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Moi, Nadine F., esclave sexuelle

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Moi, Nadine F., esclave sexuelle
Nous sommes en février 2012, j’ai 43 ans et j’ai quitté mon mari après vingt-trois ans de mariage. Et j’ai le sentiment d’avoir tout à vivre de cette liberté (re)trouvée !
J’ai une envie furieuse de sexe, de sexe violent, de débauche, de soumission, mais aussi de considération et de compréhension de la part d’un mâle, un vrai, dur, sévère, qui me retourne la tête et me sorte de ma zone de confort qui n’a que trop duré !
Me voici donc à rédiger une brève annonce volontairement un peu vague sur un site dédié. Je ne souhaite pas être très précise pour laisser venir les propositions, mais surtout, car je ne sais pas du tout dans quel monde je mets les pieds... et le reste de mon anatomie pulpeuse ! Grandement inspirée de vidéos X que je ne cesse de visionner et où j’aurais tellement voulu tenir le premier rôle, me voici tout excitée sur mon clavier :
« Nadou, 43 ans, cheveux longs bruns raides, 1m68, taille 42, grosses mamelles 100E, cherche dominant pour soumission & complicité ».
L’utilisation des mots « grosses mamelles » est le détail provocateur qui je l’espère, attirera quelques dominants vicieux et pervers appréciant les femmes pulpeuses.
Les réponses et propositions à mon annonce ne tardèrent pas ! J’ouvre ma messagerie le lendemain lors de ma pause déjeuner « 143 messages non lus ». Je décide de les lire dans l’ordre d’arrivée. Beaucoup de messages ne sont pas très développés et je décide (il faut bien choisir des modalités de sélection !) de supprimer tous les messages qui ne contiennent qu’un « bonjour » ou autre « à ta dispo pour un rendez-vous » ou encore « dispo ce soir ? ». De cette flopée de messages, j’en retiens trois. Je vous passe les échanges néanmoins très intéressants de ceux qui finalement ne sont retenus par mon comité de sélection unilatéral et je vous livre le premier contact que j’ai eu avec mon futur premier maître, Monsieur Bruno :
« Bonjour chienne, ton annonce a fait écho en moi. Je suis un dominant cérébral expérimenté. Ma recherche est très sérieuse. J’adore la domination sous toutes ses formes... Nous sommes peut-être faits pour nous rencontrer, mais rien n’est acquis. J’apprécierais de faire ta connaissance. Je te propose un échange construit, basé sur la domination/soumission. Je ne suis pas là pour te draguer ou tomber amoureux, mais pour te soumettre et parfaire ton éducation. Bien à toi. Monsieur Bruno ».
En premier lieu, nous échangeons sur nos envies respectives et quelques photos bien sûr et nous décidons de nous retrouver à Lyon un vendredi soir, dans un lieu public. Nous échangeons par messagerie depuis quinze jours déjà et mon excitation est à son comble.
Monsieur Bruno me demande de porter une tenue sexy sans être trop provocante, nous irons dîner dans un lieu plutôt luxueux. Je décide de porter une robe midi vert sombre, fendue jusqu’en haut de la cuisse avec un bustier satiné et mettant en valeur ma poitrine voluptueuse. Un petit blazer noir cintré et des petits talons élégants noirs complètent ma tenue. S’agissant des sous-vêtements, je me rends la veille dans un magasin de lingerie sexy pour me procurer un nouvel ensemble soutien-gorge et tanga en dentelle vert pastel et des bas noirs, autofixants et de qualité. Je sublime ma silhouette d’un maquillage léger et d’un chignon flou.
Nous avons rendez-vous à la sortie de la gare de Lyon Part-Dieu à 19 heures 30, sous l’horloge, si bien que je ne rencontre aucune difficulté à trouver un parking payant sans limitation de durée pour stationner ma voiture.
