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Moi, maman et les autres...

Chapitre 1

Inceste
Il est à présent 16h03 et je ne sais toujours que faire, seul à la maison je m’ennuie ferme, console de jeu, films, bouquins, plus rien de me dis pas même mes potes avec lesquels je sors parfois. Je suis là sur la terrasse à contempler le ciel, celui-ci est dépourvu de tout nuages et d’un bleu superbe, par contre la chaleur elle est au rendez-vous. Au fait je me présente je suis Nicolas j’ai 20 ans et j’attends avec impatience les résultats des épreuves du bac de français pour le 15 de ce mois. Seul à la maison non, avec moi il y a maman trente-cinq ans divorcée depuis deux ans, Laurence et laure mes soeurs jumelles qui ont dix-huit ans et Célia ma cousine dix-huit ans également qui vit avec nous, dont les parents se trouvent en Afrique pour cinq ans travaillant pour une grosse entreprise pétrolière. La chaleur étant insupportable je décide de prendre une douche et je regagne la salle de bains, étant seul je ne ferme pas la porte et une fois nu je m’enferme dans la cabine, l’eau à peine tiède presque froide me rafraichit admirablement, debout pratiquement au garde à vous les yeux fermés je pense alors à tout autre chose que les exams,les résultats......., enfin je rêve que je suis dans les bras d’une fille, oh une parfaite inconnue avec qui je ferais bien des choses, et voilà qu’à force de réver je me surprends à caresser mon sexe, puis après l’avoir pris en main je commencer à me masturber les yeux toujours clos et enfin de plus en plus vigoureusement jusqu’à l’éjaculation. Lorsque je rouvris les yeux, maman était là devant moi, je me retournais vers le mur de la cabine, tandis qu’elle s’en allait de la salle de bain en fermant la porte. Je me séchais rapidement et enfilais mon short de bain ensuite je regagnais ma chambre et me tenais tranquille voulant retarder la confrontation avec maman. Oh je ne devais pas attendre pas trop longtemps car, elle toqua à la porte et sans attendre de réponse elle entra et vint me rejoindre en s’asseyant sur le bord du lit. — Tu sais Nicolas tu es à présent un grand garçon, un jeune homme plutôt devais-je dire et il est normal d’avoir des pulsions sexuelles, chacun d’entre nous a, à un moment précis envie de satisfaire un besoin, mais pour ce faire il faut s’assurer d’être tranquillement installer sans risque de se faire prendre en faute. Ce qui est arrivé tout à l’heure avec moi aurait put l’ètre aussi avec tes soeurs ou ta cousine, alors uns prochaine fois assure toi que les portes soit closent.— Oui maman, excuse moi, j’ai bien compris, je ne sais ce qui m’a pris j’étais sous la douche quand je me suis pris à rêver d’une fille et voila tu connais la suite.— Bon ce n’est pas grave mon grand garçon cela prouve que tu es un homme à présent. Bien je vais à mon tour prendre une bonne douche les filles ne rentrerons que vers 22hrs c’est mamie qui les ramèneras. Et elle me laissa, s’en allant vers la salle de bains. Les choses s’étant bien passées je quittais ma chambre pour rejoindre la terrasse et me mettre à l’ombre, quand passant devant la chambre de maman, la porte ouverte me dévoila un spectacle pour le moins inattendu, elle était là complètement nue fouillant dans un tiroir de sa commode ce qui me cloua sur place et cette vision me fit bander je ne savais plus que faire, devais-je entrer dans la chambre ou partir sur la pointe des pieds. Je n’eus pas le temps de trouver la réponse quand maman se releva et se retourna, me voyant sur le pas de la porte.