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Moi, Aline, une femme différente

Chapitre 1

Les facéties de la vie

Travesti / Trans
Je vais vous raconter comment de Alain, je suis devenu Aline et comment débuta ma vie de shemale.
Au cours d’un mois vers la fin des années 80, dans une maternité de campagne :« Félicitation, Madame, c’est un superbe garçon, entendit ma mère à ma naissance. »Oui, un garçon, parfaitement formé, avec son petit robinet et sans vagin.
Mes parents décidèrent donc de me prénommer Alain et c’est ainsi que je débutais ma vie de petit garçon. Seulement la nature est parfois facétieuse et en avait décidé légèrement différemment. En effet, en grandissant, je n’avais pas les traits spécialement masculins, voire même, je passais plus facilement pour une fille que pour un garçon.
J’avais 2 ans quand mes parents se sont séparés. Ma mère s’est retrouvée un homme qui avait une fille, Carine, de mon âge à quelques jours près. Oui, quelques jours, j’étais plus âgé qu’elle de quelques jours. Elle était donc ma petite sœur, mais aussi mon amie, ma confidente et plus tard, en secret, mon amoureuse avant de devenir ma femme.

C’était un mercredi midi, quand j’étais en CM1, que tout a commencé. J’étais rentré encore une fois en pleurs, après avoir été traîné dans la boue et traité de fillette par les imbéciles du CM2. Certains en avaient même profité pour me donner quelques coups. Quand j’arrivais à la maison, nos parents étaient encore absents, c’était Noémie, notre voisine, qui s’occupait de nous. Elle était étudiante et profitait de ce petit travail pour gagner quelques sous pour mettre des épinards dans son assiette. Pour le beurre, il lui aurait fallu gagner plus.
C’était donc en rentrant en pleurs que tout commença. Ma sœur me reçut dans ses bras, elle n’était pas venue à l’école car malade le matin. Je passais le repas de midi à renifler et à dire que plus jamais je ne remettrais les pieds dans cette école. Je ne croyais pas si bien dire.

Dans l’après-midi, au lieu de voir nos parents arriver, nous avons vu notre tante Stéphanie, la sœur de Maman. Elle était accompagnée de deux dames, une en uniforme de gendarmerie et une en tailleur très strict. Tante Stéphanie était en pleurs.Elles entrèrent toutes les trois dans la maison et nous nous rendîmes dans le salon. Noémie voulut partit, mais Tante Stéphanie lui demanda de rester. La dame de la gendarmerie nous expliqua alors que nos parents avaient eu un très grave accident en rentrant à la maison. Un camion s’était renversé dans un virage en écrasant leur voiture. Quand les pompiers étaient arrivés, il était trop tard.
Ne comprenant pas tout, la seule chose que nous avions retenu Carine et moi, c’est que nos parents étaient morts. Nous étions orphelins. La dame en tailleur commença à parler, mais je n’écoutais plus, j’étais accroché à ma sœur et je pleurais toutes les larmes de mon corps. Elle me le rendait bien. Noémie nous a pris dans ses bras avec Tante Stéphanie, elles étaient en pleurs elles aussi.
Un peu plus tard, après avoir fait nos valises avec Noémie, lui avoir dit au-revoir, nous montâmes dans la voiture de tante Stéphanie et nous allâmes chez elle, à 150 km de chez nous.Elle avait eu un enfant, mais il était mort suite à une maladie. Elle n’a jamais pu en avoir d’autre. C’était donc nouveau pour elle d’avoir deux enfants d’un coup. Tonton Jean, le mari de Stéphanie, était à la maison pour nous recevoir. Il était aussi le grand frère de Papa, c’était par eux que s’étaient rencontrés Papa et Maman.
La fin de l’année étant proche en ce début juin, Tante Stéphanie décida de ne pas nous remettre à l’école. En effet, elle était elle même prof de français et Tonton Jean prof de physique dans un lycée du coin. Ils s’assurèrent donc que pour la fin de l’année, nous puissions travailler et surtout prendre nos marques dans notre nouvelle vie. La maison étant petite, nous logions dans la même chambre ma sœur et moi. Nous avions notre petit espace chacun, pour l’intimité, mais dans la journée, nous ouvrions la séparation.


