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Moi Camille, gynécologue...

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Camille, bientôt la cinquantaine, un peu grisonnant, mais je suis encore pas mal, je crois que j’ai bien vieilli. Je suis gynécologue dans une petite ville de province, mon cabinet est situé dans un quartier un peu populaire. Mes clientes sont de tout âge et de toute nationalité. Parfois les nouvelles clientes sont surprises, pensant que Camille est un nom d’une femme, mais bon...
Une fois au cabinet, elles se laissent examiner quand même...
Je suis un des rares praticiens à prendre sans rendez-vous, c’est tout de même arrangeant, et cela me permet d’avoir une clientèle dite d’urgences, les mises en place de contraception urgente, comme les jeunes femmes qui ont une doctrine familiale compliquée, les rapports difficiles que l’on ne souhaite pas évoquer avec son gynéco habituel ou les nouvelles tout simplement qui ne trouvent plus de médecin. Je n’ai pas de secrétaire, juste une petite salle d’attente où trois personnes peuvent s’asseoir, elle n’est donc jamais bondée. Le cabinet est dans un immeuble, une ou deux personnes peuvent attendre dans le couloir, mais pas plus, cela gêne le voisinage, sinon elles reviennent en général le lendemain pour tenter leur chance. Je vais chercher mes clientes les unes après les autres, me permettant de prendre le temps que je veux, ça plaît à mes patientes, je crois, de ne pas être brusquées, je ne suis pas là pour faire du chiffre, j’aime mon métier.
Comme tous les hommes, je ne suis pas insensible au corps de certaines femmes et dans ma longue carrière, j’ai eu l’occasion de prendre et de donner du plaisir lorsque l’envie était réciproque. Vous n’imaginez pas ce que certaines patientes ont à l’esprit une fois les cuisses bien écartées...
Aujourd’hui, je vais vous parler de la fille d’une de mes clientes, Mathilde, petite blonde juvénile aux cheveux courts, venant juste d’avoir 18 ans, sûrement moins de 50 kilos et moins d’un mètre soixante, enfin une gamine quoi. Connaissant sa mère depuis plus de 20 ans, elle l’a naturellement orienté vers moi. Jeanne, sa maman, est l’exemple typique de femme avec qui j’ai eu des relations pendant mon travail. Il y a quelques années, elle venait une fois par mois pour me "consulter". À cette époque, son couple battait de l’aile et elle allait se séparer. Lors d’une visite de contrôle banale, nous nous plaisions tous les deux et spontanément, nous avons dérapé.
Mathilde était déjà venue me voir pour des conseils et de la prescription de pilule, mais toujours avec Jeanne. À ces occasions, elle avait pu remarquer notre complicité. Cela avait surpris Mathilde et sa mère lui avait avoué notre aventure du moment.
C’est donc la première fois qu’elle venait à mon cabinet, seule.
Mathilde, petite ingénue, est toute seule dans la salle d’attente, vêtue d’un t-shirt floqué d’un dessin animé et d’un short en jean avec des Stan-Smith et des chaussettes basses. Je ne distingue pas de soutien-gorge, ses petits seins tenant visiblement très bien comme ça. On dirait vraiment qu’elle sort du lycée vêtu comme ça...
— Ah ! Bonjour Mathilde, viens entre. Ta mère n’est pas avec toi ?
Elle me suit dans mon bureau.
— Bonjour Docteur, non, elle est au travail et m’a dit de venir seule.— Très bien. Qu’est-ce qui t’amène aujourd’hui ?— Eh bien docteur, j’ai eu 18 ans la semaine dernière et j’aimerais changer de contraception.— Oui Mathilde, mais pourquoi ce changement ?— Disons docteur que j’oublie souvent de prendre ma pilule et des copines m’ont parlé du stérilet, alors j’aimerais en avoir un, c’est plus pratique pour moi.
— Tu sais Mathilde, normalement, c’est pour les femmes ayant déjà eu des enfants, mais bon, je préfère t’installer ce dispositif plutôt que tu viennes me voir pour une grossesse non désirée, on va voir ça ensemble.— Merci docteur.— Il faut que je t’examine, installe-toi sur la table d’examen s’il te plaît.— Euh... Comme d’habitude Docteur ?— Oui ma belle, passe derrière le paravent et déshabille-toi complètement, tu peux garder tes chaussettes si tu veux, la femme de ménage n’est pas encore passée aujourd’hui...— Euh très bien docteur.
