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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 6

Lesbienne
Jules
— Tu es vierge ?— Oui.— Tu veux le rester comme Louise ?— Je ne sais pas.— Tu aimerais que monsieur te déflore ?— Non.— Très bien.

Elle replonge dans mon sexe et me fait jouir quelques instants plus tard. Je suis encore un peu dans mon rêve que je sens une autre bouche se poser sur mon sexe. Marthe se déchaîne elle aussi, elle fait vite apparaître la boule qui finit par exploser encore une fois. Je jouis un peu plus fort qu’avec Denise, mais ça ne vient pas d’elle, j’ai remarqué que plus je jouissais, plus l’orgasme était fort, sa puissance augmente à chaque fois. Elles m’ont fait jouir plusieurs fois, jusqu’à ce que je leur dise que demain, je me levais plus tôt qu’elles. Louise est venue se coucher à côté de moi, nous nous sommes aimées comme avec madame, ça a beaucoup impressionné les filles. Je me suis endormie dans les bras de mon amour.
Le lendemain, Bérangère vient nous réveiller un peu avant cinq heures, nous nous installons sur une table d’une pièce à côté de notre chambre, il ne fait pas encore assez jour, il faut mettre deux lampes à huile. Elle commence à nous faire voir des lettres, nous donne leurs noms, je m’applique le plus possible, comme Louise, mais au bout d’un certain temps, nous commençons à mélanger un peu tout. Bérangère s’en rend compte, elle s’interrompt. Nous sommes toujours nues, nous n’avons pas mis nos robes, il fait assez chaud pour pouvoir le faire. Bérangère se tourne vers Louise, ses mains se posent sur ses seins. Je vois les boutons de sa robe dans le dos.
— J’ai envie de voir ce qu’il y a sous cette robe, tu n’aimerais pas Louise.— Oui, bien sûr que j’aimerais.— Vas-y Marie, défais les boutons.

Je déboutonne tous ses boutons, elle se lève et sa robe tombe, elle n’a pas de jupon. Nous avons la surprise de voir apparaître un très beau corps de femme de plus de quarante ans, ses seins sont en poire, pas très gros, comme les miens, et semblent encore assez fermes, ses fesses sont très belles, rondes, fermes, son sexe est lui aussi lisse, ça doit être une exigence de madame. Son ventre est plat avec un mont de Vénus comme le nôtre, bombé. Elle sent bon, j’ai envie de me jeter sur son sexe, mais Louise me devance, elle est en face d’elle, je vois ses mains sur ses fesses. Bérangère l’arrête, elle s’allonge sur le dos sur la table les jambes ouvertes, elle nous regarde.
— Vous n’avez que quelques minutes.

Louise se jette dessus, je vois sa tête bouger entre ses cuisses, Bérangère bouge son bas-ventre, elle semble beaucoup apprécier ce que lui fait Louise. Les mains de Louise montent jusqu’à ses seins. Au bout d’un petit moment, elle se redresse et me regarde.
— A toi mon amour, fais-la jouir.

Je me jette sur elle, ma langue s’active sur ses lèvres, son clitoris, son périnée. J’ai remarqué que quand on me le lèche, mon corps réagit. C’est pareil pour elle, elle pose ses mains sur ma tête. Je vais caresser ses seins encore assez fermes, je sens son corps se tendre, je serre ses tétons avec mon pouce et mon index, elle réagit en resserrant ses cuisses sur ma tête.
— Oh oui, ma petite Marie, oui, je vais jouir, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Son corps se raidit, elle est tendue comme un arc, son corps tremble. Doucement, elle se détend, elle se redresse, nous regarde.
— Ça ne m’étonne pas que madame veuille vous garder que pour elle, vous êtes des déesses de l’amour. Vous m’avez très bien fait jouir, mais maintenant, il faut reprendre le travail.

