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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 11

Lesbienne
Perrine
Le lendemain, Britney et Nancy arrivent, depuis un certain temps, elles viennent de leur chambre, nues, inutile d’enfiler une robe pour l’enlever cinq minutes plus tard. Nous sommes déjà réveillées, nous sommes tête-bêche à nous faire plaisir. Elles voient le consolateur à côté de nous, elles attendent que nous soyons de nouveau accessibles. Quand nous émergeons, nous les voyons, tout sourire.
— Je vois que mesdames ont utilisé notre cadeau.— Oui Britney, nous avons longtemps hésité, mais je dois dire que c’est assez agréable.— Nous pensions que vous n’en vouliez pas.— Pas du tout, la preuve.— Nous en avons un nouveau, on peut l’utiliser à deux, il est très long, nous pouvons vous dire que c’est génial.— Vous pourriez nous le prêter ?— Bien sûr, quand vous voulez.— D’abord, le bain.

Nous nous levons et allons dans la salle de bain. Le bain est prêt, nous nous allongeons au fond de la baignoire, enlacées. Britney et Nancy nous regardent en attendant qu’on se lève. Elles en profitent pour échanger un long baiser. Quand nous nous levons, elles s’occupent de nous avec beaucoup de tendresse. Leurs mains nous caressent, elles s’attardent sur nos seins, nos fesses et notre sexe. Britney m’enfonce deux doigts dans le vagin, elle leur fait faire des aller-retour rapides qui finissent par me faire jouir. J’entends Charlotte jouir à son tour, je la regarde, Nancy a elle aussi deux doigts dans son vagin. Elles nous rincent avec des cruches, une fois rincée, je veux sortir, mais Britney m’en empêche.
— Un petit cadeau.

Elle me saisit par les fesses et plonge sa bouche sur mon clitoris. Sa langue s’active dessus, je jouis très vite, quelques secondes après Charlotte. Elles nous libèrent et nous sèchent. Une fois dans la chambre, c’est le moment crème, leurs mains parcourent nos corps, encore une fois je me laisse aller à ce plaisir tous les jours renouvelé. Maintenant, elles ne nous font pas systématiquement jouir avec leurs langues, nous avons décidé que ce serait au gré de nos envies, et aujourd’hui, on peut s’en passer. Mais pas du plaisir, nous faisons allonger les filles sur le lit et nous allongeons tête-bêche sur elles. Je plonge ma tête sur la vulve de Britney, je sens ses lèvres sur les miennes, elle m’aspire la cyprine que je lui donne avec plaisir. Je décide de ne rien brusquer, je me rends compte qu’elle aussi, elle évite soigneusement mon clitoris.
Ce n’est qu’au bout de plusieurs minutes que j’explose dans un énorme orgasme, je me crispe sur son clitoris que je mords un peu, ce qui déclenche le sien. Charlotte et Nancy nous ont précédées de quelques secondes. Nous restons plusieurs secondes en position, ma langue lèche son vagin pour la nettoyer, elle me fait la même chose, tendrement, lentement, comme une caresse douce.
Nous nous levons, elles nous habillent et vont dans leur chambre s’habiller. Nous allons prendre notre petit-déjeuner avant d’aller voir Alice. Elle dort toujours, Vicky est assise à côté d’elle, elle lit un livre en jetant un œil sur elle de temps en temps. Elle se lève en nous voyant arriver.
— Bonjour mesdames.— Bonjour Vicky, que lis-tu ?— Fanny Hill : La fille de joie.— Et c’est de qui ?— John Cleland.— C’est bien ?— Je commence le livre, c’est une fille qui écrit à une amie pour lui raconter sa vie dans une maison.— Bonne lecture Vicky à bientôt.

Quand nous sortons de la chambre, Britney me tend un sac.
— C’est ce que je vous avais promis.

