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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 10

Lesbienne
La vie continue
Nous allons dans la salle de bain, Jim et Andrew finissent de préparer le bain. Ils quittent la pièce en nous voyant entrer. Quand elles sont sûres qu’ils sont partis, Nancy se met derrière Charlotte pour déboutonner sa robe, je regarde Britney, ma robe est boutonnée devant, mais je sais qu’elle adore me déshabiller. Elle comprend et vient déboutonner ma robe, elle écarte les pans de ma robe en passant lentement ses mains sur mes seins, elle les enveloppe en me les caressant, elle se penche pour y déposer un baiser sur chacun. Une fois ma robe pendue, elle revient vers moi, je la fais pivoter pour lui enlever la sienne. J’en profite pour faire glisser mes mains le long de son corps, il est doux et bien lisse. Elle se retourne d’un seul coup, met ses mains sur mes épaules et se penche sur mes seins. Elle saisit mes tétons avec sa bouche pour les aspirer et les titiller avec sa langue.
Quand elle me libère, elle me regarde avec son regard franc et malicieux, me sourit et récupère sa robe à terre pour la pendre. Je rentre dans le bain en même temps que Charlotte, nous nous allongeons au fond de la baignoire, heureusement qu’elle est immense. Elle me caresse, je la caresse sous les yeux des deux filles attendries.
— Vous pouvez faire ce que vous voulez, vous avez cinq minutes.

Elles se font face et s’enlacent pour échanger un long baiser. Je vois leurs mains se promener sur le corps aimé, elles semblent très éprises l’une de l’autre, je trouve ce tableau très touchant, je me penche sur Charlotte pour l’embrasser. Au bout d’un moment, nous nous levons, elles savonnent leurs mains et nous lavent. Quand les mains arrivent sur le pubis, elles se transforment en machine à faire jouir. Britney glisse deux doigts dans mon vagin et me pistonne très vite en me caressant le clitoris, je jouis assez vite, Charlotte me suit une minute plus tard, Britney a eu le temps de me lécher la vulve pour en récupérer la cyprine. Elles nous rincent avec des cruches d’eau, nous sortons, ruisselantes. Elles nous sèchent, Britney en profite pour faire glisser une main derrière la serviette.
— Que fais-tu Britney ?— Je vérifie si vous votre peau est bien sèche.— Tu as raison, tu fais très bien ton travail, continue.

Elle reprend sa caresse, je la laisse faire, j’adore sentir une main glisser sur ma peau. Une fois sèche, nous allons toutes dans ma chambre, elle ouvre mon lit dans lequel je me glisse, mais elle ne rabat pas le drap.
— Vous permettez madame.— Si c’est gentil oui.

Elle se penche pour déposer un baiser sur chaque sein et mon pubis.
— Bonne nuit madame.


Elle me couvre et quitte la chambre en portant sa robe. Charlotte me regarde, elle se penche pour échanger un long baiser.
— Bonne nuit amour.— Bonne nuit ma chérie.

Elle se dirige vers sa chambre.
La vie continue, je commence à prendre mes marques en tant que gouvernante, je suis obéie, respectée, et je pense, aimée. Un soir, au bout d’une vingtaine de jours de présence ici, nous allons dans ma chambre après le bain, les filles portent nos robes et les leurs, Britney ouvre mon lit, je m’y glisse avec bonheur, à ma grande surprise, Charlotte se glisse à côté de moi, elle se tourne vers moi.
— Surprise mon amour, nous sommes entre nous maintenant, les filles sont là pour nous protéger des intrus. Je vais passer la nuit avec toi.

Je suis folle de joie, je me jette sur elle, nos corps s’épousent, nos bouches se soudent, nos mains s’égarent. Les filles s’éclipsent discrètement, elles vont rejoindre leur chambre nues, leurs robes à la main. Nous passons une nuit d’amour, nous ne nous sommes endormies que tôt le matin.
Le lendemain, Britney et Nancy viennent nous réveiller, à voir leurs yeux, je crois qu’elles aussi se sont endormies très tard.
— Bonjour mesdames, votre bain est prêt.