— J’ai bonne mine à présent te faire la morale il y a cinq minutes et me faire prendre en suivant n’est vraiment pas malin, me dit-elle sans même cacher son corps qui je ne vous l’ai pas raconter. Maman est une belle femme blonde au cheveu courts, 1m72 et une poitrine qui doit avoisiner les 95 quoi je ne le sais mais bon, son poids non plus, mais je pense qu’il doit être vers les 58/60 kilos. Toujours est-il que mon état empira et qu’une méchante bosse ornait mon caleçon, ce qui n’échappa pas au regard de maman.— Oh là mon garçon, tu n’aurais pas de mauvaises intentions à mon égard ?, je suis nue d’accord mais je suis également ta mère, l’aurais-tu oublié?-Non lui dis-je en m’avançant vers elle et la saisissant par la taille je la serrais contre moi. String et soutien-gorge en main elle ne savait plus que faire pour me repousser, tandis que moi pratiquement aussi grand qu’elle je l’embrassais dans le cou, sur les joues, et puis finalement sur les lèvres qu’elle tenta de garder fermées, mes mains quant à elles commencèrent à virevolter de partout sur son corps.— Voyons Nicolas arrête, cela ne mènera à rien je suis ta mère voyons et tandis qu’elle tentait de me raisonner mes doigts commencèrent de forcer son intimité, ses lèvres s’entrouvrirent et ma langue s’infiltra dans sa bouche et elle accepta mon baiser, ses cuisses se desserrèrent également et mon majeur s’infiltra lentement dans sa fente lorsque celui-ci entra en contact avec son clitoris ce fut comme une décharge électrique qui la traversa, tant et si bien qu’elle faillit perdre connaissance, sa vulve était une véritable fontaine, mes doigts étaient trempés de mouille. Lentement je l’amenais vers son lit sur lequel elle se laissa aller en se couchant sur le dos. Elle était là nue sur le bord du lit et moi à genoux entre ses cuisses écartées, aucun poils son abricot bien rose et entrouvert ne demandait qu’à être manger ce que je me mis à faire, je passais et repassais ma langue de haut en bas et de bas en haut toujours en m’attardant sur le bouton qui était à présent bien rouge, tout en faisant cela je me débarrassais de mon caleçon, la bite tendue au maximum, je me mis à remonter sur le corps de maman tout en l’embrassant jusqu’à ses seins que je suçais goulûment et ensuite je remontais à ses lèvres. A présent mes lèvres soudées aux siennes, mon gland se trouvait contre sa fente prêt à l’investir, elle se rendit compte de la situation et dans un dernier effort elle essaya de me repousser.— Nicolas non, non Nicolas et tandis qu’elle me disait cela, je poussais d’un coup de reins mon chibre entre les lèvres de son coquillage dans lequel je m’enfonçais jusqu’à la garde, elle poussa un gémissement si fort qui aurait put être entendu jusqu’au fond du jardin si la fenêtre avait été ouverte. A présent j’allais et venait en elle lentement puis à sa demande que je ressentis par les mouvements de son bassin j’accélérais et de plus en plus vite,mon gland frappait le fond de son puits d’amour quand parti de très loin je sentis comme un éclair monter le long de ma bite et une fusée sortir de mon gland pour emplir la cavité vaginale. Maman avait perdu conscience et moi aussi. Lorsque nous reprîmes nos esprits, le mal avait été fait. Ce fut maman qui prit la parole.— Merci mon trésor, cela faisait longtemps qu’un homme ne m’avait fait l’amour, je me demandais si je fonctionnerais toujours aussi bien qu’avant.— Je peux te demander quelque chose?— Oui bien sur.— Depuis papa l’avais-tu refait?— Une fois me repondit-elle gênée environ six mois après notre divorce?— Quelqu’un que je connais?— Pourquoi cette question cela t’avancera à quoi de le savoir?— Comme cela pour rien en fait, mais bon.— C’était avec ton oncle, le père de Célia qui m’avait coincée dans la buanderie un jour où la machine à laver était en panne, vous étiez au lycée toi et tes soeurs et il en a profité voila.