ! me dit-elle.
Je m’exécute et j’avale ma semence puis je lui dis :
— Pardon chérie, mais c’était tellement bon que je n’ai pu me retenir. Si tu veux, je te fais un cunni pour te faire jouir. — Non c’est bon, pas grave j’ai l’habitude.
Elle commence à regarder la télé.
— Chérie, j’ai envie de te prendre en photo dans cette tenue trop sexy. — Chut, j’écoute l’émission.
Ma salope est redevenue frigide à mes envies et je trouve cela normal, car je ne suis qu’un petit éjaculateur précoce !!
Ma salope s’est endormie devant la télé. Avant de la réveiller pour monter dans notre chambre, je prends mon smartphone et décide d’obéir à Madame en prenant ma salope en train de dormir. Je tire la couverture, elle est encore en sous-vêtement. Je la photographie et envoie un mail à Madame.
— Bonsoir. Ma salope m’a sucé et m’a fait boire ma semence. Je n’ai pas réussi à la faire jouir, mais j’ai réussi à la prendre en photo. J’espère que vous êtes satisfaite de votre esclave ? Docilement.
Après avoir envoyé mon mail, je décide de réveiller ma femme pour aller dormir. Je tente un rapprochement dans le lit, mais ma salope ne veut pas, je la sens déçue. Le lendemain, ma salope part au travail en me laissant quelques consignes : ménages, courses... Après avoir exécuté ses différentes tâches, je me connecte sur mon mail et je vois la réponse de Madame Axelle :
— Bonjour larbin, alors ça va mieux tes couilles vidées ?? Tu vois que ta femme est une salope. Mais si tu n’arrives pas à la faire jouir, elle risque d’aller voir ailleurs pour se faire démonter par un vrai mec. Je suis sûre qu’elle adorerait cela !!! Elle est très sexy sur la photo, je suis sûr que si je la contacte par l’intermédiaire d’un ami à moi, elle dirait pas non. Qu’en penses-tu ? Déjà, tu vas me donner le mot de passe de sa boîte mail afin que je la surveille un peu...
Mon cœur bat à toute vitesse. Je ne peux quand même pas obéir à cet ordre, cela mettrait ma vie et celle de ma femme en danger... Mais ai-je le choix ? Si je n’obéis pas à Madame, elle balancera tout ! Je suis coincé et j’envoie donc le mail de ma salope et son mot de passe à Madame.
Peu de temps après, coup de téléphone : numéro privé. Je réponds :
— Oui, allo. Bonjour.— Salut larbin. Alors, on est tout seul cet après-midi ? — Heu bonjour Madame. Oui, je suis tout seul. Vous avez reçu mon mail avec le mot de passe. Vous êtes allée sur le compte de Cé... heu de ma salope ? — Oui larbin, j’ai jeté un œi. Tu es très docile. — Mais Madame, vous ne l’avez pas contactée, j’espère ? — Non pas encore. Mais cessons de parler de ta salope, son tour viendra. Tu vas te rendre à l’hôtel Ibis du centre-ville à 14h15. On va passer à la vitesse supérieure. J’ai loué une chambre afin que l’on s’amuse tous les deux. Mais avant tu passes au sex-shop, je t’enverrai l’adresse avec la liste de ce que je veux que tu achètes OK ? — Oui Madame Axelle.— Très bien. Sois à l’heure ma catin.
Je me prépare donc pour être à l’heure à mon premier rendez-vous avec Madame. Je décide de me raser. Je regarde mes mails avant de partir pour trouver l’adresse du sex-shop. Madame m’a envoyé un mail :
— Donc ma petite chienne, voilà la liste que tu vas acheter au sex-shop qui se situe 55 rue du Paradis : un plug anal, des menottes avec fourrures roses, une paire de pinces à tétons et bien sûr du lubrifiant. À tout à l’heure...
C’est la première fois que je rentre dans un sex-shop ; tous mes achats, je les fais sur Internet, car j’ai trop honte et peur d’être jugé. Mais là, je n’ai pas le choix, je dois obéir à Madame Axelle. Je pousse donc la porte et rentre. Une jeune femme de 25 ans vient vers moi et me demande :
— Bonjour Monsieur, je peux vous aider ? — Heu oui, sûrement, je cherche une paire de menottes, du lubrifiant, un plug anal et aussi des pinces pour les tétons. — Ah d’accord, je vois, c’est pour vous ? N’est-ce pas ? — Hein, mais non, c’est pour heu... — Enfin Monsieur, ne mentez pas ! Je connais Madame Axelle, elle m’a parlé de vous. Il ne faut pas avoir honte d’être une petite chienne en chaleur !
Je suis horrifié, humilié. Madame a parlé de moi à cette gamine, j’ai trop honte...
