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Modèles à matrices.

Chapitre unique

Inceste
Je me présente je m’appelle Laurent Venturi, et j’habite depuis toujours à Cassis petite ville du Sud-Est de la France, tout à côté de Marseille, dans laquelle je suis né le 07 Octobre 1976. 
 Je ne vais pas vous décrire mon physique actuel, car bien entendu avant d’avoir 47 ans comme tout le monde j’ai été jeune, en 1996 j’étais bien plus svelte qu’à présent, pesant une soixantaine de kilos pour 1 mètre 75, et je m’entretenais en faisant régulièrement du sport. Tous mes cheveux bruns étaient encore implantés sur mon crâne, longs attachés en queue de cheval, sinon je portais déjà une barbe beaucoup moins fournies qu’aujourd’hui, alors qu’il faudrait attendre des années avant que ça devienne la mode.  Je pense avoir un physique assez banal, un peut passe-partout mis à part mes yeux bleu-vert, qui sont la seule chose que je trouve belle chez moi, même si tout le monde et en particulier certaines femmes n’est pas de cet avis, comme vous le constaterez en lisant la suite.  
 Sinon je suis photographe de métier, une activité à la base tout à fait classique, et je réalise par exemple les photos d’identité ou des séries pour les mariages. Sauf que j’ai également une spécialité connue uniquement de quelques personnes, qui est de faire des photos de charme, ces dernières étant destinées en principe à un usage privé. Et bien évidemment c’est de cela que je vais vous parler, sinon mon histoire n’aurait aucun intérêt à être racontée, en tout cas ici. 
χ χ χ

 Tout a commencé quand une de mes clientes très jolie que nous appellerons Martha, qui était venue pour des portraits afin de renouveler son passeport, m’a demandé de but en blanc une fois mon travail terminé, si je faisais également des photos de nus. 
 Devant mon air embarrassé, car j’étais à cette époque un débutant exerçant son activité depuis peu, cette femme m’a expliqué que venant d’atteindre la quarantaine, elle voulait garder des souvenirs de son corps, avant que la vieillesse ne le fasse tomber en ruines. Bien évidemment je reprends ses propres mots étant donné qu’en bon professionnel, il ne m’appartient pas de faire le moindre commentaire sur le physique de mes clients. Même si parfois je n’en pense pas moins.
 Après une courte réflexion j’ai proposé à Martha de me laisser ses coordonnées, en lui promettant que j’allais réfléchir à sa proposition, pour la bonne raison que je n’avais jamais fait ça avant. Puis lorsque je me suis décidé à la recontacter grâce à la carte de visite qu’elle m’avait donnée, nous avons convenu d’un prix qui était le double de celui que je prenais habituellement, pour une série de cinquante clichés. Ensuite nous nous sommes donnés rendez-vous chez elle, alors que son mari serait à son travail. 
 Lorsque je suis arrivé le jour dit, Martha m’a demandé si cela me dérangeait de travailler en extérieur, et comme je lui ai répondu que non, car au contraire la lumière naturelle me faciliterait la tâche, elle m’a dit avant de me laisser seul d’aller installer mon matériel au bord de sa piscine, située à l’arrière de sa villa. Quand elle est venue me rejoindre une dizaine de minutes plus tard, je me suis retrouvé face à une très belle femme blonde d’âge mûr, complètement nue. 
 Son corps était matelassé d’une fine couche de graisse, sans aucune trace de cellulite, ses seins étaient pendants mais bien pleins, son ventre légèrement bombé, et sa vulve ainsi que son pubis me sont apparus parfaitement lisses, intégralement épilés ou rasés de frais. En plus de ses bijoux qu’elle avait gardés sur elle, Martha était chaussée probablement par coquetterie des mules à talons-aiguilles, d’environ sept centimètres de haut, qui malgré sa classe naturelle lui donnaient des airs de coquine. Ça a en tout cas été mon avis sur le moment. 
χ χ χ

 Étant donné que cette femme avait environ l’âge de ma mère, et que je n’avais jamais vu cette dernière sans aucun vêtement, j’étais de loin le plus intimidé des deux. Martha qui s’en est bien évidemment rendue compte m’a souri gentiment, et elle m’a dit en me caressant la joue :
 ―Détendez-vous Laurent, nous sommes entre amis.