Nous nous y remettons, au bout d’un certain moment, elle nous libère, je l’aide à se rhabiller, reboutonne sa robe, elle nous prend l’une après l’autre dans ses bras pour nous embrasser. Je la sens heureuse, nous en sommes très heureuses. Elle s’en va et nous allons rejoindre notre chambre. Les filles sont sur leur lit dans la position que nous avions prise avec Louise hier. Elles semblent bien s’amuser, nous allons préparer le bain, nous les entendons gémir jusqu’à ce qu’on les entende jouir. Elles apparaissent quelques minutes plus tard, nous sommes déjà dans le bain. Une fois lavées, rasées, habillées, nous descendons prendre un petit-déjeuner. L’organisation du château m’étonne, ils mangent trois fois par jour, copieusement le matin, presque pas à midi et beaucoup le soir. A la ferme, on ne mange pas le matin, pas mal à midi et un peu le soir. Mais surtout, c’est la qualité et le volume de la nourriture mise à notre disposition qui m’étonne. J’en parle à Louise.
— Tu sais, c’est comme en Angleterre, gros petit-déjeuner, repas léger et gros dîner, n’oublie pas que madame est anglaise, et monsieur a beaucoup vécu en Angleterre, il est lui aussi anglais par sa mère, c’est elle qui l’a élevé en Angleterre.— Il doit être riche.— Pas du tout, c’est madame qui est très riche, monsieur n’a pas beaucoup d’argent, il n’est là que pour l’apparence. — J’ai compris pourquoi c’est elle qui commande.— Oui, c’est elle qui commande, et c’est une chance, je crois que monsieur est plus sévère, Denise et Marthe ont moins de liberté que nous. Mais elles disent que c’est un amant extraordinaire, qu’il a un énorme sexe, qu’il est très prévenant en amour et qu’il sait faire chanter le corps de femmes comme personne.— En réalité, ce sont deux bonnes personnes.— Je crois oui.— On a de la chance.— A qui le dis-tu !!

Nous amenons le petit-déjeuner à madame, elle est toujours nue sur son lit découvert. Elle nous regarde arriver avec un grand sourire, on sent qu’elle est heureuse de nous voir.
— Vivement que vous soyez à côté, j’avais envie de vous cette nuit, mais je ne pouvais pas aller vous chercher. Les pièces seront prêtes vers midi, Andrew s’en occupe, vous dormirez ici ce soir.— Il y aura plusieurs pièces ?— Oui, votre chambre, une salle de bain avec une baignoire, une pièce où Bérangère viendra vous donner ses cours, et des toilettes que j’ai fait installer en arrivant au château, il n’y en avait nulle part. Ça s’est bien passé ce matin avec Bérangère ?— Très bien madame, Bérangère est très gentille, elle sait comment faire.— C’est très bien, mais il n’est pas impossible que je vous donne des leçons moi aussi, j’aime bien faire ça. Je présume qu’elle n’a pas fait que vous apprendre à lire ?— En fait, c’est Marie qui a eu envie de lui enlever sa robe, c’est elle qui a joui, je crois qu’elle a beaucoup aimé.

Nous l’installons pour déjeuner, nous allons préparer son bain, une fois fini, j’enlève son plateau et le support, elle se lève et va dans la salle de bain. Elle se glisse dans l’eau avec un plaisir évident. Nous la laissons un instant, j’en profite pour me mettre à genoux devant Louise et lui titiller le bouton. Elle jouit en me tenant la tête, je sens son corps vibrer, ses muscles se tendre, je suis moi-même au bord de jouir, mon sexe coule de plus en plus, je me redresse pour l’embrasser, mais elle m’immobilise et se jette sur mon clitoris, elle en profite pour boire à ma source de cyprine, je jouis très vite. Elle se redresse et nos bouches se soudent. Elles sentent la cyprine, ça décuple notre plaisir. Nous retournons dans la salle de bain de madame, elle est toujours allongée dans son bain. Elle se lève en nous voyant arriver. Cette fois Louise prend le dos, je m’occupe de devant.
Mes mains glissent sur ce merveilleux corps, j’éprouve un immense plaisir à faire plaisir à cette femme. Je sais qu’elle adore sentir des mains de femme glisser sur son corps. Quand j’arrive sur son mont de Vénus, elle écarte les cuisses, je m’engouffre dans l’espace, je sens son clitoris dur, je glisse dessus, mon doigt le titille, elle réagit à cette caresse.
— Oui Marie, continue.