Maintenant, nous prenons toujours notre bain ensemble, nous sommes devenues inséparables. Nous les suivons et allons nous plonger dans cette eau chaude, elles nous lavent sans oublier de nous faire jouir. Une fois dans la chambre, elles nous enduisent de crème, mais d’un commun accord, nous décidons avec Charlotte de ne pas jouir toutes seules. Quand elles ont fini le dos, nous nous levons au lieu de nous retourner. Nous les faisons allonger sur le lit, jambes écartées, elles se regardent en souriant. Nous nous allongeons sur elles en leur présentant nos vulves et en plongeant sur les leurs. Elles comprennent et plaquent nos sexes sur leurs bouches, elles s’activent dessus pendant que nous explorons un peu plus le leur, celui de Britney est toujours aussi doux et juteux. Je me délecte de sa cyprine, teste la souplesse de ses lèvres, la profondeur de son vagin, la finesse de son périnée pour finir sur son clitoris.
Elle n’a pas perdu son temps, mon corps est au bord de l’explosion, elle se raidit et jouit sous moi en me soulevant, ce qui déclenche mon orgasme. Je ne suis plus dans mon corps, je suis expulsée dans les nuages, je flotte, je plane, je suis un oiseau. Lentement, mon corps atterrit, des mains glissent sur mon dos et surtout sur mes fesses. Quand je suis bien sur le corps de Britney, je sens ses bras m’enlacer les fesses, elle continue de s’abreuver à ma source. Charlotte est à côté de moi, comme moi, son corps pesant sur celui de Nancy. Nous nous laissons glisser sur le côté, les filles se redressent, elles nous regardent.
— Nous sommes maintenant vos esclaves, faites de nous ce que vous voulez.— N’exagérons rien mes chéries, vous n’êtes pas des esclaves, mais en définitive, vous êtes nos stimulatrices de plaisir, mais il faut finir ce que vous avez commencé.

Nous nous allongeons sur le dos en nous tenant la main, elles s’enduisent les mains de crème et commencent un superbe massage détente sur tout notre corps. Charlotte jouit assez vite, je la suis une grosse minute plus tard, mais le meilleur reste à venir, leurs bouches sur nos sexes. Britney est une merveilleuse croqueuse de vulve, elle sait ce qu’il faut faire pour t’emmener au paradis, elle me fait encore une fois jouir comme une folle. Quand nous sommes de nouveau lucides, elles nous aident à nous habiller non sans laisser traîner leurs mains un peu partout sur nos corps. Nous allons dans la chambre d’Alice, elle dort toujours, Vicky est déjà à côté de son lit, assise sur une chaise et la couve des yeux. Quand nous entrons, elle se lève.
— Bonjour mesdames, elle dort toujours comme un ange.— Tu l’aimes bien n’est-ce pas ?— Oui, je l’adore, elle est tellement agréable à vivre, tellement gentille, et je crois qu’elle m’aime bien aussi.— Je peux même dire qu’elle t’adore, que dirais-tu de dormir dans la même chambre qu’elle ?— Vraiment ?— Oui, je vais faire déménager son lit dans votre chambre, Britney et Nancy prendront ma chambre, ça vous va les filles ?— Oui, bien sûr.

