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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 4

Lesbienne
L’apprentissage
Nous nous séparons à regret, madame nous regarde autrement.
— Louise, c’est elle ?— Je ne sais pas, mais je le pense.— Très bien, vous pourrez faire ce que vous voulez après la journée, et même ici quand je n’aurais pas besoin de vous. Moi aussi je crois que c’est elle, mais reste calme, j’ai toujours besoin de toi. — Oui madame. — Occupe-toi de moi maintenant.

Elle s’allonge sur son lit, les bras en croix, les jambes ouvertes. Louise se met à quatre pattes entre ses jambes, elle plonge sa bouche sur l’abricot de madame. Je vois qu’elle apprécie, son corps commence à bouger comme avec moi. Mais je suis obnubilée par les fesses de Louise, juste en face de moi. Je fixe la fente rose que je vois entre elles, c’est l’abricot de Louise, il brille, j’ai envie de le lécher, j’adore le goût de ce qui s’en échappe. Madame remarque mon regard.
— Vas-y Marie, tu veux faire plaisir à Louise, fais-lui ce que tu as envie de lui faire, ne réfléchis pas, vas-y.

Je me penche sur elle, elle ouvre un peu les jambes, ma langue se glisse entre ses fesses, elle arrive sur son berlingot, je donne des coups de langue, Louise donne un petit coup en arrière, je pose mes mains sur ses fesses, et redonne des coups de langue. Je m’abreuve de ce qui coule doucement sur ma langue. Le lape, suce, mordille, j’ai envie de m’enfoncer dans ce merveilleux abricot. Je ressens une drôle de sensation quand je touche Louise, je n’ai jamais ressenti ça pour qui que ce soit. Tout à coup, madame crie, je suis surprise.
— OOOOOHHHHH Oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Madame doit jouir comme elle dit, son corps ne lui appartient plus, elle bouge dans tous les sens, je suis obligée d’abandonner à contrecœur les fesses de Louise. Je me redresse, une minute plus tard, Louise se redresse, je vois madame, allongée sur le dos, les jambes ouvertes, les yeux fermés. Louise se penche à mon oreille.
— Ça te plairait de boire à sa source ?— Sa source ?
— Il va falloir que tu apprennes le vocabulaire de l’amour, c’est son sexe, son berlingot comme tu dis, tu vois bien qu’il y a une crème qui s’en écoule.— Oui.— Tu aimes cette crème.— J’adore, surtout la tienne.— Vas-y, elle n’attend que ça.

J’avance vers madame à quatre pattes, je me penche sur son sexe, comme on dit, et aspire la crème qui s’en échappe. Elle bouge un peu, mais ma langue a vite fait de tout éponger. Je me redresse, elle ouvre les yeux et me sourit.
— Tu va être notre meilleure élève ma petite Marie.

Au bout de quelques minutes, elle se lève.
— Marie, allonge-toi sur mon lit, les bras en croix et les jambes ouvertes.

Je fais ce qu’elle me demande, madame se met à genoux sur le lit entre mes jambes. Elle glisse ses mains sous mes fesses et m’attire vers sa bouche. Elle se pose sur mon berlingot, je sens que je vais revivre ce merveilleux moment où mon corps est parcouru de chatouilles, comme dit madame, je vais jouir. Sa bouche m’aspire le berlingot, je le sens se tendre, elle le mordille, sa langue va du bas en haut jusqu’à toucher mon bouton, à chaque fois qu’elle le touche, un éclair me parcourt le corps. La boule se forme comme d’habitude, elle grossit pour l’envahir entièrement. Elle finit par exploser, m’emmenant dans un tourbillon de béatitude, je vole, je plane, je ne sais plus où je suis.
Lentement, mon corps retrouve son calme, je me sens bien allongée sur ce lit si doux et souple. Madame se redresse et me regarde avec tendresse, je sens beaucoup de bonté dans cette femme. Louise se penche entre mes jambes, elle me lèche l’abricot et y dépose un baiser, elle vient se coucher sur mon corps, je suis complètement submergée par l’émotion, je suis au bord des larmes, sentir ce corps sur le mien m’émeut comme je n’aurais jamais pu l’imaginer. Elle pose ses lèvres sur les miennes, j’entrouvre ma bouche, sa langue s’y engouffre, elle rencontre la mienne, elles s’amusent entre elles, se reconnaissent, se plaisent, se câlinent, s’aiment. Je pose mes mains sur ses fesses pour les caresser, j’en éprouve un immense plaisir. Notre baiser dure, je ne veux pas que ça s’arrête, je mets tout ce que j’ai dans les tripes pour lui faire comprendre. Je sens qu’elle aussi aime ce que l’on fait. Louise lève sa tête, elle me sourit, elle doit voir que je suis au summum du bonheur.
— Ça va bien Marie ?— Comme jamais, comme jamais.— Lève-toi, madame veut te faire voir quelque chose.— Tu as raison Louise, il faut que Marie nous comprenne quand nous parlons de sexe maintenant, allonge-toi sur le lit, écarte bien les jambes et caresse-toi.

