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Moi, fils queutard, fainéant et indigne de Sosso.

Chapitre 1

Inceste
Ce matin-là, j’avais débuté ma journée en matant une vidéo de cul sur mon ordinateur portable. À neuf heures trente passées, j’étais donc étendu, complètement à poil sur le lit de ma chambre, le PC posé sur mon bide, en train de m’astiquer avec frénésie, me fichant royalement de mes cours de la matinée et des premières épreuves du bac qui allaient débuter dans moins de trois mois.À dix-neuf ans révolus, je redoublais pourtant ma terminale mais il y avait déjà longtemps que j’avais fait une croix sur mes études. En fait le seul truc qui m’intéressait dans la vie, c’était de me taper un maximum de nanas et de baiser autant que possible.
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Tout avait basculé un an auparavant lorsque mon corps d’adolescent plutôt frêle laissa sa place, tardivement et de manière inattendue, à celui d’un homme aux poils drus et au paquet particulièrement volumineux.Avant ce changement, j’étais, comme la plupart des garçons de mon âge, obsédé par la taille de ma queue que je mesurais très souvent car elle me semblait toujours trop courte et pas assez épaisse. Je me sentais d’ailleurs prêt à endurer n’importe quel supplice si j’avais été certain qu’il ait permis à ma bite de gagner quelques millimètres de longueur ou de largeur.Heureusement, je n’eus pas besoin d’en passer par là, car après ma croissance tardive, je me retrouvai quasiment du jour au lendemain avec un monstre de plus de vingt centimètres épais comme mon poignet dans le calebard. Inutile de dire que ma confiance en moi s’en trouva sacrément boostée et que le fils à sa maman plus ou moins sérieux laissa rapidement la place à un queutard doublé d’un sacré glandeur.Ma prof de SVT, une MILF célibataire de quarante balais fut la première à se rendre compte de mon évolution physique et en quelques semaines, elle me prit mon pucelage et m’offrit en échange l’accès à tous ses orifices dans lesquels je me vidai les couilles quasi quotidiennement jusqu’aux vacances d’été.Si ses cours de sciences ne me furent d’aucune utilité, les leçons particulières de la prof s’avérèrent beaucoup plus profitables. Et comme je ne fus même pas admis à l’oral du bac, je partis, le lendemain de la publication des résultats, rejoindre le sud de la France avec mon sac sur le dos et, dans la poche de mon bermuda, les quelques billets qui constituaient ma fortune. Vu les moyens dont je disposais, je n’eus guère d’autre choix que de faire du stop. Heureusement au cours du voyage, je pus compter sur ma grosse bite bien vigoureuse pour disposer d’un gîte et d’un couvert tout à fait confortable.
C’est Nelly, une femme divorcée de trente-sept ans que je rencontrai à une station service au sud de Lyon et que je sautai une heure plus tard sur une aire de pique-nique, qui me proposa de l’accompagner dans le grand studio qu’elle avait louée au Cap d’Agde pendant trois semaines en juillet. En effet, dès qu’elle eut accueilli mon braquemart dans la chatte, Nelly fut tellement satisfaite qu’elle m’invita spontanément à partager ses vacances avec elle. Je fus bien sûr trop heureux de profiter de son hospitalité et de ses orifices accueillants, d’autant plus qu’elle me permit de réaliser avec elle une grande partie de mes fantasmes.J’eus notamment le plaisir de me retrouver dans son lit en sa compagnie et celles d’autres femmes qu’elle dragua pour moi et aussi le bonheur de la prendre en double pénétration avec un inconnu croisé sur notre lieu de séjour.