 Cela ne m’a pas été facile voire même impossible, car tandis que le professionnalisme tentait de reprendre le dessus et que je commençais à faire des photos d’elle, au départ debout puis assise dans un fauteuil en rotin avec un large et haut dossier rond, j’ai senti même si les poses que prenait ma modèle étaient encore très sages, mon sexe gonfler dans le bermuda que je portais. Car nous étions au mois de juin, et dans le sud-est de la France il faisait déjà chaud. Bien évidemment Martha s’en est aperçue, et je suis devenu tout rouge quand elle m’a proposé :
 ―Vous ne voulez-pas, que je vous fasse passer votre raideur en vous suçant la queue, Laurent ?
 Je suis resté interdit suite à cette question à laquelle je ne m’attendais absolument pas, et prenant mon absence de réponse pour un oui, elle s’est levée afin de s’approcher de moi. Tandis que mon visage virait à écarlate, elle s’est mise accroupie en écartant largement les cuisses, avant de m’enlever complètement mon short ainsi que le boxer qui se trouvait dessous. Puis comme comme si tout se passait normalement, elle a décalotté mon gland avec ses lèvres pulpeuses à souhait, tout en me fixant de ses beaux yeux pervenche. 
 Martha n’a pas tardé à lécher mon membre sur toute sa surface, le manipulant après l’avoir attrapé de manière à pouvoir continuer de me regarder, et après une bonne minute, elle a pris le bout de ma queue dans sa bouche afin de la téter. Ensuite à ma grande surprise et pour mon plus grand bonheur, elle l’a avalée en entier. C’était la première fois qu’une femme me faisait une gorge profonde, et j’étais tellement émoustillé qu’il ne m’a pas fallu bien longtemps, pour éjaculer directement dans son gosier. 
χ χ χ

 Quand la source a été tarie et alors que je restais sans bouger, un peu honteux de ma piètre performance, Martha a recraché mon membre, l’a léché à nouveau afin d’effacer toute trace de son forfait, et après que je l’aie aidée à se relever elle m’a remercié d’un sourire, avant de me dire sans aucune moquerie dans la voix :
 ―C’était un peu rapide, mais je fais souvent cet effet aux hommes la première fois.
 Puis elle a ajouté très sérieusement :
 ―Vous devriez vous rasez, ou mieux vous faire épiler les bourses, comme ça je pourrais aussi vous gober les couilles. Mes autres amants adorent ça.
 Ensuite tandis que je me laissais faire docilement elle m’a enlevé mon polo, et elle a terminé son monologue :
 ― À présent, nous sommes à égalité.
 Une fois que je me suis retrouvé aussi nu qu’elle, à la seule différence près que j’avais des mocassins sans chaussettes aux pieds et elle toujours ses mules aux siens, elle s’est rassise dans son fauteuil et j’ai recommencé à travailler le plus professionnellement possible, même si je me retrouvais dans une situation quelque peu incongrue. 
 La série de clichés s’est poursuivie, sans que je lui donne aucune directive ma modèle de charme a pris des poses de plus en plus alanguies, qui ont fini par devenir carrément coquine, si bien que que quand tout a été terminée j’étais à nouveau en érection. Par conséquent, Martha qui contrairement à moi avait l’air de trouver la situation parfaitement normale, m’a sucé une deuxième fois et de la même manière, puis elle m’a dit avec une pointe d’amusement dans la voix :
 ―Vous êtes en progrès au niveau de l’endurance Laurent, et je ne doute pas que vous allez encore vous améliorer, au fur et à mesure que vous vous habituerez à moi.
χ χ χ

 Comme elle me l’avait annoncé nous nous sommes revus, puisque Martha après m’avoir payé avec du liquide autre que mon sperme, a voulu que nous prenions rendez-vous pour une autre série de photos. Ce que bien évidemment j’ai été heureux d’accepter, étant donné qu’en plus de bénéficier de fellations à l’œil, je gagnais également de l’argent facilement. Un extra financier non négligeable, pour le débutant que j’étais. 
 Martha m’a également donné l’adresse d’une amie à elle, esthéticienne de profession, en me disant qu’elle allait prendre rendez-vous pour moi, afin que je me fasse enlever les poils qui recouvraient mes testicules, selon elle autant disgracieux qu’inutiles. Se rendant compte que j’étais réticent elle a jouté que ça ne me coûterait pas un seul centime, et que je pourrais aller voir son amie en toute discrétion, en passant par une porte située à l’arrière de son salon donc à l’opposé de sa devanture. 