Louise s’allonge et ouvre ses jambes, pose son doigt sur son bouton et le fait tourner.
— Viens voir Marie, je te montre.

Elle pose son doigt sur le petit bouton de Louise.
— Je vais te dire comment s’appellent toutes les parties d’un sexe de femme. Tu vois, ce que tu appelles le berlingot ou l’abricot s’appelle le sexe féminin. Là où il y a les poils d’habitude, c’est le pubis ou le mont de Vénus, je préfère ce terme, il est plus poétique. Ça, c’est le clitoris, ce que tu appelles le bouton, au-dessus, le capuchon du clitoris. Ça, c’est l’urètre, c’est par là qu’on fait pipi. Ça, ce sont les grandes lèvres et juste là un peu en dessous, les petites lèvres. Ça, c’est le vagin, c’est là que sexe masculin entre quand on fait l’amour avec un homme. Ça va, tu suis ?— Oui madame, je retiens tous ces noms.— Ça, c’est le périnée, tu verras, il est très sensible quand on le titille. Et là, tu vois ce liquide blanchâtre qui sort du vagin quand Louise fait tourner son doigt sur son clitoris, c’est ce qu’on appelle la cyprine, c’est ça qui graisse le vagin quand on fait l’amour. Mais il y a aussi d’autres endroits qu’on utilise quand on fait l’amour, ça, c’est un sein, ça, l’aréole, ça, le mamelon ou le téton. Allez, nomme-moi tout ce que je te montre.— Vagin, grandes lèvres, Mont de Vénus, cyprine, aréole, urètre, sein, clitoris, petites lèvres, capuchon du clitoris, téton, périnée.— Bravo, tu devais être forte à l’école, Louise, tu peux te finir.— Je ne suis jamais allé à l’école.

Elle me regarde avec des yeux exorbités.
— Tu n’es jamais allé à l’école ?— Non, jamais.— Tu ne sais ni lire ni écrire ?— Non madame, juste compter jusqu’à dix, je pourrais quand même rester ici ?— Pourquoi tu me poses cette question ?— j’aimerais bien rester ici.— Pourquoi ?— Tout le monde est gentil avec moi ici.— Non seulement tu vas rester, mais je ne n’autoriserais ton départ que quand tu sauras bien lire et écrire, tu veux bien j’espère.— J’adorerais, personne ne sait lire et écrire chez moi, à part Jules mon frère, il est le seul de la famille à être allé à l’école.— Je vais en parler à Bérangère, elle va organiser ça, elle l’a déjà fait pour Denise.— Et Louise et Marthe.— Marthe savait déjà lire et écrire quand elle est arrivée ici, Louise a préféré attendre, elle ne voulait pas le faire seule, tu es d’accord maintenant si tu le fais avec Marie ?— Oui madame, je pense qu’à deux ce sera plus facile.— Et bien, allons-y.— Merci madame.— Louise, montre-lui comment j’aime qu’on me remercie.

Louise s’agenouille devant elle, pose ses mains sur ses fesses et l’attire sur sa bouche. Elle s’active sur son sexe, je vois madame se tendre lentement jusqu’à exprimer son plaisir bruyamment.
— AAAAAAAHHHHHHH.

Louise la libère et se lève.
— A toi maintenant.