Après quelques dizaines de secondes, elle sort de derrière la cloison mobile et la voilà debout, toute nue devant moi. Troublé par la vision de son corps à peine sorti de l’adolescence, je la détaille du regard pendant un instant pour mon plus grand plaisir. Elle est toute menue et prend déjà soin d’elle, elle n’a aucun poil sur le pubis, ni nulle part ailleurs d’ailleurs.
Vous n’imaginez pas dans quel état viennent me voir certaines patientes, jeunes comme vieilles, certaines sont très négligées, et je ne parle pas de poils, ça, c’est agréable. J’imagine qu’autant de personnes vont chez le dentiste sans se brosser les dents que de femmes allant chez leur médecin sans prendre une douche. Bon parfois leurs effluves m’excitent énormément, mais parfois mon métier devient compliqué...
Revenons à Mathilde, une belle peau très blanche, des petits seins avec des aréoles relativement importante, très clair avec des tétons bien prononcés, on distingue parfaitement les lèvres de sa vulve, ses cuisses étant fines et parfaitement espacées. On pourrait doigter cette jeune fille sans qu’elle ait besoin d’écarter les cuisses. Je sens mon sexe frémir.
— Eh bien Mathilde... installe-toi.— Sur la table ?— Haha, oui Mathilde, mets les chevilles dans les étriers et pousse le bassin vers l’avant, je vais vérifier qu’il n’y a pas de contre-indications, si tout va bien, je l’installe immédiatement.— Très bien docteur, merci, c’est super rapide, mes copines ne l’ont eu qu’après trois ou quatre rendez-vous.— Tu sais, mes collègues avaient peut-être de bonnes raisons, vous êtes toutes différentes.
Et quel plaisir de voir des gamines de 18 ans écarter les cuisses devant nous, je sais bien pourquoi ils agissent ainsi.
La voilà qui grimpe sur la table maladroitement, se mettant en levrette pour s’installer, m’offrant une vue inattendue sur son petit cul cambré, ouvert aux plaisirs. Elle s’immobilise quelques instants dans cette position et me demande sans se retourner :
— Pourquoi vous ne m’examinez pas comme ça docteur ? Hi hi.— Mathilde, voyons, parce que ce n’est une position professionnelle... Même si tes copains doivent adorer te voir comme ça, tu ne serais certainement pas à l’aise pendant l’examen. Allez installe-toi.
Mathilde s’allonge enfin sur le dos et ouvre ses cuisses. Elle doit faire moins d’un mètre cinquante-cinq, car je dois ajuster les étriers pour qu’elle puisse se positionner correctement. Elle a parfaitement compris la consigne, ses fesses sont quasiment hors de la table. Habituellement, je dois souvent venir tirer sur les hanches de mes patientes pour les installer correctement de manière à pouvoir réaliser les examens.
— Tu as gardé tes chaussettes.— Vous m’avez dit que je pouvais.— Mais oui Mathilde, c’est très bien, ne t’inquiète pas. Alors voyons voir, je vais commencer l’examen, palper, toucher ta poitrine pour détecter une anomalie quelconque. Je ne dois pas avoir les mains froides à cette heure-ci, ça devrait aller. OK pour toi ?— Oui docteur.
La vision de cette ingénue, les cuisses bien écartées avec ses petites chaussettes, offerte sur ma table, m’excite énormément. J’ai clairement une belle érection.
Au vu de la taille de Mathilde, je peux me permettre de ne pas me positionner sur le côté comme je dois le faire normalement pour ne pas entrer en contact avec ma patiente, mais pour elle, après son manège, je me place entre ses jambes ouvertes. J’essaie de ne pas appuyer mon entrejambe avec trop d’insistance sur son pubis lors de ma palpation, mais la bosse qui déforme mon pantalon est juste en contact avec sa vulve, je fais comme si de rien n’était et elle ne réagit pas non plus. Au contraire, elle me regarde droit dans les yeux avec une mine satisfaite. Beaucoup de patientes, gênées, regardent le plafond ou les murs pendant les examens.
Je pose alors mes mains sur ses seins, ils sont à l’image du reste, menu et adorable. Mathilde semble apprécier ce contact. J’ausculte sa poitrine méticuleusement puis je me permets de pincer légèrement ses tétons, elle pousse alors un petit cri.