Mon doigt s’active sur son clitoris, je la sens se raidir, Louise entre dans le bain et l’enlace.
— Merci ma Louise chérie.

Je continue, elle se tend de plus en plus pour exploser dans un magnifique orgasme. Heureusement que Louise la tient, elle peut s’abandonner à son plaisir. Elle me prend et me fait entrer dans la baignoire, elle m’enlace, je l’enlace, ses lèvres se posent sur les miennes, nous échangeons le plus long baiser entre nous. Elle se tourne pour embrasser Louise aussi longtemps. J’en profite pour lui caresser les fesses. Nous sortons de la baignoire, elle se rince et sort à son tour. Nous l’essuyons en insistant bien sur les zones qui donnent du plaisir. Elle va dans sa chambre et s’allonge sur le lit. Je la rase sans oublier de la faire jouir, Louise s’occupe aussi de son sexe, quand elle revient à elle, je la lèche doucement pour la nettoyer. Elle se lève, ouvre son armoire et choisit une robe. Louise lui met, elle est moins légère que celle d’hier, mais à peine plus opaque. On distingue toujours sa silhouette en contrejour, mais je commence à comprendre que ça lui plaît beaucoup.
— Bon les filles, vous êtes libres, Bérangère vous attend dans la salle pour votre leçon.

Nous allons dans la salle, elle est déjà là, elle nous prend dans ses bras pour nous embrasser. Nous travaillons dur, je commence à assimiler, Louise aussi, mais cette fois, pas de récréation, elle ne s’arrête qu’à la fin de l’heure, je suis surprise, je n’ai pas vu le temps passer si vite. Elle nous libère, nous allons dans la cour, Andrew est là.
— Bonjour les filles, ça y est, j’ai fini votre chambre, elle est superbe, venez, je vais vous faire voir.

Nous le suivons, il nous amène dans une chambre pas très grande, mais confortable avec un grand lit deux personnes, un fauteuil, une table et deux chaises. Une autre pièce contient une table et quatre chaises, certainement la salle d’étude, une troisième contient une baignoire avec une grande cheminée, il y a un grand réservoir d’eau au-dessus, comme pour madame. Louise me regarde, elle me prend dans ses bras, je m’y love, je suis si bien dans ses bras. Andrew s’en va, Louise m’emmène dans la chambre, elle m’enlace, nous échangeons un long baiser, je sens que mon cœur est au bord d’exploser, je suis complètement submergée par mon émotion, madame arrive.
— Alors mes chéries, ça vous plaît ?— Beaucoup madame, beaucoup, mais, pourquoi tout ça pour nous.— Parce que vous êtes deux personnes que j’aime beaucoup. Deux personnes qui me sont indispensables, non seulement pour mon confort, mais aussi pour moi, vous êtes très chères à mon cœur, j’ai besoin de vous savoir à mes côtés.

Spontanément, je vais vers elle pour la prendre dans mes bras, Louise m’imite, elle est entre nous deux, elle sourit, je vois une larme dans ses yeux. Elle se reprend.
— Bon mes chéries, il faut aller manger, je vous attends après votre repas dans la salle à manger, à tout à l’heure.