Je prends la place de Louise, je me déchaîne sur ce sexe qui coule à flots. Sa cyprine est délicieuse, comme celle de Louise, je mordille le clitoris, lèche les grandes lèvres, titille l’urètre, je teste ce que je peux faire pour lui donner un maximum de plaisir. Je la sens se raidir et exulter dans un orgasme violent. Je ne m’arrête de la lécher que quand je sens son corps se détendre complètement. Je la libère et me redresse.
— Ça, c’est un beau remerciement, tu es douée ma petite Marie, très douée, je comprends la réaction de Louise.

Je regarde Louise qui me sourit, je ne comprends pas très bien ce que madame veut me faire comprendre.
— Bon les filles, il faut y aller, vous n’avez pas que ça à faire.

Madame va dans son bain, elle rentre dedans bien qu’il ne soit pas aussi chaud que tout à l’heure, elle s’agenouille et me demande de venir. Elle me tend du savon.
— Lave-moi le sexe, il est poisseux.

Je la regarde, elle me sourit, je plonge ma main dans l’eau et prends du savon. Je glisse ma main entre ses cuisses et frotte énergiquement son sexe, mes doigts glissent sur ses lèvres souples, je les rince, elle se lève et sort du bain. Louise l’essuie, elle va dans sa chambre.
— Rincez-vous et venez m’habiller.

Louise entre dans le bain et se met dans la même position. Je la regarde et lui fais la même chose, elle se penche sur moi, nos bouches se soudent une nouvelle fois, cette fois pour notre seul plaisir. Quand j’ai fini, elle se rince et sort du bain, je l’essuie en la câlinant, elle semble beaucoup apprécier. Elle me fait entrer dans le bain et me lave le sexe, j’éprouve un certain plaisir, mais différent, je sais que je ne vais pas jouir. Une fois rincée, elle m’essuie en me caressant, comme moi. Nous rejoignons madame dans sa chambre. Louise va vers une grande armoire, elle l’ouvre, il y a beaucoup de robes, madame en choisit une boutonnée devant. Elle me la tend.
— Aide-moi à l’enfiler.

Je lui tiens pour qu’elle l’enfile, mais une fois sur elle, je pense avoir fini, elle me regarde fixement, je comprends et commence à boutonner sa robe.
— Vous ne mettez pas de jupon ni de culotte ?— Non, les culottes sont interdites ici, c’est un nid d’odeur, et les jupons m’énervent, ils se tortillent entre mes jambes, je n’aime pas. D’ailleurs, si tu es comme moi, tu peux ne pas en porter.

Quand j’arrive au niveau de sa poitrine, elle m’arrête.
— Tu n’oublies rien ?

Je la regarde, un peu étonnée.
— Mets mes seins en place, tu vois, il y a des renflements, loge mes seins dedans sinon la robe va les écraser. Bérangère a dû te le faire hier, n’est-ce pas ?— Oui madame.

Je passe ma main sous sa robe, m’empare de son sein gauche et le place en bonne position, je fais la même chose avec le droit. Elle ferme les yeux, cette femme adore qu’on la touche, c’est évident, et je crois que je suis comme elle, j’adore sentir des mains sur ma peau, mais j’aime aussi beaucoup avoir mes mains sur la peau d’une femme. Je finis le boutonnage, je me recule, je vois un ruban qui pend de chaque côté de ses seins un peu en dessous. Je les prends et fais un gros nœud, ça a pour effet de faire ressortir sa belle poitrine. Je me recule, elle est magnifique dans cette robe légère. Elle va vers le fond de la pièce, passe devant une fenêtre, je suis surprise de voir que l’on voit sa silhouette sous sa robe, on distingue parfaitement ses formes, et surtout qu’elle est nue dessous, elle n’est pas assez opaque. Je regarde Louise, elle me fait signe que c’est normal.
— C’est bon les filles, vous êtes libres jusqu’au repas, à tout à l’heure.

Nous sortons et croisons Bérangère, quand elle nous voit, elle vient vers nous pour nous embrasser sur le front.
— Bonjour mes chéries.

