Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 104 J'aime
  • 1 Commentaire

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane

Chapitre 17

Divers
LE CAP EST FRANCHI.
Je n’insiste pas et accepte cet état de fait, car en fin de compte, ce qui vient de se passer m’excite tellement que la situation me séduit.Avant que je ne franchisse la porte de l’hôtel le gros porc me dit :— Je te souhaite bien du courage ! Ça ne va pas être simple de tapiner en plein jour devant tout ce monde. Premièrement, les gens ne sont pas dans la rue pour aller aux putes mais pour faire des courses, et deuxièmement même si ils ont envie, même si ils ont l’argent, beaucoup n’oseront pas venir de voir de peur de se péter la honte ou d’être vu par des connaissances à eux. Tu as intérêt à être vraiment convaincante.J’ai bien peur qu’il ait raison. Le soir c’est facile, les mecs viennent là pour ça, et il suffit juste de faire des allers et retours sur le trottoir pour être abordée. Mais là, des allers et retours ne serviraient à rien, personne ne le remarquerait. C’est moi seule qui dois faire en sorte de me faire remarquer, et d’attirer l’attention.Je sors de l’hôtel et me retrouve dans la rue. Je commence par m’adosser contre le mur juste à l’entrée de l’hôtel. Je plie le genou droit pour coller mon pied au mur. Déjà, étant donné ma tenue, ça fait beaucoup plus salope, d’autant que ma jupe est sacrément remontée sur ma cuisse.Maintenant, les choses ne se feront pas toutes seules, je cherche l’idée pour vraiment attirer les mecs. Il ne faut pas que je me contente de rester là, il faut que dès qu’un mec me regarde je fasse quelque chose pour qu’il comprenne que je fais le tapin et que je suis libre.Ça ne tarde pas. Les premiers mecs qui passent me regardent avec attention mais marchent trop vite pour que je puisse faire quoique ce soit. J’en remarque un sur le trottoir d’en face qui fume une cigarette devant une boutique. Il me regarde. Moi je n’hésite pas et je lui fais un sourire enjôleur, puis je porte ma main à mes lèvres et souffle sur ma main pour lui envoyer le baiser. Il sourit à son tour. Je le sens bien celui là.Mais au même moment, une femme sort de la boutique, et s’accroche à son bras. Il me regarde avec un air plein de regrets, et le couple s’en va.16h30 ou même 35 maintenant. 2h30 pour me faire 40 clients. Ça doit faire plus de 15 clients par heures.Les minutes défilent. Je vois le jeune débile sortir de l’hôtel avec un paquet de feuille à la main. Je n’avais pas remarqué sa démarche. Il titube, ne marche pas du tout droit, il est encore plus handicapé mental que je le pensais. Pourtant, je lui ai fait une pipe, pourtant il m’a sodomisé de la plus belle des manières et m’a faite jouir comme une dingue. Même si il est complètement débile, horrible, je ne vois en lui qu’un sexe, et quel sexe, un merveilleux sexe.Il passe devant moi, ma conscience est écœurée que j’ai pu lui faire l’amour, mais mon corps ne regrette rien. Il fait 10 mètres puis fait demi-tour. Il se met face à moi, je lui souris malgré moi. Il saisit les chainettes reliant mon clitoris à mes tétons et tire dessus très fort. Je pousse un gémissement de plaisir. Il éclate de rire bêtement, comme un arriéré mental, et joue à tirer et à relâcher les chainettes. Mon bouton d’amour et mes tétons s’allongent. Je pousse des gémissements. C’est irrésistible, c’est trop bon, je me colle contre lui, passe mes bras autour de son cou. Je me mets alors à embrasser son cou, ses joues, sa bouche, je fouille sa bouche avec ma langue, il bave dans ma gorge et continue de tirer sur les chaines. Il va me faire jouir, il va me faire jouir en pleine rue, non, il ne faut pas..Le vieux porc s’écrit :— Harold ! Fais ton travail et laisse-la faire le sien !Harold a tellement à tellement peur de son père qu’il s’en va en courant, manquant se casser la figure a chaque pas.Ouf ! J’ai eu vraiment chaud, j’ai vraiment failli jouir !Je récupère doucement de mes chaleurs. Je m’adosse encore une fois contre le mur en pliant mon genou encore plus haut pour que toutes mes cuisses soient découvertes. Maintenant il faut vraiment que je m’y mette. Je cherche dans la foule des regards qui puissent s’intéresser à moi. Il y en a beaucoup, mais ou les hommes sont accompagnés ou ils se contentent juste de me trouver belle.Je regarde vers ma droite et repère un homme d’une soixantaine d’année. Je le repère car il marche lentement. Lui ne fait pas les magasins, il se promène, il n’est pas pressé, c’est lui qu’il me faut.Il me regarde avec envie, je le regarde en lui adressant un sourire et un petit clin d’œil plein de sous entendus. Quand il passe devant moi, je l’interpelle :— Excusez moi Monsieur, vous n’auriez pas une cigarette ?Je prie pour qu’il fume. L’homme sort de sa poche un paquet de Marlboro et s’approche de moi. Il me donne la cigarette, je la dépose entre mes lèvres pour lui intimer que je n’ai pas non plus de feu.Il fouille dans sa poche pour chercher son briquet. Comme il fait écran, me cachant ainsi des passants, je fais un truc dingue. Je défais discrètement le nœud de mon chemisier et écarte les pans. Mes seins jaillissent à ses yeux. Il les mate en allumant ma cigarette. Illico je demande :— Ça vous dirait de passer un petit moment avec moi ?