— Et toi tu t’es laissée faire ? — Oui car j’avais envie d’un homme, mais ensuite lorsqu’il a voulu recommencer quelques jours plus tard, j’ai refusé et lui et demandé d’oublier ce que nous avions fait, ce qui jusqu’à aujourd’hui a été respecté. Et plus personne depuis. Bon ce n’est pas tout mais il va falloir que j’aille me nettoyer car je ne prends plus la pilule et je ne voudrais pas avoir de problème. Sur ce elle me planta là et s’en alla à la salle de bains. Quelques instant plus tard j’allais également me nettoyer, elle sortait de la douche et me dit.— Tu aurais put attendre que j’aie fini avant d’entrer, ce n’est pas parce qu’il y a eu ce moment de folie entre nous que tu peux tout te permettre.— Oui excuse moi mais moi aussi je dois me nettoyer à présent et tout en disant cela je m’avançais vers la douche et me débarrassais de mon caleçon. La queue encore et à nouveau en l’air maman me dit.— Encore debout, tu ne perds pas de temps pour recharger tes batteries. Il n’est que dix-huit heures approche toi et lorsque je fus prêt d’elle, elle s’agenouilla devant moi et prit délicatement ma bite dans sa bouche et me suça lentement, pas un centimètre de peau ne fut épargné, ma queue grossissait de plus en plus et à nouveau je sentis cet éclair et me répandre dans sa gorge en plusieurs bordée grasses et bien épaisses. Elle me laissa après avoir avalé toute ma semence.— C’était super et bien bon j’en avais oublié le goût. Je lui demandais alors si elle avait aussi sucer mon oncle ce à quoi elle m’affirma qu’elle ne l’avait fait qu’avec mon père et moi à présent. Et elle me demanda de garder tout cela pour moi. La soirée et le repas se déroulèrent tranquillement jusqu’à l’arrivée des filles avec grand-mère. Elles étaient vraiment contente de leur journée c’est à celle qui voulait la première nous la raconter, et comme toujours Célia arriva à ces fins. Le film qu’elles avait vu, le repas du midi celui du soir chez mamie et si vous aviez vu cela, gouttez ceci enfin j’en passe et des meilleures. Célia était du genre un peu collante, elle ne pouvait garder ses distances, il fallait tout le temps qu’elle se colle à l’une ou l’autre des personnes se trouvant à ces côtés et aujourd’hui c’est mon tour, elle avait même passé son bras par dessus mes épaules et de ce fait son nichon droit se trouvait au contact de mon bras gauche, je le sentais bien ferme, ma bite en ressentit elle aussi les effets et se mit à durcir.— Excuse moi Célia il fait chaud lui dis-je en me débarrassant de son bras. Laurence ne manqua pas d’en placer une.
— Tu as chaud où frangin? Maman ne manqua pas de gronder.— Laurence cela suffit un peu de respect tout de même où te crois tu ? — Laisse tomber maman elle fait son intéressante comme toujours. Vexée de s’être faite sermonner elle se leva et fit la bise à mamie et s’en alla dans sa chambre. Maman demanda à grand-mère si elle voulait restait dormir chez nous, ce quelle refusa car elle était attendu de bonne heure chez une de ces amies le lendemain et sur ce elle nous quitta s’en même prendre une boisson. Maman la raccompagna à sa voiture, Laure s’en fut aux toilettes et ne restait plus que Célia et moi dans la cuisine. Célia un beau gabarit légère ressemblance corporelle avec maman, blonde, 1m70 de grandeur et poitrine assez lourde et généreuse, alors que les jumelles elles sont plus petites, brunes, et toute aussi bien pourvue côté lolos. C’est alors que Célia profitant de l’aubaine me demanda.— Tu sais Nico, Laurence avait sans doute raison tout à l’heure, il m’a semblé également que cela te gênais lorsque j’avais mon bras par dessus tes épaules.— Que vas-tu chercher toi aussi. Je pense que vous avez de bien drôles d’idées les filles. Et après tout tu es ma cousine.