Je reconnais immédiatement Monsieur Bruno qui m’attend au rendez-vous. Il est très élégant dans ce costume-cravate sombre ! On peut aussi avouer qu’il est bel homme, la cinquantaine à peine grisonnante, grand et musclé, le portrait du cadre supérieur et gendre idéal.
Je suis autant stressée que lui est détendu ! Nous montons dans un taxi en direction d’un restaurant chic où une table est réservée sur la terrasse en paroi de verre et dominant la ville des lumières dans un panorama splendide !
Après avoir échangé les banalités d’usage, Monsieur Bruno me fait des compliments très appréciés sur ma tenue, mon physique, ma coiffure, puis notre dialogue dérive vers ce que Monsieur Bruno me réserve :
— Bon écoute Nadou, je ne vais pas y aller par quatre chemins. J’ai eu plusieurs soumises, je pratique également depuis plusieurs années le libertinage, mais ce dont j’ai toujours voulu, je le sais aujourd’hui, c’est d’avoir une esclave sexuelle à ma disposition tous les soirs, toutes les nuits et les week-ends. Si tu acceptes, je dédommage tes déplacements bien sûr et je te laisse la liberté dont tu as besoin un week-end sur deux. Pour les vacances, nous en reparlerons.— Qu’entendez-vous par « esclave sexuelle » ???— Si tu es d’accord, après le dîner, nous irons à mon appartement et je te montrerai ce que j’attends de toi. Nous pourrons commencer par une période d’essai de quinze jours et ensuite envisager un « contrat » entre nous. Ce contrat n’a absolument aucune valeur juridique, c’est un contrat moral qui nous engage sur le long terme et auquel nous pourrons apporter des avenants au fil de l’évolution de ton éducation. Sache que c’est la première et dernière fois que je t’emmène au restaurant et lorsque tu passeras la porte de mon appartement, tu devras m’appeler MONSIEUR Bruno, pas MONSIEUR tout court, MONSIEUR Bruno !— D’acc... d’acc... d’accord, je veux bien en savoir plus alors.
Je suis dans un état d’excitation extrême, ma culotte est trempée, je tremble, je transpire, j’ai la bouche sèche...
Nous terminons notre délicieux repas dans la bonne entente, nous rions, je lui raconte un peu mon passé, le naufrage de la fin de mon mariage, il m’explique qu’il a été marié très jeune et très vite divorcé, sans enfants, et que sa vie sexuelle n’a plus été qu’aventures en aventures, libertinage et dressage de soumises. Il aime les formes chez les femmes et apprécie particulièrement les voir jouir à répétition.
Nous arrivons à son appartement, un grand loft mansardé aux poutres apparentes, sous les toits au sixième étage d’un immeuble haussmannien.
— Pour commencer, une chienne ne porte pas de vêtements de ce type. Déshabille-toi.— Euh... là ? J’enlève tout ?— Où veux-tu aller ??? Tu veux une éducation ? Alors obéis à mes ordres pour commencer !— Oui...— Oui qui ?— Oui Monsieur Bruno !— Trèèès bien !
Me voici devant lui, toute gauche, tremblotante, à retirer mes vêtements et me retrouver ainsi, complètement nue debout sur le parquet, ne sachant pas où placer mes mains. Monsieur Bruno a les siennes dans les poches, complètement détendu, il fait le tour de sa nouvelle proie, sans la toucher :
— Penche-toi en avant. Écarte les jambes. Ouvre la bouche. Tire la langue. Très bien ! Tu as un corps idéal pour une éducation ferme.
Mon nouveau maître me demande de tendre les bras en avant et me fixe un gros bracelet en cuir noir à chaque poignet. Deux petits anneaux fixés sur chaque bracelet sont rapidement reliés par un mousqueton, Monsieur Bruno lève les yeux, et là j’aperçois une corde qui descend de la poutre au-dessus de ma tête avec un petit nœud coulant. Il y attache le mousqueton et apporte mes chaussures à talons :
— Remets tes escarpins, écarte les jambes et cambre-toi, je vais te couvrir les yeux d’un bandeau et tu vas pouvoir te relâcher, te détendre, oublier tout ce qui te tracasse et te plonger dans ton nouveau statut de chienne.