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Lorsque je regardais des vidéos de cul, je mettais généralement un casque audio pour éviter que ma mère entende les beuglements des gonzesses qui se faisaient démonter sur l’écran. C’est pourquoi je ne fis pas attention lorsqu’elle frappa à ma porte à deux reprises. Et Lorsqu’elle prit l’initiative d’ouvrir, elle me découvrit à poil, le bazooka pointé vers le plafond avec mon gland format brugnon gorgé de sang.Le cri de stupeur de ma mère me fit sortir de ma torpeur mais je ne me démontai pas pour autant. Et je pris le temps de lâcher mon manche à couilles avant de déplacer mon portable sur le côté du lit prêt à entamer avec elle une discussion qui s’annonçait pénible.Ma queue dressée s’était mise à pointer vers ma daronne qui était devenue rouge pivoine et dont les yeux exorbités restèrent fixés sur mon chibre pendant quelques secondes.— Bon sang! mais qu’est ce que tu trafiques dans ton lit à cette heure-ci au lieu d’être en cours! Hurla-t-elle complètement dépitée.— Ben! ça se voit non? Je me branle.— Tu n’as rien de mieux à faire !— Non puisque je n’ai pas trouvé de chatte à fourrer à cette heure.Ma mère resta bouche bée ne sachant pas quoi répondre. Alors j’en profitai pour lui sortir une insanité.— Si au moins, tu portais une nuisette raz le bonbon au lieu de cette chemise de nuit à fleurs de grand-mère, tu pourrais venir me sucer. Mais vu comme t’es bandante actuellement, je préfère encore me branler.

Je crus que ma mère allait faire une attaque et lorsqu’elle eut retrouvé un peu de sérénité, elle quitta ma chambre en claquant la porte. Ce qui me permit de reprendre la lecture de ma vidéo cochonne jusqu’à ce que je gicle sur mes draps.
Une fois calmé par ma branlette, je me levai et décidai que, puisque ma vioque venait de découvrir ce que je trimballais dans mon futal, je n’avais plus de raison de le lui cacher. Je me dirigeai donc à poil vers la cuisine. Sophie, alias Sosso, ma mère commençait son service à onze heures au grand magasin de ventes d’articles de sport du centre commercial local et elle n’avait pas encore quitté la maison. Assise sur une chaise, elle avait les yeux embués et lorsque j’entrai dans la pièce, elle ne put s’empêcher de regarder mon gros engin rebondir entre mes cuisses.— Elle te plaît ? je lui demandai. De nouveau, elle devint toute rouge et me regarda choquée.— Tu devrais t’en trouver une comme la mienne, je lui déclarai d’un ton provocant. Après tout ce temps passé sans baiser, tes tuyaux doivent être tout rouillés.
Ma mère encaissa l’insulte en se tassant sur sa chaise.Ça faisait en effet près de quatre ans que mes vieux s’étaient séparés et depuis, Sosso n’avait jamais découché ni ramené de type à la maison.
Je poussai un peu plus loin la perfidie.— Si t’as besoin d’un bon décrassage des conduits, tu peux compter sur moi. Faudra juste que tu troques tes vêtements de grand-mère contre des tenues sexys.Je crus qu’elle allait se mettre en colère lorsqu’elle se leva d’un coup. Mais je ne vis qu’une femme malheureuse et fortement troublée qui alla récupérer son sac sans dire un mot avant de partir bosser.Je n’avais pas de quoi être très fier de mon petit numéro mais malgré ça, je me sentais bien excité et je retournai peu après dans ma piaule pour me branler à nouveau en imaginant que j’étais en train de tirer Sosso, ma doche de quarante-deux ans parée du même porte-jarretelles que Lydie, la mère bien cochonne d’un élève de ma classe que je sautais parfois le jeudi après-midi.
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Ce soir là, je rentrai vers vingt-trois heures après avoir diné chez Leila, une voisine de la rue qui avait profité de l’absence de son conjoint pour m’inviter gentiment à la fourrer par tous les trous.Il se trouvait que ses gros nichons et son cul bien large m’avaient toujours excité au plus haut point et lorsque j’osai enfin la draguer après des années à fantasmer sur elle, je pus effectivement constater qu’elle était chaude comme la braise.
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Lors de mon retour à la baraque, je fis attention à être le plus silencieux possible en espérant ne pas réveiller ma mère et éviter ainsi une discussion pénible avec elle sur mon implication dans les études.
Après avoir refermé la porte d’entrée pratiquement sans un bruit, j’entendis des soupirs en provenance de la chambre de Sosso. Je n’eus pas besoin de gamberger longuement pour comprendre qu’elle était en train de se donner du plaisir et je me mis à bander malgré tout ce que j’avais donné dans la journée.Je l’écoutai un instant, l’oreille collée à la porte, et je décidai de profiter de l’occasion pour m’amuser un peu. Après être passé par ma piaule pour me déloquer entièrement, je revins silencieusement à la porte de ma mère puis je frappai une fois et, sans attendre de réponse, j’entrai immédiatement dans la pièce en allumant le plafonnier.