C’est pendant ces journées que j’ai commencé à prendre les affaires de ma sœur et à me déguiser en fille. Comme j’avais la même taille qu’elle, c’était facile. Au début, j’attendais d’être seul dans la chambre, mais très vite, Carine s’en était rendue compte. Elle fit exprès de me surprendre un jour où j’avais passé une paire de collants et une de ses jupes. Quand elle entra dans la chambre, je me regardais dans le miroir en pieds, trouvant que ça m’allait bien. Elle prit un de ses chemisiers et me dit de l’enfiler à la place de mon t-shirt. Ce que je fis, n’ayant encore jamais osé le faire, me contentant de jupes et parfois de collants comme ce matin.
Elle alla chercher une perruque rose, qui lui avait servi lors d’un déguisement quelques temps plus tôt, et me la posa sur la tête. L’image que me renvoyait le miroir était celle d’une jolie fille de 9 ans avec des cheveux longs roses.« Reste habillé comme ça et attends Tonton Jean et Tata Stéphanie, me dit-elle.— Mais non, lui dis-je, je ne peux pas, ils vont se moquer de moi.— Regarde comment ça te va bien en fille, ajouta-t-elle, si tu ne veux plus être embêté à l’école, ce serait une solution. »
Je la regardais alors, surpris, mais elle avait l’air sérieuse.Je me rendis à ses arguments et décidais de rester habillé de la sorte.

Le soir, quand notre oncle et notre tante sont rentrés, Carine est allée les voir et leur a expliqué ce que je vivais dans notre ancienne école. Elle leur dit alors que nous avions trouvé une solution pour éviter que cette situation ne se reproduise. Elle m’appela et me dit de montrer la solution. Quand j’entrai dans la pièce, je vis le regard surpris des deux adultes. Nous avons discuté un long moment et décidé de faire quelques essais durant l’été. Ça marchait tellement bien que beaucoup nous prenaient pour des cousines. Nous ne nous ressemblions pas assez pour passer pour des sœurs.
Ainsi fut prise la décision qu’en CM2, j’irais à l’école sous le prénom d’Aline et habillé en fille.Ce fut la première et pas la dernière année. Cette année fut normale, car pour une fois personne ne me reprochait de ressembler à une fille, tout le monde était persuadé que j’en étais une.

Quand je vous dit que la nature est facétieuse, lorsque la puberté entra dans la danse, il apparut que j’avais un dérèglement hormonal qu’aucun médecin n’a jamais su expliquer. En effet, mes testicules sont descendus normalement, mon pénis s’est développé comme pour tout garçon de mon âge, mais en même temps, j’ai eu des seins qui ont poussés. Ils ont parlé de gynécomastie, phénomène qui se produit parfois chez les adolescents quand les hormones ne se libèrent pas dans l’ordre, mais en général, ce phénomène ne dure pas longtemps. Alors que chez moi, ma poitrine a poussé et est restée. Si bien que j’arbore un bonnet C naturel.
C’est donc en fille que j’ai passé toutes les années de collège puis de lycée. Les seuls qui connaissaient mon secret étaient Carine, notre tante, notre oncle et le médecin qui me faisait les dispenses de sports. En effet, ça aurait été étrange que j’aille dans les vestiaires garçons alors que j’étais habillé en fille. Ou que j’aille dans les vestiaire filles alors que j’avais un pénis. Je faisais donc du sport avec ma famille pour compenser.

Les années lycées passées, sont arrivées les années fac. La nature ayant quand même bien fait les choses, je n’avais aucune pilosité faciale et ma pomme d’Adam était aussi invisible que chez les femmes. Carine et moi avions toujours la même taille et nous échangions sans arrêt nos habits. Quand nous faisions les boutiques, nous achetions toujours en commun les habits et les sous-vêtements. Afin de ne pas montrer ce que je cachais entre les jambes, je portais toujours des jupes, du coup, Carine aussi. Le plaisir de porter un porte-jarretelles et des bas pour allumer les hommes et les femmes...J’avais aussi trouvé une méthode pour faire remonter mes testicules et pratiquement cacher mon pénis afin de pouvoir mettre des maillots de bain et profiter de la piscine, car j’avais toujours aimé l’eau. Nous évitions tout de même les heures où il y avait trop de monde.

Mais surtout, notre relation, à Carine et moi, avait évolué. Nous n’étions plus du tout frère et sœur, mais amoureux. Notre complicité de toujours s’était transformée en amour. Nous passions pour des lesbiennes auprès de toute la fac, mais ça ne nous dérangeait pas. Si certains des machos qui voulaient nous faire connaître leur pieu savaient ce qui se cache sous mes jupes et dessous féminins… je subodore que certains en auraient été jaloux. Nous en rajoutions même en nous galochant devant eux, afin de leur montrer qu’ils n’avaient aucune chance.
Quant-à Carine, elle n’était pas en manque de queue, nous aimions baiser et le faisions pratiquement tous les jours, mon sexe étant parfaitement opérationnel.
Peut-être qu’un jour, je vous raconterai la première fois que nous avons couchés ensemble, Carine et moi.
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