Me voici attachée par les mains, dans le noir total, à la merci de Monsieur Bruno.
Je sens son souffle qui s’approche, il m’effleure les seins de sa main, les fesses, il tourne autour de moi puis s’éloigne... Le silence est pesant, oppressant...
D’un coup sec et inattendu, je reçois un coup de martinet sur les fesses, je crie ! Puis un autre, et encore un autre, 10 coups de martinet... Il vient me chuchoter :
— Tu as l’air d’aimer ça ?— Oui Monsieur Bruno ! j’aime beaucoup ! - Tu mouilles ?— Euh... je ne sais pas Monsieur Bruno.
Il enfonce un doigt dans ma fente :
— Mais cette chatte est toute gonflée et trempée !
Il continue à me doigter, me fouiller, je gémis, il met plusieurs doigts et me branle de plus en plus vite, je fonds ! Je dégouline, je sens et j’entends ma cyprine éclabousser mes cuisses et le sol. Mon nouveau maître m’ordonne d’ouvrir ma bouche et nettoie ses doigts sur ma langue, me demande de lécher ses doigts avec élégance, les uns après les autres.
Il me détache :
— Mets-toi à genoux !
Il place mes poignets dans le dos pour les relier ainsi avec le mousqueton :
— Ouvre la bouche et tire la langue.
Et il enfonce son sexe bien dur au plus profond de ma gorge, j’étouffe, il la retire, je tousse, il la remet et fait des va-et-vient, que son sexe est gros et doux ! Il me prend la tête à deux mains et se branle avec de façon énergique, il me laisse respirer par moments et reprend parfois plus doucement puis accélère. Je n’existe pas, je ne suis qu’un orifice pour lui apporter du plaisir et ça me plaît !
Après cette mise en bouche (si je puis dire !), Monsieur Bruno me lève, me conduit jusqu’à une table, m’allonge le buste et me pénètre ainsi la chatte par derrière et sans ménagement, mais que c’est bon de le sentir en moi, quelle divine expérience il m’offre là ! Tout en me pénétrant, il enfonce un doigt dans mon petit trou, crache sur ma raie et enfonce un second doigt. Me voici livrée, attachée et yeux bandés, à une double pénétration de mon nouveau maître ! Naturellement, sa queue gonflée remplace rapidement ses doigts et je hurle lorsqu’il force le passage, mais rien ne l’arrête, il rentre doucement, mais avec détermination. C’est ma première sodomie, je m’en souviendrai longtemps, car je jouis avec lui, dans un ballet sexuel très animal. Une fois nos jouissances consumées, il me détache les poignets et me demande :
— Es-tu capable de nettoyer la queue de ton maître ?
Dans un élan de remerciements et d’adoration précoce, je prends son sexe entre mes mains et le lèche comme une chienne docile, je le prends en bouche, le soulève, je lèche ses testicules en signe de remerciements.
Après cette première séance, le stress retombe doucement, Monsieur Bruno me fait couler un bain chaud, dans lequel je reste de longues minutes à me repasser le film de la soirée.
Après deux autres séances tout aussi magiques, j’ai signé le fameux contrat la semaine suivante, en y apportant toutefois quelques modifications personnelles. Mes devoirs et engagements vis-à-vis de Monsieur Bruno n’étaient pas compliqués. Chaque soir après mon travail, je devais être à son domicile dès 18 heures 30 pour me préparer. Je devais être nue, à genoux, les mains derrière le dos, un bandeau sur les yeux et derrière la porte d’entrée lorsqu’il la franchissait.
Il retirait son manteau, ouvrait sa braguette et je devais chaque soir le sucer jusqu’à ce qu’il durcisse. J’avais droit à une séance de martinet avant toute autre chose.
Plus tard, il ajouta des sex-toys à nos jeux, il m’acheta un collier et une laisse et me promenait dans son appartement. J’étais nue en permanence, même pour dîner et jusqu’au coucher.
