Tout a commencé dans une voiture, un soir de février, elle, jeune demoiselle, 28ans, brune aux formes généreuses. Lui, homme mystérieux, 34 ans, grand au regard brulant. La suite aurait pu être croustillante, mais ces deux-là ont mis quelques mois à s’apprivoiser avant que leur vie prenne un tournant beaucoup plus excitant.Quelques mois plus tard, la vie quotidienne était basée sur la séduction et la provocation permanente.Lui, qui partait le plus souvent en déplacement, rentrait rarement sans retrouver sa demoiselle dans des tenues provocantes.Toujours heureuse de le retrouver, celle-ci mettait un point d’honneur à ce qu’il tombe sous son charme à chaque fois qu’il passait la porte de la maison.Une petite nuisette en dentelle, échancrée pour qu’il soit dans l’obligation de plonger son regard vers sa poitrine et relativement courte, laissant simplement découvrir la courbe de ses fesses nues... Les soirs d’hiver, une petite veste chaude noire, très courte, la fermeture éclair remontée de manière à laisser deviner la nudité de ce corps qu’il désirait tant.Un ensemble décontracté, boxer et brassière afin de lui laisser entendre qu’elle était demandeuse d’une petite séance de sport en chambre.Il lui arrivait parfois de la trouver nue sur le canapé en train de se faire du bien avec un des nombreux sex-toys qu’il lui avait offerts. Et enfin la tenue par excellence, celle qui lui faisait perdre tout moyen d’entrée de jeu... l’ensemble de lingerie sexy, quel qu’il soit. Sexy ça c’est une certitude, mais surtout agrémenter d’accessoires qui les ont petit à petit, dirigés vers une relation de dominante à dominé. Elle, dominante de 28ans, brune aux formes généreuses et lui, soumis de 34ans, grand au regard brulant.Ce qui leur plaisait le plus dans cette relation, c’est qu’elle leur appartenait entièrement. Qui aurait pu imaginer, au quotidien, que la nuit tombée, ces deux-là s’adonnaient à des pratiques sexuelles totalement borderline. Les repas de famille se déroulaient dans la joie et la bonne humeur, dans la convivialité. Chacun entretenait son morceau de conversation sans imaginer que ces deux-là avaient l’esprit totalement ailleurs. Lui, savait qu’elle ne portait pas de culotte ce jour-là. Elle, savait ce qui se passait dans la tête de son soumis par un simple regard. Il, savait que son corps brulait de désir rien qu’à la manière de le regarder. Elle, était folle de son corps. Chaque centimètre carré de son épiderme représentait pour elle un fantasme. Ses yeux, sa bouche, son souffle, son torse, ses bras, ses mains, rien ne la laissait indifférente. Parler au passé serait mentir... tout ça est encore valable aujourd’hui. Les trajets en voiture étaient souvent interrompus par des moments de sexe, n’importe où, n’importe quand. Quand il prenait un chemin plutôt qu’une route, qu’il arrêtait la voiture et coupait le moteur, elle ne se faisait pas prier pour laisser tomber la culotte (quand elle en portait une). Elle le regardait du coin de l’œil défaire sa ceinture, ouvrir son pantalon, le baisser et sortir sa queue déjà pleine d’envie.Elle prenait place entre les deux sièges avant, juste prévu pour elle et passait une jambe de chaque côté des fauteuils afin de lui laisser libre accès à sa chatte déjà très humide et dilatée de plaisir. Il, prenait place au-dessus d’elle et la pénétrait délicatement, s’en suivait de longs moments de plaisir, des va-et-vient intenses ponctués de moment de jouissance extrême. Ils pouvaient ensuite rester de longues minutes enlacés, silencieux à regarder droit devant et à imaginer secrètement le prochain moment coquin.