— Et alors ne me dis pas que tu n’as jamais eu envie de nous mater nues tes soeurs ou moi.— Non voyons, et toi? — Moi je t’ai déjà vu à poil pas plus tard qu’hier, la porte de la douche n’était pas fermer et tu étais entrain de te sécher et j’ai profité du spectacle, je dois dire que c’était mignon, même que ton machin était presque raide, je l’ai dit à Laurence mais pas à Laure. Bon je vais aller me doucher et me mettre au lit, Bonne nuit me dit-elle. Maman rentra au même instant dans la cuisine et me dit doucement.— Quoi de neuf chez les filles se sont-elles calmées?— Oui Laure est aux toilettes, Laurence dans sa chambre et Célia à la douche. Et toi que vas-tu faire?— Rien je pense que je vais bouquiné un peu puis me mettre au lit et toi ?— Je vais aller au lit et essayer de dormir. Une heure plus tard le silence régnait en maitre dans la villa et moi je ne dormais toujours pas, allongé nu sur le dos je revivais les évènements de l’après-midi, quand la porte de ma chambre s’ouvrit lentement, dans la pénombre je reconnu la silhouette de Laurence suivit de Célia, elle s’approchèrent du lit,tandis que je faisais mime de dormir et j’entendis Célia dire.— Regarde je ne t’ai pas menti, vois ce morceau, il est bien monté ton frangin quelle queue. J’aimerais bien le sucer mais là je ne pense pas que ce soit possible, s’il se réveillait.— Essaie de passer la langue sur le bout s’il se réveille je lui bâillonne la bouche lui répondis ma soeur.— Non j’ai trop peur, je retourne dans ma chambre. Alors la ce fut Laurence qui se pencha sur ma bite et se mit à la bisouiller lentement, de temps à autre de léger soubresseaux faisait tréssaillir mon engin qui avait plus que durci à présent, et cela n’avait pas l’air de déplaire à Laurence qui se mit à me pomper, quand un bruit venant du couloir les fit s’enfuir toutes les deux par la porte fenètre donnant sur le jardin. La porte de la chambre s’ouvrit de nouveau et c’était Laure qui venait me rendre visite. Là je ne voulu pas revivre la même situation et plaquant une main sur mon sexe, je lui demandais ce quelle voulait à pareille heure.— Je cherche Laurence et Célia je croyais qu’elles étaient avec toi? Pourquoi es-tu nu?— Parce que j’avais chaud, et toi tu ne dors jamais nue?— Si je dors nue mais j’ai passé ma chemise pour venir. Tu permets que je reste un moment avec toi, je peux m’allonger à tes côtés?— Non Laure je suis nu et si quelqu’un venait cela serait du plus mauvais goût.— Bon d’accord mais avant de partir je voudrais te demandais quelque chose. Et elle me demanda si je voulais lui montrer ma queue car elle avait entendu Célia en parler avec Laurence et elle aussi se poser depuis bien longtemps des questions sur le sexe des garçons.— Si je te le montre tu ne le diras à personne promis? Oui me répondit-elle, et je lui offris le spectacle de ma bite dressée dans toute sa splendeur.— Oh quel beau morceau et sans même l’avoir invitée elle s’en saisis de la main droite et se mit à le caresser, tandis que ma main alla se poser sur l’un des mollets remontant entre ses cuisses pour finalement atteindre son sexe dépourvu de tout rempart elle était nue sous sa nuisette, contrairement à maman le pubis de Laure était doté d’une agréable toison douce au toucher. Lorsque mon majeur essaya de se frayer un chemin dans sa fente elle resserra les cuisses m’interdisant son accès.— Laisse moi te toucher là lui demandais-je.— Non je ne veux pas, personne ne l’a fait et je ne peux te laisser faire.— Bon alors lâche moi et retourne dans ta chambre et abstiens toi à l’avenir de tels gestes. Aussitôt elle me lâcha et s’en alla sans rien dire, je me levais et allais fermer la porte fenêtre et les rideaux pour parer à toute intrusion de ce côté, et me remis aussitôt au lit. Finalement je m’endormis et ce n’est que vers les huit heures du matin que la porte s’ouvrit et j’entendis maman me dire.