La phrase que je viens de prononcer met mes sens en exergue. J’ai ressenti un frisson incroyable, ma chatte est mouillée comme jamais elle ne l’a été. Ca y est, je suis en train de faire la pute, c’est une sensation terrible. Et cette sensation, cette excitation décuple lorsqu’il répond :— C’est combien ?C’est jouissif. Il sait que je suis une prostituée. Il aurait pu croire que j’étais juste une nympho qui avait envie de se faire baiser, mais non, il a compris que j’étais une pute. Bien sur, hier soir je me suis prostituée pour Jimmy, mais ce n’est pas du tout la même sensation. Hier soir je n’ai pas choisi de le faire, hier soir je n’ai pas accosté les clients, hier soir je n’ai pas dit combien je valais puisque Graziella s’en est chargée. Mais là, c’est moi et bien moi, délibérément, en provoquant par ma tenue, ma posture, mon sourire et mon clin d’œil, et surtout en n’hésitant pas à dévoiler mes seins dans la rue, c’est moi qui choisit de me prostituer.Je rougis pourtant de honte. C’est une étrange sensation, une délicieuse sensation d’annoncer le prix de son corps à un homme. Je réponds :— 50€ !— Et tu proposes quoi pour ça ?Merde ! Qu’est ce qu’on peut proposer pour 50€ ? Combien vaut une pipe ? Combien vaut l’amour ? Combien vaut la sodomie ? Je n’en sais rien du tout et puis de toute façon je n’ai pas le choix, soit ça convient, soit il s’en va et je perdrais 50€, alors je me lance :— De quoi avez-vous envie ?L’homme parait surpris par ma question. — Une pipe et l’amour ça me dirait !Moi :— On monte ?Il semble incrédule :— Tu me fais une pipe et je te baise pour 50€ ??Moi en rougissant, car je comprends que je me vends au rabais :— Oui ! — Alors on y va !J’entre dans l’hôtel avec mon client. Nous nous dirigeons vers le comptoir ou siège le vieux porc.L’hôtelier dit à mon client :— 30€ la chambre en espèce bien sûr !L’homme s’insurge :— Je comprends tout ! Tu es une belle petite arnaqueuse ! Tu donnes ton prix mais pas celui de la chambre ! Tu vois, tu m’aurais dit 80€ d’entrée je serais monté quand même car c’est encore pas très cher pour une beauté comme toi ! Mais c’est le principe qui me déplait alors je préfère partir !Je lui dis :— Non non ! C’est 50€ tout compris !— Avec la chambre ?— Oui avec la chambre !Le mec est éberlué. Et le vieux porc ricane :— Héhéhé ! c’est jour de solde !Mon client sort un billet de 50€ de sa poche. L’hôtelier lui rend la monnaie. Cet échange de billet, pour la vente de mon corps est terriblement excitante, et comme tout à l’heure, un frisson merveilleux parcours mon échine. Je mouille tellement que j’ai l’impression que ma cyprine coule sur mes cuisses.L’hôtelier me donne les clés, je passe devant, mon client m’emboite le pas. Je tortille des fesses pour montrer que je suis une bonne petite pute. L’homme doit mater mon cul nu. En tout cas, il n’hésite pas à poser sa main sur mes fesses pendant la montée, déclenchant en moi une sensation de soumission que j’adore. Je me remémore ce que m’a dit Graziella : « le client ne doit pas te toucher ».Pourtant je le laisse faire. La montée des 2 étages semble interminable. Le coquin passe son index entre mes grandes lèvres et j’ondule des hanches de plus belle. Il sait maintenant que je suis trempée, il sait que je suis terriblement excitée. Maintenant, il enfonce son index dans mon minou, je gémis en marchant. Arrivé sur le pallier du 2ème étage, je n’ai plus la force d’aller jusqu’à la chambre, je me colle face contre le mur, me cambre, laissant l’homme me branler avec son doigt. Je suis tellement excitée par tout ce qui se passe depuis que j’ai accosté mon client, par toutes les situations plus humiliantes, plus excitantes les unes que les autres auxquelles j’ai été confronté.L’homme comprend que je suis prête, il sait que je vais jouir, alors il ne prend pas la peine de me trainer jusqu’à la chambre, j’entends le zip de sa braguette descendre, je sens ma jupe se trousser, je sens son gland sur ma vulve, puis je suis secouée de spasmes. L’homme se met à me baiser comme un fou, je pousse des cris de plaisir terrible. Il m’assène de violents coups de boutoirs et quand il s’agrippe aux chainettes, je pars dans une jouissance extraordinaire.— Ohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii ! ooooooooooh je jouiiiiiiiiiiiisss ! c’est boooooooooooooooon !L’homme n’a pas joui. Il est donc évident que nous allons continuer. Il est là pour prendre son pied, pour se vider, il en veut pour son argent et ‘est normal.Il me sort de ma chatte. Il se rajuste, et me tape sur les fesses pour m’intimer de le guider jusqu’à la chambre.Nous entrons dans la chambre sordide. Je retire mon chemisier. Nouvelle terrible sensation, sensation qui redouble lorsque je retire ma jupe. C’est étrange, alors que mon client vient de me baiser sur le pallier, c’est maintenant que je me sens de plus en plus prostituée, en me déshabillant pour qu’il me baise.Mais ce n’est rien comparé, à ce qui est en train de se passer maintenant. SI l’on me touche à peine un téton, je crois que je jouirais. L’homme met la main dans sa poche, en extrait son portefeuille, l’ouvre, prend délicatement un billet de 20€ et le dépose sur la table de chevet. Voilà ! Je suis payée ! Quand bien même je le voudrais, je ne peux plus reculer ! Voilà : JE SUIS UNE PUTE, UNE VRAIE ! Et je prends conscience à ce moment là, que c’est mon avenir, je sais qu’un jour je pratiquerais ce métier pour de bon, je me prostituerai tout le restant de ma vie, en tout cas tant que des hommes voudront bien de bien, c’est une évidence. Je sais également que ce jour n’est peut être pas si éloigné que ça. Je n’ai que 19 ans mais ça ne me fait pas peur.Alors que j’étais dans mes pensées mon client s’est déshabillé. Il n’est pas vraiment bien foutu, sa peau est toute flasque, et son ventre est bedonnant. Son sexe, est de taille normale, mais pourtant il m’a fait jouir comme une folle. Je m’approche de lui dans mon plus simple appareil, passe les bras autour de son cou, et lui roule une merveilleuse pelle. Je me souviens pourtant des recommandations de Graziella : « tu n’embrasses pas ». Mais j’ai envie, au moment présent d’être encore plus pute que les pauvres filles de Jimmy, que je rejoindrais ce soir.L’homme me dit :— J’ai envie de t’enculer maintenant ! C’est compris dans le tarif ?En guise de réponse, je m’écarte de lui, monte sur le lit, me mets à 4 pattes tout au bord, me cambre et ouvre mes cuisses. Et encore une fois, mon cambrage fait tendre les chainettes avec toutes ses conséquences que cela provoque a mes sens.Je sens les mains de l’homme écarter mes fesses. Il enfonce son doigt dans mon anus et constate que son sexe entrera très facilement. Bien sur, son geste me fait gémir.Puis aussitôt, son gland se colle à mon anus. Je retiens mon souffle car je sais que la pénétration va être merveilleuse. Effectivement, au moment ou il pénètre d’un seul coup, sans douceur dans mon cul, je me cambre tellement violemment, que l’ai l’impression que mes chainettes vont arracher mon clito. Je pousse un long cri de plaisir. Des cris qui ne s’arrêtent pas à cause des assauts violents mais ô combien merveilleux de mon client.Le coquin s’agrippe à mes seins, et accélère autant qu’il peut. Je ne suis que cris et gémissements :— Ohhh ouii ! Ohhh c’est boonn ! Encuuuulez moi bien ! Ohhh plus fort ! Je me mets alors à onduler des hanches. L’homme devient fou. Il pousse des cris de bêtes !Il sort de mon cul et pénètre aussitôt dans ma chatte, il donne 3 ou 4 coups de reins, puis ressort et pénètre à nouveau dans mon cul et c’est quand il est au plus profond de mes entrailles que j’explose de jouissance, une jouissance terrible, dans un cri strident :— hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! aaaaaaaaaarrrrrrghhhhhhhhhhhhhhhhhhh !Mon client sort à toute vitesse de mon anus. Il m’attrape par les cheveux pour me faire mettre face à lui toujours à 4 pattes. Toujours en me tirant par les cheveux, il colle ma bouche contre son gland, je l’ouvre et son sexe pénètre à l’intérieur. Je me mets à le sucer