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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 8

Lesbienne
Britney
Je remarque que toutes ces filles ont au maximum vingt ans, comment les connaît-elle ? Elle est partie d’ici depuis plus de dix ans. Britney vient vers moi, elle s’incline devant moi, je rêve !!
— Je suis à votre service madame.
« Madame », elle m’appelle « madame », je n’en reviens pas. Je garde mon sang-froid.
— Très bien Britney, mais dorénavant plus de révérence, je ne suis que gouvernante, pas la femme du roi.— Très bien madame.

Charlotte reprend la parole.
— Vous avez entendu, je serai comme madame Marie, pas de révérence, vous avez bien compris ?— Oui madame.

Vue de plus près, Britney est une magnifique jeune fille de vingt ans maximum, le type anglais, rousse avec de petites taches de rousseur, mais très jolie et de ma taille. Je dois passer pour une vielle pour elle avec mes vingt-huit ans, ne parlons pas trente-deux de Charlotte. Nancy n’est guère plus vieille et Vicky aussi. Elle ne peut les avoir connues à moins qu’elles ne soient nées au château. Nous montons au premier, c’est à cet étage que nous avons nos appartements. Nous sommes toutes les trois dans le même appartement, il y a une grande salle à manger avec une énorme cheminée dans laquelle brule un non moins énorme tronc d’arbre mis verticalement, une salle de bain avec cheminée allumée et une immense baignoire dans laquelle on peut tenir à quatre sans problème, quatre chambres avec cheminées et une pièce donnant sur une des chambres.
Nous sommes en février, il fait froid dans ce pays, mais le château est relativement bien chauffé, mieux qu’à Belvoir, il faut dire que quatre hommes s’en occupent toute la journée, ils font des rondes pour surveiller toutes les cheminées allumées du château. Je regarde Charlotte.
— C’est magnifique, mais tu vas être loin de moi la nuit.— Je suis juste la chambre à côté, il va falloir changer deux ou trois choses, mais nous allons vivre comme avant, ne t’en fais pas. — On ne pourra plus dormir ensemble ?
— Non, en tout cas, pas pour le moment, ce n’est pas très bien vu ici, nous sommes dans un pays assez strict là-dessus, plus qu’en France.— Et Alice ?— Elle sera dans la chambre à côté de la mienne.

