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Moi Mélanie mes débuts de soumise

Chapitre 1

Hétéro
J’ai 33 ans et je suis soumise.
J’ai 33 ans et je suis mariée depuis 12 ans.J’ai toujours été fidèle jusqu’à il y a 3 ans.
J’ai tout pour être heureuse, mais à cette époque j’avais besoin de plus ; j’ai succombé au charme de mon collègue, et une histoire avec lui est née. Elle a duré pendant 2 ans et demi, mais il est parti loin de moi ; j’ai donc cherché à le remplacer : trois autres amants ont suivi. Avec le dernier j’ai goûté à la domination, et j’ai aimé ça. Rien d’exceptionnel : des jeux de fessées, d’être attachée les yeux bandés. Rien d’exceptionnel à côté de ce que j’allais vivre, car j’ai rencontré MON MAÎTRE. Après une semaine de jeux virtuels, je l’ai enfin rencontré.
Je suis du genre timide et pudique ; j’ai essayé de garder le contrôle pendant cette semaine. Je suis une jeune soumise ; ce monde est nouveau pour moi. Je n’aimais pas le plaisir en solo, me prendre en photo nue. Ne parlons même pas des vidéos...
Mon Maître a su me mettre en confiance. Il m’ordonnait de venir sur ce site lire des récits, de regarder des vidéos en me touchant et en jouissant pour lui ; il exigeait également que je lui envoie des photos, chose que je n’arrivais pas à faire. Des photos simples, oui ; mais osées, jamais.
Pendant cette semaine j’étais sur la région parisienne, chez un couple d’amis. Je dormais dans le salon proche de leur chambre, et je me suis surprise à regarder une vidéo de soumission en me touchant doucement le clitoris, puis de plus en plus fort, et rapidement j’ai joui en pensant à mon Maître. Je lui ai aussi envoyé la preuve que j’avais envie de lui : une photo de mon shorty avec ma mouille dessus.
Pendant cette semaine, j’ai également déçu mon Maître ; je n’en suis pas fière, croyez-moi. Un ex-amant habitant dans cette même région m’avait contactée il y a peu, et il savait que je passerais cette semaine par chez lui. Cet ex-amant était plus qu’un plan cul, pour lui comme pour moi ; on dira « un coup de cœur ». J’ai informé mon Maître que je le verrais, même s’il était contre : j’ai désobéi à mon Maître !
On ne devait pourtant se voir que pour prendre un verre ; dans ma tête, c’était clair. Je ne devais pas l’embrasser – juste une bise – mais je n’ai pas résisté quand il m’a pris le visage et m’a embrassée tendrement. Je n’ai pas résisté non plus quand il m’a prise dans ses bras : j’ai été faible, je ne l’ai pas repoussé.
Il ne s’est rien passé d’autre pendant cette soirée. Nous avons parlé longtemps. Il m’a appris qu’il avait fait une demande de mutation dans le Sud : dans deux mois, il serait encore plus loin de moi. Je l’ai mis au courant de ma nouvelle vie de soumise ; bien sûr, il m’en a dissuadée, argumentant que je méritais mieux, que je n’étais pas comme ça, qu’il ne fallait pas. Avec lui, j’avais de super souvenirs ; mais notre histoire, c’était du passé et mes pensées étaient pour mon Maître. La nuit avançant, nous décidâmes de rentrer chacun de notre côté, non sans une dernière étreinte et un dernier baiser.
Le lendemain, je n’étais certes pas fière de ce que j’avais fait. Je savais que mon Maître ne le prendrait pas bien. Je doutais encore de moi : étais-je une bonne soumise pour mon Maître ? Je fis part de mes doutes à mon Maître et il comprit que "l’autre" m’avait retourné le cerveau. Comme je doutais toujours, il me dit que j’étais prête en tant que soumise et il m’assura que je trouverais un bon maître car j’étais faite pour la soumission. À ces mots, je compris que j’allais le perdre. Ce fut le déclic dans ma tête ; pour me faire pardonner, je lui ai envoyé une photo de mon sexe. Mon sexe nu, sans poil, tout lisse. Ce sexe que jamais je n’aurais pensé photographier, et encore moins envoyer en photo. J’avais envie de réparer mon erreur, l’erreur d’avoir douté de moi et d’avoir déçu mon Maître.
J’étais donc maintenant à 100% à mon Maître. Je ne devais plus lui désobéir. Il me demanda d’envoyer un message à mon ex afin de le prévenir que j’avais fait un choix : celui d’appartenir à mon Maître. Ne pouvant le déranger le week-end, je devais attendre quelques jours encore pour le faire. Mais j’allais le faire. Finis pour moi, les doutes envers moi-même ou envers mon Maître : je lui appartenais corps et âme.
Pour mon Maître, maintenant je ne dois plus avaler le jus de mon mari ; pour le moment, j’arrive à tenir. Je dois également penser à mon Maître quand mon mari me prend en levrette et imaginer que c’est lui qui me pilonne.
Mon Maître m’a demandé d’acheter des jouets ; j’ai rempli un panier sur Internet, et avant de le valider j’ai demandé confirmation à mon Maître, qui l’a validé. Hâte de les essayer avec lui ! Boules de geisha, kit SM avec des liens, menottes, bandeau, fouet, plume, gode... Vraiment hâte de recevoir ce colis si particulier.