 Quand je me suis rendu chez cette praticienne quelques jours plus tard, que nous appellerons Agathe, je n’en menais pas large. Cependant j’ai été rassuré en constatant qu’elle était seule, et qu’elle faisait preuve de professionnalisme. Après avoir discuté nous sommes convenus d’une épilation au laser, qui nécessiterait plusieurs séances mais serait en principe définitive. 
 Agathe m’a demandé de me mettre nu, ce que j’ai trouvé assez normal vu les circonstances, même si j’ai rougi parce que je me sentais gêné. Sauf qu’ensuite allongé sur une table comme en ont les masseurs, j’ai été très surpris en la voyant retirer sa blouse, sous laquelle elle ne portait rien, et elle s’est retrouvée uniquement chaussée d’une paire de sandales à talons aiguille, d’une dizaine de centimètres de haut. En constatant que j’étais devenu rouge comme une pivoine, elle m’a déclaré avec gentillesse tout en caressant doucement la joue :
 ―Détendez-vous Laurent, nous sommes entre amis.
 Agathe était également une belle femme mais bien plus jeune que Martha, étant donné qu’elle ne devait avoir qu’une ou deux années de plus que moi. Son corps fin et légèrement musclé, son ventre plat, ses seins ronds et bien pleins, ainsi que sa vulve aux petites lèvres assez longues tout comme son pubis parfaitement lisses, n’ont pas manqué de me provoquer une solide érection. Malgré que je ressentais une douleur constante parsemée de petits pics, au fur et à mesure qu’elle me débarrassait de mes poils, car elle avait commencé ce pour quoi j’étais venu. 
 Bien évidemment elle ne pouvait pas manquer de s’apercevoir de mon état, et après avoir décalotté mon gland d’un geste assuré, elle s’est contentée de commenter :
 ―Non seulement j’apprécie l’honneur que vous me faites Laurent, mais en plus votre membre ne me gênera pas pour travailler.
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 Lorsque la séance a été terminée Agathe s’est penchée sur moi, et elle m’a dit avec humour en me regardant, avant de donner un coup de langue sur ma queue qui n’avait pas faibli un seul instant :
 ―Il paraît qu’il vous faut progresser au niveau de l’endurance, alors je vais vous faire passer cette raideur.
 Sans attendre de réponse de ma part elle a commencé à lécher mon sexe raide sur toute sa surface, le manipulant tandis qu’elle me fixait toujours, puis elle l’a pris en bouche, et c’est ainsi qu’en moins d’une semaine, une deuxième femme a enfoncé mon sexe tendu dans sa gorge. Après que j’aie éjaculé sur sa langue tandis qu’elle avalait chaque giclée de mon sperme avec un plaisir évident, elle s’est redressée et elle ma demandé :
 ―Vous seriez d’accord, pour faire également des photos de moi nue ?
 Comme vous devez vous en douter j’ai accepté, et nous avons pris deux rendez-vous distincts. Le premier ayant pour but de continuer mon épilation, et le second afin de réaliser une série de clichés de charme, qui seraient facturés au même prix que ceux que j’avais déjà faits pour Martha. 
 C’est par conséquent de cette manière qu’un complément de carrière s’est offert à moi, si au départ mes deux modèles se sont contentées de prendre des poses relativement sages, elles n’ont pas tardé à devenir de plus en plus provocantes, et nos séances ont fini par être carrément pornographiques. 
 Cela ne m’a absolument pas dérangé, pas plus que me mettre moi aussi nu à leur demande au début de chaque séance. D’autant que si au départ elles ont juste sucé ma queue, afin de faire passer mes raideurs comme elles les appelaient, par la suite quand elles ont estimé que j’étais devenu assez endurant, j’ai obtenu de leurs parts des faveurs plus complètes. J’ai même grâce à elles découvert les joies de la sodomie, pratique sexuelle qui en ce temps-là rebutait la grande majorité des femmes. 
 Le fait que l’une d’entre elles était mariée ne m’a posé aucun problème d’ordre moral, d’autant que je savais ne pas être le premier avec qui elle trompait son conjoint, et Martha m’a même avoué que les photos que je faisais d’elle, régalaient ses autres amants.  