Elle va dans une autre chambre avec Alice, je suis un peu triste de ne plus l’avoir à mes côtés pour dormir, mais c’est la fille de Charlotte, elle dort dans une chambre à côté d’elle, c’est normal. Alice est toute contente d’avoir sa propre chambre. Quand nous sommes de nouveau toutes seules, je vais dans la chambre de Charlotte.
— Comment peux-tu connaître ces filles alors que tu ne les as jamais vues ?— Je les ai toutes vues naître, mais je ne les reconnaissais pas.— Comment as-tu fait ?— Tu n’as pas remarqué Dorothy, elle était à côté de moi.— Oui, elle te connaît depuis longtemps ?— Depuis trente et un ans, elle est entrée au service de la famille quand j’avais un an, elle travaillait avec Bérangère, c’est elle qui me désignait discrètement les filles et me donnait les noms.— Je n’y ai vu que du feu, bravo. — En fait, c’est elle qui me les a sélectionnés, je lui avais fait parvenir des consignes, ce sont des gougnottes comme tu dis, je crois que c’est indispensable quand on se fait laver. — Je vais me faire laver ?— Bien sûr, et raser, d’après Dorothy, ce sont des expertes, n’oublie pas que tu es gouvernante, il faut tenir son rang en Angleterre, tu verras qu’il y a des différences assez grandes entre maître et serviteurs par rapport à la France, Dorothy t’expliquera.— Tu crois que je vais m’en sortir ?— Oui, et je peux même t’affirmer qu’avec tes idées, tu seras adorée par celles qui te serviront. Tu as du cœur, ça se sent, elles le verront et elles te le rendront. Par contre, aucune familiarité en public, tu es la patronne, pas de copinage, c’est très mal vu. Vous dois impérativement garder ton autorité. — Donc pas comme entre nous.— Je n’ai pas dit ça, je veux dire qu’en public, tu es la patronne, mais en privé, tu peux avoir un autre comportement avec des personnes de confiance.— C’est-à-dire.— Comme nous, tu peux avoir des relations intimes avec ta servante par exemple, mais en privé exclusivement.— Evidemment, aucune ne parle français.— Tu es en Angleterre ma chérie, et en Angleterre, on parle Anglais, sauf peut-être à Saint James.— C’est quoi Saint James ?— Un peu comme était Versailles, c’est là que vivent nos souverains, actuellement c’est George III, mais il ne peut plus gouverner, c’est son fils qui gouverne, c’est le régent.— Pourquoi ne peut-il plus gouverner ?— Parce qu’on dit qu’il est fou.— Pourquoi tu dis sauf là ?— Parce qu’à part lui et son fils qui sont nés en Angleterre, ils sont tous d’origine germanique et parlent allemand, c’est la maison de Hanovre, sa femme est elle aussi allemande, de plus c’est l’endroit où l’on parle le plus français en Angleterre.— Je ne comprendrais jamais les Anglais.— La devise du pays est en français « Dieu et mon droit » et « Honi soit qui mal y pense », il ne faut pas oublier que Guillaume premier, roi d’Angleterre, était un normand, Guillaume le Conquérant, qui parlait français, même de Richard cœur de Lion ne parlait que le français.— Bon et bien il va falloir parler anglais.— Et pourquoi crois-tu que je t’aie fait appendre l’anglais, tu sais le lire et l’écrire maintenant.— Oui, grâce à toi et Bérangère.— En plus, tu pourras laisser des ordres écrits, tout le monde sait lire et écrire ici, c’était une exigence de mon père et je la perpétuerais.— Si je comprends bien, la différence entre maître et serviteur est plus grande en Angleterre, mais au moins, ils les instruisent.— Pas tous, je n’en connais que deux ou trois qui l’on fait en plus de mon père. Il était dur et intransigeant, mais juste et il ne voulait pas s’adresser à des ignares. Il était assez aimé en définitive.

Il est l’heure de déjeuner, nous nous installons autour d’une table, Alice est sur une chaise spéciale, elle semble bien aimer. Britney arrive vers moi avec une assiette, elle la dépose devant moi. Je suis un peu gênée, j’ai à peine fini mon verre qu’elle me le remplit, si j’ai trois miettes de pain à côté de moi, elle les enlève avec une brosse. Charlotte me regarde avec un sourire discret, elle s’amuse de me voir un petit peu mal à l’aise, mais je sais que je m’y ferais. Nancy s’occupe de Charlotte et Vicky est au petit soin pour Alice qui semble en profiter un peu. Le repas se passe bien, je fais tout pour ne pas gêner Britney, elle semble bien m’aimer, elle est tout sourire. L’après-midi se passe à ranger toutes les affaires avec Britney, et il y en a. Dorothy me présente tout le personnel, elle semble être aimée, mais on sent une certaine autorité, elle m’explique que c’est le secret de la réussite, être autoritaire et aimer les gens, comme l’était Bérangère.
Après le dîner, nous allons finir la soirée dans des fauteuils très confortables à côté de la cheminée. Alice vient nous dire bonsoir et va se coucher avec Vicky. Nous discutons de la journée.
— Alors ma chérie, cette première journée de gouvernante, ça t’a plu ?— Oui, bien sûr, mais je me sens un peu gênée, je n’ai pas l’habitude, heureusement qu’il y avait Dorothy, tu crois que je vais y arriver ?— J’en suis sûre, d’autant que j’ai bien regardé le comportement de Britney, elle se sent à l’aise avec toi, elle n’est pas tendue comme tout le temps la première fois. Elle te sent différente, ça va très bien se passer, en plus, je crois qu’elle a un petit faible pour toi.— Tu crois vraiment ?— Il n’y a qu’à regarder son comportement et la manière dont elle te regarde, elle te boit des yeux.— Que dois-je faire ?— Laisser faire la nature, je ne suis pas jalouse.