— Debout paresseux il fait grand jour et mamie à besoin de tes services pour la journée sinon plus car on vient de lui livrer son bois et elle voudrait que tu le lui range comme l’an dernier, elle se pencha alors sur moi et déposa un baiser sur mes lèvres et s’en alla tout de go. Aussitôt je me levais et allais me doucher et m’appretter afin de me rendre chez grand-mère. Je n’avais pas encore terminer de m’habiller que Laure fit son apparition dans la salle de bain.— Dépèche toi donc toujours à traîner pour te faire une beauté je dois moi aussi me préparer, sa nuisette pratiquement transparente laisser voir un admirable corps dépourvu de toute autre lingerie. Arrêtes de mater cochon.— Je me demande qui est le plus cochon de nous deux et je la plantais là sans même attendre sa réponse. Dans la cuisine maman m’avait servi le petit déjeuner que j’avalais rapidement pour partir au plus vite chez grand mère. Maman ne cessait de me regarder.— Qui y a t-il ? — Rien mon grand mais tu aurais pu me faire une bise.— Oh excuse moi et je me penchais pour déposer un baiser sur sa joue lorsqu’elle tourna son visage et mon baiser atterrit sur ses lèvres.— Maman si une des filles arrivait.— Non, deux dorment encore et la troisième et à la douche. Bon maintenant pars et revient au plus vite. Sur ce je quittais la villa sur mon scooter pour parcourir les quinze kilomètres qui nous séparait de grand-mère, en arrivant je vis l’énorme tas de bois qui avait été déposé à l’entrée de la maison. Grand-mère avait du manouvrer pour pouvoir entrer dans la cour, une fois mon scoot sur béquille et après avoir retiré mon casque j’allais sonner à la porte que j’essayais d’ouvrir sans succès, la fenêtre de l’étage s’ouvrit et grand-mère apparut.— J’arrive mon chéri, je viens t’ouvrir. A peine une minute plus tard la porte s’ouvrait et grand-mère en chemise de nuit rose, transparente m’accueillis toute rayonnante de fraicheur.— C’est gentil à toi de venir aussitôt mon grand le paysan à décharger tout le tas de bois dans l’entrée et cela est gênant. Tu veux prendre un café avant de te mettre à la tache.— Non grand-mère je vais m’y mettre de suite et se déplaçant pour m’accompagner elle se mit à contre jour, elle n’avait rien elle non plus à rougir de son corps. Grand-mère était encore jeune à peine cinquante trois ans, toute aussi grande que maman, de mère en fille on aurait cru qu’elles étaient passées par le même moule. Mamie se rendit compte que je contempler son corps par transparence.— Que regardes-tu comme cela ? me demanda t-elle.— Rien enfin si, je vois que tu es nue sous ta chemise de nuit.— Grand coquin vous ètes tous pareils à votre age à mater les femmes, mais bon ne te fais pas de soucis nous les filles nous faisons de même sinon plus et je ne suis pas encore vieille au point de me laisser aller physiquement , si un homme me convient je ne m’en prive pas, mais cela garde le pour toi n’en parle à personne, aller va donc ranger le bois. Sur ce je regagnais mon tas de bois avec la brouette pour le transporter sur le lieu de stockage. Il est à présent pratiquement 13hrs et mamie apparût pour me demander d’arrêter afin de me débarbouiller et passer à table, trois quart d’heure plus tard nous avions fini et elle me dit.— Vas donc dans ma chambre faire une petite sieste je te réveillerais pour continuer.— Mais mamie je ne pourrais pas terminer ce soir si j’arrête.— Pas de problème j’appellerais ta mère, tu dormiras ici et tu finiras demain. Sur ce j’allais m’allonger sur le lit de grand-mère et m’endormis immédiatement.A suivre...
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