 Bien entendu j’ai continué à être un photographe classique, car si ces séries de nus étaient bien payées, elles n’étaient pas assez nombreuses pour me permettre de gagner ma vie. Même si de bouche en oreille j’ai acquis une certaine réputation, dans le petit monde libertin de Cassis ainsi que de ses environs, et que le nombre de mes modèles de charme a peu à peu augmenté. 
 Au point que si je recevais mes clients ordinaires dans une petite pièce de ma villa, qui possède une entrée indépendante, je n’ai pas tardé à aménager l’étage qui me servait avant cela de débarras, en un véritable studio qu’un ameublement progressif, a fait de plus en plus ressembler à un décor de film porno. 
 Comme je vivais seul les cent-vingt mètres carrés du rez-de-chaussée me suffisaient amplement, et les soixante-dix mètres qui se trouvaient en haut, auxquels on accédait par un escalier puis une porte en temps normal verrouillée, me servait pour mes activités coquines. Cet espace très confidentiel me permettant de travailler, en y emmenant celles qui ne pouvaient pas me recevoir chez elles, pour des raisons principalement familiales. 
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 Il y a une dizaine d’années un deuxième tournant s’est produit dans ma vie professionnelle, quand une étudiante que nous appellerons Emmanuelle y est entrée. Elle était déjà au courant de ma spécialité, étant donné que sa mère qui était une très belle femme de 38 printemps, posait régulièrement pour moi et ce depuis environ deux ans. Sauf qu’au contraire de la plupart de mes clientes elle ne le faisait pas par dépravation, mais dans le but d’arriver à s’en sortir financièrement. Cécile était en effet une mère célibataire, et avec mon aide elle revendait les photos que je faisais d’elle, afin qu’elles soient publiées sur des sites internet spécialisés. 
 Je l’ai même aidée à négocier ses tarifs de manière à ce qu’elle ne se fasse pas arnaquer, et le statut semi-professionnel de photographe de charme que j’ai acquis grâce à elle, a fait que la formule au niveau de ma rémunération a changé. Je ne lui faisais en effet pas payer les séries de clichés que je prenais d’elle, et une fois que je m’étais entendu avec les sites qui étaient acheteurs, je gardais 10 % de la somme pour moi. 
 J’étais en quelque sorte devenu son agent, et plus le prix de vente était élevé plus nous étions gagnants tous les deux. Cependant je vous ferai grâce des détails au sujet de ces contrats, car cela n’a pas une bien grande importance dans mon récit. 
 Ce qui en a par contre c’est que Cécile était également devenue mon amante. J’avais en effet constaté grâce à Martha et Agathe, qu’avoir des rapports sexuels avec mes modèles nous aidait à devenir complices, et facilitait grandement notre travail. Par la suite j’ai donc pris l’habitude avec celles qui leur ont succédé, de leur suggérer subtilement de nous rapprocher de cette manière, ce qu’elles ont presque toutes accepté. 
 Vous vous demandez peut-être comment j’arrivais à les contenter, étant donné je n’ai rien d’un étalon, ni pour ce qui est de la taille de mon sexe ni de la fréquence de mes érections ? Mais vu que je n’ai jamais eu plus de cinq modèles de charme en même temps, et que nous ne nous voyions en moyenne qu’une fois par mois, c’était tout à fait gérable. De plus, l’aspect professionnel de la chose étant donné qu’il était avant tout question de photographie, faisait qu’il n’y avait aucune rivalité entre elles, et pour la plupart elles ne se sont jamais rencontrées. 
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 Lorsque Emmanuelle est venue me trouver je suis rapidement tombé sous son charme, et j’ai envie de croire que cela a été réciproque. Même si nous avions une différence d’âge assez marquée, étant donné qu’elle était âgée de 18 ans et que moi j’en avais 32. 
 C’est pourquoi tandis que je m’étais aguerris au fil du temps, c’est elle qui s’est sentie très gênée lorsqu’elle m’a annoncé la raison de sa démarche. Alors qu’elle venait de passer son bac elle voulait poursuivre des études, mais sa mère étant une modeste secrétaire, elle n’avait pas les moyens de les lui payer. Cécile a donc avoué à sa fille unique, ce qu’elle faisait pour arriver à s’en sortir financièrement. La jeune femme après ces révélations, loin d’en être choquée, a décidé de suivre un chemin identique à celui de sa maman, et elle s’est tout naturellement tournée vers le même photographe, c’est à dire moi.