Elles ne peuvent pas cacher leur joie, Britney et Nancy s’enlacent pour s’embrasser rapidement, Vicky regarde Alice en souriant, elle jubile intérieurement. Je vais voir Jim et Andrew pour qu’ils déménagent les lits. En moins d’une heure, tout est aménagé, mais nous nous rendons compte qu’ils ont tout compris. Alice se réveille, Vicky lui donne son bain dans la salle de bain qui va devenir la leur. Alice est folle de joie d’être dans la même chambre que Vicky, elle se sent un peu plus indépendante, elle commence à s’affirmer un peu. Charlotte demande à Jim et Andrew de venir dans notre chambre, ils semblent assez fiables, Jim est au service de la famille depuis de longues années, et Andrew est d’une fidélité sans faille, c’est le seul à savoir que je suis la mère d’Alice, il n’en a jamais parlé à personne.
— Vous avez compris comment nous allons vivre n’est-ce pas ?— Oui madame, mais ça ne nous regarde pas, chacun vit comme il veut, vous faites comme vous voulez.— Nous comptons sur votre discrétion.— Comme je vous l’ai dit madame, cela ne nous regarde pas et nous resterons muets, n’est-ce pas Andrew ?— Tu l’as dit, ça ne nous regarde pas, vous pouvez compter sur nous madame, nous sommes à votre service madame et nous ferons ce que vous nous demandez, soyez-en sûre, nous ne sommes là que pour vous rendre la vie plus agréable. — Et pour vous, comment est la vie, qu’en penses-tu Jim ?— Pour moi madame, être à votre service est un vrai plaisir, comme avec votre père.— Tu l’aimais bien mon père ?— Oui madame, il était plus intransigeant que vous, mais juste et bon, vous pouvez nous demander ce que vous voulez madame, nous serons toujours là.— Merci, je n’en attendais pas moins de vous.

Leur regard est franc, aucune malice, simplement une sorte de tendresse pour Charlotte, il faut dire que Jim l’a vu naitre, il était déjà là quand elle est née. C’était la fille de monsieur et elle m’a raconté qu’il la protégeait, c’était un peu son garde rapproché. Andrew me regarde avec un sourire franc. Ils s’en vont en nous saluant.
— C’est bizarre, Jim et Andrew te connaissent depuis toujours et il a une distance que n’avait pas Bérangère ni Dorothy.— Je peux même dire que je jouais avec Andrew quand j’étais petite, nous avons quasiment le même âge.— Alors pourquoi ?— Mon père ne permettait pas les familiarités entre seigneur et serviteurs, c’était un Lord pur et dur. Nous sommes en Angleterre ma chérie, il y a une énorme séparation entre le peuple et la noblesse, seules Bérangère et Dorothy pouvaient se permettre ça.— Donc tu es noble.— Mon père était lord, je suis une lady comme on dit, lady Charlotte, je descends d’une très vieille famille d’aristocrates, et qui plus est, une très riche famille d’aristocrates dont je suis la seule héritière.— Ça ne gâte rien.— Comme tu dis, mais n’oublie pas que c’est notre fille qui va récupérer tout ça.

Je la regarde, ébahie, je n’avais pas réalisé ça. Elle me prend dans ses bras.
— Eh oui mon amour, tu ne le savais pas, mais le fruit de tes entrailles est très riche, tu peux être sûre que notre fille, lady Alice, a un avenir assuré.— Je n’avais pas réalisé, c’est une lady ?— Bien sûr puisque c’est ma fille.

Je suis au bord des larmes, elle m’enlace, me serre contre elle tendrement. Quand je vais mieux, elle me prend par la taille, nous rejoignons Vicky et Alice toujours dans le bain. Elle éclabousse Vicky en riant aux éclats, elle est trempée, sa robe dégouline d’eau.
— Dorénavant Vicky, tu enlèves ta robe avant de baigner Alice, je ne veux plus te voir dans cet état, et toi Alice il faudrait un peu te calmer, le bain n’est pas un jeu.— Si, j’aime bien m’amuser dans mon bain, et si elle est nue, dis-lui de prendre son bain avec moi, comme ça, je pourrais l’éclabousser, on pourra s’amuser ensemble.— Si Vicky le veut bien, je n’y vois pas d’inconvénient, mais tu es d’abord dans un bain pour te laver, ne l’oublie pas.

Vicky enlève sa robe, elle entre dans l’eau, Alice se jette sur elle pour la faire couler. Elles s’ébattent dans le bain en rigolant, Charlotte les regarde avec un air mélancolique, je suis sûre qu’elle pense à Bérangère. Nous devons nous écarter pour ne pas être éclaboussées, nous les laissons s’amuser ensemble.
— C’était comme ça avec Bérangère n’est-ce pas ?— Oui, le matin, on prenait notre bain ensemble et je me comportais exactement comme Alice.