— C’est pour vérifier le temps de réaction des extrémités, Mathilde, j’espère que je ne t’ai pas fait mal ?— Non, c’est bon docteur. (toujours avec un petit sourire)
Tout en laissant mes mains sur son corps, je descends, effleurant son ventre vers son entrejambe comme une caresse. J’en profite pour m’asseoir sur le tabouret me trouvant maintenant juste en face de sa jeune minette et j’essaie instinctivement de respirer ses effluves de jeune femme.
— Vu que c’est une première consultation Mathilde, je dois vérifier l’intégrité de ta peau, tu sais... Voir si tout va bien...— Oui docteur, ça ne me dérange pas, maman m’a prévenu que c’était comme ça... Elle m’a raconté en détail comment vous l’avez aidé quand elle s’est séparée de mon père. Hi hi.
Ah la coquine ! Comme sa mère ! On dirait qu’elle n’est pas venue pour une simple consultation.
— Très bien Mathilde, je vais vérifier ta vulve puis ton vagin, n’hésite pas à me dire si tu sens une gêne ou une douleur.— Oui docteur.
Les mains toujours sur son corps, je caresse son ventre et descends vers son bassin, je remonte le long de ses cuisses, caresse ses genoux puis ses mollets. J’appuie mes mains contre la plante de ses pieds et redescends vers son puits d’amour. Je place ensuite mes pouces de part et d’autre de sa vulve pour pouvoir l’ouvrir. De fines et délicates petites lèvres, bien invaginées, donnent à son sexe un aspect des plus excitants. Un filet de cyprine s’écarte alors entre les petites commissures de sa minette. On dirait quelle mouille la gamine... Je relâche les lèvres puis avec un pouce, je découvre le capuchon de son clitoris. Il est déjà tellement dur. À l’aide de mon autre doigt, je le stimule un peu. J’appuie mon pouce directement dessus, cherchant le liquide qui s’écoule de sa vulve afin de stimuler son clitoris plus facilement. Je le frotte quelques secondes jusqu’à ce que Mathilde pousse le même petit cri que précédemment.
— Mathilde ? Tout va bien ?— Oui docteur, j’aime beaucoup ce que vous me faites, c’est mieux que dans les histoires de maman.— Ah ah... très bien... alors ta mère a dû t’en raconter des anecdotes. Elle avait exactement le même comportement que toi la première fois que je l’ai ausculté, la minette déjà toute trempée... tu copies un peu ma belle... enfin bref, tout est en place à l’extérieur, c’est parfait, Mathilde. On va voir à l’intérieur maintenant.
Sur ces mots, je descends mon pouce vers l’entrée de sa vulve. Je sens immédiatement la chaleur de sa fente brûlante, la petite est terriblement humide.
— Je vais introduire un doigt à l’intérieur de ton vagin Mathilde pour vérifier qu’il n’y a aucune anomalie.— Oui docteur, faites...
Je pénètre alors Mathilde de mon majeur, sa vulve encore bien serrée, je sens les contractions de ses muscles vaginaux lors de mon introduction. Prenant méthodiquement tout mon temps pour vérifier tous les aspects de son fragile intérieur. Tournant et appuyant sur toutes les zones internes, insistant sur son point G, sa cyprine s’écoule le long de mon majeur et vient humidifier mon poignet, elle mouille bien cette coquine, elle est clairement excitée par mon examen.
— Mathilde, je vais appuyer avec ma main sur ton ventre, il faut que tu pousses en même temps, je dois vérifier ton col.— Mmmh... Très bien docteur... Comme ça ?
Appuyant avec ma main gauche sur son ventre, Mathilde m’aide en poussant suffisamment pour faire entrer en contact son utérus et mon doigt. Je sens à présent le col de son utérus sur la pulpe de mon majeur, j’en fais le tour plusieurs fois pour le contrôler. Sa cyprine produit un bruit de succion des plus lubrique, je ressors alors mon doigt de son joli petit minou. Je hume discrètement son odeur, elle est délicieuse.
— C’est très bien Mathilde, tout est en ordre.— Merci docteur ! Vous m’avez rendue toute chose avec votre doigt...— Ah ah... Oui Mathilde, j’avais remarqué, tu sais. Je suis dans le même état que toi ma belle.— Tu veux que j’installe le stérilet aujourd’hui Mathilde ?— Oui docteur s’il vous plaît, comme ça, c’est réglé.— Je vais devoir utiliser un outil, un spéculum, pour installer le dispositif Mathilde.
Je lui présente alors l’outil en question.