 Emmanuelle bien que n’étant plus vierge, était au départ assez réservée. Mais son côté à la fois innocent et effarouché, quand nous avons commencé à faire des photos d’elle, lui donnait un côté touchant qui a grandement aidé je pense à établir sa popularité. Bien entendu nous avons commencé par faire du soft. C’est à dire que plusieurs séries d’elle en lingerie ont été réalisées, dans des poses relativement sages. Puis les sous-vêtements qu’elle mettait pour l’occasion, sont devenus de plus en plus sexy. 
 À ce moment là nous n’avions pas encore couché ensemble, et comme je sentais qu’elle en avait envie autant que moi, cela mettait entre nous une tension sexuelle qui était visible dans son regard, sur les clichés que je réalisais. Cela a je pense également contribué à son succès, et les sociétés qui distribuaient les séries réalisées, n’ont pas tardé à être demandeuses de plus. 
 Cependant nous y sommes allés en douceur, ce qui n’a pas empêché la première fois qu’elle s’est mise nue devant mon objectif, que ça me provoque une solide érection. Bien évidemment elle s’en est aperçue bien que j’étais resté habillé, ce qui a augmenté son trouble, et étant donné que sur les photos qui on été publiées on ne voyait pas les parties intimes de son sexe, je suis le seul a savoir qu’elle mouillait de s’exhiber devant moi. Même si ses tétons étaient dardés comme si elle avait froid, alors qu’un autre genre de frissons devaient la parcourir. 
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 Ce n’est que venu pour elle le moment d’écarter les cuisses devant l’objectif de mon appareil, que je me suis décidé à passez à l’action. Posant ce dernier sur un meuble j’ai rapidement enlevé mes vêtements, tandis qu’elle me regardait faire en rougissant, et une fois que j’ai été dans la même tenue qu’elle, je suis allé me mettre à genoux devant le lit sur lequel elle était allongée sur le dos, et je lui ai prodigué un cunnilingus. 
 Je lui ai procuré un premier orgasme de cette manière, puis je lui ai fait tendrement l’amour dans la position du missionnaire. Après sa deuxième jouissance nous avons pris rapidement une douche ensemble, et nous avons recommencé à travailler sans que je trouve utile de remettre mes vêtements. 
 Quand environ deux-cent-cinquante photos ont été faites, j’étais à nouveau en érection depuis déjà un bon moment. Cependant j’avais continué le shooting en me contentant de me décalotter, ce qui a beaucoup amusé ma modèle. Mon appareil éteint et reposé sur le meuble, elle est venue d’elle-même se mettre à genoux devant moi, dans le but de me faire une fellation. 
 Emmanuelle n’a pas bronché lorsque j’ai repris en mains le Canon que j’avais utilisé, et que le l’ai rallumé. C’est pourquoi un nouveau shooting a débuté, pendant lequel ma modèle de charme a commencé par lécher mon membre sur toute sa surface, puis elle s’est mise à sucer mon gland. Ensuite elle s’est arrêtée pour faire la même chose à mes testicules, chacun leur tour tout en me branlant lentement, et elle a alterné de cette manière pendant un petit moment, avant à téter mon gland dans le but de faire monter ma sève plus rapidement. 
 Ma jeune amante a fait tout cela sous l’œil de l’objectif, sans paraître en éprouver la moindre gêne, et lorsque mon sperme a giclé dans sa bouche elle l’a avalé au fur et à mesure. Son air neutre démontrant que non seulement elle en avait l’habitude, mais qu’en plus cela ne lui posait aucun problème. Peut-être même qu’elle aimait ça.
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 Dans les mois qui ont suivi j’ai parfait l’éducation sexuelle d’Emmanuelle, qui du haut de ses 18 ans avait quelques lacunes. J’ai commencé à la sodomiser et le plus dur pour moi a été de la convaincre, étant donné qu’elle avait déjà vécu cette expérience, mais que cela avait été très douloureux pour elle. Cependant à l’aide de persuasion et de lubrifiant en spray, j’ai réussi à la réconcilier avec cette pratique vielle comme le monde, au point que c’est elle qui a fini par être demandeuse. 
