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Moi, Aline, une femme différente

Chapitre 5

La couturière

Travesti / Trans
Lorsque je vous ai raconté l’histoire de notre mariage, à Carine et moi, je vous ai parlé de la vendeuse du magasin de robes de mariées, Marion. Je vous ai dit qu’elle avait forcément découvert ce que je cachais entre mes jambes, lors des essayages et ajustements sur ma robe.

Un jour, je reçus un appel urgent de Marion, c’était en fin de journée, elle avait voulu ajuster une couture lorsque le fil avait cédé. Elle souhaitait que je me rendisse rapidement au magasin pour réajuster la robe et réparer la couture en question.
En voyant l’heure, je me doutais de quelque chose. Je regardai Carine à son bureau et lui dit :— Je pense que Marion a envie de tester une shemale. Y allons-nous ma belle ? J’ai vraiment envie d’aller jouer avec elle.— Mhh, elle est mignonne en plus cette petite couturière... je rêve de la croquer moi aussi, me répondit songeusement ma chérie. En route ma puce, allons jouer.
Avant de partir de chez nous, je pris le gode ceinture qui nous servait lors de nos jeux avec Tania et Stephi et, tout en faisant un clin d’œil à ma chérie, je le glissai dans mon sac à main.
Nous nous rendîmes au magasin, la porte était encore déverrouillée, mais les grilles baissées sur les vitrines. Je poussai la porte et ne voyant pas Marion dans les environs, fis signe à Carine de rentrer et de se cacher dans un rayon. À peine avait-elle disparu, j’entendis ma couturière s’annoncer. Elle arriva en lissant sa jupe, elle avait dû se rendre aux toilettes d’urgence, m’expliqua-t-elle. Elle me fit la bise et ferma la porte à clef avant de baisser le rideau.
— Nous sortirons par derrière une fois que ce sera réglé, me dit-elle un peu gênée.
Je la sentais fébrile, elle ne savait pas comment aborder ce que je pensais être la raison principale de ma venue ici.Elle me fit timidement signe de la suivre vers les salons d’essayages en prenant la tête. Je cherchai Carine d’un regard circulaire. Je la vis me faire un baiser de loin et m’indiquer qu’elle allait attendre que je lui fasse signe de nous rejoindre.
Marion marchait à pas rapide, la tête baissée. J’adorais sa timidité, elle avait l’air mimi tout plein dans sa jupe courte et avec son gilet qui semblait recouvrir un body en dentelle bleue marine, dont je voyais le col dépasser. Je parle d’un body, car comme je vous l’ai déjà dit, nous adorons les dessous sexy ma chérie, Tania, Stephi et moi. Et la dentelle que je voyais ressemblait beaucoup à celle d’un des bodies qui était vendu dans le magasin, et dont nous possédions quelques exemplaires. Oui, car le magasin ne vendait pas que des robes de mariées, il était possible d’y trouver tout un tas d’articles sur mesure confectionnés chez eux, dont de la lingerie.Le magasin était le point de vente directe d’une société de confection qui fournissait des robes de mariées dans plusieurs chaînes de magasins spécialisés et quelques autres articles haut de gammes pour d’autres marques.
Marion me fit entrer dans un des salons d’essayage, elle ne savait visiblement toujours pas comment me présenter sa requête. Voyant cela, je m’approchai d’elle, pris son menton entre mon pouce et mon index, lui relevai la tête, j’étais plus grande qu’elle de presque une tête, et lui posai un baiser sur les lèvres. Je risquai au pire une claque, au mieux, de la rassurer.Au début, ma langue passa sur ses lèvres, mais après quelques secondes d’hésitation, elle répondit à mon baiser et nos langues s’entremêlèrent. Je vis dans son regard du soulagement. Elle s’éloigna de moi quelques instants, un peu essoufflée, avant de revenir m’embrasser.
Petit à petit, pendant ce baiser, je la repoussais vers le canapé du salon. J’en profitai aussi pour ouvrir son gilet et faire tomber sa jupe par terre. Comme je l’avais deviné, elle portait un sublime body en dentelle mettant en valeur ses courbes et volumes.
