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Moi, Aline, une femme différente

Chapitre 2

Carine et moi, découverte de l'autre

Travesti / Trans
Dans ma première histoire, je vous ai raconté comment de Alain, je suis devenu Aline. Je récapitule, je suis né garçon, mais les années passant, j’avais des traits bien plus féminins que masculins. Bien qu’ayant un sexe d’homme en parfait état de fonctionnement, j’avais aussi une poitrine naturelle de bonne taille.De ce fait, depuis mon CM2, je m’habille en fille et me fais appeler Aline.
Je vécus cette situation simplement, sans me poser de question, durant de nombreuses années. Au début, j’étais guidé par ma sœur pour me comporter comme une fille, puis plus tard et le temps aidant, c’était devenu naturel. Carine et moi partagions tout, nos habits, notre maquillage, nos dessous. Nous avions la même taille, c’était plus simple que de tout avoir en double.
La puberté fut un moment étrange pour moi, mon pénis a grandit en même temps que ma poitrine. Du coup, bien que attiré par les filles, la situation était compliquée, tout le monde pensait que j’étais une lesbienne. Ce n’était pas toujours facile.
C’est un jour durant les vacances d’été, après avoir eu notre bac Carine et moi, et bien arrosé nos 18 ans, que nos rapports ont changés.

Nous avions déménagé depuis 3 ou 4 ans. Nous avions quitté la petite maison de notre oncle et notre tante, ils voulaient que nous ayions chacun notre chambre. Comme ils avaient fait construire, ils avaient profité pour mettre une salle de bain et un dressing entre nos chambres. Comme nous partagions nos vêtements, c’était plus simple que d’avoir chacun des affaires dans nos chambres.Un soir, alors que j’allais me doucher, je trouvais ma sœur dans la salle de bain en train de se raser le sexe. Nous n’étions pas vraiment pudiques entre nous, mais là, c’était une situation particulière.
— Excuse-moi, lui dis-je en sortant précipitamment de la pièce. Je reviendrai plus tard.— Pas grave, me répondit-elle, j’en ai pour 5 minutes.— Ok, j’attendrai, ajoutais-je en fermant la porte.
La vision de ma sœur dans cette position intime m’avait donné une érection. Vu que je portais un simple tanga, c’était difficile à cacher. Je m’installais sur mon lit et mécaniquement, je commençais à me caresser le sexe tout en m’effleurant la poitrine, j’ai les seins très sensibles.Je n’avais jamais pensé à ma sœur de cette façon, elle était une belle femme, elle connaissait mon secret, pas besoin de me cacher. En plus, bien que l’appelant ma sœur, nous n’avions aucun lien sanguin, ce qui me donnait encore plus envie d’elle sans avoir à surmonter des tabous.

J’en étais là de mes pensées quand elle entra d’un dans ma chambre, vêtue d’un léger kimono, en m’annonçant :— Ça y est Aline, j’ai fini, la place est libre.
Quand elle me vit sur mon lit, la queue à la main, elle se retourna toute rouge et posa sa main sur sa poitrine comme si elle se sentait mal.

— Carine, ça va ? lui demandai-je.— Oui oui, répondit-elle dans un souffle. Je ne m’attendais pas à te trouver comme ça. Désolée ma chérie.
Oui, elle m’appelait comme ça machinalement, nous n’utilisions jamais le masculin pour moi, surtout en public.
Elle lança par dessus son épaule en retournant dans la salle de bain :— Quoi que, vu ce que je vois, je devrais dire “MON” chéri…— Attends, lui dis-je.
Je pris rapidement ma jupe et la posais sur mon bas ventre pour cacher ma bite. Cependant, la bosse que formait ma jupe simplement posée permettait plus de deviner que de cacher.
— Je ne voulais pas te troubler, mais t’avoir vue comme ça, en train de te raser, ça m’a fait te voir autrement. Tu es belle Carine ! C’est la première fois que je te vois comme une femme et non plus comme ma sœur.
Je me levai, faisant tomber ma jupe, le sexe toujours tendu en direction de ma belle, et l’enlaçai par derrière. Je posai ma tête sur son épaule et lui fit un bisou dans le cou. Faisant cela, je la sentis frissonner. Elle se retourna et pour la première fois de notre vie, nos lèvres se joignirent. Je ne bougeai plus, ne voulant pas rompre le charme. Après un moment que je serais incapable d’évaluer, nos lèvres se séparèrent. Gênés chacun de notre côté, nous avons détourné la tête un court instant avant de revenir vers l’autre et d’échanger un nouveau baiser.