Je vais dans la chambre pour le ranger, c’est le double consolateur, il est immense et d’un diamètre important, il a deux boules assez grosses à chaque extrémité.
Ce matin, nous avons deux heures de battement, le château est bien en ordre de marche, le système est bien huilé, même Charlotte, qui d’habitude est surchargée, a du temps pour elle. Nous décidons d’essayer le double consolateur. Nous allons dans notre chambre, une fois nues, je sors le consolateur de son sac, nous nous mettons tête-bêche quelques secondes, quand nous somme suffisamment lubrifiées, nous nous allongeons de manière à amener nos sexes l’un en face de l’autre. Je m’enfonce un côté de consolateur pratiquement jusqu’au milieu, Charlotte s’avance pour se l’enfoncer aussi. Nous avançons jusqu’à ce que nos sexes se touchent, un violent frisson parcourt mon corps, je sens qu’il en est de même pour elle.
Nous commençons à bouger nos bassins, le consolateur entre et sort de nos vagins, quand il entre dans l’un, il sort de l’autre, je serre très fort mes cuisses, le consolateur se bloque dans mon vagin, je vais et viens dans le vagin de Charlotte en donnant des coups de reins, à chaque coup, je sens son sexe se coller au mien, j’en tire une jouissance certaine, mais ce que je veux, c’est qu’elle jouisse, qu’elle ne sache plus où elle habite que son cerveau disjoncte, qu’elle n’oublie jamais ce moment. Quand nos sexes se touchent, je donne un coup de reins en avant pour que nos lèvres se frottent en espérant que nos clitoris se touchent, ce qui arrive de temps en temps. Je la sens se tendre lentement, elle accompagne tous mes gestes, elle aussi veut me faire jouir. Je tends mes bras vers elle, je réussis à attraper ses mains.
Je tire vers moi, elle fait la même chose, nos sexes sont collés l’un à l’autre, le consolateur entièrement enfoncé dedans, l’onde envahit mon corps et explose en un millier de feux d’artifice, je sens qu’elle aussi jouit en même temps que moi. Nos fesses sont à dix centimètres du lit, nos corps ne forment qu’une arche tendue l’un vers l’autre. Nous nous détendons lentement, quand nos fesses touchent le lit, je me libère du consolateur, pivote et viens poser mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un long baiser en nous caressant, je la sens détendue, souple, disponible, je l’aime de plus en plus. Quand nos têtes se séparent, je vois ses yeux illuminés de bonheur, elle me sourit, je pose ma tête sur son épaule.
— Je t’aime Charlotte, je t’aime.— Moi aussi mon amour.

Nous restons un moment enlacées, mais le devoir nous appelle, il faut bien travailler. Nous allons chacune à nos occupations, je n’ai pas le temps de m’ennuyer ici, Britney m’accompagne, elle m’aide à contrôler l’avancement des différents travaux engagés. Elle me porte une affection sans borne, elle a de la chance que je ne sois pas vicieuse, je pourrais en profiter et lui faire faire des bêtises. Je suis avec les femmes qui s’occupent de la volaille et du jardin. Il y a une trentaine de poules pondeuses, deux coqs pour la reproduction. Il y a une quinzaine d’œufs pour la journée, un peu moins qu’hier.
— Il y en a moins qu’il y a quatre ou cinq mois, elles pondent irrégulièrement.— Nous sommes en hiver Britney, elles pondent moins qu’en été, et c’est pas mal pour trente poules.— C’est vrai, j’avais oublié.

Une très jeune femme vient vers moi, elle doit avoir dans les vingt ans maximum, elle me parle en français.
— Bonjour madame, je suis Perrine, je suis française comme vous, j’aimerais bien parler de temps en temps avec vous, ma langue me manque.— Bien sûr Perrine, tu viens de quelle ville de France ?— De Montauban, je suis ici depuis seize ans, je suis venue avec mon père, mais il est mort et je dois rester ici.— Pourquoi ?— Je ne connais plus personne là-bas, ma mère est morte à ma naissance, je n’ai plus de famille là-bas, je serais comme une étrangère, je me sens plus chez moi dans le château, j’y ai vécu pratiquement toute ma vie.— Tu travailles ici.— Oui, quand mon père est mort il y a neuf ans, monsieur m’a permis de rester, j’avais dix ans, tout le monde a été très gentil avec moi. J’ai été élevée dans la famille de Vicky. Monsieur ne m’a fait travailler que depuis quatre ans, il était comme un père pour moi.— Tu loges où ?— Dans le dortoir des filles, avec toutes les autres.— Tu sais lire et écrire ?— Bien sûr, j’ai appris ici, monsieur y tenait.— Tu manges avec tout le monde.— Oui. — Une fois que nous aurons déjeuné, tu viendras dans nos appartements avec Britney, nous en parlerons avec madame Charlotte.— Merci madame.