Nous la quittons, nous mangeons avec Marthe et Denise, nous amenons les repas dans la salle à manger, je vois que madame a l’air heureuse, elle nous regarde avec tendresse, elle nous aime, je le sais. Après le repas, elle nous demande de venir la rejoindre dans sa chambre vers deux heures de l’après-midi. Nous allons dans notre chambre, c’est la première fois que nous nous allongeons dans notre nouveau lit, il est plus doux et moelleux que l’ancien. Louise me déshabille, je la déshabille, je veux la boire, elle se donne, je peux faire d’elle ce que je veux. Elle jouit deux fois de suite, je n’ai pas arrêté de lui lécher le sexe, même quand elle a joui la première fois, son corps est reparti tout de suite après, son deuxième orgasme a été encore plus fort que le premier, j’ai fini par m’allonger sur elle pour l’embrasser avec passion.
Elle a voulu me faire la même chose, elle m’a fait jouir deux fois moi aussi, mon corps est repu quand je vois entrer dans notre chambre madame, Marthe, Denise et Jules. Je sors du lit, comme propulsée par une main géante et me précipite dans les bras de mon frère adoré pour l’embrasser sans même réaliser que je suis nue. Il n’est pas habillé comme d’habitude et sent bon.
— Jules, Jules, tu es là ?— Oui petite sœur chérie, mais comment se fait-il que tu sois nue à cette heure de la journée ?— Je faisais une sieste avec ma chérie.— Ta chérie ?— Oui, Louise, la personne que j’aime, tu m’en veux ?— Tu es heureuse ici ?— Très heureuse, je suis bien traitée et je suis avec des personnes que j’aime.— Alors, je ne t’en veux pas.— Mais tu es tout beau.— Oui, j’ai pris un bain pour la première fois de ma vie.— Tout seul ?— Non, Denise et Marthe m’ont lavée. — Je m’en doutais, mais pourquoi es-tu là ?— Madame m’a demandé de venir aujourd’hui, il parait que tu as un cadeau d’anniversaire pour moi.

Je blêmis, je regarde Louise, madame, elles me sourient, madame vient vers moi.
— J’ai pensé que tu aimerais lui faire ton cadeau, c’est Louise qui me l’a demandé, elle veut que tu sois heureuse, si tu veux on vous laisse.

Je regarde Jules, il me sourit, il attend que je lui fasse mon cadeau. Je regarde tout le monde, Louise vient me prendre dans ses bras.
— Vas-y chérie, dis-lui quel est ton cadeau.

Je regarde Jules, il me regarde.
— Jules, tu m’aimes ?— Bien sûr que je t’aime petite sœur, comment peux-tu en douter ?— Et tu ferais tout ce que je te demande ?— Oui ma Marie chérie, tout ce que tu me demandes.— Alors je te donne ma virginité, je veux que nous fassions l’amour le jour de tes vingt et un ans.

Il me regarde, sidéré, je crois qu’il va partir en courant, il vient vers moi, Louise s’éloigne. Il me prend dans ses bras, me serre très fort en promenant ses mains sur mon dos. L’une d’entre elles passe sur ma colonne, je suis parcourue d’un énorme frisson.
— Tu veux me donner ta virginité aujourd’hui ?— Et seulement aujourd’hui, ou sinon, je reste vierge toute ma vie. Je ne veux la donner qu’à toi et aujourd’hui, tu veux bien ?— C’est pour ça qu’on m’a fait prendre un bain et donné ces affaires ?— Je pense que c’est pour ça.

Il me met à bout de bras et me regarde, je vois ses yeux briller, j’ai l’impression qu’il va pleurer.
— Oui, je veux bien, mais où peut-on faire ça ?— Ici, dans notre lit, et j’aimerais que Louise, les filles et madame restent et qu’elles s’occupent de nous en même temps.— Oui, mais je vais avoir des difficultés devant tant de monde.

Marthe vient vers nous. Je vois Louise étendre un grand linge sur le lit.
— Ne t’en fais pas, je peux régler le problème. Viens Denise, on s’occupe de monsieur.

Marthe le prend par la main et l’éloigne de moi, elles commencent à le déshabiller. Quand il est nu, je vois qu’il a un morceau de chair qui pend entre ses cuisses, je vois pour la première fois le sexe de mon frère, il a l’air bien mou. Marthe s’agenouille devant lui, elle lui prend le morceau de chair et en met une partie dans sa bouche. Je vois qu’elle fait des va-et-vient dessus. J’ai l’impression que son sexe se redresse. Louise m’allonge sur le lit en m’écartant les jambes. Madame se penche sur mon sexe pour me le titiller, je sens qu’il recommence à couler. Marthe amène Jules vers le lit, son sexe est maintenant dressé vers le ciel, il me parait très gros, va-t-il pouvoir entrer dans mon vagin, il me parait trop gros.
— Tu as de la chance Marie, il a un très beau sexe, tu vas te régaler.