— Euh OK docteur... mais ça fait mal ?— Non n’aie pas peur Mathilde, je vais t’expliquer l’examen. Je vais introduire le spéculum en toi puis je vais écarter doucement l’intérieur de ton vagin. Pour faciliter l’introduction du stérilet, je vais appliquer un lubrifiant sur le col de ton utérus, tu devras m’aider un peu à ce moment-là en contractant ton vagin pour bien faire entrer le lubrifiant dans ton orifice, d’accord ?— Oui docteur, je ferai de mon mieux.— Juste une question un peu indiscrète ma belle, un homme a déjà éjaculé en toi j’imagine ?— Oui bien sûr docteur, c’est ailleurs pour ça que je viens vous voir... parce que moi et l’oublie de pilule... vous comprenez...— Oui, oui... Alors, tu sais que la semence masculine est un bon lubrifiant Mathilde ?— Euh... oui, mais que voulez-vous dire docteur ?— Je veux dire que nous ne sommes clairement pas indifférents l’un à l’autre et que je pourrai utiliser mon sperme pour que l’introduction du stérilet se déroule au mieux, plutôt que les lubrifiants chimiques habituels.— Euh... (Mathilde rougit) Oui docteur. Je n’osai pas vous demander... Ma maman m’avait expliqué que vous lui aviez installé comme ça, avec votre semence. Des copines à elle l’ont fait installer normalement et c’était assez désagréable... Avec votre méthode, c’est beaucoup mieux.— Par contre Mathilde, je vais utiliser un paravent pour ne pas être déconcentré pendant l’opération, car cela peut durer plusieurs minutes, ça ira ?— Très bien docteur, faites comme il faut.
J’installe alors un paravent juste au niveau du bassin de la patiente, exposant à ma vue uniquement ses deux cuisses ouvertes, elle, ne voyant plus que le paravent.
— Tu vas sentir une pénétration Mathilde, mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas mon sexe. Tu as déjà ressenti ça n’est-ce pas ?— Oui, bien sûr docteur, je ne suis pas vierge, vous lavez bien vu.
Je sélectionne le modèle moyen, il fait 12 centimètres et s’ouvre juste assez pour ce que j’ai à faire, c’est un peu grand pour elle, mais je n’arriverai pas à travailler correctement avec plus petit.
— Je chauffe l’outil pour que cela soit moins désagréable, ça te va ?— Oui docteur, merci.
Toujours assis sur mon tabouret d’examen, j’ouvre alors les boutons de mon pantalon et sors mon sexe en érection.
Je lubrifie le spéculum avec de la vaseline et introduis délicatement les premiers centimètres.
— Ça va toujours Mathilde ?— Oui docteur, ça va pour l’instant.— Je pousse le reste de l’objet en elle d’une main et je me masturbe calmement de l’autre.— Je vais ouvrir le spéculum maintenant Mathilde.— Mmm... oui docteur.
J’écarte alors délicatement son antre, elle est si délicieusement excitante, bien serrée et fraîchement épilée, de quoi rendre ses nombreux amants heureux.
Je hume alors mon doigt pour m’imprégner de l’odeur de cette petite, mon érection est sur le point d’exploser. J’ai envie de la saisir par les chevilles pour la baiser comme elle le mérite, mais je n’en fais rien, n’exagérons pas pour cette première visite. Je me masturbe méthodiquement le gland et moins d’une minute après, j’ai envie d’éjaculer.
D’une voix un peu chevrotante, je lui dis :
— Attention Mathilde, je vais lubrifier la zone pour faciliter la pose du stérilet, tu devrais sentir une petite chaleur en toi, ne t’inquiète pas, c’est mon sperme qui gicle à l’intérieur...— Tu es prête ?— Oui docteur.— Ne bouge plus, j’y vais.
Je me redresse alors. La table toujours bien réglée à ma hauteur, ma verge se trouve pile en fasse de sa fente ouverte. Je la pénètre très doucement. Mon prépuce ne touche ses chaires qu’arrivé à mi-chemin, juste à l’endroit où les palettes du spéculum s’écartent suffisamment. Mon gland se décalotte alors d’un coup et convulse ma semence en trois ou quatre grosses giclées dans sa jeune matrice. Je masturbe un peu mon membre, très lentement, pour bien finir de me répandre dans le corps de cette jeune femme. Je me retire une fois tranquillement terminé. Mon éjaculation a duré une bonne minute. C’était divin.