Je vois apparaître Britney et Nancy, elles viennent vers nous. Nancy s’adresse à Charlotte.
— Avez-vous encore besoin de nous, madame ?— Oui, nous allons nous coucher, vous allez nous déshabiller.— Nous vous avons préparé un bain, il vous attend madame.— Pas ce soir Nancy, mais si madame Marie veut en prendre un.— Volontiers.

Elle se lève et va vers sa chambre, je vais vers la salle de bain, accompagnée de Britney. Elle se met derrière moi, elle commence à déboutonner ma robe, elle l’ouvre et constate que je n’ai pas de jupon.
— Vous ne portez pas de jupon ni de culotte, vous êtes nue sous votre robe madame ?— Oui Britney, les jupons m’insupportent et les culottes sont un nid à odeur, j’aime être libre sous ma robe.

Elle m’enlève ma robe en me faisant tourner. Je vois qu’elle me scrute sous toutes les coutures, elle semble bien aimer ce qu’elle voit. Je la regarde droit dans les yeux.
— Tu as quel âge Britney ?— Dix-huit ans et trois mois madame.— Tu es très belle ma petite.— Vous aussi madame.— Au moins toi, tu peux en juger intégralement, tourne-toi, tu ne vas pas me laver habillée.— Bien sûr que non madame.

Je déboutonne sa robe, elle tombe à terre, elle porte un jupon qu’elle enlève et jette par terre, elle a aussi une culotte qui prend le même chemin. Je la sens fébrile, comme si le fait de se déshabiller devant moi l’excitait.
— Le jupon si tu veux, tu le gardes, mais plus de culotte, et tu devrais le dire à Nancy et Vicky.— Bien madame.

Elle est nue devant moi, elle est magnifique, de superbes seins ronds hauts et fermes, pas trop gros, un ventre plat, des fesses rondes et hautes, un pubis comme le mien, rebondi, mais lisse comme si elle venait de le raser.
— Tu te rases le soir Britney.— Non madame, moi, je m’épile, le mont de Vénus est lisse pendant beaucoup plus longtemps.— Il y a combien de temps que tu t’es épilée ?— Trois jours madame.— Et tu pourrais me le faire ?— Oui, mais il va falloir attendre un peu, les poils doivent être un peu plus longs pour pouvoir les enlever.— Combien de temps ?— Deux semaines au moins.— Très bien, on verra ça demain, lave-moi.

Je rentre dans l’eau en m’allongeant de tout mon long dans cette immense baignoire, elle est debout en me regardant, son regard parcourt mon corps, je sens qu’elle a envie de quelque chose. Je me lève, elle prend un gant, le trempe dans l’eau du bain.
— Que fais-tu ?— Je mouille le gant pour qu’il soit plus doux.— Pas de gant sur ma peau, avec tes mains. — Très bien madame.

Elle se savonne les mains, commence par les épaules et les bras, glisse sur les côtés pour me laver le ventre et les hanches.
— Tu travailles au château depuis longtemps ?— Depuis quatre ans madame.— Tu dois bien le connaître.— Oui, très bien.— Et Nancy ?— Elle aussi, comme Vicky, nous sommes nées ici et nous nous connaissons depuis toujours.

Elle descend sur mes jambes pour remonter sur l’intérieur. J’écarte un peu mes cuisses, elle effleure à peine ma vulve et remonte sur le ventre pour se reculer. Je me tourne ostensiblement.
— Tu n’as rien oublié ?