Nous allons prendre notre petit-déjeuner, tout est chamboulé, nous avons pratiquement une heure de retard, mais Britney et Nancy sont là, inébranlables, toujours souriantes. Quand elles nous voient arriver, elles se précipitent pour revenir trois minutes plus tard avec le petit-déjeuner. Pendant le repas, je ne peux m’empêcher de poser ma main sur les fesses de Britney au travers du tissu épais de sa robe, elle me sourit et remonte discrètement sa robe, je glisse une main sur ses fesses pour les caresser une seconde. Vivement les beaux jours, qu’elles soient habillées plus léger. La journée se passe comme d’habitude, mais le soir dans le bain, je me rends compte que nos poils devraient être assez longs pour être épilés, c’est de moins en moins agréable de faire l’amour à ma Charlotte chérie.
— Britney, ne serait-il pas temps de nous épiler ?— Oui, on peut le faire maintenant, mais je vous préviens, ça va être un peu douloureux, c’est la première fois et vos poils sont assez gros.— Aucune importance, il faudra bien commencer un jour.— Bien madame, on le fait tout de suite ou demain matin, parce qu’il faut un certain temps de préparation, environ une demi-heure.— Ah bon, pourquoi ?— Pour faire fondre la cire et la mettre à la température idéale, elle doit chauffer au bord de la cheminée, il faut bien une demi-heure.— Qu’en penses-tu Chérie, demain matin ?— Oui, demain matin.

Après le bain crapuleux, nous allons nous coucher, Britney et Nancy nous quittent non sans avoir déposé un baiser sur nos pubis et nos seins, c’est devenu un rituel que nous aimons bien. Nous nous endormons enlacées, ça aussi, ça devient une habitude.
Le lendemain, les filles viennent nous réveiller, après le bain, nous retournons dans la chambre, ça va être le moment de vérité, la première épilation. Nous décidons de le faire ensemble, Britney sur moi, Nancy sur Charlotte. Britney passe une couche de cire sur une partie de mes poils, elle tend ma peau en écartant deux doigts autour de la plaque de cire, tape dessus et la tire d’un seul coup. Elle m’arrache un grand nombre de poils en même temps, je ressens une vive douleur, mais ce n’est pas un accouchement tout de même, je supporte, je vois que Charlotte supporte aussi, bien qu’elle fasse la grimace. Britney pose ses lèvres sur la partie épilée pour y donner un coup de langue et y déposer un baiser, c’est doux. Le geste se répète jusqu’à ce que mon mont de Vénus soit complètement débarrassé du moindre poil. Elle termine en me passant une crème sur la partie épilée, sans oublier de titiller un peu mon clitoris, je commence à avoir envie de jouir.
Je regarde celui de Charlotte, il est parfaitement lisse, je me penche sur lui pour y déposer un baiser, en quelques secondes, nous nous trouvons tête-bêche. Je suis sur elle, elle m’enlace les fesses et me plaque sur sa bouche.
Nous nous aimons pendant que des mains glissent sur mon dos et mes fesses, il y en a quatre. Deux bouches se posent sur mes fesses, une langue se glisse entre elles, deux mains les écartent pour qu’elle puisse atteindre mon anus. J’en ressens un frisson qui déclenche un superbe orgasme. Charlotte me suit à quelques secondes. Nos pubis n’ont jamais été aussi doux, je me régale à poser mes lèvres dessus. Je m’allonge le long de Charlotte, les filles nous sautent dessus, elles se jettent sur nos sexes pour nous faire connaître une nouvelle fois le paradis. Une fois revenues à nous, elles nous habillent, nous allons dans la chambre de Vicky et Alice. Elle dort toujours, Vicky est, comme d’habitude, assise sur une chaise à la regarder dormir d’un air attendri, elle lui porte une véritable adoration, ce qu’Alice lui rend bien. Nous allons prendre notre petit-déjeuner, une fois fini, Charlotte va voir Alice, je vais donner mes consignes au personnel.
Britney m’accompagne, quand c’est fini, elle me prend à part.
— J’ai quelque chose à vous montrer, madame, vous voulez bien me suivre dans notre chambre ?— Je te suis.