comme une reine. Il pousse des grognements. Je m’applique, fais tourner ma langue autour du gland, titille l’endroit sur le gland qui forme un petit V et qui rend les hommes fous, puis j’enfourne sa bite jusqu’au plus profond de ma gorge et fait aller et venir mes lèvres fermées sur le manche. C’est le coup fatal, l’homme pousse un cri de bête et explose dans ma bouche. Comme d’habitude, j’avale sa sève goulument, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus une goutte.Je continue de le sucer pendant qu’il récupère, puis je sors son sexe de ma bouche, et descend du lit.Je remets ma jupe et mon chemisier sans pour autant refaire le nœud. Je me contente de rentrer les pans dans ma jupe, pour laisser mon ventre, et le milieu de mes seins nus. Mes tétons sont tellement prêts à jaillir, que mes créoles dépassent des pans de mon chemisier.Le client s’en va sans un mot. Je vais au lavabo pour nettoyer mon cul et ma chatte avec un gant mouillé, mets les 20€ dans le tiroir de la table de chevet, rajuste le lit, puis je redescends.Plus que 720€ sans compter les 100€ si je veux avoir une copie des photos prises par le vieux porc.A peine ai-je franchi le porche qu’un homme s’approche de moi avec un papier à la main. Peut-être une opportunité, alors comme tout à l’heure, j’écarte les pans de mon chemisier pour lui montrer mes seins. Il en bave d’envie mais ne parait pas si surpris que ça.Par contre, une qui est surprise c’est moi, quand le mec me demande :— C’est toi Katia !— Heu ! oui ! mais comment connaissez-vous mon prénom — C’est bien toi la pute?L’excitation monte a une vitesse folle et j’en oublie qu’il connait mon prénom.En rougissant je dis :— Heu ! oui c’est bien moi !— Bon on monte !— Heu oui bien sûr !Il met le papier qu’il tient à la main, dans sa poche, et nous voilà entrer dans l’hôtel. Une fois de plus je le guide vers le comptoir. L’hôtelier lui dit :— 30€ la chambre !— 30€ ???????— Et oui ! il faut bien vivre !Je pense que le mec va rechigner, mais non, il donne les 30€ à l’Hôtelier, et mes sensations de plaisir, d’humiliation reviennent. Le vieux porc me donne la clé de la chambre.Je passe devant, mon client m’emboite le pas. Sur le pallier du 1er étage, sans m’arrêter de marcher, je lui dis :— Vous pouvez toucher vous savez !C’est en attaquant les marches menant au second que je sens une main écarter mes fesses et un doigt qui s’enfonce dans mon anus ouvert suite à ma première passe.Je me cambre sous le choc, les chainettes tirent sur mes tétons et mon bouton d’amour. Je pousse un gémissement de plaisir sans pour autant m’arrêter. J’ondule des reins et le doigt tourne dans mon cul, mes gémissements s’accentuent.Nous arrivons enfin devant la porte de la chambre, l’homme sort son doigt de mon anus. J’ouvre la chambre et nous entrons.Je retire mon chemisier, dégrafe ma jupe, et en rien de temps je suis nue devant mon client.L’homme me tend alors un billet de banque. J’écarquille les yeux et je dis, légèrement en colère :— Dites-moi ! ce n’est pas 10€ mais 20€Calmement il sort le fameux papier de sa poche et me le tend.— Et ça ! c’est quoi ?Je prends le papier et manque défaillir.Sur ce papier de format A4, il y a une photo de moi, à quatre pattes de dos à l’appareil, cuisses écartées, fesses ouvertes avec le beau sexe du débile à quelques cm de mon anus, j’ai la tête tournée vers l’appareil photo, les yeux fermés et le visage plein de plaisir. D’autres photos plus petites accompagnent celle-ci, lorsque je fais une pipe au débile, lorsque j’ai les cuisses écartées au bord du lit et que je me caresse les seins, et sur chacune de ces photos, on peut voir distinctement mon visage. Mais ce n’est pas tout, il y a également des inscriptions :En gros en haut de la feuille :OFFRE DE LANCEMENT : KATIA LA VIDEUSE DE COUILLES A PRIX CASSE POUR 40€ SEULEMENT
Puis sous les photos, et en plus petit :Le prix comprend la chambre et Katia (chambre payable d’avance à l’accueil, solde directement à Katia)Vous la trouverez devant l’HOTEL ST-ROME, 22 rue Saint-Rome.