Ma mère, étendue toute nue sur son lit, avait les jambes serrées et elle se faisait du bien en frottant contre sa fente un beau concombre qu’elle faisait glisser entre ses cuisses.En me voyant, Sosso poussa un cri de stupeur et tenta de cacher son corps sous le drap.Je saisis aussitôt mon chibre tout raide à la main puis m’adressai à elle sur un ton moqueur.— Alors, t’as le minou en feu on dirait. Regarde mon engin, je suis sûr qu’il te ferait un bien fou.Ma mère était devenue toute rouge et elle avait du mal à détacher son regard de ma queue aux veines saillantes et au gland violacé. Elle finit par reprendre ses esprits et s’adressa à moi d’une voix peu assurée.— Va-t-en! s’il te plaît. Pourquoi es-tu si obscène avec moi?— Je suis pas obscène. J’ai juste envie de te faire du bien. Et je vois bien que tu meurs d’envie de te faire retapisser l’intérieur par mon gros pinceau. Et ça tombe bien parce que j’ai encore un peu de jus à donner.
Sosso était complètement tétanisée et elle n’osait répondre. Je m’approchai du lit et tirai le drap d’un coup pour qu’elle se retrouve à poil. Elle croisa les jambes et tenta de masquer ses seins avec ses bras. Tout en la regardant au fond des yeux, j’attrapai le concombre et me mis à le faire glisser sur sa fente. Malgré la honte qu’elle devait ressentir, elle écarta peu à peu les cuisses et je commençai à introduire le bout du légume dans son vagin.Le rythme de sa respiration s’accélèrait tandis que le concombre s’enfonçait en elle. Elle avait fermé les yeux et je compris qu’elle venait d’abandonner toute velléité de révolte. Sa chatte ruisselait de cyprine et elle ne pouvait masquer son désir de se faire remplir par l’objet qui lui écartelait la chatte.— Allez maman salope, dis moi que t’aimes ce que je te fais.Ma remarque fit se raidir Sosso. Le regard vissé sur sa généreuse poitrine, je glissai ma main sous celles de ma mère et je me mis à masser ses nibards. Ce contact direct avec la peau fine de ses seins m’électrisa. Ses tétons étaient gorgés de sang et je pinçai le gauche avec un certain sadisme.— Aïe ! S’écria-t-elle. Tu me fais mal!Ma seule réponse fut d’enfoncer plus profondément le légume dans le vagin de Sosso ce qui la fit hoqueter. J’avais une furieuse envie de planter ma queue à la place du légume mais il était évidemment bien trop tôt pour que cela se produise.Je prenais conscience de l’ascendant que j’avais désormais sur ma mère et ce sentiment de puissance me remplissait d’aise. J’entrevoyais tous les jeux pervers auxquels j’allais pouvoir me livrer avec elle.À cet instant, elle avait les yeux fermés et elle se mordait les lèvres pendant que je lui ramonais la chatte avec le concombre. Elle avait attrapé le drap du dessous et elle commençait à remuer le bassin pour profiter au mieux de la pénétration.Ayant fini par accepter que celui qui la branlait avec un légume n’était autre que son fils, elle se laissa aller totalement, gémissant de plus en plus bruyamment jusqu’à ce que l’orgasme l’emporte. J’abandonnai aussitôt le concombre planté dans sa chatte et je me branlai rapidement bien décidé à arroser ses gros nichons de quelques gouttes de foutre. Lorsque cela se produisit, Sosso avait les yeux ouverts et fixés sur ma queue, attendant résignée que le jet libérateur se répande sur son torse. Lorsque cela se produisit, j’essorai la dernière goutte consciencieusement puis je quittai la chambre sans un mot ni un regard pour ma mère.
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Le lendemain matin, je me rendis à poil à la cuisine pour récupérer de quoi me faire un petit déjeuner dans mon pieu.Sosso était assise à la table vêtue de sa chemise de nuit tue-l-amour.— Alors maman chérie, bien dormi ? Je lançai en entrant dans la pièce.Ma demande la fit sursauter. Elle n’osait pas trop me regarder après ce qui s’était passé au cours de la nuit.Je m’approchai alors d’elle et posai ma main sur son épaule et comme j’étais debout, j’avais une vue imprenable sur le décolleté de ses gros nichons.— Ne fais pas la gueule. On s’est fait du bien toi et moi hier soir, y’a pas mort d’homme. Comme elle ne répondait rien, je continuai mon discours. — Les concombres c’est bien mais tu avoueras que ça vaut pas une belle queue comme la mienne. En disant cela, j’attrapai la main de Sosso et je la posai sur ma bite qui avait commencé à se redresser. Elle voulut s’écarter mais comme je maintenais solidement son poignet, elle en fut incapable.Vaincue, elle se résolut à entourer mon manche avec ses longs doigts fins.— Ouais c’est bien, branle ton fils chéri. J’ai les couilles bien pleines et tant que j’aurai pas déchargé, je ne serai pas prêt à attaquer la journée.