 En ce qui concerne les gorges profondes cela a également été laborieux, puisque la première fois elle a rendu. Mais à force de motivation elle a fini par y arriver, et même par apprécier de donner du plaisir de cette manière. Entre-temps nous avons bien entendu continué à travailler, mais les séries de photos sur lesquelles elle me suçait, sont restées bien à l’abri sur des clefs USB et dans un petit coffre, dont j’étais et suis toujours le seul à connaître l’emplacement. 
 Cécile qui était parfaitement au courant de l’évolution de la situation entre Emmanuelle et moi, n’a pas pour autant arrêté d’être ma modèle ni mon amante. C’est ce qui m’a donné l’idée de les faire poser ensemble, car je me suis dis que la mère et la fille nues sur les mêmes photos, cela pourrait faire un carton. 
 Avec la démocratisation d’internet on trouvait déjà des clichés de ce genre, mais la plupart réalisés par des amateurs et par conséquent de mauvaise qualité. Certains professionnels avaient essayé de créer l’illusion, en affichant deux femmes l’une jeune et l’autre nettement plus âgée sur les mêmes images. Mais étant donné qu’elles étaient déjà connues et que leur ressemblance était souvent loin d’être évidente, seuls les naïfs se laissaient prendre. 
 Alors que moi j’avais à ma disposition deux femmes, avec assez de points communs pour qu’aucun doute ne soit permis au sujet de leur lien de parenté, aussi belles l’une que l’autre mais avec une génération d’écart. Un atout majeur pour remporter le gros lot.
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 Je leur ai donc proposé de réaliser un premier shooting sur lequel elle apparaîtraient toutes les deux, ce qu’elles ont accepté, et quand Cécile et Emmanuelle sont venues pour la première fois ensemble à ma villa, la mère comme la fille semblaient plus détendues que moi. Cela a été dû je pense, en grande partie au fait que je me retrouvais en présence de deux de mes amantes, ce qui n’était jamais arrivé auparavant, même avec Martha et Agathe qui pourtant se connaissaient. 
 Cependant cela s’est très bien passé, une fois qu’elles ont été nues je me suis déshabillé moi aussi, et même si dans cette première série elles ont adopté des poses très sages, j’ai fatalement été pris d’une érection. En le constatant la maman a souri, avant de demander à celle qu’elle avait mis au monde :
 ―On tire à pile ou face, Mon Cœur ?
 Cette dernière lui a répondu :
 ― Non M’man. C’est toi qui as l’ancienneté, par conséquent l’honneur te revient.
 Cécile est tout naturellement venue se mettre à genoux devant moi dans le but de me faire une fellation, et elle n’a pas semblé s’émouvoir quand Emmanuelle a pris mon appareil-photo en mains, et a commencé à faire des clichés d’elle en train de me sucer. Car je lui avait appris à se servir de l’engin, ce qui n’était pas bien compliqué à condition de le mettre en mode automatique. 
 Bien évidemment cette série est allée rejoindre les autres dans mon coffre, le shooting principal a eu un franc succès, négocié à un très bon prix, et bien évidemment on m’en a demandé d’autres. Comme quand elles avaient été seules, mes deux modèles se sont mises peu à peu à prendre des poses de plus en plus sexy, qui de fil en aiguille sont devenues carrément pornographiques. 
 La maman et sa fille étaient de plus en plus complices, et en toute franchise je n’ai pas été surpris, quand elles ont commencé à se caresser au départ avec tendresse, puis ce jeu est devenu en même temps lesbien et incestueux, allant même jusqu’à un mélange de salives. Il n’y avait eu aucune demande de ma part pour que nous prenions cette direction, comme je n’étais pas choqué j’ai agi de manière professionnelle et sans états d’âme, même quand elles en sont arrivées à se faire des cunnilingus. 
 Au moment-où il s’est agi de décider quelles photos seraient retenues et lesquelles seraient supprimées, chose que je faisais toujours avec les personnes concernées même en mode amateur, mes deux modèles ont décidé bravement d’assumer, et cette série s’est vendue beaucoup plus cher que les précédentes. 
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 Comme vous vous en doutez tout cela n’est pas arrivé du jour au lendemain, étant donné que quand la mère et sa fille ont commencé à se comporter de manière incestueuse, cela faisait trois années que Cécile posait pour moi et Emmanuelle une. Mais nous étions à présent à un nouveau tournant de ma carrière, vu que sous leur impulsion on était passés du soft au hard. 