Je me remémore alors le débile sortant de l’hôtel avec un gros paquet de feuille. Son enfoiré de père lui a ordonné d’aller les distribuer dans la rue. Je suis terriblement en colère, car non seulement le vieux porc à fixer lui-même le prix sans m’en parler, mais surtout parce que désormais, ce n’est plus 40 passes que je vais devoir effectuer, mais 81. Je regarde ma montre, 16h55. C’est impossible, 81 clients en 2h00, ça fait 1 client toutes les minutes et demi, c’est IMPOSSIBLE. Il va falloir vraiment que j’expédie la chose et que je descende les escaliers en courant. Et encore faudra t-il que je trouve un client de suite. Ça encore ce n’est pas un problème, avec le prospectus, il doit y avoir la queue devant l’hôtel.Je regarde le billet de 10€. Un frisson terrible parcours tout mon corps et je me mets à mouiller comme une chienne. Je suis vraiment une roulure, la pire des putes, je me vends pour 10€ aucune pute n’accepterait ça, même le pire boudin. Je pose le billet sur la table de chevet. L’homme est nu, je me colle contre lui, lui roule une pelle (ce que m’a également interdit Graziella) et lui demande langoureusement :— De quoi avez-vous envie ?L’homme se sépare de moi et s’assoit au bord du lit. Je comprends ce qu’il veut et le rejoins :— Vous me voulez de dos a vous, ou de face à vous ?— De dos à moi ! je veux que tu t’empales par le cul !Lui ne cherche même pas à savoir à ce qu’il a droit de me faire pour 10€. Le prospectus est assez explicite, tout est permis, je suis là pour vider les couilles des hommes, quelle qu’en soit la manière.Je me mets donc de dos à lui. Je prends son sexe dans ma main. Je m’assois lentement sur ses genoux. Lorsque son gland est contre mes fesses, j’écarte mes cuisses et guide le gland contre mon anus. L’homme pousse un grognement, car son sexe vient de pénétrer dans mon cul, sans aucune difficulté. Je monte et descends sur son manche lentement pour laisser mon cul s’habituer à la présence de cet intrus, puis tout en gémissant j’accélère progressivement, pour en arriver à me sodomiser à une vitesse folle. L’homme grogne de plus en plus et agrippe mes seins comme un fou. Je pousse des petits cris de plaisirs et ondule de plus belle, accélère encore, je danse avec mon corps en criant :— Humm ohh ! ouiii ! ouiiii ! c’est bon ! c’est boonnn !Puis je reçois des jets brulants de sève au fond de mes entrailles. Ça gicle et gicle encore. Mon client m’entraine dans sa jouissance et j’explose de plaisir en hurlant.Je n’ai pas de temps à perdre, alors je m’extrais de son manche, me mets à genoux entre ses cuisses. Je prends son manche dans sa bouche et je me mets à le pomper comme une folle pour nettoyer sa bite. J’aspire pour extraire les dernières gouttes. Je le rends tellement fou, qu’il jouit une seconde fois, inondant ma bouche. J’avale sa sève goulument, c’est fini, je viens de terminer mon second client. Je regarde ma montre : 3 minutes. Il faut que je fasse beaucoup plus vite.Je trépigne pendant que mon client se rhabille. Il faudra aussi que je compte la dessus : le temps de rhabillage du client prend énormément de temps. Décidément c’est impossible.Une fois rhabillée nous descendons ensemble. J’arrive dans le hall et me dirige vers l’hôtelier :— C’est dégueulasse ce que vous venez de faire ! Comment voulez vous que je fasse 80 passes en moins de 2h00 !— Ben écoute moi j’essaie de t’aider pour que tu gagnes le plus de fric possible !— Comment voulez vous que je fasse avec 10€ a chaque fois ?— Tu t’es laissé baiser quand même ?— Heu oui !