Je reste figée en regardant Louise.
— Tu vois, elle est adorable, et Denise m’a dit que c’était une excellente professeure, elle va nous apprendre à lire et à écrire, mais pas seulement.— C’est quoi l’autre ?— Tu ne comprends décidément rien, elle va t’apprendre à faire l’amour à une femme, tu es douée, très douée même, mais tu dois apprendre quelques manières qui feront de toi la maîtresse du sexe de ce château. — Et toi ?— Moi, elle va me perfectionner encore, on apprend toujours, moi aussi je t’enseignerais ce que je sais, mais moi, c’est surtout toi qui m’intéresses, je suis tellement bien avec toi. — Je crois que moi aussi j’ai un petit faible pour toi, j’aime beaucoup quand nous sommes toutes les deux, j’aime ta peau, ton corps, ton sexe, j’adore y boire comme tu dis. C’est moins fort quand c’est avec les autres, même avec madame.

Elle m’immobilise dans l’escalier et pose ses lèvres sur les miennes. Notre baiser est ardent et passionné, je sens de l’amour dans ce qu’elle me donne, je veux qu’elle sente de l’amour dans ce que je lui donne. Quand nous nous séparons, elle me regarde, son visage est lumineux, je pense que le mien aussi, je veux rester le plus longtemps possible avec cette fille. Nous allons rejoindre les autres filles dans notre local, Marthe est dans le bac, elle se lave le sexe. Elle a une sorte de petite baudruche avec un bec assez fin et long comme une main. Je regarde Louise.
— C’est quoi ça ?— Une poire à lavement.— Pourquoi faire ?— Elle a dû faire l’amour avec monsieur, elle se rince le vagin.— Pourquoi ?— Pour ne pas avoir d’enfant.— Bien sûr, mais elles sont obligées de faire l’amour avec monsieur ?— Non, moi j’ai refusé, il ne m’en veut pas, je suis au service de madame, Denise et Marthe ont accepté, elles aiment faire l’amour autant avec un homme qu’avec une femme, elles le font tous les jours avec lui, elles m’ont dit qu’il était très endurant et qu’il savait donner du plaisir aux femmes.— Et madame dans tout ça ?— Madame n’aime pas les hommes. — Pourquoi ils se sont mariés alors ?— Pour les convenances comme ils disent, dans leur milieu, une femme doit être mariée et avoir des enfants, mais madame n’aime pas les hommes, alors, elle s’est mariée avec un ami de son père, c’est un arrangement entre eux, aucun sentiment. Il n’a jamais été question qu’ils dorment dans le même lit et surtout pas qu’ils fassent l’amour.— C’est pour ça qu’elle fait l’amour avec nous.— Tu vois quand tu veux, tu comprends vite.

Je suis un peu vexée par cette remarque, elle le voit et me saute dessus pour m’enlacer et poser ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser. Elle me regarde, je suis sûre que ce que je lis dans ses yeux, c’est de l’amour, je crois que je dois lui transmettre le même message.
— Bon les filles, au boulot, on nous attend, suis-moi Marie.