Comme hypnotisée, ma mère se mit alors à faire coulisser sa main le long de ma queue qui bien vite prit une telle épaisseur qu’elle ne parvenait plus à l’entourer complètement.Je fermai les yeux et me laissai faire jusqu’au moment où je sentis que je n’allai pas pouvoir me retenir bien longtemps.Je récupérai alors mon engin et le positionnai en face du torse de ma mère. Puis j’accélérai le mouvement jusqu’à ce que je gicle en visant son décolleté. Le premier jet macula le milieu de ses seins et les suivants arrivèrent sur sa chemise.— C’est cool de se faire branler et de décharger sur les nibards de sa mère. Il va falloir qu’on remette ça plus souvent. Mais j’en ai marre de te voir porter ta chemise de nuit de grand mère. Alors aujourd’hui, tu vas aller t’acheter deux ou trois nuisettes de cochonne que je puisse mater à loisir tes gros nichons et ta foufoune poilue quand tu sors du lit.
Suite à ma déclaration, Sosso devint toute rouge. Je n’y prêtai aucune attention et allai prendre ce dont j’avais besoin dans le frigo et le placard avant de regagner ma chambre pour prendre mon petit déjeuner tout en matant des vidéos porno sur mon PC. Mais cette fois, je ne mis pas de casque en espérant que ma mère allait entendre les cris des nanas qui se faisaient déglinguer sur l’écran.
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Lorsque ma reum rentra du boulot peu avant vingt heures, j’étais déjà à la maison. Couché à poil sur le canapé, je tchattai avec une gonzesse de vingt six ans via une application installée sur mon smartphone. La nana était mariée depuis moins de deux ans mais ça faisait déjà un bon bout de temps qu’elle se tapait des extras. Et elle avait l’air fortement intéressée par ce que je lui avais montré qui pendait entre mes cuisses.— Salut Sosso, je m’écriai alors que ma mère venait de refermer la porte. Tu te fous à poil et tu viens me rejoindre dans le salon. J’ai une méchante gaule dont j’aimerais bien que tu t’occupes.
J’avais lancé mon injonction pour voir si elle allait être suivie d’effet mais bien sûr, rien ne se produisit. Au bout de quelques minutes, je me levai donc la teub toute raide à la main pour aller voir ce que trafiquait ma mère. Je constatai alors qu’elle était en train de prendre une douche. Elle poussa un cri lorsque j’écartai le rideau de la baignoire et eut le réflexe de plaquer une main sur sa poitrine et l’autre sur sa chatte. Ce qui eut le don de m’excéder.— Oh! Arrête ton cinéma, je sais comment tu es foutue maintenant. Alors c’est pas la peine de te planquer. Je saisis sa main gauche et la décollai de son pubis tout en la fixant au fond des yeux. Elle avait l’air désemparée mais cela ne m’empêcha nullement de plaquer mes lèvres contre les siennes pour lui rouler une pelle. Elle tenta bien de me repousser avec sa main libre mais elle abandonna rapidement, incapable de réfréner la pulsion qui la poussait à répondre à mon baiser torride.Tout en mélangeant ma langue à celle de Sosso, je plantai mon index et mon majeur gauche dans sa chatte. Elle écarta aussitôt les cuisses pour faciliter mon introduction ce qui me permit d’ajouter l’annulaire aux deux autres doigts.— T’as sacrément envie de te faire défoncer pas vrai, je déclarai après m’être détacher de sa bouche pour grimper avec elle dans la baignoire.Je l’attrapai sous les fesses et la soulevai pour amener sa chatte en face de ma queue.N’y tenant plus, ma mère attrapa ma pine et l’amena elle même entre ses cuisses.Lorsque je m’enfonçai dans son con, elle poussa un hurlement strident de chatte en chaleur.
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