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ma sœur et moi

Chapitre 1

Inceste
Ma sœur et moi
Je me suis toujours bien entendu avec ma sœur, elle n’a qu’un an et demi de plus que moi et on s’amuse souvent ensemble, je suis un de ses confidents les plus fidèles et inversement. Mais un jour, notre relation se modifia drastiquement.
Nous étions au premier jour de nos vacances, papa avait conduit toute la journée pour nous amener à bon port et maman l’avait guidé. Le gîte que nous avions réservé pour les deux semaines de vacance était bien mais n’avait qu’un défaut, il ne comptait que deux chambres, et deux lits double, en conséquence, je devais dormir dans le même lit que Sophie, ma sœur.
Nous arrivâmes tard dans l’après-midi, nous soupâmes assez tôt car une journée de route, nous étions parti à 6h du matin avec une seule pause vers midi pour manger, est éreintant pour tout le monde, même pour les passagers. Aussi, nous allâmes nous coucher rapidement après le souper.
Nous étions assez proches, ma sœur et moi pour nous changer en même temps dans la même pièce, sans éprouver de la gêne, on se tournait le dos et on se changeait. Comme je dors en slip j’étais le premier à me mettre sous la couette, aussi je pus la voir finir de se mettre en nuisette. Elle était de dos et en sous vêtement. Elle commença par dégrafer son soutif et j’en profitai pour admirer son dos nu, la courbure de ses hanches, le bord de ses seins qui dépassent un peu sur les côtés.
il faut savoir que ma sœur est très jolie, brune aux yeux bleus, avec de longs cheveux lisse et un joli visage en amende, très fin et délicat, de plus elle est bien roulée, elle a les hanches fines, les seins rond, ferme et assez gros pour donner envie a bien des gens de les toucher, les fesses rebondies a souhait et les cuisses fermes et très peu poilues naturellement, elle n’as jamais eu besoin de s’épiler.
Et je pu mieux observer ses jolis seins quand elle se tourna à moitié pour enfiler sa nuisette, j’aperçu même un bout de téton. Une fois sa nuisette enfilée, elle retira sa petite culotte. Sa nuisette était courte, aussi, quand elle se pencha pour retirer se culotte, je pu voir toute son intimité, son petit anus tout rose et tout propre et sa petite chatte qu’elle avait rasée.
Autant dire que je bandais fort quand elle eut fini. J’ai d’ailleurs toujours été très bien proportionné à ce niveau-là, avec une bite d’une grosse vingtaine de centimètres et de 6 centimètres d’épaisseur. Même au repos, elle tient difficilement dans mes slips ou mes maillots et je passe rarement inaperçu a la plage, et en général, même mon pantalon e suffit pas à la cacher entièrement. Et là, en érection, mon slip avait renoncé à la retenir au point que je soulevais le drap dans une espèce de chapiteau.
Elle se retourna et je fis de même pour essayer de cacher cette érection mais je savais qu’elle l’avait vue.
Elle se coucha sans faire de commentaire mais au lieu de rester dans sa partie du lit, elle vint coller ses seins contre mon dos, seule sa nuisette empêchait le contact mais elle ne m’empêchait pas de sentir ses tétons durcir.
-alors petit frère, on dira que je te fais de l’effet ? dit-elle en commençant à frotter ses seins contre mon dos et à caresser mon ventre avec ses mains.
Elle s’enhardissait à chaque instant et alla rapidement jusqu’à la naissance de ma bite et se mit à cercler autour a la manière d’un requin qui a repéré une proie isolée.
Elle frottait toujours ses seins contre mon dos et je sentais que sa nuisette glissait vers le bas, de ce fait, il n’y eu rapidement plus de tissus entre eux et moi.

