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Moi Esclave

Chapitre 1

La rencontre

SM / Fétichisme
C’était en 2003 - Promesse d’un nouveau millénaire étincelant - Je sentais que ma vie n’allait nulle part. J’avais 22 ans et je travaillais dans mon pays d’origine, la Pologne, celle-ci n’était pas encore dans l’Union européenne avec toutes les opportunités que cela pouvait offrir. Je voulais, non ! Il fallait que je m’enfuie ! Mon travail était ennuyeux... Cependant, pas aussi ennuyeux que ma vie amoureuse. J’avais un petit ami qui semblait ne se soucier que de sa propre satisfaction et qui ne faisait aucun effort pour que les relations sexuelles que nous avions soient épanouissantes... sauf pour lui. J’avais plus de satisfaction, assise sur la machine à laver, sur le cycle essorage.
Je sais que je ne suis pas seule, parmi les femmes, quand je dis que la pénétration vaginale ne me suffit pas – J’ai besoin d’une stimulation clitoridienne pour que l’on me fasse jouir. Tout cela faisait, que, la plupart du temps, je simulais mes orgasmes avec lui, et, après coup, usais de mes doigts, me masturbant, pour me soulager de la frustration que je ressentais.
Un de mes copains, un gars nommé Adam, nous avait parlé de l’été qu’il avait passé en Grèce, quand il y était allé pour travailler, comme plombier. Il nous avait dit que c’était très excitant... une vraie aventure... et que si nous le voulions, il pourrait nous trouver du travail et qu’ainsi, nous pourrions échapper à l’existence grise de la vie en Pologne. Donc, sans plus de perspective de bonheur à mon horizon, j’ai accepté de les accompagner, d’abord, parce que je voulais pimenter ma vie, et que je ne voyais pas ça, pouvoir se produire, dans le pays où je vivais.
Nous voilà, donc, partageant une petite chambre avec un lit et une douche louée par un vieux couple, lui travaillant comme plombier dans le village avec son ami, Adam, et moi travaillant, par postes, comme serveuse dans un restaurant sur le port... Le travail variait en fonction de la quantité de la fréquentation du restaurant - évidemment le week-end, nous étions plus occupés, tandis que pendant la semaine, j’avais souvent du temps libre, l’après-midi, après l’heure de pointe du déjeuner et avant l’arrivée de la clientèle.
A côté du restaurant se trouvait un bar touristique, commerce de passage pendant la saison des vacances. Il était dirigé par un couple marié - pas grec, mais français ou belge - Je n’en étais jamais vraiment sûre. Le mari avait environ 50 ans, grand, aux cheveux longs, et assez beau, d’une stature puissante et robuste. Il possédait quelques établissements, disséminés dans le village, et sa femme dirigeait essentiellement, le bar touristique à sa place, le laissant libre d’exploiter ses autres bars et commerces. Son nom était Renaud, un nom que j’allais aimer en même temps que craindre au fil des années.
Nous étions nombreux, parmi les membres du personnel à fréquenter le bar en dehors des heures d’ouverture et je me retrouvais la plupart du temps à bavarder avec Renaud. Nous avions construit une relation, qui s’était transformée en un flirt sérieux. Il faisait toujours très attention de ne pas le laisser paraître devant sa femme et cela me rappelait douloureusement, le fait qu’il était un homme marié.
Au fil du temps, il m’est apparu évident qu’il attendait plus qu’une simple relation de conversation et de flirt - il me voulait - et je résolus de lui montrer le sentiment était réciproque. Il me semblait qu’il passait plus de temps dans ce bar touristique que dans ses autres commerces. Un soir, alors que j’étais au bar, je le vis aller vers le fond où se trouvaient les toilettes - une petite pièce qui menait par une porte aux toilettes des hommes et une aux toilettes des femmes. Il était dans cette petite pièce. J’y suis entrée et j’ai foutu en l’air toute prudence :je l’ai embrassé sur la bouche. Bouleversée par le flot de sentiments qui m’inondait, j’ai quitté le bar et n’y suis pas revenue de quelques jours.