Marthe fait allonger Jules sur moi, je le regarde dans les yeux en souriant, étrangement, il a l’air inquiet. Denise se saisit de son sexe et l’amène à l’entrée de mon vagin. Je sens une boule dure sur mes lèvres, elle entre doucement, c’est doux et assez agréable. Mais, je sens que quelque chose empêche le sexe de Jules d’aller plus loin, c’est mon pucelage qui ne veut pas céder. Je commence à avoir mal, j’ai l’impression qu’on me déchire à l’intérieur. Jules s’arrête, je le sens hésitant.
— C’est maintenant que tu dois prendre ton cadeau, allez mon frère chéri, bon anniversaire.

Il donne un coup de reins, j’ai l’impression qu’on me donne un énorme coup de poignard dans le ventre, la douleur est atroce, mais son sexe s’enfonce jusqu’à ce que je sente des poils contre mon pubis. Il est entièrement enfoncé en moi. Il reste un petit moment immobile puis commence à sortir un peu et entrer. Il fait des va-et-vient dans mon sexe. J’ai mal, je ne peux pas apprécier, mais je veux qu’il aille jusqu’au bout, qu’il jouisse en moi, je veux lui donner un cadeau comme il n’en aura jamais. Je sens quand même son sexe aller et venir dans mon sexe, je regarde mon frère dans les yeux en lui souriant. Je vois que Marthe et Denise le caressent, Louise s’est allongée à côté de moi, elle a posé une main sur mon ventre, elle la fait glisser doucement, ça calme ma douleur. Je sens Jules se tendre, si c’est comme nous, il doit être sur le point de jouir.
Madame m’ouvre les jambes en grand et les monte vers le ciel, je suis complètement ouverte, je sens le sexe de Jules aller encore plus loin dans mon sexe, mais j’ai trop mal pour ressentir du plaisir à cet acte. Jules se crispe, il donne des coups de plus en plus forts, je sens un liquide envahir mon sexe, il ferme les yeux, donne deux derniers coups de reins et se couche sur moi. Je l’enlace en redescendant mes jambes. Sa tête et sur mon épaule, je sens ses lèvres déposer un baiser sur mon cou.
— Merci petite sœur chérie, merci, c’est le plus beau cadeau d’anniversaire que l’ai eu de ma vie. Merci Marie chérie.

Il bascule et se laisse glisser à côté de moi. Il se met sur le dos. Louise me caresse, sa main court sur mon corps, j’ai toujours mal, mais je suis heureuse d’avoir fait ça, je crois que c’est la dernière fois qu’un sexe d’homme entre dans mon sexe, je n’ai pas trouvé ça très agréable. Madame me regarde, elle sourit.
— Tu as été magnifique de courage ma chérie, maintenant il faut te reposer, je te donne ton après-midi, Bérangère est prévenue.

Elle quitte la pièce, Louise reste avec moi, elle m’enlace. Marthe vient vers Jules.
— Dit donc toi, c’est la première fois que tu fais l’amour avec une fille hein ?— Oui, la première fois, et avec ma sœur adorée en plus.— Tu as aimé ce qui s’est passé ?— Oui, beaucoup.— Tu aimerais recommencer ?— Oui, j’aimerais bien, mais Marie a trop mal, je ne peux pas.— Et qui te parle de recommencer avec Marie ?

Il la regarde, un peu étonné. Marthe me regarde.
— Je peux lui faire plaisir moi aussi, ainsi que Denise, monsieur nous a donné la permission.— Lui aussi est au courant ?— Oui, tous les six et Bérangère.— J’espère que c’est tout.— Oui, rassure-toi.— Vas-y, fais-toi plaisir.