Elle avance et pose ses mains sur mes fesses, elle les savonne, les frotte, les caresse. Je sens un léger tremblement dans ses mains. Elle arrête, je me retourne et la regarde. Elle comprend et pose ses mains sur mes seins, comme avec mes fesses, elle les savonne, mais ses mains sont plus légères, ce n’est qu’une merveilleuse caresse, je sens mon vagin couler un peu, mais je me maîtrise. Elle se recule, je plonge dans l’eau pour me rincer et sortir du bain. Elle m’essuie longuement, j’ai l’impression qu’elle fait durer le plaisir. Cette fois, elle insiste un peu entre mes jambes. Elle me regarde en souriant, je sens qu’elle voudrait aller plus loin, mais on a le temps.
— Très bien Britney, réveille-moi demain à six heures.— Bien madame.

Je l’aide à se rhabiller, elle ne remet que sa robe.
— C’est vrai que c’est très agréable.— Je te l’avais dit.

Je la boutonne et vais me plonger dans mon lit douillet, elle s’en va.
— Bonne nuit madame.— A demain Britney.

Je ne suis que depuis deux minutes seule qu’apparaît Charlotte, elle se jette sur moi, elle me présente son sexe et pose sa bouche sur le mien. Elle me lèche la vulve.
— Dis donc, j’ai l’impression qu’elle t’a fait de l’effet la petite Britney.— Oui, et j’ai eu le sentiment qu’elle voulait aller plus loin.— N’oublie pas que c’est une gougnotte.— Je verrais ça demain.

Elle replonge sur mon sexe, sa langue me trifouille les lèvres, le périnée pendant un long moment, pour finir sur mon clitoris qu’elle aspire. Je lui fais la même chose, nous jouissons pratiquement en même temps. Quand nos corps se sont détendus, elle pivote et se colle à moi.
— Nous allons être très bien ici, tu verras ma chérie.— J’ai remarqué que Britney était lisse sur le pubis, elle m’a dit qu’elle s’épilait.— Oui, c’est une autre manière de s’enlever les poils, mais les poils doivent repousser un peu avant de rendre le mont de Vénus lisse de nouveau. Mais c’est vrai que c’est tentant.— Il faudrait voir une fille qui s’est fait épiler il y a deux semaines.— Je vais voir ça avec Dorothy demain.— Très bien.— Je te laisse ma chérie, il faut que je dorme à côté d’Alice.— A demain ma chérie.

Nous échangeons un long baiser, ce n’est pas l’amour que j’avais pour ma Louise, mais je suis bien avec cette magnifique femme. Elle retourne dans sa chambre, je ne mets que quelques minutes à m’endormir sous l’édredon malgré l’absence de mes deux chéries.
Le lendemain, je sens une main sur mon épaule.
— Il est l’heure, madame.

J’ouvre les yeux, Britney est à côté du lit avec un large sourire. Elle ouvre mon lit, nullement étonnée de me voir nue dedans.
— Vous avez de la chance de pouvoir dormir nue, moi je garde ma robe, nous dormons à deux dans un lit, elle s’entortille autour de mon corps, je déteste, j’aimerais tant pouvoir dormir nue comme vous.— Je vois qu’on a les mêmes goûts.

Je sors du lit en ouvrant au maximum mes jambes, elle regarde mon sexe en me tendant une main pour m’aider. Une fois debout, elle se dirige vers la salle de bain, le bain est déjà prêt, je m’en étonne.
— C’est Jim et Andrew qui s’en sont occupés, comme hier soir. — J’avais oublié ce détail.