Je le revis, quelque temps après, il m’invita alors à venir dans l’une de ses autres propriétés et me donna l’adresse d’un autre bar où on jouait de la musique grecque en live le week-end. Cet endroit particulier était situé sur une place ouverte, au premier étage d’un bâtiment, en haut d’un escalier après la porte principale. Afin d’éviter les ragots qui pouvaient vite se répandre dans une petite communauté, je pris soin de ne pas me faire remarquer quand je franchis la porte, en montant les escaliers et en restant dans le couloir, à l’extérieur du bar, en attendant Renaud. Il ne fallut pas longtemps avant qu’il arrive et verrouillant la porte derrière lui, il monta les escaliers. Quand il arriva près de moi, nous nous sommes regardés dans les yeux et nous nous sommes embrassés passionnément.
Ce baiser était le plus intense que j’aie jamais connu. Alors que sa langue plongeait dans ma bouche, je fondis dans ses bras, presque submergée d’émotion. Il ouvrit la pièce principale et me conduisant à l’intérieur, il effaça toutes mes inhibitions, m’arrêtant au centre de la pièce, m’embrassant partout, il m’a lentement déshabillée, enlevant mes vêtements un à un. La pièce avait des bancs encastrés dans les murs extérieurs et recouverts de coussins et il m’a allongée sur l’un d’eux. Et de ses mains, ses doigts et sa bouche, il m’a amenée à un orgasme merveilleux et intense. Après de si nombreuses années à n’atteindre l’orgasme que par la masturbation, les sensations m’ont envahie et m’ont fait atteindre des sommets auxquels je n’étais jamais parvenue. Jamais, auparavant, je n’avais été emmenée à une telle extase, jamais personne ne s’était soucié de mes besoins sexuels.
Ce qui me frappait dans cette situation, c’est que j’avais face à moi, un homme d’affaires prospère qui me voulait, moi, humble serveuse avec son peu d’expérience de la vie. Ce n’était pas un plombier ou un autre employé... C’était un patron... Quelqu’un de sérieux et de droiture. C’était, pour moi, une incroyable promotion sociale, et je ne pouvais imaginer que c’était en train de se produire. Quelqu’un que j’estimais, jusque-là, supérieur à moi, était en train de me faire jouir !
Pendant tout ce temps, Renaud est resté entièrement habillé, utilisant simplement son inventivité lascive pour me donner des orgasmes époustouflants. Avec le recul, je me rends compte maintenant que c’était une décision calculée de sa part. Il me donnait le désir de le vouloir autre... de vouloir de lui qu’il soit autre chose qu’un simple amant... d’avoir envie d’encore plus du bonheur sexuel qu’il était en train de me donner. En me mettant dans cette position, il m’obligeait à prendre la décision de me soumettre à lui, alors qu’à l’époque, je ne m’étais rendu compte de rien. Tout ce à quoi je pouvais penser était comment l’amener à me désirer encore plus, comment je pourrais, éventuellement, faire pour qu’il me donne encre plus de ces merveilleux moments d’orgasmes.
Au bout d’un moment, il me sortit des coussins et, m’agrippant par les cheveux, me fit m’agenouiller devant lui et prendre sa bite, sa magnifique bite, dans ma bouche. Je l’ai fait volontiers, affolée du désir de lui plaire et j’ai fait de mon mieux pour satisfaire son impérieux désir. Renault m’apprit à lui faire plaisir avec mes lèvres et mes doigts première bite que j’ai appris à adorer, je devais distendre mes lèvres à cause de sa grosseur. Mais, il avait d’autres vues et il m’a fait m’arrêter avant qu’il ne jouisse. Cela me perturbait et m’excitait tout à la fois- Personne ne m’avait jamais traitée de cette façon, comme si j’étais un objet de pur plaisir... et, j’aimais ça.
Il m’a demandé si je me soumettrais quoi que ce soit qu’il exigerait de moi... par exemple, s’il m’ordonnait de m’allonger sur le sol, le visage contre le sol sur le ventre, les bras et les jambes étendus, est-ce que j’obéirais. Sans hésitation et avec un engagement total, le regardant en face, avec joie, j’ai dit «oui, je le ferais». Une fois en position, il m’ordonna de ne pas bouger et il est sorti du bar, verrouillant la porte derrière lui.
Je gisais, sur le sol glacé, mes pensées pour seule compagnie. Renaud allait-il revenir ? Pourquoi me laissait-il seule, ici ? Dans quel pétrin suis-je en train de me fourrer ? Combien de temps vais-je rester, sur ce sol glacé, nue, à la merci de n’importe quoi ? Pourquoi suis-je si excitée ?
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