Nous retournons au château, Britney semble assez heureuse.
— Ça va Britney ?— Oui, je me rends de plus en plus compte que vous êtes une femme à l’écoute et généreuse, je suis très heureuse d’être à votre service madame. ue comptez-vous faire avec Perrin ?.— Je vais voir avec madame Charlotte si elle peut venir parler en français avec Alice, il faut qu’elle garde la pratique de cette langue, ça peut lui servir plus tard.— Je la connais assez bien, en plus, elle s’entend bien avec Vicky, elles sont très copines, elles ont le même âge, je crois que c’est la première personne avec qui Perrine a joué quand elle est arrivée avec son père, elles avaient trois ans, je crois. En plus, quand son père est mort, elle a vécu dans sa famille.— Parfait, il ne devrait pas y avoir de problème.

Nous arrivons au château, je vois Vicky et Alice dans le parc avec un de ses professeurs, elles regardent un gros chêne, j’entends le professeur lui parler d’écorce protectrice, ce doit être une leçon sur la nature. Alice semble très intéressée, elle lui pose des questions, nous nous éloignons pour ne pas perturber la cour. Je monte dans la grande salle, Charlotte est assise dans un grand fauteuil devant le feu, elle lit un livre. Je m’approche et m’assois en face d’elle.
— Alors, tout va bien dans les cultures ?— Oui, les ouvriers préparent les semences, ça va commencer bientôt.— J’ai rencontré une jeune fille française du château.— Tu parles de Perrine ?— Oui, tu la connais ?— Je me souviens qu’elle est arrivée avec son père un ou deux ans avant mon départ, elle était petite, elle était adorable, mais je ne pourrais pas la reconnaitre aujourd’hui, ça fait seize ans.— Oui, elle avait trois ans, son père est mort, mais elle n’a plus de famille en France et ne connaît personne, elle préfère rester ici. Elle voudrait parler le français, elle aimerait pratiquer sa langue maternelle, j’ai pensé qu’on pouvait l’intégrer à l’équipe d’Alice, on lui demanderait de ne lui parler qu’en français, comme ça elle pratiquerait toute la journée, ça peut toujours lui servir dans l’avenir.— Tu as raison, il faut la faire venir, je veux la voir.— Elle viendra avec les filles après le repas.— Très bien, tu as fini avec tes poules et tes salades ?— Oui, on ne va pas mourir de faim.— Alors, suis-moi.

Nous allons dans nos appartements, arrivées dans la chambre, elle se jette sur moi pour m’enlever ma robe boutonnée devant, je fais la même chose et nous nous retrouvons allongées tête-bêche sur le lit. Je plonge dans cette chair souple, chaude et humide. Je me délecte de son élixir d’amour. Je plonge ma langue entre ses lèvres, lui titille le périnée, aspire ses lèvres pour en extraire sa cyprine. Elle se tortille dans tous les sens sans oublier de me faire la même chose. Nous jouissons assez rapidement, nos corps n’attendaient que ça. Je pivote pour m’allonger sur elle.
— Quel bonheur d’être avec toi, je réalise que je ne peux pas vivre sans toi, je t’aime Charlotte, je t’aime.— Moi aussi je t’aime mon amour.

Elle m’enlace pour échanger un long baiser. Je suis sur elle, nos corps s’unissent, nos peaux fusionnent, nous ne faisons qu’un seul être. Je sors de ma rêverie quand je sens une main sur mon épaule. Je me retourne, c’est Britney.
— Excusez-moi mesdames, mais Dorothy a fait une chute, il semble qu’elle se soit cassé une jambe.— Nous arrivons.

Nous nous levons en catastrophe, arrivées dans le logement de Dorothy, elle est allongée sur son lit, la cuisinière et Andrew lui fixent deux planches autour de la jambe avec des rubans. Elle semble calme. Charlotte va vers elle.
— Tu te sens bien Dorothy ?— Oui ma chérie, Ruth sait ce qu’il faut faire, ce n’est pas la première fracture qu’elle soigne ton père lui a appris comment faire, ne t’en fais pas ma chérie, tout va bien.— Il faut quand même te faire voir par un docteur.— Jim s’en est occupé, il est allé en chercher un en ville.— Très bien, je vois que ce château fonctionne bien.— C’est ton père qui a tout organisé, c’était un homme fier, mais un homme bien et généreux, comme toi. Et maintenant, c’est Marie, et je peux te dire qu’elle veille au grain.— Merci ma Dorothy.