 C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de publier les séries de fellations prises avant, ensuite nous en avons faites d’autres, ou carrément deux d’entre nous faisaient l’amour, pendant que le troisième les prenait en photo. Les demandes sont d’ailleurs allées dans ce sens, et il nous a même été suggéré de tourner des films. 
 Quand j’ai posé la question a mes modèles à matrices elles ont rapidement répondu qu’elle étaient d’accord, donc il nous a fallu nous organiser en conséquences, car j’étais photographe et pas cinéaste. C’est la raison pour laquelle par le biais d’une petite annonce, j’ai recruté une étudiante qui avait 22 ans et que nous appellerons Fanny. 
 Dès le départ au courant du genre de films que nous voulions faire, la jeune femme qui espérait devenir réalisatrice a rapidement pris les choses en main. Tout d’abord sur le plan technique en me fournissant la liste du matériel qui serait nécessaire, puis en s’impliquant personnellement dans les tournages. Non pas en tant qu’actrice, mais comme chauffeuse. 
 Car beaucoup de gens s’imaginent quand ils regardent une vidéo porno, qu’il suffit d’allumer la caméra et de filmer. Ce qui est vrai pour les amateurs et dans ce cas on parle de sextape, mais si on veut une qualité plus professionnelle ça se passe comme dans les vrais films, avec juste une équipe beaucoup plus réduite. De ce fait il s’agit de scènes tournées séparément qui sont ensuite montées bout à bout, et il peut se passer une demi-heure entre deux prises de vues. 
 Cela permet bien évidement aux acteurs masculins de se remettre en conditions, ce qui laisse croire aux gogos qu’ils sont des espèces de surhommes, alors que seule la grosseur de leurs membres dans la plupart des cas, les différencie du commun des mortels. 
 Pour les femmes c’est un peu différent car entre chaque scène elles se refroidissent, c’est là qu’intervient la chauffeuse, et bien entendu lorsqu’il s’agit d’un homme ce qui est beaucoup plus rare, on dira un chauffeur. Fanny était par nature bisexuelle, en ce qui concernait les tournages des films pornos elle en savait plus que nous, c’est pourquoi elle s’est proposée pour remplir cette fonction en pratiquant des cunnilingus, ce qui a été bien pratique. Il nous a fallu régler également tout un tas de détails techniques, cependant je ne m’étendrai pas sur le sujet, car cela vous ennuierait plus qu’autre chose. 
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 Bien évidemment comme nous n’étions pas des professionnels, j’étais au départ pour mon plus grand plaisir le seul et unique acteur masculin, et le plus étonnant, c’est que personne à l’époque ni dans les années qui ont suivies, n’a semblé me reconnaître dans la rue. Où alors peut-être qu’il y en a eu, mais qu’ils sont restés discrets. Car en effet, qui après avoir maté un film porno sur internet irait ensuite accoster un type croisé au supermarché, pour lui demander : Je ne vous ai pas déjà vu quelque part ?
 Toujours est-il qu’après cinq court-métrages qui ont eu un franc-succès, en tout cas financièrement vu que chacune des quatre personnes impliquées y a trouvé son compte, la situation a fini par m’échapper. Mes deux modèles à matrices ont été reconnues comme étant potentiellement des stars du porno, et on leur a fait des propositions desquelles j’ai bien évidemment été exclu. Elles devaient si elles voulaient faire carrière dans ce métier côtoyer de vrais professionnels, et en toute logique varier leurs partenaires. 
 C’est pourquoi je les ai laissées s’envoler en leur souhaitant bonne chance, et en continuant à les suivre sur la toile. C’est comme ça que je les ai vues faire l’amour avec plusieurs hommes en même temps, qu’elles s’échangeaient volontiers, et de fil en aiguille elles en sont arrivées à faire des gang-bang. Ensemble la plupart du temps, étant donné que leur popularité était due en grande partie à leur ressemblance physique, pour ne pas dire leur lien de parenté. 
 Moins d’un an plus tard elles versaient dans le sado-masochisme, au départ soft puis de plus en plus hard, et elles ont fini par disparaître de la circulation, remplacées par de nouvelles têtes ou je devrais plutôt dire de nouvelles fesses. Sur un plan personnel je n’ai jamais revu mes deux amantes, cependant je ne leur en veux pas de m’avoir abandonné puis oublié, car nous avions emprunté des chemins différents. 
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