Je remets ma verge ramollissante à sa place et me rassieds en face de la minette de la jeune fille, puis lui demande :
— Tout va bien Mathilde ?— Oui docteur, c’est bizarre, je sens votre semence presque brulante. On dirait que vous en avez mis beaucoup quand même... En général, quand mes copains viennent en moi, je ne le sens pas aussi fort que ça.— D’une part j’ai beaucoup éjaculé Mathilde, peut-être plus que tu en as l’habitude et d’autre part c’est parce que ton vagin est très ouvert avec le spéculum et tu sens la différence de température plus importante que quand tu te fais pénétrer naturellement. Mais ce n’est pas terminé, Mathilde, ne bouge pas.— Oui docteur.
Je repositionne alors le spéculum qui s’est déplacé un peu, avec délicatesse, jusqu’à arriver en butée sur son col. Une bonne quantité de sperme est dans sa cavité vaginale. Mélange de liquide séminal translucide et de substance blanche, grasse et bien épaisse. À l’aide d’une fine spatule, je concentre ce mélange sur l’ouverture de son col et lui demande alors :
— Pour m’aider à bien faire pénétrer le lubrifiant naturel et à introduire le stérilet Mathilde, il va falloir que tu contractes et décontractes plusieurs fois tes muscles vaginaux.— Oui docteur.
La petite s’exécute alors et je vois toute ma semence couler petit à petit par aspiration dans son utérus. Des petites bulles s’échappent du col entre chaque succion. Il lui faut bien une dizaine de contractions pour arriver à bout de la bonne quantité de foutre présent au fond d’elle.
— C’est très bien Mathilde, continue comme ça, le plus gros est dedans. Je vais poser le stérilet.
La dernière contraction me permet d’introduire d’un geste précis le stérilet et de le débarrasser de sa canule de guidage... en vrai professionnel.
— Voilà ma belle, il est en place...
Je déplace alors le paravent et observe ma patiente, en laissant le spéculum encore relativement ouvert, je le retire délicatement. Les lèvres de sa petite vulve se referment progressivement après le retrait de l’outil.
Ses lèvres closent, une goutte blanche de semence vient mettre en valeur l’étroitesse de son ouverture vaginale... J’ai visiblement bien travaillé.
— Tout va bien Mathilde ?— Oui docteur, c’est terminé ?— Oui presque, mais au vu la quantité de sperme que j’ai éjaculé en toi, tu pourrais avoir des pertes blanches aujourd’hui ou demain et tu dois finir ta plaquette de pilules en attendant que le stérilet s’active, tu as bien compris ?— Oui docteur.— Il te reste combien de pilules sur la plaquette ?— Je crois une dizaine docteur.— C’est parfait, fini la plaquette et ça devrait aller. (surtout le temps que ma semence soit complètement évacuée de sa jeune matrice)
Je regagne alors mon bureau, m’installe tranquillement, observe cette magnifique demoiselle offerte encore quelques instants...
— C’est terminé Mathilde, tu peux t’habiller.— Merci docteur.
Elle s’extrait des étriers, mais lorsqu’elle se redresse un filet de sperme mélangé à sa cyprine s’échappe de sa fente et vient couler le long de ses jeunes cuisses, je ne loupe rien de la scène. Elle regagne calmement la discrétion du paravent.
Habillée comme une lycéenne, ma semence à peine essuyée de ses cuisses, elle vient s’asseoir en face de mon bureau et me tend sa carte vitale.
— Merci Mathilde, je te fais cadeau du dispositif, ça fait juste 20 euros.— Maman m’a donné l’argent, tenez.— Merci ma belle... Et au fait, ça ne te dérange pas que je t’appelle ma belle, Mathilde.— Non docteur, ça me plaît bien, maman m’a prévenue que vous étiez un peu spécial, c’est pour ça que je suis venue vous voir. Vous avez la réputation d’être le plus doux des gynécos de la région et puis vous me plaisez bien comme vous l’avez remarqué... On se revoit vite pour un contrôle alors... docteur... Hi hi.
Sur ces mots, elle quitte mon cabinet.
Cette petite branlette matinale dans cette petite coquine ma bien réveillée... Je n’imaginai pas que sa mère ait pu lui parler du déroulement de nos consultations... Le secret médical ne s’applique qu’aux médecins visiblement... Mais les examens de sa mère sont pour une autre histoire...
Je prends encore quelques minutes pour me remettre de ma consultation, hume une dernière fois mon doigt ayant exploré la juvénile Mathilde et me dirige vers la salle d’attente pour voir quelle sera ma prochaine patiente... La journée s’annonce exceptionnelle...
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