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Aujourd’hui, mon Maître aurait voulu passer à midi, mais mon mari qui avait un chantier pas loin a décidé de rentrer manger avec des collègues. Mon Maître m’a demandé une cam où je me toucherais ; je l’appelle donc nue sur mon lit, un doigt sur mon clito. Je le regarde avec envie ; j’ai ce désir de lui, un désir de l’avoir en moi, et je suis frustrée de ne pas pouvoir le voir ce midi. Je jouis donc devant lui, mais à présent j’ai encore plus envie de lui. Et je pense que mon Maître a cette même envie puisqu’il me demande de le rejoindre sur le parking à côté de son chantier. Je vais donc voir mon Maître en vrai, une rencontre rapide car je dois récupérer mon fils 15 minutes après.
Je suis dans ma voiture ; j’ai froid, je stresse, mais je suis excitée. Il monte dans ma voiture. Je ne bouge pas, je le regarde seulement. J’ai envie de lui. J’ai envie qu’il m’embrasse mais je ne bouge pas : c’est à mon Maître de décider.
Il se rapproche de moi. J’ai envie de lui prendre la bouche mais je n’en fais rien. Il m’effleure les lèvres, puis sa main descend entre mes jambes ; je suis déjà trempée. Sa joue est contre la mienne ; j’ai toujours envie de lui prendre la bouche mais je le laisse faire. Il vient enfin chercher ma langue avec la sienne ! Je mouille de plus en plus et je frissonne d’envie. Je suis à lui… Il glisse sa main sous mon pantalon ; il peut maintenant sentir mon envie de lui. Il me caresse le clito. Ses doigts sont parfaits ; je gémis de plaisir. Il glisse un doigt dans mon vagin ; humm, je voudrais que ce moment ne s’arrête pas.
Il me reste 5 minutes avant la sortie des écoles ; je devrais partir mais je n’y arrive pas. Je supplie mon Maître d’arrêter et de me laisser partir, mais il m’attrape les cheveux, enfourne sa langue dans ma bouche tout en tirant un peu plus fort sur ma tignasse et en accélérant son mouvement sur mon clito. Je suis prête à jouir. Je le supplie encore d’arrêter même si je meurs d’envie qu’il continue, mais je dois partir. Encore un gémissement. Mon corps frissonne de désir et de plaisir. J’ai envie de mon Maître.
Il retire sa main de mon sexe trempé, m’embrasse puis descend de ma voiture.Notre prochain rendez-vous se fera chez moi, un midi. Il veut mon cul ; je n’aime pas ça mais il l’aura.
Aujourd’hui, je suis la soumise de mon Maître.
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