Je rentre dans l’eau, elle est exactement comme on l’aime avec Charlotte. Je me détends un court instant dans l’eau, pendant qu’elle enlève sa robe boutonnée devant, elle ne porte que ça. Son mont de Vénus est toujours aussi lisse alors que le mien devient râpeux. Je me lève, elle commence le lavage à mains nues. Cette fois, je sens qu’elle a pris de l’assurance, ses mains sont plus fermes, elles me caressent ouvertement, elles passent partout, s’attardent sur mes seins, mes fesses et vont se glisser énergiquement entre mes cuisses. J’entends sa respiration se saccader un peu quand elle fait des va-et-vient entre elles. Cette fille aime beaucoup les filles, ça se sent. Je la laisse faire, j’écarte même un peu mes cuisses, un doigt se glisse entre mes lèvres en effleurant mon clitoris. J’ai un mouvement en avant de mon bassin. Il revient et commence à bouger dessus. Cette fois, je sens que je ne peux plus résister, il faut qu’elle aille jusqu’au bout.
J’ouvre un peu plus mes cuisses, elle s’active sur mon sexe en allant du périnée au clitoris. Je me tends de plus en plus, elle le sent et se fixe sur mon bouton d’amour. J’explose dans un terrible orgasme, mon corps est secoué dans tous les sens, je suis obligée de m’agripper à elle pour ne pas tomber. Mon corps se calme lentement, je sens que des lèvres déposent un baiser sur mon pubis. Elle s’écarte pour que je me rince. Je replonge dans l’eau un petit moment, Britney me regarde, elle semble plongée dans ses pensées.
— Quelque chose qui t’ennuie Britney ?— Non, rien de spécial, j’espère que vous avez aimé ce que je vous ai fait.— J’ai adoré, tu peux recommencer quand tu veux.— Je vous regarde et je trouve que vous êtes très belle, je trouve votre corps très beau.— Le tien est aussi très beau, je dirais même magnifique.— Merci madame.— Tu aimes bien jouer avec un corps de femme n’est-ce pas ?— Oui, j’adore.

Je sors de l’eau, elle m’essuie énergiquement, cette fois, elle insiste sur les seins, j’ai l’impression qu’elle adore caresser des seins, comme moi. Une fois sèche, nous allons dans ma chambre, toujours nues, elle ferme la porte.
— Pourquoi fermes-tu la porte ?— Parce que Jim et Andrew vont venir changer l’eau pour madame Charlotte.— Très bien, que fait-on maintenant, tu me rases ?— Oui madame et après, la crème, Dorothy m’a demandé de vous passer une crème sur tout le corps.— Et ça te plaît ça de passer une crème sur le corps d’une femme.— Je dois dire que oui, surtout sur celui d’une belle femme comme vous.— Allez, rase-moi.

Je m’allonge sur le dos au bord du lit en face de la cheminée. Britney m’écarte les cuisses, elle passe la mousse sur mon pubis. Je sens la lame glisser sur ma peau, j’en éprouve une sorte de plaisir. Quand elle a fini, elle pose sa main sur mon mont de Vénus, elle le caresse un petit moment et y dépose un baiser. Je réagis en levant un peu mes fesses. Elle me regarde, me sourit et enlève sa main.
— Il faut que je vous passe la crème, voulez-vous vous mettre sur le ventre s’il vous plaît.

Je me mets sur le ventre, je sens ses mains enduites de crème glisser sur mon dos, elles passent partout pour finir sur mes fesses qu’elles caressent longuement. Un doigt se glisse entre elles pour venir me toucher l’anus, j’ai un réflexe en donnant un petit coup en arrière, ce contact m’a bien plu. Le doigt insiste un peu, il titille ma rondelle, il s’immobilise et tente d’entrer, je ne réagis pas tout de suite, mais je ne suis pas contre. Le doigt s’en va, deux lèvres se posent sur chacune de mes fesses pour un rapide baiser.
— Pouvez-vous vous retourner, madame ?

Je me mets sur le dos, elle me regarde en souriant.
— Vous aimez ce que je vous fais, madame ?— Beaucoup Britney, beaucoup.