Elle se penche sur lui et lui gobe le sexe. Sa tête monte et descend dessus, je le vois se redresser petit à petit jusqu’à devenir bien raide. Je m’attends à la voir s’enfoncer son sexe dans le sien, mais elle continue son mouvement. Je vois que Jules a l’air d’apprécier beaucoup, il se laisse faire les yeux fermés. Je sens une bouche se poser sur mon sexe, c’est Denise qui s’en occupe. Je la laisse faire, sa langue me titille le vagin, elle se redresse.
— Il a un peu le goût de sang, tu es vraiment dépucelée, c’est sûr.

Sa bouche retourne sur mon sexe. Je sens que la boule se forme malgré la douleur qui me tiraille encore. Elle gonfle, s’étend, envahit mon corps lentement. Marthe a toujours le sexe de Jules dans la bouche, je vois qu’il commence à se raidir, il pose ses mains sur sa tête et donne des coups de reins. Je vois que Marthe avale quelque chose, ça a l’air de lui plaire. La boule gonfle encore dans mon corps pour finir par exploser et m’emmener dans un nuage de béatitude et de bonheur. Louise m’embrasse passionnément, je ne suis plus dans ce monde. Quand je reviens à moi, je vois Marthe qui embrasse Jules sur la bouche. Elle me voit.
— Tu sais que la jute de ton frère est très bonne.— La jute ?— Oui, ce qui sort de son sexe quand il jouit.— C’est ce que j’ai senti tout à l’heure ?— Certainement.— Et tu l’as avalé ?— Oui, j’adore ça, plus que Denise.— Et tu fais ça à monsieur ?— Oui, quelquefois et il aime bien.— Moi, je ne pourrais pas.— Tout le monde ne le fait pas.

Louise doit aller voir madame, elle me laisse difficilement, mais il le faut. Jules est sur le dos, je lui laisse un peu plus de place, je vois son sexe entre ses cuisses, il est mou. Cette fois, c’est Denise qui lui caresse le sexe. Il se redresse lentement, Jules la laisse faire, une fois qu’il est bien raide, elle le chevauche, dirige son sexe vers le sien et se laisse descendre dessus. Je vois le sexe de mon frère entrer dans celui de Denise, elle a l’air d’adorer ça. Elle monte et descend en s’appuyant sur son torse. Je vois le sexe de Jules briller de plus en plus. Denise accélère son mouvement, elle finit par se coucher sur lui, leurs bouches se soudent, elle accélère encore pour se raidir dessus et jouir en ayant de violents soubresauts. Jules aussi est secoué, il doit lui aussi jouir. Elle se couche sur lui, ils ne bougent plus, Jules promène ses mains sur son corps, elles s’éternisent un peu sur ses fesses, mais il faut dire qu’elles sont superbes.
Au bout d’un moment, elle se redresse, prend Jules par la main et le fait lever.
— Il faut y aller, on doit te raccompagner, Andrew t’attend dehors.

Jules se rhabille, je vois qu’il garde ses nouveaux habits, peut-être un cadeau d’anniversaire de madame. Il vient m’embrasser une dernière fois et s’en va. Je suis un peu triste de le voir partir, mais très heureuse d’avoir pu lui faire mon cadeau. Louise revient et se jette dans mes bras. Nous restons enlacées un long moment, juste corps à corps, sentir la peau de l’être aimée contre sa peau. Marthe et Denise sont allées voir monsieur qui les a demandés. L’heure du repas arrive, je descends avec ma chérie manger, je décide d’aller avec elle servir madame. Elle est étonnée, mais heureuse de me voir. J’ai toujours mal, mais je me force pour paraitre naturelle. Nous allons coucher madame, nous lui faisons chacune l’amour, elle est prête à dormir après deux orgasmes très intenses. Nous allons nous coucher, heureusement, maintenant c’est juste à côté. Nous nous couchons et comme d’habitude faisons l’amour. Le sommeil nous rattrape et nous nous endormons enlacées.
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