— Donc c’est que tu estimes que tu vaux 10€ et moi aussi! et dépêche toi il y a la queue devant la porte !Je me retourne vers la porte, et je frémis d’excitation. Il y a une dizaine d’hommes qui attendent devant la porte de l’hôtel.Alors je dégrafe ma jupe, retire mon chemisier, et je me retrouve nue dans le hall de l’hôtel. Je dis à l’hôtelier :— Vous pouvez me garder mes habits, je n’en ai pas besoin pour le moment car je n’ai plus besoin d’aller dans la rue ! Je gagnerais ainsi un peu de temps !L’hôtelier prend mes fringues et les cache derrière le comptoir. Moi, sans hésiter, je me dirige vers la porte, prends la main du premier de la file, et l’entraine avec moi. Une nouvelle fois, je le guide vers le comptoir pour le faire payer et pour prendre la clé.Dans l’escalier je passe devant lui. Il doit baver de me voir monter complètement à poil, ondulant des reins à outrance, la chatte trempée comme jamais. Trempée parce que je pense que je me vends pour 10€ et que c’est extrêmement humiliant, n’importe quelle pute prendrait au moins 50€ et ne ferais pas la moitié de ce que je fais avec ces hommes. Je suis tellement excitée que j’en arrive à penser que même si je ne devais pas payer le tatoueur, je ferais quand même la pute dans les mêmes conditions PARCE QUE J’ADORE ÇA.Tout est réuni pour que je sois excitée : Le prospectus, le prix, le paiement de l’hôtelier par les clients, l’air surpris qu’ils prennent quand ils comprennent que le prix de la chambre coute 3 fois plus cher que ma prestation, sans compter le geste du client qui me tend le billetJe me sens pute, la pire des putes, la pute à 10€, et ça me rend dingue.J’ouvre la porte de la chambre. Le client ne m’a pas touché durant la montée. Je ferme la porte et dis :— C’est 10€ chéri ! déshabillez-vous vite !Le fait d’annoncer moi-même le tarif m’excite de plus belle. Mes tétons s’allongent un peu plus, mon clito s’échappe d’entre mes grandes lèvres. Et je ne vous raconte même pas dans quel état je suis quand je vois le client fouiller dans sa poche, quand j’entends clinquer les pièces, et lorsque je vous 5 pièces de 2€ tomber dans la soucoupe. C’est terrible, je n’en peux plus.Je saute au cou du client et embrasse son visage, son cou, sa bouche. Comble d’humiliation, il me repousse :— Laisse-moi le temps de me déshabiller !Quand je pense que je supplie par mon comportement ce vieil horrible de me sauter, je suis à 2 doigts de la jouissance. J’assois sur le lit, cuisses largement écartées, et je me caresse les seins en gémissant comme une chienne, je n’en peux plus, je vais jouir.L’homme me dit :— Mets toi à 4 pattes que je t’enfile !Je n’hésite pas une seconde et me mets en levrette sur le lit en écartant bien mes jambes et en me cambrant au maximum, tendant ainsi les chainettes avec tout le plaisir que cela m’apporte. Aussi, quand le gland de l’homme se colle à ma vulve, mon corps est secoué de spasmes et je crie :— Ohhh ouiiii ! je jouiiiiiiiisssss !L’homme n’en tient pas compte et m’enfile comme promis. Il se met à aller et venir à toute vitesse, en me tenant par les hanches, m’arrachant des cris de plaisirs complètement fous.Il va et vient dans ma chatte de plus en plus vite avec une violence folle. Je ne peux plus tenir que mes mains, alors je laisse mon buste s’écraser sur le lit. Je suis encore plus ouverte et les chainettes étirent encore mes tétons et mon clito. Voyant ma position, et mon anus béant, l’homme s’exclame :— Oh putain ! Quel trou du cul !Il sort alors de ma chatte et sans hésiter, il s’enfonce dans mon cul avec une facilité déconcertante. C’est à grand coup de boutoirs qu’il me sodomise comme un fou, et je jouis une seconde fois. Puis il sort de mon cul pour pénétrer dans ma chatte. Au bout de 2 va et vient, il ressort et s’enfonce à nouveau dans mon cul. C’est terriblement bon, trop bon, trop trop bon. Je pousse des cris de folles. Il sort de mon cul, et se présente devant moi. Il colle son gland à mes lèvres. Sans hésiter j’ouvre la bouche, son manche pénètre, je ferme les lèvres et l’homme se met à baiser ma bouche comme un sauvage. Je n’arrive même plus à crier, j’éructe en bavant, je m’étouffe, je suis a 2 doigts de vomir. L’homme sort de ma bouche, et quelques secondes plus tard, sa bite s’enfonce dans ma chatte, ressort de suite et s’enfonce dans mon cul. Je n’en peux plus et je jouis pour la 3ème fois, mais