— Ne vous en faites pas, vous n’êtes pas le premier homme à aimer se faire punir et traiter comme cela, dit la jeune fille en rigolant. — Bon d’accord, c’est pour moi. Je dois rencontrer Madame Axelle tout à l’heure et je ne voudrais pas être en retard donc si on peut faire vite s’il vous plaît. — Oui bien sûr, car si vous êtes en retard, Madame vous punira !!!
La jeune fille me sert donc en continuant à m’humilier :
— Tu devrais prendre ce plug, je sais que Madame l’aime bien.
Elle me tutoie cette garce. Je réponds :
— Si vous voulez. — Et prends cette marque de gel, c’est le meilleur pour les petits culs serrés comme le tien. — Je vous crois Mademoiselle. — Et prends aussi cette perruque, elle te fera bien salope ! — Vous croyez ?— Mais oui, Madame aime les surprises. — D’accord, vous décidez... — Je décide ? ! Non, Madame décide ! Sois fidèle, sinon je le dirai à Madame ! — Oui pardon, vous avez raison (je viens de me rendre compte que moi je la vouvoie) — Voilà, tu as tout maintenant ! Reste plus qu’à être sage et bien docile !!! Amuse-toi bien !— Merci Mademoiselle.
Je sors du magasin en me rendant compte que je suis vraiment soumis et que j’adore cela !!! Être humilié par cette jeune fille m’a excité : je bande déjà !! Mais il faut que je me dépêche, car j’ai rendez-vous avec Madame pour ma leçon.
J’arrive devant l’hôtel et je m’aperçois que je n’ai pas le numéro de chambre. Je ne vais quand même pas demander à l’accueil le numéro de chambre de Madame. Heureusement pour moi, d’un coup de téléphone, Madame m’indique la chambre 66.
Je tape à la porte et Madame me fait entrer. Je suis un peu déçu, car elle est habillée en jean, pull et bottes. Elle me fait mettre nu devant elle et m’ordonne de me mettre à quatre pattes. Madame s’assoit sur le lit et me lance :
— Alors petite chienne, tu vas ramper jusqu’à ta maîtresse et tu vas lui lécher les bottes. — Oui Madame. — Applique-toi sinon tu auras la fessée, dit-elle en rigolant. — Ma langue remonte jusqu’à ses cuisses et je tente de la regarder.
Je reçois une gifle.
— Un esclave ne doit jamais regarder sa maîtresse !! — Oui Madame. Pardon. — Continue ! Fais ça bien, comme une bonne chienne !!!— Oui... slurp... — Suce mes talons ! Lorsque je serai satisfaite, je te le dirais. Pour l’instant, tu continues.
Je m’applique tant bien que mal, car Madame me donne des petits coups sur le dos.
— C’est bon mon chien ! Va chercher le sac pour que je te prépare.
Me voilà à quatre pattes, en train de ramper pour aller chercher mes emplettes. Je ramène le sac avec ma bouche comme une belle salope !!! Madame décide donc de me préparer. Elle me met les menottes, mains dans le dos, puis la perruque.
— Ah mais voilà une belle salope, me dit-elle en mettant les pinces sur mes tétons.— Oui Madame, votre salope dévouée. — Allez, à genoux, et montre ton cul ! Cambre bien !
Je m’exécute et je sens le gel sur mon petit trou. Ensuite, Madame enfonce le plug d’un coup !
— Voilà qui est mieux ! Ton entraînement commence a faire effet. J’ai même pas forcé. Je suis fière de toi ma lope, tu es à ma merci, me lance-t-elle en rigolant.
Je suis dans une fâcheuse posture. En effet, moi le cadre d’entreprise qui dirige une équipe de six personnes : me voilà attaché, enculé, féminisé ; si mes gars voyaient cela, ils rigoleraient bien de moi. Madame me prend en photo de tous les côtés. Je tente de lui dire que je ne veux pas, mais Madame m’enfile quelque chose dans la bouche. C’est un autre plug plus petit, mais qui m’oblige à me taire. Soudain, on frappe à la porte.
— Ah, mais tu as invité du monde larbin ?
Elle retire le plug de ma bouche.
— Non Madame, je vous le jure. — Bon, va ouvrir alors ! — Mais Madame, on va me voir. — Et alors, tu es une pute non ? Je vais te détacher. Moi je vais m’asseoir et toi, tu vas ouvrir.
J’obéis à Madame Axelle et ouvre donc la porte. Devant moi se trouve un homme : la trentaine, 1m70 environ, blond, assez musclé, regard baissé, il a l’air rouge de honte.
— Bonjour Madame Axelle, dit l’homme. — Ah te voilà enfin, dit Madame, j’ai commencé sans toi !!!
Je ne comprends rien à la situation et regarde ma domina, plein d’interrogation.
— T’inquiète ma salope me lance-t-elle. Je vais t’expliquer : Yan est un de mes soumis, j’ai eu envie de jouer avec vous deux !!! Allez Yann dépêche-toi met-toi à quatre pattes que je te prépare. Toi, la salope, tu te mets à genoux et tu regardes pour l’instant !!