Ses mains se posent sur mon ventre, le caressent, remontent sur mes épaules, redescendent sur mes seins qu’elles caressent longuement, je commence à réagir, mon ventre ondule un peu. Ses mains vont sur mes chevilles, elles remontent le long de mes jambes. Instinctivement, mes jambes s’ouvrent. Quand elles arrivent en haut de mes cuisses, mon sexe lui est offert, je ferme les yeux, je sais qu’elle va comprendre. Un doigt se glisse entre mes lèvres, il les titille, il glisse de bas en haut et s’enfonce un peu dans mon vagin. Je suis tellement excitée que j’en éprouve un certain plaisir, c’est la première fois qu’on y introduit quelque chose depuis Jules. Elle sent que je réagis bien et ajoute un doigt. Elle fait des aller-retour dans mon vagin, je la laisse faire, je veux voir jusqu’où ça va m’amener. Un troisième vient rejoindre les deux autres, cette fois-ci, j’ai l’impression que c’est Jules.
Je sens mon corps réagir, mon bassin s’anime, il fait des ronds dans l’air, elle accélère le mouvement. Je sens monter en moi un orgasme, je reste à l’écoute de mon corps, lentement il se tend pour finir par se raidir sous l’action de milliers de feux d’artifice.
Je jouis pour la première fois de cette manière, c’est moins intense qu’avec Charlotte et sa bouche, mais j’ai ressenti un plaisir immense et différent. Je suis encore dans mes souvenirs de Jules quand je sens des lèvres sur mon sexe, elle veut encore me faire jouir. Sa langue me titille les lèvres, l’urètre, le périnée, pénètre dans mon vagin, lape ma cyprine qui continue de couler à flots. Je me laisse faire, elle a une certaine expérience, incroyable vu son âge, elle doit pratiquer depuis longtemps. Lentement ma boule se forme, je sais ce qui va se passer, je l’attends avec plaisir, je sais que je vais jouir comme une folle, cette fille a une maîtrise certaine du sexe féminin, comme moi. Au bout de plusieurs minutes, je suis tendue comme un arc, mais elle ne veut pas conclure, elle me fait languir, je lui saisis la tête et l’amène sur mon clitoris. Ses lèvres et sa langue se déchaînent sur lui, j’explose dans un gigantesque orgasme.
Un tel orgasme ne m’est pas arrivé depuis la mort de Louise, je m’écroule en larme. Britney se redresse.
— Madame, madame, que vous arrive-t-il ?— Rien de grave Britney, tu as simplement fait remonter en moi un triste souvenir.— Je vous ai fait penser à Louise ?— Comment connais-tu l’existence de Louise ?— C’est Dorothy qui m’en a parlé pour éviter que je fasse un impair, je connais votre histoire, j’en suis désolée. — Ne t’en fais pas Britney, j’aime autant que tu sois au courant.— Je suis la seule avec Dorothy, et je n’en parlerais jamais à personne. — Merci Britney.

Je me redresse, je vois les traces de ma cyprine autour de sa bouche, j’ai envie d’y poser mes lèvres, mais il est trop tôt pour ce genre de comportement. Je la sens tendue.
— Que t’arrive-t-il Britney ?— Je suis un peu fatiguée.— Tu plaisantes j’espère, tu es tendue parce que tu m’as vu jouir trois fois et que toi, tu n’as pas joui c’est ça ?— Je suis toute chose, je ne sais pourquoi.

Je tends la main pour aller entre ses cuisses, je tombe sur une véritable rivière.
— Moi je sais pourquoi.— Mais que faire ?— Tu aimerais me montrer comment tu fais pour te faire plaisir ?— Me caresser devant vous ?— Oui, pourquoi pas, tu n’aimes pas ?— Si justement, j’aime beaucoup me caresser devant des personnes, mais pourquoi ?— Parce que tu en crèves d’envie, tu as envie de jouir oui ou non ?— Oui madame, j’ai envie. — Eh bien, fais-moi voir comment tu fais devant tes copines.— Ici ?— Oui, là sur mon lit.