Je la suis dans les couloirs du château. Nous devons nettoyer une pièce pour une réception demain. Marthe et Denise vont préparer une autre pièce dans une autre aile du château pour une autre réception. Il y en a pratiquement tous les deux jours, surtout données pas monsieur. Une fois la pièce lavée et frottée avec des brosses, ce sont Andrew et deux hommes qui l’aménagent, nous retournons à la cuisine, il est temps de manger pour pouvoir servir le repas des patrons. Cette fois, je m’occupe de madame avec Louise, elle regarde ce que je fais, ça a l’air d’aller. Après le service, nous sommes toutes les deux dans la cuisine.
— C’est très bien, tu as parfaitement compris comment faire, malgré ton air un peu dans la lune, tu comprends très vite, tu vas très vite apprendre à lire et à écrire avec Bérangère.— Merci ma Louise, tu ne peux pas savoir comme ça me fait plaisir venant de toi.— Pourquoi ?— Parce que tu es très importante pour moi, j’ai toujours envie d’être avec toi, contre toi, et même de sentir ta peau contre la mienne, tu sais ce que ça veut dire ?— J’ai l’impression que tu fais l’âne pour avoir du foin, ne me prends pas pour une idiote, je suis sûre que tu sais très bien ce que ça veut dire.— Oui, je le sais très bien ce que ça veut dire, mais je ne comprends pas que ce soit avec une femme, surtout que ce n’est pas la première fois.— Et c’était avec qui avant ?— Ma cousine Germaine.— Ta cousine germaine, tu aimes ta famille proche toi.— Ce n’est pas ma cousine germaine, c’est ma cousine qui s’appelle Germaine, c’est la fille du cousin issu de germain de ma mère. — C’est très simple, tu es comme moi et madame, une gougnotte, tu aimes les femmes.— Peut-être, mais pas que.— Tu aimes les hommes ?— Je ne sais pas, je n’ai jamais goûté, je ne me souviens pas avoir été attirée par un homme, mais j’aimerais me faire dépuceler. Et comme les hommes ne m’attirent pas, j’aimerais que ce soit mon frère, le seul homme que j’adore. Je voudrais m’offrir à lui le jour de sa majorité. Je crois qu’il aimerait ce cadeau d’anniversaire.— Quel garçon n’aimerait pas dépuceler une fille le jour de son anniversaire ?— En plus sa sœur.— Là, c’est peut-être ce qui peut faire coincer.— Ah bon.— Bin oui, il ne veut peut être pas faire ça avec sa sœur.— Je crois que oui.— Ça dépend de la manière dont vous vous comportez entre vous.— On aime bien se serrer l’un contre l’autre, il aime bien poser ses mains sur mes fesses pour les tapoter. — Tu es donc toujours vierge.— Oui, toujours, tu sais, dans mon village il n’y a pas beaucoup de garçons, ils sont tous partis à la guerre, seul mon frère a échappé à la conscription et il était très protecteur, personne n’osait me faire la cour.— Et tu veux connaître intimement un homme comme on dit ?— Juste donner mon pucelage à mon frère, comme cadeau d’anniversaire.— Et c’est quand son anniversaire ?— Demain, le trente et un du mois.— Tu y tiens vraiment ?— J’aurais tellement aimé, mais ça ne va pas être possible puisque je suis ici, je ne serais pas chez moi demain, je ne pourrais même pas lui souhaiter.— Oui, c’est dommage.— Et toi, tu es vierge ?— Oui, comme madame.— Et tu veux le rester ?— Oui, comme madame, elle aussi veut le rester.— Et ça te ferait de la peine si je ne l’étais plus ?— Non, pas du tout, je pensais déjà que tu ne l’étais plus, vierge ou pas vierge, ça ne change rien pour moi.— En tout cas, seul Jules aura mon pucelage, Jules ou personne.— Bien dit !!

Je me jette sur elle, je plaque ma bouche sur la sienne, nous échangeons un long baiser. Nous nous séparons, elle me prend la main.
— Allons voir si madame a besoin de nous, elle fait la sieste de temps en temps.

Nous allons dans la salle à manger, madame et monsieur sont tous les deux présents, ils discutent dans le salon. Nous nous approchons, monsieur me regarde.
— C’est ta nouvelle protégée ?— Oui, la magnifique Marie.— Inutile d’en rajouter, je vois très bien qu’elle et très belle et très jolie, elle reste à ton service ?— Oui, je la garde.— Dommage.— Bon, suivez-moi les filles, j’aimerais dormir une petite heure.

Nous la suivons, l’escalier est assez clair, je vois de temps en temps son corps parfait à travers sa robe légère. Arrivées dans sa chambre, elle s’immobilise, se tourne et me regarde.
— Enlève-moi ma robe.— Oui madame.

Je viens vers elle, défais le nœud du ruban et déboutonne sa robe. Je lui enlève pour faire apparaître son sublime corps. Je me rends compte qu’un corps de femme m’émeut de plus en plus, je suis vraiment une gougnotte, mais je n’en ai rien à faire, je veux vivre la vie qui me plaît et avec des femmes si c’est ça qui me plaît. Louise a ouvert le lit, elle va s’allonger, Louise veut la recouvrir.— Non, déshabillez-vous toutes les deux et venez vous allonger avec moi, chacune d’un côté.
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