cette fois j’éjacule comme une folle, ca gicle dans tous les sens. Sous la chaleur de ma jouissance, de mon explosion, l’homme pousse un cri et se précipite devant moi. J’ouvre la bouche en grand, il se branle devant ma bouche ouverte, puis sa sève explose dans ma bouche, sur mon visage, sur mes cheveux. J’en ai plein la bouche et en ai le visage couvert.L’homme se dirige alors vers le lavabo, et se lave la queue. Ça aussi c’est un moment très excitant. Le client se rhabille et s’en va.Je passe mon visage plein de sperme sous l’eau. Je regarde ma montre. Merde ! J’ai passé 10 minutes avec lui, c’est beaucoup beaucoup trop !Je dévale les escaliers nus comme un ver. Je rends la clé à l’hôtelier. Il me regarde dépité et me dit :— Écoute ! j’ai une solution ! Je vais t’avancer l’argent qui te manquera à 19h00 et tu iras rembourser ce que tu dois ! Par contre tu te débrouilleras a revenir pour que nous terminions notre business et que tu me rembourses ce que tu me dois ! Tu as 2 jours pour ça !Je suis folle de bonheur :— Oh merci ! vraiment merci ! je vous rembourserais tout ! je vous promets ! Je ferais me prostituerai pendant des heures pour ça !— Parfait ! en attendant, continue de bosser !Et je vais chercher mon 4ème client.Pendant les 2 heures qui suivent, ce n’est que jouissance, sodomie, baise, pipes. Certains jouissent vite, d’autres sont de vrais performers. Le client le plus rapide est resté avec moi 2minutes tout compris. A peine a-t-il planté sa bite dans mon cul qu’il a giclé au plus profond de mes entrailles, et même là j’ai joui comme une dingue. Le plus performant, m’a tout fait pendant 20 minutes, une vraie bête, avec une queue énorme, et j’ai eu une dizaine d’orgasme avant qu’il explose en moi. Il était pourtant laid, gros, suiffeux, mais alors ! Quel baiseur !Il est 18H55 je n’ai que 23 clients à mon actif. Pour une prostituée c’est un score plus qu’honorable, mais dans mon cas, j’ai intérêt à bosser dur pour arriver aux 84 clients. Encore 61. Et d’après mes calculs, à ce rythme je devrais me prostituer pendant au moins 6 heures pour rembourser l’hôtelier.Je vais vers le comptoir. L’hôtelier est en train de taper sur une calculatrice. Je regarde la porte de l’hôtel. Il n’y a plus de client. L’hôtelier a du s’occuper de leur dire de revenir demain.— Voilà ! tu m’as fais gagner 690€ ! Tu me dois encore 1930€, 1830€ si tu renonces à la K7.Je réponds:— Oui mais si je trouve quelqu’un pour me donner les 500€ sans me prostituer, je ne vous devrais pas cet argent ! Ça c’est uniquement dans le cas ou j’ai besoin de la chambre!— Tu oublies que j’ai les cartes en main, chérie. Si tu n’acceptes pas ce nouveau contrat je ne te prête pas le fric. Les 500€ tu devras les gagner avec ton cul, dans mon hôtel.Je suis coincée et ne réponds pas.Le gros porc continue :— Si je ne me trompe pas, tu dois avoir 240€, il te manque donc 500€ pour rembourser ta dette ! les voilà ! Tu me devras ça en plus des 1930€! Pour les 61 prochaines passes, tes clients devront me verser les 40€ directement au comptoir, toi tu ne percevras rien. Tu acceptes ou je te laisse te débrouiller avec le tatoueur ?Je baisse la tête et dis :— J’accepte !Et il me tend une liasse de billet de 50€. Je les prends. Il me donne mes habits que je passe à la va vite, ne prenant même pas le soin de fermer mon chemisier. C’est le chemisier presque complètement ouvert que j’arrive devant la boutique, la copine au tatoueur est en train de baisser la grille. Quand elle me voit, elle sourit, arrête de baisser la grille, me laisse entrer, puis termine la fermeture de la grille.Elle a l’air beaucoup plus sympa que tout à l’heure. Elle est obnubilée par mon chemisier ouvert. Son côté lesbienne prends le dessus sur sa méchanceté.— Je suppose que tu as l’argent !— Oui oui voilà !Je lui donne les 740€ qu’elle prend le soin de recompter et les dépose dans son tiroir caisse.Elle me regarde en souriant et me dit :— Tu t’es prostituée ?Je me vends sans m’en rendre compte :— Comment le sais-tu ?