Je l’allongeai sur la canapé et commençai à la lécher dans le cou, puis sur le corps, à travers la dentelle. Arrivée à ses seins, j’en mordillai un peu les bouts qui étaient tout durs et semblaient vouloir passer à travers la matière soyeuse. Elle gémit et posa ses mains sur ma tête pour m’indiquer qu’elle aimerait bien que je descendisse entre ses jambes.Je suivis ses indications avec plaisir et sentis l’humidité qui sourdait de sa grotte et qui imbibait le tissu la cachant.Je jouais un moment avec ma langue à caresser sa fente et son bouton à travers la dentelle. J’en profitai aussi pour ôter mes propres vêtements et me retrouver en soutien-gorge, string et portes jarretelle avec des bas couleur fumée.
— Ohhh ! non ! je ne devrais pas ! entendis-je dire faiblement Marion, je n’ai jamais fait ça avec quelqu’un comme toi. Mais tu es si belle et si attirante.
Elle me pris les mains et m’attira pour échanger un nouveau baiser avec elle.Elle nous fit nous retourner, moi assise sur le canapé et elle au-dessus de moi. Elle descendit ensuite en m’embrassant chaque parcelle de peau qu’elle pouvait, sortit mes seins de leur gangue pour les embrasser à leur tour, et finit entre mes jambes où ma bite dépassait de mon string à cause de l’érection provoquée par la situation. Marion plongea dessus et entreprit une fellation comme si elle voulait dévorer mon sexe. Passée sa timidité, elle était entreprenante la bougresse.
Je vis ma chérie qui nous regardait dans l’entrebâillement de la porte. Je lui fis signe de venir nous rejoindre. Elle était elle aussi en sous-vêtements, le même body que Marion, mais en beige clair et des bas couleur chair sur ses jambes. Carine posa ses vêtements dans un coin et s’approcha doucement de nous. Elle se mit sur le dos et se glissa d’un coup entre les jambes de Marion pour lui embrasser la chatte. Ayant prévu la surprise, j’avais posé mes mains sur la tête de ma suceuse pour l’empêcher de se relever. Elle me lança un regard surpris et implorant.
— Chhhht, lui dis-je, ce n’est que Carine qui n’aime pas que je joue toute seule avec une belle femme. Elle ne te veut pas de mal.
Entendant cela, ma belle pompeuse repris son œuvre sur ma queue, pendant que la lécheuse entre ses jambes lui ouvrait le body pour accéder à la source de son jus d’amour.Je ne fus pas longue à venir, tellement la situation m’excitait. J’en avertis Marion qui continua à me pomper le dard, j’avais l’impression d’être aspirée par un aspirateur... Je jouis dans la bouche de la belle pendant qu’elle même jouissait sur ma chérie, lui inondant le visage. Elle était femme fontaine, mais l’ignorait encore jusqu’à ce jour.Nous nous embrassâmes toutes les trois en partageant les saveurs de chacune sur les lèvres et dans la bouche des autres.
Marion nous fis signe de la suivre et se dirigea vers une armoire dans la pièce. Elle ouvrit la porte et révéla un escalier montant. Elle commença à monter, totalement impudique avec son body ouvert révélant ses fesses, ses cuisses luisantes de son jus d’amour et ses cheveux en bataille. Un appel à l’amour cette femme.
Carine prit nos affaires puis me mit un claque sur les fesses pour me faire suivre notre nouvelle amante. Ce que je fis avec plaisir, tant les fesses qui roulaient devant moi étaient jolies à voir.
Nous arrivâmes dans un appartement. Elle nous révéla que c’était celui du gardien, créé à l’époque où les systèmes d’alarme et caméras de surveillance n’existaient pas ou coûtaient horriblement cher. Il ne servait plus beaucoup, mais de temps à autre, quand elle travaillait trop tard, elle en profitait pour y dormir. Sauf qu’aujourd’hui, ce n’était pas vraiment pour y dormir qu’elle nous y invitait.