Elle se penche sur elle pour déposer un baiser sur son front. Un gros quart d’heure plus tard, le docteur arrive, il constate qu’il n’a plus rien à faire, il plaisante même avec Ruth en lui proposant de devenir son assistante, ce qu’elle refuse, préférant sa cuisine.
Nous retournons dans nos appartements, il est presque temps de manger. Britney, Nancy et Vicky nous servent, je regarde Alice, cette petite fille de huit ans et demi se fait servir, je n’imagine même pas comment j’aurais réagi, mais pour elle, c’est tout à fait naturel, elle plaisante même avec Vicky. Depuis que nous sommes ici, j’ai l’impression qu’elle a réalisé son statut, mais qu’elle ne s’en fait pas une montagne. Elle est comme sa mère, naturelle et sans prétention. Je la regarde en imaginant « Lady Alice » adulte, j’en ai les larmes aux yeux.
Après le repas, nous allons dans la chambre, Britney arrive avec Perrine, elle est assez impressionnée. Charlotte va vers elle et lui parle en français.
— Bonjour Perrine, Marie m’a dit que tu voulais parler plus souvent le français, c’est ça ?— Oui madame, ma langue me manque, j’ai peur de l’oublier, il y a longtemps que je ne pratique pas, pratiquement depuis que papa est mort. Je ne savais pas que vous le parliez si bien et sans accent.— Je le pratique depuis plus de trente ans, Bérangère était française, elle ne me parlait que français, c’est mon père qui l’avait exigé, de plus, j’ai vécu plus de treize ans en France, ça aide.— Je ne savais pas.— Que dirais-tu de ne parler toute la journée qu’en français à une petite fille de huit ans et demi ?— A mademoiselle Alice ?— Elle-même.

Elle nous regarde avec un air complètement ahuri, elle ne sait pas où elle est, je m’approche d’elle, j’ai peur qu’elle ne s’évanouisse.
— Remets-toi Perrine, remets-toi, alors qu’en dis-tu ?— Bien sûr que ça me plairait, merci madame, merci.— Tu commences tout de suite, tu t’installes avec Vicky, mais d’abord, tu te changes, ce n’est pas une tenue pour ici. Vicky va te faire voir, elle t’expliquera ce qu’on attend de toi, tu es libre de ne pas accepter, je ne t’en voudrais pas.

Je suis allé chercher Vicky, elle ne voulait pas quitter Alice qui venait de s’endormir, Britney la remplace.
— Que dirais-tu si Perrine venait s’installer avec toi pour parler à Alice en français ?— Perrine, mais c’est mon amie d’enfance, on se connaît depuis toujours, elle a vécu chez nous, j’aime beaucoup cette fille, ce serait un plaisir même.— Eh bien, si elle accepte, c’est fait.— Et on dormira dans le même lit ?— Oui, comme Britney et Nancy.— Mais je dors nue.— Elles aussi, de toute manière, on ne dort pas avec sa robe ici, il faudra lui dire, et aussi, pas de culotte.— Très bien madame et merci.— Pourquoi merci ?— Parce que j’aime beaucoup Perrine et j’étais un peu triste de l’avoir abandonnée, on se voit presque plus depuis que je suis au service de mademoiselle Alice, elle me manque.— Comment ça, physiquement ?— Nous n’avons jamais eu de contact physique, mais je dois dire que j’en avais extrêmement envie, je ne sais pas pour elle.— Eh bien, je te garantis que ça va changer, tu vas en avoir des contacts, si elle accepte bien sûr.

Quand nous rejoignons Perrine, elle se jette dans les bras de Vicky. Nancy a fait venir Andrew et Jim pour préparer un bain. Les filles restent quelques secondes enlacées, Vicky se détache.
— Madame m’a demandé de te faire voir comment on vit ici, viens avec moi.

Elles se dirigent vers leur salle de bain. Nous allons voir Alice. Elle dort surveillée par Britney qui ne la quitte pas des yeux. Charlotte se penche sur sa fille.
— Tout va bien Britney ?— Oui madame, elle est magnifique quand elle dort comme ça.— Oui, mais un peu turbulente quand elle est réveillée.— Je sais, Vicky m’en a parlé, mais tellement attachante, vous ne pourrez jamais la détacher d’elle, elle l’adore.— Je sais, et je n’en ai pas du tout l’intention.