J’avais déjà eu l’occasion d’embrasser un ou deux garçons, ou quelques filles de notre bande de copines, mais jamais un baiser ne m’avait fait cet effet. Là, c’était comme une explosion de sens, je ne voulais plus qu’une chose : embrasser cette femme, la caresser, découvrir son corps, l’aimer. Elle devait ressentir la même chose, car lentement elle me repoussait vers mon lit en défaisant son kimono.Arrivés contre le dit meuble, elle me poussa dessus et grimpa au dessus de moi, reprenant le baiser où nous l’avions interrompu. Elle se tortillait sur moi, la chatte à la hauteur de ma bite, mais ça n’entrait pas. Je pris alors mon sexe, tendu comme jamais il n’avait été, et le plaçais entre les lèvres suintantes de ma Carine chérie. Elle descendit d’un coup dessus, nous faisant gémir de plaisir l’un et l’autre.
Nous étions tellement excités que notre premier coït ne dura pas longtemps. Nous jouîmes rapidement. Je tentais de l’avertir que j’allais éjaculer, mais elle resta sur moi et lorsque je me lâchais en elle, je sentis son vagin me serrer comme un étau à chacune de mes giclées, comme pour traire mon sexe. Elle joussait en même temps que moi.
Elle s’effondra ensuite sur moi, nos poitrines se frottant l’une contre l’autre et me glissa à l’oreille :— Depuis le temps que je te vois grandir, que je vois ta bite tous les matins quand tu vas prendre ta douche, j’avais tellement envie de savoir ce que ça ferait de la prendre en moi et…— Tais-toi ! lui dis-je en l’embrassant.
Nous nous embrassâmes pendant un long moment, rattrapant le temps perdu, puis je sentis ma bite reprendre de l’ampleur. Carine ne manqua pas de le remarquer aussi et, avec un sourire, elle descendit lentement le long de mon corps en m’embrassant le cou, les seins, le ventre et finit par descendre du lit pour prendre en bouche ce pieu dont elle rêvait depuis si longtemps. Elle s’y prenait bien, tellement bien, que je ne tardais pas à être au bord de l’explosion. Je la relevais et entrepris de lui lécher la fente gluante. Je n’étais pas forcément doué, mais j’y mis tout mon cœur.
Je l’entendais gémir et la voyais se tortiller sur mon lit, preuve que ce que je lui faisais lui plaisait. Je finis par remonter en embrassant son ventre, ses seins, son cou et ses lèvres. Pendant notre baiser, je profitais de ma position pour faire rentrer ma queue tendue dans sa moule qui n’attendait que d’être comblée. J’entrepris alors de la besogner lentement, profitant d’avoir joui auparavant, pour pouvoir me concentrer sur le plaisir de Carine. N’ayant aucune expérience du sexe avant, je me laissais guider par l’instinct, quand je l’entendais gémir et qu’elle me serrait dans ses bras, je comprenais qu’elle aimait ce que je faisais. Je caressais ses seins, pendant qu’elle faisait pareil avec les miens. Nous nous embrassions en frottant nos poitrines pour exciter nos mamelons. Et entre ces moments de relâchement, je la besognais et profitais du confort qu’offrait sa chatte bien lubrifiée à ma pine en feu.
Plus le temps passait et plus je sentais ma jouissance approcher, mais je voulais que le feu d’artifice soit commun avec ma Carine chérie. J’intensifiais l’amplitude de mes mouvements et augmentais le rythme. La jouissance de Carine me surpris et déclencha ma propre éjaculation tant son vagin aspirait ma pine. Je m’affalais sur mon lit auprès de ma chérie et me tournais pour l’embrasser tendrement. Baiser auquel elle répondit avec entrain.

Nous passâmes un long moment en caresses et baisers, découvrant le corps de l’autre avant de prendre conscience de ce qui s’était passé. Carine se tourna alors vers moi et plongea ses yeux dans les miens :— Ce fut merveilleux ma belle Aline, tu m’as faite jouir comme jamais ça ne m’était arrivé.— Moi aussi, j’ai adoré, ma chérie, je ne pensais pas que ça pouvait être si fort de jouir en aimant quelqu’un.
Carine m’embrassa encore, puis poursuivit :— J’ai déjà embrassé certains garçons au lycée, comme toi, je sais, mais à chaque fois, c’était toi qui j’imaginais se trouvant dans mes bras. Ce moment est enfin arrivé, je t’aime tant ma sœur chérie que je ne pouvais rêver de vivre avec personne d’autre.— Moi aussi, je t’aime ma sœur, lui répondis-je. Je veux poursuivre ma vie en étant à toi, toute à toi et rien qu’à toi. T’aimer, te chérir et t’épouser.

Nous recommençâmes  à nous embrasser pendant encore un moment avant d’aller prendre une douche ensemble. Nous n’avions pas refait l’amour sous la douche, mais elle elle fut quand même le théâtre d’échange de nombreuses caresses et baisers.
À partir de ce jour, nous n’avons plus pris nos douches qu’ensemble, parfois sagement, parfois moins sagement… voire très torridement.
Quand nous descendîmes pour le repas du soir, Stéphanie et Jean remarquèrent notre changement d’attitude. Ils avaient aussi entendu le bruit que nous avions fait en faisant l’amour, nous n’avions en effet pas cherché la discrétion. Sandrine sourit et nous embrassa toutes les deux en nous disant d’être heureuses et qu’ils nous donnaient leur bénédiction.Jean fut un peu plus terre à terre et nous donna une boîte de préservatifs en nous disant de nous protéger tant que nous ne voulions pas d’enfants. Puis il nous embrassa à son tour lui aussi et nous dit qu’il était heureux que nous ayons trouvé l’amour l’une avec l’autre.
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