Nous pénétrâmes dans un logement chichement meublé, une cuisine avec un réchaud de camping, une vieille table en bois et quatre chaises qui avaient dû voir passer des décennies.Par contre, dans la chambre, le lit était bien plus récent et king size. Marion enleva son body et s’allongea sur le lit dans un pose lascive. Je fis de même avec mes sous vêtements, ne gardant que mes bas et mon porte-jarretelles, et m’allongeai à la droite de notre proie. Carine retira aussi son body, gardant ses bas elle aussi, et s’allongea de l’autre côté de la belle. Prise entre nous deux, elle ne savait de quel côté se tourner. Nous résolûmes son problème en la léchant simultanément chacune sur un sein puis en remontant l’embrasser sur les lèvres. Elle répondit à nos baisers, très réceptive aux caresses que nous lui prodiguions en même temps.
Carine avait une main sur sa chatte pendant que moi, je lui titillait la petite porte. Marion se tordait sur le lit comme un serpent pris au piège. Mais quel piège, elle en redemandait la coquine. Elle prit d’une main ferme ma verge, qui avait retrouvé de la vigueur, et commença une lente masturbation, pendant que de l’autre main, elle explorait la fente de Carine qui commençait à faire un bruit mouillé.

Ma chérie se mit en 69 sur Marion et recommença à lui lécher le con, pendant que sa proie entamait un cunni sur le sexe suintant qui se présentait au-dessus d’elle. Elle ne devait pas en être à sa première minette, vu comment ma chérie commença à gémir sous les coups de langue et les doigts habiles de la belle vendeuse.
Marion continuait en même temps de manipuler ma queue, mais ses mouvements devenaient désordonnés. Je me mis donc derrière Carine et la pénétrai, remplaçant les doigts de Marion, pendant que celle-ci se concentrait sur le bouton de ma puce.Cette dernière ne fut pas longue à jouir sous mes coups de boutoir et les léchouille de la belle brune.