Nous allons dans la salle de bain. Perrine est nue dans la baignoire, Vicky, nue elle aussi, lui fait voir ce qu’il faut faire en la savonnant, je vois qu’elle y prend un certain plaisir pour ne pas dire un plaisir certain. Le reste du personnel du château n’a pas de baignoire, à part Dorothy, simplement un endroit où ils peuvent se laver. Je vois une très jolie jeune fille au corps très agréable à regarder, beaux seins pas trop gros, belles fesses rondes et bien lisses, une fille de dix-neuf ans dans toute sa fraîcheur. En revanche, une touffe de poil sous le ventre, il va falloir remédier à ça. Charlotte la regarde avec envie, elle ne peut pas résister à la vue d’un si beau corps.
— Vicky, il va falloir que tu t’occupes de cette touffe immonde. — Très bien madame, je m’en occupe tout de suite.— Tu l’épiles dans notre chambre, nous y serons.

Nous allons dans la chambre pour étaler un linge sur le lit, il ne faudrait pas qu’on se couche dans un lit rempli des poils arrachés à son pubis. Perrine apparaît au bout de dix minutes, elle est magnifique, elle semble un peu intimidée nue au milieu de tout le monde. Vicky la fait allonger sur le dos sur notre lit. Elle lui écarte légèrement les jambes. Elle commence par couper un peu les poils, ils sont trop longs. Elle l’épile en faisant attention, c’est la première fois, c’est un peu dur pour elle, comme pour nous. Quand elle a fini, elle lui dépose un baiser sur le mont de Vénus. Perrine semble surprise, a priori, elle n’a jamais eu de rapport avec une femme.
— C’est la tradition.

Elle va prendre la crème pour lui passer sur son pubis. Elle lui applique doucement, sa main traîne un peu sur cette zone qu’elle aime particulièrement. Perrine commence à réagir, ses jambes s’ouvrent un peu, dévoilant une magnifique vulve rose et brillante. Vicky se retourne vers Charlotte qui lui fait oui de la tête. Elle plonge au milieu de ses cuisses en les écartant un peu plus. Au contact de la bouche de Vicky sur son sexe, Perrine se redresse un peu et la regarde, sidérée, mais elle ne dit rien, la regarde faire un moment, semble apprécier et s’allonge de nouveau sur le dos. Vicky lui ouvre encore plus les jambes, elle se laisse faire, je remarque même que son bas-ventre bouge un peu. Progressivement, elle ondule du ventre, elle accompagne Vicky qui explore sa vulve avec sa langue.
— Oh oui, oh lala, oh lala, aaaahhhh, MMMMMMMMMMMMMMMM.

Elle se tend et jouit sous la langue de son amie de toujours, sa tête va de gauche à droite, ses fesses se soulèvent pour offrir encore plus son sexe à la bouche qui la bouffe. Lentement, elle retombe sur le lit, Vicky se redresse, elle pose ses lèvres sur son pubis, son ventre, ses seins, Perrine pose ses mains sur sa tête et l’attire à elle. Leurs bouches se réunissent deux secondes. Vicky se lève et l’aide à se lever, Perrine nous regarde, elle semble un peu secouée par ce qui vient de se passer devant nous. Je suis sûre que prise par la bouche de Vicky, elle avait complètement oublié qu’elles n’étaient pas seules. Charlotte vient vers elle.
— Ne t’en fais pas ma petite Perrine, ce que tu viens de vivre est parfaitement normal ici, il se trouve que Vicky avait envie de te faire voir ce qu’est l’amour entre femmes, elle en avait envie depuis longtemps même. Si tu ne veux pas aller plus loin, tu nous le dis et tu rejoins les autres filles, je ne t’en voudrais jamais.— Oh non madame, j’ai trop aimé ce que m’a fait Vicky, moi aussi j’avais souvent envie de l’embrasser, et j’espère que je revivrais ça avec elle.— Et peut-être avec d’autres.— Peut-être.— Très bien les filles, Vicky, tu donnes une de tes robes à Perrine, je vous en ferais refaire d’autres, vous allez dans votre chambre pour vous occuper d’Alice. Et toi Perrine tu ne lui parles qu’en français.— Bien madame.

Elles s’en vont, enlacées, en portant leurs robes, je vois les magnifiques fesses de Perrine et Vicky onduler devant moi. Britney revient, entre temps, les hommes ont nettoyé la baignoire. Nous libérons les filles et nous déshabillons pour faire une petite sieste. Après une séance de tête-bêche, nous nous endormons enlacées. Je suis réveillée par un baiser sur ma fesse gauche, quand je me retourne, je vois Britney à côté du lit me souriant.
— Il est l’heure, madame, vous devez voir avec les filles de la cuisine les besoins pour la semaine à venir.— Très bien Britney, j’arrive.