Je lui montre le lit, elle s’allonge dessus en écartant les jambes me montrant un sexe rose luisant de cyprine. Sa main se pose sur son sexe, elle commence à se masturber lentement, elle me regarde en souriant, je vois ce magnifique corps bouger devant mes yeux, je vois ses tétons s’ériger, je ne peux pas rester inerte, je m’agenouille sur le lit à côté d’elle et lui caresse les seins. Elle me regarde, ses yeux sont remplis d’amour, elle aime ce que je lui fais. Je vois son doigt accélérer le mouvement, je me penche sur elle pour lui mordiller les tétons, elle se cabre encore plus. Je me redresse et lui pince carrément les tétons assez fort, elle me regarde toujours, mais ses yeux se voilent, son regard est dans le vide elle se cambre et jouit devant moi, son corps est secoué de spasmes. Je la caresse pendant que son corps se calme lentement, sa peau est d’une douceur extraordinaire, elle rouvre les yeux, son regard est clair, franc.
— Merci madame.— De quoi me remercies-tu ?— De m’avoir laissé vous faire jouir et de m’avoir permis de me caresser.— Tu as aimé me faire jouir ?— Oui, beaucoup.— Je pense que ça se renouvellera souvent.— Je l’espère, madame, j’aime beaucoup vous voir jouir, vous êtes si belle.— Merci Britney, je dois m’habiller, il faut que j’aille réveiller Charlotte.— Vous êtes amie depuis longtemps avec madame Charlotte ?— Presque dix ans.— Vous vous aimez n’est-ce pas ?— Tu es bien curieuse.— On ne peut pas cacher ça une gougnotte, je le sens, je le sais.— Je ne peux rien te dire.— Ne vous en faites pas, je serai aussi muette qu’une tombe.

Je me dirige vers mon armoire, je l’ouvre devant Britney, elle ouvre de grands yeux.
— C’est à vous toutes ces robes ?— Oui, ce sont les miennes.

A la mort de Louise, comme nous avions la même taille, Charlotte a voulu que je récupère ses robes, elle nous en faisait faire des différentes, je n’en ai aucune en double. J’en choisis une un peu chaude boutonnée derrière, je la tends à Britney, elle m’aide à l’enfiler, mais elle laisse traîner ses mains sur mon corps, en particulier mes fesses.
— Tu les aimes hein ?— Je les adore, elles sont douces, lisses, fermes, hautes, elles sont parfaites pour mes mains, comme vos seins d’ailleurs.— Ne t’en fais pas, tu auras d’autres occasions de les revoir et de les caresser. — Je l’espère, je peux aller plus loin ?— Vas-y.

Ses mains écartent ma robe, contournent mes hanches et se rabattent sur mon pubis. Elle colle son corps contre mon corps, je sens ses seins sur mes omoplates et son pubis sur mes fesses, deux doigts écartent mes lèvres, un doigt vient me titiller le clitoris, je me laisse aller, il va se glisser entre mes lèvres pour se lubrifier et revenir de plus belle sur lui. Elle répète ce geste plusieurs fois jusqu’à ce que je finisse par jouir une nouvelle fois. Elle vient devant moi, s’agenouille, soulève ma robe pour passer dessous. Des mains m’écartent un peu les cuisses et une langue vient me lécher la vulve du périnée au clitoris. Au bout de quatre à cinq coups de langue, elle sort de ma jupe et se redresse.
— Voilà, madame est propre maintenant.— Merci beaucoup, Britney, ça ne t’a pas déplu de me nettoyer j’espère ?— Oh non, pas du tout madame, au contraire, j’adore votre jus d’amour.— Nous sommes faites pour nous entendre, c’est sûr.

Elle finit de boutonner ma robe, enfile la sienne, la boutonne et me regarde.
— Je suis très heureuse d’être à votre service madame, vous pouvez me demander tout ce que vous voulez.— N’exagérons rien ma petite Britney, mais je retiens ce que tu viens de me dire.
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