Nous arrivons dans sa chambre, elle va chercher un petit sac dont elle sort un engin en verre bizarre. Une sorte de tige avec un bout proéminent, deux boules à l’autre extrémité et une sorte de manche. Il fait une quarantaine de centimètres et est assez gros.
— Qu’est-ce que c’est Britney ?— Un consolateur madame, c’est mon amie Elisabeth qui vient de nous le ramener de Londres.— Et c’est quoi un consolateur ?— C’est fait pour remplacer le sexe de l’homme.

Effectivement, ça ressemble étrangement au sexe de Jules quand il était bien raide, il y a même une représentation des couilles.
— Et tu t’en es servi ?— Non, nous avons décidé avec Nancy que c’était pour vous et madame Charlotte. Nous, nous en avons un autre, et je peux vous dire que c’est super.— C’est gentil, mais que veux-tu que j’en fasse ?— Que vous l’utilisiez avec madame Charlotte pour vous faire plaisir, j’ai vu que vous aimez bien quand on vous met des doigts dans le vagin, ça les remplace.

C’est vrai que j’ai adoré ça, et Charlotte aussi qu’avec un doigt, mais elle est vierge, il n’est pas question qu’elle utilise un tel engin. Seulement, le refuser serait vexant pour Britney et Nancy, je l’accepte donc.
— Merci Britney, mets-le dans son sac, je vais le faire voir à Madame Charlotte.

Elle me donne le sac, je vais dans notre chambre pour le déposer. Je retourne à mes occupations, être gouvernante n’est pas de tout repos, il faut tout vérifier pour que le château soit impeccable, bien que Charlotte soit beaucoup moins exigeante que son père ne l’était. Charlotte reste avec sa fille et les professeurs qui viennent lui donner des cours de mathématique, de sciences, de géographie et d’histoire. Elle va devenir comme Bérangère et sa mère. Elle lit et écrit très bien depuis longtemps, il faut dire qu’elle a commencé à cinq ans. Elle commence à réaliser son statut, j’espère qu’elle saura rester comme sa mère, mais Vicky et Charlotte y veille.
A midi, nous nous retrouvons à table, Britney me regarde, l’air interrogateur, je pense qu’elle veut savoir si j’ai essayé le consolateur. Je n’en ai pas encore parlé à Charlotte, je suis un peu gênée, je suis la seule à pouvoir m’en servir. Je lui en parlerais ce soir. Alice va faire sa sieste pendant que nous allons nous promener dans le jardin, il ne fait pas très froid pour cette fin février, de toute manière, Britney et Nancy nous suivent en portant des manteaux au cas où nous aurions froid. La vie de château quoi !!
Le soir, une fois baignées, nous nous couchons. Britney insiste un peu sur mon pubis en l’embrassant comme tous les soirs, elle me regarde en souriant. Quand elles sont parties, je me tourne vers Charlotte.
— Britney m’a fait un cadeau pour toutes les deux, mais je crois que ça ne va pas te plaire.— Et pourquoi ?— C’est un consolateur.— Britney nous a offert un consolateur ?— Oui.— Fais-moi voir ça.

Je le sors et lui montre, elle le prend dans les mains, le regarde de tous les côtés, elle le tâte, me regarde.
— Tu l’as essayé ?— Non, c’est pour nous deux, qu’est-ce qu’on en fait ?— Et bien déjà, il faut savoir si ça fait du bien, donc, il faut l’essayer.— Je présume que c’est moi l’essayeuse.— Oui, ouvre-moi un peu ces magnifiques jambes.