Elle se dégagea d’entre nous deux et Marion prit ma queue dans la bouche pour savourer le goût qui était dessus. Je me mis ensuite en position pour pénétrer notre nouvelle amie, pendant que Carine allait s’équiper pour m’enculer.Je commençai à baiser Marion quand je fis une pause. Celle-ci ne comprenant pas ce qu’il se passait me regarda, quand elle vit Carine passer derrière moi avec son gode ceinture et m’enculer. Je fus ensuite le jouet de ces deux femmes, une qui m’enculait, pendant que je sautais l’autre. La situation avait l’air de plaire à Marion, qui décida de changer de position. Carine sur le lit, moi au-dessus et Marion qui dirigeait le tout de dessus. Elle alla prendre un tube de lubrifiant dans la table de nuit et s’en enduisit la rondelle avant de nous rejoindre.
— Nous allons faire une brochette d’enculées, mes chéries, ça va être génial nous dit-elle en plaçant ma bite devant son trou du cul.— Tu es une vicieuse, lui dit Carine, nous n’avons jamais testé dans cette position.
C’est le moment que choisit Marion pour s’empaler sur ma bite, me faisant descendre sur le pieu de ma chérie. De part la position, Marion était presque debout et moi, prise entre la bite artificielle et le trou du cul, je montais et descendais. La coquine n’en était pas à sa première enculade non plus, tellement je coulissais facilement dans son fion. Elle jouit rapidement, s’enfonçant ma bite au fond de son cul et m’écrasant sur Carine, dont le chibre factice, en s’enfonçant profondément en moi, provoqua ma jouissance.
Nous nous effondrâmes sur le lit, reprenant notre souffle. Marion fut la première à se relever et nous entraîna sous la douche. La salle de bain aussi avait été réaménagée et la douche en occupait toute la, petite, surface. Trois pommes de douches au plafond et des jets horizontaux pour les massages, c’était génial. Cette pièce fut le théâtre de nouveaux jeux torrides. Marion voulut que nous la prenions en sandwich, Carine par derrière avec son gode et moi par-devant, mais toutes les deux dans sa chatte. Elle rêvait d’essayer cette position, mais n’ayant jamais eu deux queues à sa disposition, elle n’avait jamais pu accomplir ce fantasme. Là, c’était possible. Elle était parfaitement lubrifiée, mais la pénétration s’avéra plus compliquée qu’elle ne le pensait. En effet, pour faire rentrer deux bites, il faut de la place. Et bien qu’habituée à baiser, elle n’avait jamais rien pris de ce calibre dans le con. Nous finîmes par y arriver, nous bougions difficilement, mais rien que notre présence en elle fit jouir Marion, qui encore une fois eut une éjaculation abondante.
Nous nous séchâmes et retournâmes sur le lit. Après encore quelques caresses et embrassades, Marion nous proposa d’appeler pour une livraison de pizza, elle avait faim. Nous fûmes d’accord et rapidement, commande fut passée à une pizzeria locale qui livrait.
Quand la sonnette retentit, Marion attrapa derrière la porte une robe d’intérieur légèrement transparente, très courte et bien moulante, et alla ouvrir. Nous entendîmes presque le livreur déglutir en voyant cette jeune femme lui ouvrir dans une telle tenue. Le pauvre en bafouillait et ne savait plus ce qu’il devait dire. Marion lui donna plus que le prix des pizza et lui ferma la porte au nez en riant. Quand nous entendîmes le véhicule du livreur redémarrer, nous étions toutes les trois hilares. Les livreurs doivent en voir des bizarreries, mais ça eut quand même l’air de le surprendre de voir Marion dans cette tenue.
Elle ôta sa robe et la rangea avant de sortir des assiettes, des verres et un couteau pour manger. Elle disposa le tout sur la table et nous dit :
— Désolée mes chéries, je n’ai que de la bière pour aller avec la pizza.
Nous éclatâmes de rire Carine et moi, chose que Marion ne comprit pas.
— Nous sommes des geeks ma belle, même si nous n’en avons pas l’air, lui dis-je, pizza et bière sont les bases de notre alimentation lorsque nous passons trop de temps devant nos ordinateurs.
Marion nous rejoignit dans notre fou-rire.
— Vous n’avez en effet pas le look que j’aurais décrit pour des geek. Je vous aurais plus vue avec des lunettes, un air de vampire à cause du manque de lumière, des vêtements informes, un peu enveloppées à cause de votre alimentation à base de grignotage et, en effet, pizzas et bières... Alors que là, j’ai deux sublimes femmes, attentives à leur allure et joliment bronzées, pas intégralement d’ailleurs, fit remarquer Marion en passant ses doigts sur les marques de maillot chez Carine.
En regardant Marion, je constatai en effet qu’elle n’avait aucune trace de maillot. Son bronzage intégral était ravissant. Décidément, cette jolie femme nous réservait plein de surprises.
Nous parlâmes un moment en mangeant, les pizzas étaient bonnes, et la bière venant d’un artisan local était délicieuse.Marion avait à peu près notre âge et c’était la première fois qu’elle jouissait de la sorte. Jamais aucun personne ne lui avait fait un tel effet. L’appartement lui servait à plusieurs choses, en plus d’y dormir quand elle travaillait tard, elle y emmenait ses conquêtes. Le plus souvent masculines, parfois aussi féminines. Mais c’était la première fois qu’elle attirait un couple, et encore plus, des futures mariées dans ses filets. Elle avait bien tenté sa chance l’une ou l’autre fois avec certaines futures qui lui semblaient réceptives, mais jamais elle n’avait eu de résultat.— C’est la première fois que je fais ça, appeler pour une couture qui aurait lâché, nous dit notre hôte. Mais je n’aurais jamais pensé en lançant mon hameçon que je remonterai deux proies aussi belles, ajouta-t-elle tout en souriant. Je n’aurais jamais osé le faire avec une future mariée hétéro par contre. Mais voyant cette belle shemale, elle passa sa main sur ma queue, et que vous alliez vous marier en robes toutes les deux, je me suis dit que j’avais une chance de découvrir une nouveauté.— Et quelles nouveautés, lui dis-je en l’embrassant avant d’embrasser Carine, tu caches bien ton jeu quand on te voit toute timide et toute sage dans ton travail... Mais au lit, wahou, une tigresse affamée de sexe. Tu sais, quand j’ai eu ton appel, je pensais bien avoir compris ce que tu mijotais... aussi ais-je tout de suite proposé à Carine de venir, nous sommes très fusionnelles et faisons presque tout ensemble, surtout l’amour.— En parlant d’affamée, j’ai encore envie de vous mes chéries, je veux t’enculer, Aline, Carine avait l’air d’aimer ça.— C’est génial, répondit l’interpellée, tu verras, ça procure des sensations incroyables.
Nous rîmes de bon cœur avant de finir nos bières et de retourner dans la chambre.
Carine équipa Marion du gode, nous enduisîmes nos conduits de lubrifiant, ma puce et moi. J’enfilai ensuite ma chérie par le cul et mon enculeuse en fit autant avec son gode dans mon cul. Nous baisâmes un moment comme cela, avant de jouir. Nous nous embrassâmes encore un moment avant d’aller refaire un brin de toilette puis de nous coucher toutes trois dans le lit de Marion. Au matin, nous entendîmes le magasin ouvrir. Marion nous dit que c’était son jour de repos et qu’elle n’avait pas envie de se lever pour le moment. Elle nous expliqua aussi que si on entendait les bruits du magasin, c’était normal, ça permettait au gardien de surveiller que tout se passait bien. Mais les bruits ne s’entendaient pas dans l’autre sens.
Pour notre part, nous avions hélas du travail, aussi dûmes nous prendre congé, non sans un long échange de caresses et de baisers avant de la quitter. Nous nous promîmes de nous revoir un jour et de faire de nouvelles expériences.
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