— Tu as encore du sperme dans les cheveux.Je me touche la tête, et ensemble, nous éclatons de rire :— Oui j’avoue.— Combien tu as fais de passes ?— J’en ai fait 23 !— Ça fait beaucoup mais il est vrai que tous n’ont pas les moyens et n’ont du te demander qu’une pipe !Toujours gémissant sous ses caresses et ses baisers, je réponds— Non ! Ils m’ont tous fait l’amour !— Mais ça fait à peine 30€ par personne ?Cette conversation m’excite au plus haut point. Si elle ne trouve pas ça normal, que va-t-elle dire si elle m’en demande plus.Moi :— Ils ont payé 40€ !— D’accord je comprends ! Tu as fais des extras pour avoir de l’argent de poche ! Je n’avais pas pensé à ça ! Ceci dit 40€ c’est donné. La baise à la va-vite c’est 50€ minimum et les putes ne sont pas canon comme toi.— Non ! J’ai pas plus d’argent. C’est même l’hôtelier qui ma avancé 500€ pour te rembourser, il faut que je lui rende !— La je ne comprends plus ! Tu as gagné uniquement 10€ par personne, ou sont passé les 30 autres !— L’hôtelier me demandait 30€ par passe pour la chambre !Elle sourit sournoisement :— Je le connais bien ce cochon, ça ne m’étonne pas de lui! et comment comptes-tu le rembourser !— Ben je vais continuer à me prostituer !— Cette fois prends 50€ aux clients et ne va pas dans cet hôtel ! Avec 10 clients tu t’en sors !— Je ne peux pas ! Il m’a obligé à faire les passes dans son hôtel. C’était la condition pour qu’il me prête l’argent !Elle sourit à nouveau :— Donc tu vas encore te taper 50 mecs?— Non 61 ! Car il a pris des photos de moi et je voudrais en avoir une copie ! il me les vend 100€ !Re sourire— C’est très malin de sa part ! Il a trouvé la poule aux œufs d’or !Elle réfléchie puis sourit :— En tout cas ça a l’air de terriblement t’excitée de te prostituer. Quand tu en parles tes tétons s’allongent!Je baisse la tête en souriant :— Oui ! Terriblement !— Tu as jouis avec tes clients ?— Oui systématiquement !— Qu’est ce que tu leur as fait ?— Tout et parfois plusieurs choses dans la même passe— C’est-à-dire ! Pipe et Baise ?— Et Sodomie !— Tu as acceptée de te faire enculer ?— Oui ! J’adore ça !Elle rigole :— Y a quelque chose que tu n’aimes pas dans le sexe ?— Pour le moment, j’ai eu des orgasmes à tout ce que j’ai fait, ou ce qu’on m’a fait. J’ai tout aimé.— Penses-tu avoir fait le tour de la question ?— J’espère qu’il me reste plein de chose à faire, mais je suis allé quand même très loin. D’ailleurs il n’y a pas un jour depuis 12 jours ou je n’ai pas eu au moins un homme pour moi. En général c’est plusieurs fois par jour avec des hommes différents.— Pourquoi 12 jours ? — Parce qu’avant je n’avais connu qu’un homme, celui avec qui je vis !Elle rit à nouveau— Il doit être sacrément cocu !Je ris aussi :— Au moins une bonne soixante-dizaines de fois !— en douze jours ????? tu n’as pas perdu de temps ! Quand je pense que c’est loin d’être terminé avec le nombre de passes que tu dois faire !Nous rions de bon cœur, quand mon portable sonne. Je regarde le cadran : Bruno.Merde j’avais complètement oublié le rendez vous avec toutes ces péripéties. Je décroche :— Alors Katia qu’est ce tu fais ? on t’attend ?— Oui j’ai été retardé à cause des piercings ! — Il t’a fallu toute l’après midi pour te poser des piercings, tu te fous de moi ou quoi ?— C’est pas pour les poser que ça été long, c’est pour les payer ! Ma carte bancaire ne passait pas !— Et alors comment tu as fais ?— Ben je me suis prostituée tiens !Un court silence, puis :— Allez dépêche toi s’il te plait !— Je pars à l’instant !Puis nous raccrochons.Je dis à Pauline :— Bon il faut que j’y aille, j’ai rendez vous pour des séances photos !— Tu poses pour des magazines ?— Non ! Des amis ont crée un site internet et ils veulent que j’en sois la vedette.— Site porno j’imagine ?— Bien entendu !Nous nous embrassons tendrement, puis je sors par la porte arrière de la boutique.
Diffuse en direct !
Regarder son live