Un soir, il décida de lui faire une proposition assez délicate. Sa dominante accepterait-elle de s’adonner au libertinage ? Une sortie dans un sauna libertin ? A l’aise en couple, c’est une chose, mais accepter de se promener nu devant des dizaines de gens et de se laisser observer pendant ses ébats en est une autre. N’oublions pas qu’il est son soumis et donc qu’il lui appartient. Elle accepte néanmoins, elle lui fait confiance et se sent en sécurité avec lui. Avant tout, ils établissent un commun accord :aucun échange.Ils profitent d’abord du sauna, jacuzzi et hammam proposés. La curiosité et l’excitation les poussent rapidement à accéder à l’étage.Au fil du temps, elle prit confiance en elle, en eux. Les pièces fermées de l’étage ont dissimulé des moments de sexe intenses, seuls les cris de la jeune fille pouvaient laisser libre cours à l’imagination des coquins postés derrière la porte en plein plaisir solitaire. Par la suite, il a eu la chance de se faire sucer à la vue de tous. Mademoiselle à genoux, nue, son sexe en bouche, beaucoup se sont précipité pensant pouvoir en profiter également, mais il a su leur faire comprendre d’un simple geste qu’elle était à lui. La dominante était tellement fière du plaisir qu’elle recevait et lui procurait qu’elle se décida quand même à se faire prendre sauvagement sous les yeux de tous ces hommes qui auraient payé cher à ce moment-là pour se joindre à eux. Ils passaient alors plusieurs soirées dans cet endroit libertin, elle aimait être désirée, voir ces hommes nus, voir leurs sexes parfois en érection, les voir se caresser en la dévorant du regard. Lui s’éclipsait de temps en temps, la laissant seule au milieu de ces hommes. Une minute seule et la voilà abordée par plusieurs d’entre eux, du compliment aux avances indécentes, tout ça était flatteur, mais pour autant, elle ne dérogea jamais au commun accord fixé le premier jour. Lui aussi ramassait souvent de petites caresses sur les fesses par certains hommes. Aimait-il cela ? Elle, a assez vite compris qu’il ne serait pas contre une expérience avec une personne du même sexe. Comme évoqué plus haut, il partait en déplacement très régulièrement, certains diront que ce n’est pas l’idéal pour une vie de couple, mais elle s’y est vite accommodé et ils avaient trouvé leur équilibre. Cependant, elle comprit rapidement que le sexe occupait en grande partie l’esprit sa moitié et s’est vue prise de certains doutes à un moment. Son soumis lui proposa alors une solution que peu d’hommes auraient acceptée: la cage de chasteté. Etre son soumis et sous son contrôle lui procurait un plaisir sans nom. Alors certes, le port de cette cage a nécessité quelques ajustements ne serait-ce que pour le choix de la matière, car elle était mise en place pour une durée indéterminée, au bon vouloir de la dominante, mais aussi pour une question d’hygiène. Après des essais progressifs, chaque lundi matin, le soumis apportait à sa dominante la cage et ses deux clés. Elle la mettait en place pour la semaine, ou plus selon ce qu’elle décidait et portait à son cou les clés de la délivrance, elle en était fière et lui aussi. A son retour, la dominante prenait la décision ; soit elle le délivrait sans histoire, elle inspectait néanmoins son sexe sous toutes les coutures et le lavait soigneusement. Soit elle s’adonnait à une séance de torture qui la menait à l’extase, elle l’excitait au maximum, voir son sexe gonflé, emprisonné, violet, le voir lutter contre cette douleur lui donnait satisfaction et lui donnait la toute-puissance. Le summum pour elle ; le faire jouir malgré la contention, elle aimait ça et lui aussi. Ce couple avait trouvé son équilibre, il lui avait donné confiance en elle, il lui a appris à s’aimer, à s’assumer, à vivre tout simplement. Elle était de nature réservée, assez pudique, oui nous parlons bien de la même jeune fille, celle évoquée depuis le début du chapitre. Non, il, n’a pas de pouvoir magique, il ne l’a pas non plus ensorcelée. Il a simplement vu en elle ce que seul lui pouvait voir. Il lui a donné toutes les clés pour qu’elle prenne conscience de ses atouts et de ce qu’elle est. Ensemble, ils se sont adonnés à des séances photos dénudés, sexy, nus, dans des lieux publics, dans la nature. Ils auraient pu être surpris, mais elle n’avait pas peur, il était là. Bien évidemment, ces deux-là n’ont pas perdu l’occasion de se faire du bien entre deux clichés. Ensemble, ils ont créé et publié des photos et vidéos d’eux, de leur corps, de leurs ébats sur des sites internet prévus à cet effet. Ils ont parcouru ensemble les commentaires encourageants et flatteurs des visiteurs. Ils auraient pu être critiqués, reconnus, mais elle n’avait pas peur, il était là. Ensemble, ils partageaient des moments intimes dans des lieux publics, aires d’autoroutes, forêts... ils auraient pu être vus et observés mais elle n’avait pas peur, il était là. Ensemble, ils avaient trouvé leur équilibre, elle s’est découvert femme grâce à lui et elle lui apportait tout ce dont il avait besoin dans la vie.Vous aurez certainement compris par le temps employé pour l’écriture de ce chapitre qu’aujourd’hui, cette relation idyllique est terminée. Les détails de cette rupture vous seront épargnés, mais les faits sont là. Il et elle se manquent. Il et elle se hantent.Dans ses rêves, il, assiste à des scènes de soumissions dont les acteurs principaux lui sont familiers.Fantasmes ? Rêves prémonitoires ? Il en parle comme s’il y était...Leurs histoires est-elle vraiment terminée ?