Madame prépare Yan en le mettant nu avec une perruque russe, un collier-de-chien rose avec un médaillon où je peux lire pupute. Elle place Yan à côté de moi, face à elle. Nous sommes à genoux devant notre maîtresse qui a pris soin d’enlever ses bottes et habits. Madame est en guêpière noire à dentelles avec de jolis bas assortis. Elle nous ordonne :
— Allez les chiennes, léchez-moi les pieds !
Je me retrouve sur le pied droit de Madame et tente de m’appliquer. Obéir à Madame devant un autre homme me déstabilise au contraire de Yan qui ne me prête aucune attention. Il n’en a que pour Madame et je dois le comprendre. Madame est très jolie : son regard de braise m’hypnotise et je tente de m’appliquer pour satisfaire ma maîtresse vénérée.
Après un bon quart d’heure à lui lécher les pieds, Madame nous lance :
— Maintenant on va faire un petit jeu : je veux vous voir vous branler devant moi.
Nous commençons à nous branler devant notre maîtresse, mais là, elle nous file une claque à chacun.
— Vous n’avez pas compris. Je veux vous voir vous branler mutuellement. — Hein !! Comment ça !? Mais je suis pas homo moi !
Yan a l’air de penser comme moi, mais ne dit rien.
— Tu n’as pas compris larbin, je m’en fous que tu sois homo ou pas. Ta maîtresse veut que tu branles sa pupute, alors tu obéis. Et bien sûr, Yan va faire pareil. Celui qui jouira en dernier sera récompensé, celui qui jouira en premier sera puni... OK les tapettes !!! — Oui Madame d’accord. — Oui Maîtresse Axelle dit Yan.
Nous voilà donc en train de nous branler mutuellement à genoux devant notre maîtresse qui nous encourage en nous humiliant.
— Crachez dans vos mains, ce sera plus humide. Prenez du plaisir les lopettes : regardez-vous, regardez vos bites, tirez la langue comme des chiennes. Allez, plus vite les tapettes.
Bien sûr, au bout de cinq minutes, je n’en peux plus et je commence à jouir par terre.
— Ah, nous avons un gagnant, bravo pupute ! — Merci Maîtresse, dit Pupute. — Alors pour te récompenser, j’imagine que tu es excité et que tu as envie de jouir hein ma pupute ?— Oui Maîtresse.— Alors Le larbin va te finir, mais avant cela, il va nettoyer son sperme comme une belle salope en léchant toute sa séance. Pas vrai que ma catin va nettoyer et qu’il va aimer cela ? — Oui Madame, je vais nettoyer, car vous êtes ma maîtresse et que j’adore vous obéir.
Je suis donc à quatre pattes devant ma maîtresse en train de lécher mon foutre par terre et je fais cela devant un autre homme soumis qui bande devant moi. Après avoir bien nettoyé, Madame Axelle me félicite et me dit :
— Bien, parfait. Tu as bien nettoyé. Maintenant la récompense du gagnant : tu vas finir pupute, mais pas avec ta main. Je veux te voir sucer pupute !!! — Hein, mais Madame... — Ta gueule, tu es ma pute et si je te demande de sucer une bite, tu suces une bite et tu y mets de l’entrain OK ? — Oui Madame, dis-je d’un ton vaincu.
Me voilà donc en train de sucer la bite de Pupute devant ma maîtresse. Je me sens trop humilié et mon subconscient le sent, car je recommence à bander. Madame s’en aperçoit.
— Alors tu vois que tu aimes ! Tu bandes ma salope. Il suce bien ? — Oui Maîtresse, il suce comme une catin !
Je suis rouge de honte et au bord de l’excitation. C’est alors que Madame a eu autre idée :
— Attends, fais la pose larbin, montre ton cul.
Madame m’enlève le plug anal et le donne à pupute, dans sa bouche. Puis elle enfile un gode ceinture et me lance :
— Tu vas adorer être remplie par les deux trous ma salope !
Me voilà donc en train de sucer Pupute pendant que Madame me pilonne le cul. Bien sûr, Madame nous encourage toujours.
— Allez les tapettes, montrez-moi comme vous êtes des chiennes soumises !!!
Tout à coup, le jus de pupute sort, il est en train de jouir en moi. Je tente de reculer, mais Madame m’oblige à garder le sexe de pupute dans ma bouche. Elle se remplit de foutre chaud, cela déborde tant il y en a. Madame rit et nous lance :
— Alors ce n’était pas si terrible que cela, vous voyez avec de la motivation, on arrive à tout !!! Allez salope avale !
J’obéis à Madame et avale tout son sperme. Il n’a pas le même goût que le mien et j’ai envie de vomir, mais je me retiens. Madame nous lance :
— Je suis fier de vous mes salopes. Vous avez passé un cap en tant que soumis maintenant. Il ne vous reste plus qu’à vous rouler une pelle comme deux petits soumis qui adorent obéir et n’oubliez pas de me remercier !— Merci Madame.
FIN ???
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