Nous avions déjà évoqué le fait qu’il m’offre à d’autres hommes parfois et j’avais approuvé ce désir de sa part.
C’était un samedi soir et il était prévu que je passe le week-end à son appartement.
— Ma p’tite chienne, tu vas te faire une toilette complète, un lavement bien sûr et enfiler la tenue qui est sur la table, nous avons des invités ce soir.— Oui, Monsieur Bruno.
Mon cœur fait trois tours, je suis en panique totale, DES invités ? MAIS combien ??? Je prends la tenue que Monsieur Bruno avait préparée : un magnifique corset noir et argent, le string et porte-jarretelles assortis, des bas noirs et des escarpins à plateforme indécente. Mon collier et la laisse complètent la tenue naturellement. Et petite surprise : un plug agrémenté d’une queue longue en poil noir à m’insérer dans l’anus.
J’entends la sonnerie de la porte d’entrée et des voix d’hommes mélangées. Monsieur Bruno les installe sur les canapés et leur offre un verre de champagne ainsi que quelques mises en bouche livrées plus tôt par le traiteur.
De longues minutes d’attente passent... Monsieur Bruno doit sans doute les briefer... Il vient me chercher dans la chambre, me bande les yeux.
— Mets-toi à quatre pattes !
Me voilà dans ma condition totale de chienne, conduite en laisse par mon maître vers ses invités dont je ne connais pas encore le nombre ! Les compliments et sifflements fusent immédiatement ! Il me semble que j’ai affaire à des hommes plutôt mûrs et cela me plaît.
Monsieur Bruno me mène jusqu’au premier qui me dirige la tête à deux mains vers sa queue, je suce ainsi avec application quatre hommes très bien membrés, les uns après les autres, guidée par mon maître.
Je suis ensuite attachée sur le cheval d’arçon, les jambes fixées de part et d’autre et mon arrière-train offert à quatre mecs très chauds ! Au début, ils passent à la chaîne entre ma bouche et ma chatte, et accélèrent de plus en plus les alternances. Je sens que Monsieur Bruno me retire doucement ma queue de chienne et montre fièrement l’écartement de mon anus à ses invités.
— Maintenant, vous pouvez la défoncer à votre guise ! Je veux l’entendre crier comme une truie, et ne vous inquiétez pas, elle adore ça !!!
Je subis les assauts de ces quatre hommes qui m’éclatent la rondelle à tour de rôle, je crie dans l’étouffement des queues qui passent dans ma bouche en même temps que chauffe mon cul ! Mais quel pied ! Je reçois leur sperme sur le visage comme une satisfaction et je nettoie leurs queues en signe de remerciements.
J’ai su par Monsieur Bruno par la suite que j’avais tenu quarante-huit minutes sur le cheval d’arçon, qu’il y avait deux Blacks parmi les quatre gaillards et qu’ils redemandaient une autre séance !
J’ai été mois mois durant l’esclave sexuelle de Monsieur Bruno, chaque soir de semaine, un week-end sur deux. Épuisée physiquement, j’ai moi-même mis fin à cette relation pour ne pas sombrer mentalement. Je l’ai regretté parfois, notre complicité chienne/maître me manquait souvent, d’autant que Monsieur Bruno avait refusé de continuer à me voir dans d’autres conditions et de façon plus épisodique. J’espère qu’il a trouvé une autre soumise à la hauteur de ses exigences. Pour ma part, je n’ai jamais retrouvé un tel maître, sévère et soucieux de mon bien-être, j’ai navigué d’aventure en aventure et j’ai fini par trouver deux amants dont j’ai créé la complicité et depuis cinq ans nous jouons tous les trois environ une fois par semaine, un juste équilibre qui me comble de bonheur.
Merci de cliquer sur "j’aime" si vous avez aimé cette histoire ! À très vite pour d’autres souvenirs de ma condition de soumise !
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