J’écarte mes cuisses, elle plonge dessus, sa langue a vite fait de me faire réagir, je coule comme une fontaine. Elle prend le consolateur par le manche et présente le bout sur ma vulve. Elle l’enfonce lentement dans mon vagin. J’en ressens un immense plaisir. Une fois complètement enfoncé, elle commence des aller-retour, d’abord lents, mais sur toute la longueur de l’engin. Je commence à sentir mon corps réagir. Elle continue en accélérant la cadence, mon bassin fait des ronds en l’air, je suis dans mon petit nuage, mon corps se donne à cet engin qui lui donne du plaisir. Je sens la boule se former, elle envahit mon corps, Charlotte le sent et accélère encore sa cadence. J’explose dans un orgasme dément, ce n’est pas comme avec Charlotte, c’est plus centré sur mon sexe, mais je suis quand même emportée dans une béatitude extrême. Quand je retrouve mes sens, Charlotte m’a enlevé de consolateur, elle est entre mes jambes et lèche ma cyprine qui macule mon sexe.
Elle remonte le long de mon corps pour venir m’embrasser. J’ai beaucoup aimé ce qu’elle vient de me faire, je suis sûre que je recommencerais si on le garde.
— Je vois que tu as adoré.— Oui, c’était différent, mais très fort, dommage que tu ne puisses pas l’utiliser.— Parce que je suis vierge ?— Oui, bien sûr.— Eh bien, si on remédiait à ça ?— Comment, tu connais un homme qui te dépucèlerait ?— Non, cet engin, je ne veux pas d’homme en moi, mais cet engin peut le remplacer, et tu pourrais m’aider, pas besoin d’homme, on a ce qu’il faut.— Tu ne veux plus rester vierge.— Non depuis que Nancy m’a mis un doigt dans le sexe, je pense à perdre mon pucelage, j’ai beaucoup aimé ce qu’elle m’a fait, heureusement qu’elle n’a pas mis un second doigt, je n’aurais pas supporté, et surtout elle se serait rendu compte que j’étais vierge.— Et alors ?— Mais chérie, réalise, comment puis-je être vierge si j’ai un enfant, je ne suis pas Marie, la mère de Jésus, pas toi.— Evidemment, ça m’était complètement sorti de la tête.— Le principal, c’est qu’elle ne s’en soit pas rendu compte.— Mais comment va-t-on faire ?— Attendre que je sois sur mes tissus, tu me défloreras avec l’engin, il y aura du sang, mais on pourra le justifier auprès de Nancy et Britney.— C’est quoi que tu sois sur tes tissus ?— Tu appelles ça tes menstrues, c’est ça, un autre nom.— Mais ça vient d’où ce nom ?— Je ne sais pas, peut-être parce que pendant cette période, on met des tissus dans sa culotte pour absorber le sang. C’est le seul moment où je porte une culotte fermée comme toi d’ailleurs.— C’est un peu bizarre d’avoir donné ce nom.— Oui ma chérie, c’est anglais !!— Et tu les auras bientôt, je crois ? — Oui, peut-être demain ou après-demain, je commence à avoir mal en bas du ventre.— Très bien, maintenant, il faut dormir.— Viens dans mes bras mon amour.

Je me blottis dans ses bras, nous nous endormons rapidement.
Deux jours plus tard, Charlotte a ses menstrues, la journée se passe relativement bien, maintenant, nous avons chacune notre travail, je gère le fonctionnement du château, les approvisionnements, la gestion du jardin, de la volaille et des quatre vaches pour le lait, et ce n’est pas une tâche facile. Charlotte gère les finances et la gestion des alentours du château, l’exploitation des bois, les cultures, c’est un immense domaine et elle a aussi un énorme travail. Nous nous retrouvons aux repas. Le soir, après le bain, les filles nous quittent avec leurs baisers rituels. Charlotte sort le consolateur, elle me le tend. Elle se caresse en se titillant le clitoris avec son majeur, je vois qu’elle sécrète un peu de cyprine, elle est assez lubrifiée pour que je glisse l’engin dans son vagin. Je le présente à l’entrée et pousse un peu. Il écarte les lèvres en s’enfonçant lentement.
— Ah oui, je dois dire que pour l’instant ce n’est pas désagréable.