Elle saisit ma bite a pleine main et fit un seul mouvement de bas en haut puis de haut en bas avant de la lâcher pour recommencer à me caresser le ventre.
-tourne toi petit frère, ça vas de faire plaisir, me dit-elle dans un souffle.
J’entendais sa respiration s’accélérer signe que son excitation grandissait, aussi me tournais-je vers elle et elle se colla a moi. Elle recommença a se frotter les seins contre mon torse et elle se cambrai assez souvent afin de frotter son clitoris sur ma bite. Elle enfouit aussi sa tête dans mon cou et commença à y faire des petit bisous.
Je lui saisis les fesse et commença a les malaxer mais elle retira mes mains tout de suite
-non non petit frère, tu me laisse faire, il ne faut pas que ça aille trop loin, dit-elle avant de m’embrasser sur le coin des lèvres.
Elle continua ce petit jeu de frotti frotta un temps, avant de me pousser sur le dos et de me monter dessus, de cette façon, tout son tronc était au-dessus de mon bassin et son mouvement faisait que ma bite embrassai ses lèvre à chaque vas et viens, sans qu’elle ait besoin de se cambrer pour le faire. Dans cette position, sa poitrine, un joli 95d atteignait presque mon visage et elle reprit ses bécotements sur mon visage.
A un moment, alors qu’elle recommençait a m’embrasser sur le coin des lèvres, je tournai la tête et l’embrassai sur la bouche, elle fut surprise mais aussi amusée
-mmh, soit, j’accepte.
Et elle commença a m’embrasser sur la bouche de plus en plus excitée. Son excitation était telle qu’elle ne contrôlait plus très bien ses mouvements que qu’il arrivai que ma bite rentre de 4-5 centimètres dans sa chatte, ce qui n’avait pas l’air de lui déplaire, quoiqu’elle en dise
-mmmmhnnn, non, il ne faut pas, arrête d’essayer de la rentrer, bien que ce soit elle qui recommençait a calculer ses mouvement mais, cette fois ci, le but était de faire rentrer ma bite à chaque passage. M’enhardissant a mon tour, je posai à nouveau mais mains sur ses fesses, et cette fois, elle me laissa faire, par contre, elle protesta quand je voulu lui caresser son petit anus qui commençai à frétiller sous l’excitation.
-non, pas par la
-soit grande sœur. Et je remontai une main à la naissance de sa nuque et une autre sur son bassin de façon a contrôler partiellement ses mouvements. Et au moment où elle redescendait avidement vers ma bite, je l’embrassai avec force et la pénétrai tout du long d’un coup sec.
Elle poussa un long gémissement, étouffé par mon baiser et essaya de protester.
-non, arrête, c’est mal, tu pourrai me mettre enceinte ! Mais elle protestait très faiblement et tout, dans son corps et dans sa voix, indiquait qu’elle voulait que je la pilonne fort. Cependant, je ne fis que quelques lents mouvements de vas et viens avant de ressortir ma bite.
-pourquoi t’arrête, dit-elle trahissant son envie et contredisant les propos dit une seconde plus tôt.
-parce que tu as raison, il vaut mieux éviter que je te mette enceinte.
-mais tu sais, je disais ça pour rire, je prends la pilule tu sais
-peut-être, mais elle n’est pas efficace a cent pour cent. Il vaut mieux éviter de prendre des risques, ne t’inquiète pas, je vais utiliser mes doigts.
-mais tes doigts sont loin d’être aussi gros que ta bite d’âne !
-tu devras pourtant t’en contenter. Cela dit, si tu pouvais me sucer en même temps, histoire que tu ne sois pas la seule à prendre du plaisir.
Elle se retourna et commença à me lécher la bite de bas en haut et à essayer de la rentrer le plus profondément dans sa bouche, quoique la taille ne lui permît pas de mettre plus de 7 centimètres en bouche.
De mon côté, j’activai trois doigts dans sa chatte, élargie par le passage de ma bite, mais je ne tardai pas à en ressortir deux pour aller titiller son trou de balle.
-pourquoi tu t’acharne sur mon cul ? Ma chatte meurt d’envie de sentir tes doigts.
-par ce que ton anus est tout rose, tout mignon et que c’est le fantasme de bien des hommes.
-soit, je veux bien te laisser jouer avec mais n’y vas pas trop fort, ce trou est vierge contrairement à ma chatte.
Aussi commençais-je à titiller son anus tout autant que sa chatte, je profitai de sa mouille abondante pour lubrifier mes doigts et les rentrer plus facilement dans son anus. Quant à elle, elle ne se sentait plus : mes doigts dans ses trous, plus l’odeur de ma bite, plus l’excitation grandissante avaient eu raison d’elle. Elle suçait ma bite comme une folle, tellement qu’elle s’était barbouillée le visage de la mouille et de la salive qui recouvraient ma bite.
-retourne-toi, vient m’embrasser, lui dis-je
Nous nous roulâmes une pelle magistrale pendant que j’approchai ma bite de sa chatte, au point que mon gland vint frotter contres ses lèvres
-oui, vas-y frangin, baise moi comme une bête avec ta bite énorme !
-alors, tu ferrai mieux de mordre dans un coussin ou tu réveilleras les parents.
Malgré ça, elle ne put retenir un long gémissement de plaisir. Et elle gémissait à chaque vas et viens. Jusqu’à ce que je m’arrête et ne sorte ma bite.
-cambre toi plus, j’ai envie d’essayer quelque chose.
-o...ok dit-elle tremblotante à cause du plaisir et de l’orgasme qu’elle avait failli avoir, je m’étais d’ailleurs arrêté exprès pour le retarder.
Elle se cambra et j’approchai ma bite de son anus.
-je ne pense pas que ta bite soit le plus conseillée pour un dépucelage frérot
-t’inquiète pas sœurette, ma bite est lubrifiée et ton anus est dilaté, pousse comme pour chier pour faciliter la pénétration et ça ira tout seul.
J’enfonçais alors lentement ma bite a l‘intérieur de son fondement. Et elle gémit fort, malgré le coussin. Une fois au fond, je commençai un lent mouvement de vas et viens. Elle ressenti d’abord de la douleur, puis du plaisir, beaucoup de plaisir. Alors, l’orgasme trop longtemps refoulé en elle, déferla sur son corps en partant de son anus. Ayant anticipé le coup, je réussi à lui fourrer ma langue dans sa bouche pour étouffer le cri pendant qu’elle était prise de soubresauts.
-ha putain, frangin c’était bon !
-peut-être, mais moi j’ai pas encore jouis, tu veux bien t’en occuper ?
-Tout de suite frérot.
Elle se retourna et goba la bite qui sortait à peine de son anus. Avec de l’effort, elle réussit à y faire rentrer la moitié de ma bite. Et j’en profitai pour lécher la cyprine qui s’écoulai de sa chatte, pour éviter qu’elle ne coule et ne salisse les draps. J’étais assez excité et je ne tardai pas à jouir dans sa bouche, elle en garda le sperme en bouche et me le montra avant de l’avaler, quoique une partie s’écoula a la commissure de ses lèvre, je la raclai avec le doigt et le lui présenta devant sa bouche.Elle suça mon doigt avec avidité, avala la goutte et vint m’embrasser.-je crois qu’il va être temps de dormir frangine.
-je crois aussi, mis je ne sais si je vais réussir à m’endormir sans mon doudou
-pas de problème, couche toi sur le côté, tu préfères dans la chatte ou le cul ?
-je préfère dans ma chatte.
-ok chérie, bonne nuit
Et je lui rentrai tout doucement ma bite dans sa chatte.
-mmmmmnh, c’est bon, bonne nuit à toi aussi petit frère.
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