Au bout d’un moment, je sens une résistance, j’hésite, je sais qu’elle va avoir très mal, je suis passée par là. Elle écarte ma main, se saisit du manche du consolateur et se l’enfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles. Son visage se crispe, elle a très mal, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle le laisse enfoncé dans son sexe un long moment. Elle commence des aller-retour, elle me regarde, elle est crispée.
— Allez, vas-y, fais-moi l’amour avec cet engin du diable.

Je me saisis du manche et commence des aller-retour lents et amples, mais je vois qu’elle a très mal, elle n’arrête pas de grimacer, je sens que ça devient insupportable pour elle. J’arrête et sors le consolateur.
— Inutile de te dégouter, je vois que tu as très mal, je ne veux pas continuer comme ça, attendons que tu sois remise du déchirement de ton hymen.— Tu as raison ma chérie, mais si tu veux, je veux bien m’occuper de toi.— Non, si tu ne peux pas, je ne le fais pas, on l’utilisera ensemble.— Très bien mon amour, viens dans mes bras, j’ai envie de te sentir contre moi, j’ai mal, mais je ne regrette pas, maintenant, je suis comme si j’avais moi-même fait Alice, comme toi mon amour.— D’abord, nettoyer cet engin diabolique.

Je vais rincer l’engin, l’essuyer et le ranger. Je me glisse dans le lit pour me blottir contre elle, nous nous embrassons, mais le sommeil gagne, je m’endors dans ses bras.
Huit jours plus tard, les menstrues de Charlotte sont finies, elle ne ressent plus aucune douleur, elle veut de nouveau essayer le consolateur. Le soir, dans notre lit, je commence par me jeter sur son sexe, je suis en manque, je plonge mes lèvres entre les siennes, j’adore batifoler dans cette chair souple et humide. Quand je sens qu’elle est très excitée, je présente le consolateur devant l’entrée du paradis. Je l’enfonce lentement, mais fermement jusqu’aux couilles. Je fais des va-et-vient courts et relativement lents. Charlotte réagit en montant son bas-ventre à la rencontre de l’engin.
— Continue mon amour, continue.

J’augmente la course du consolateur, elle monte ses fesses pour m’ouvrir encore plus son sexe. J’accélère le mouvement, maintenant, je la pistonne sur toute la longueur de l’engin, les couilles tapent violemment contre ses fesses. Elle donne des coups de reins à la rencontre de ce sexe artificielle qui la lime. Je vois son visage se transformer, je la connais bien et je sais que ça veut dire qu’elle est sur le point de jouir. Je donne des coups de plus en plus forts, elle finit par exploser dans un superbe orgasme, je l’accompagne jusqu’à ce que ses fesses redescendent sur le lit. Je retire le consolateur et lui écarte les jambes au maximum pour lui lécher le sexe et me gorger de sa cyprine en la nettoyant. Elle me regarde, son visage exprime le bonheur, elle m’ouvre ses bras dans lesquels je me jette.
— Merci ma chérie, merci de ce bonheur inconnu, c’était moins fort qu’avec toi mon amour, mais différent et très localisé, j’aime aussi.— Oui, comme pour moi, plus dans le sexe.— A ton tour maintenant.

Elle n’a pas besoin de me préparer, mon sexe est déjà parfaitement lubrifié, elle m’enfonce le gode jusqu’à la garde, elle me pistonne lentement, je donne des coups de reins pour m’empaler encore plus sur cet engin du diable. Elle n’accélère pas, elle veut me faire languir, je rentre dans son jeu et me laisse faire. Je sens la boule se former, je vais jouir grâce à elle, je sais que ça va être merveilleux. Comme d’habitude, je sens l’onde monter et se répandre dans tout mon corps, jusqu’à la plante des pieds. Je jouis arc-boutée sur mes jambes, elle accélère pour finir par un rythme dément. Mon corps est transformé en gigantesque feu d’artifice, c’est beaucoup plus fort que la première fois. Quand je suis de nouveau sur le lit, elle se met entre mes jambes et me nettoie la vulve à grands coups de langue pour finir allongée sur moi à échanger un long baiser. Nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre.
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