Je me lève après avoir embrassé longuement Charlotte. Je vais dans la cuisine pour élaborer les menus de la semaine prochaine de manière à permettre à Ruth de faire faire les courses nécessaires. Le soir, avant d’aller me coucher, nous allons faire un tour dans la chambre d’Alice, nous adorons la voir dormir, nous devons passer par la chambre de Vicky. Quand nous arrivons, nous voyons Perrine allongée sur Vicky tête-bêche. Nous n’entrons pas, nous ne voulons pas les déranger, nous faisons demi-tour.
— Je vois qu’elles s’entendent bien.— Tant mieux, il n’y aura pas de jalousie entre elles.

Le temps passe, nous sommes maintenant au mois d’août mille huit cent seize, il ne fait pas beau, nous avons eu un mois de juillet sous la pluie, la récolte du foin est compromise. Il pleut souvent et le soleil est rare, les nuages dans le ciel ont une couleur étrange tirant sur le rouge, je n’ai jamais vu ça, ça me change de mes étés en France et c’est un peu effrayant. Tout le monde, y compris Charlotte, me dit que ce n’est pas normal, que d’habitude il fait beaucoup plus beau et plus chaud en été, mais je constate que mon premier été en Angleterre est vraiment pourri. Charlotte est inquiète, le printemps a été très beau et chaud, l’herbe a poussé, mais on ne peut pas la récolter avec cette pluie permanente. Perrine est maintenant bien adaptée à sa nouvelle vie, Alice en raffole, elle adore parler français avec elle, à tel point qu’elles l’apprennent à Vicky qui commence à pouvoir faire des phrases.
Alice a demandé à sa mère d’avoir une baignoire plus grande pour que Perrine puisse aussi se baigner avec elle. Charlotte a d’abord refusé, mais devant l’insistance de sa fille, elle a fini par céder, maintenant, elles ont un grand bac dans lequel elles pourraient être quatre. Il a fallu changer tout le système d’arrivée d’eau, heureusement que Jim était là pour s’occuper de ça.
Ce matin, il n’y a que Nancy pour nous réveiller, Britney a beaucoup de fièvre, Dorothy lui a dit de rester dans sa chambre. Je demande à Nancy d’aller chercher Perrine pour la remplacer jusqu’à ce qu’elle aille mieux. Nous allons dans la salle de bain pour nous plonger voluptueusement dans notre bain. Nous sommes enlacées quand arrivent Nancy et Perrine nues. Elle semble un peu surprise de nous voir ainsi, mais ne le laisse pas trop voir. Elle ne semble pas gênée d’être nue devant nous, c’est pourtant la première fois qu’elle vient me laver, Nancy a dû la prévenir. Nous nous levons, Nancy commence à savonner Charlotte, Perrine me regarde et hésite.
— Fais comme moi à madame Marie, tu es là pour ça.

Elle se décide à poser ses mains savonnées sur mes épaules. Je lui tourne le dos pour lui faciliter la tâche, ses mains descendent le long de mon dos, elles glissent sur ma colonne provoquant un énorme frisson. Elles passent sur mes hanches pour descendre sur mes jambes. Elle s’arrête de me laver.
— Je ne crois pas que mes fesses vont se laver toutes seules, allez Perrine, finis le travail, elles ne vont pas te mordre.

Deux mains se posent sur elles, elles glissent dessus énergiquement, je donne un petit coup de reins en arrière, ses mains continuent, mais petit à petit, le geste est plus doux pour finir par de véritables caresses douces et aériennes, elle les explore consciencieusement. Elle va même jusqu’à glisser une main entre elles pour me laver l’anus.
— Pouvez-vous vous tourner madame s’il vous plaît ?

Je lui fais face en souriant, elle me regarde, elle a un regard franc et serein, elle tend les mains pour me laver le devant des épaules, elle passe sur les seins, s’y attarde un peu, redescend sur mon ventre et mon mont de Vénus. Elle glisse le long des jambes pour remonter à l’intérieur. J’écarte un peu mes cuisses, une de ses mains se glisse entre elles pour atterrir sur ma vulve. Elle la frotte énergiquement, je donne un petit coup de reins en avant, elle lève la tête pour me regarder dans les yeux, un de ses doigts se glisse entre mes lèvres, je ferme les yeux, elle comprend et commence à me titiller le clitoris. J’entends Charlotte jouir à côté de moi, je pose mes mains sur les épaules de Perrine pour attendre la délivrance de mon corps. Sa main s’active sur mon sexe, je sens des lèvres venir titiller mon téton gauche, un frisson parcourt mon corps. Elle met trois doigts en pointe et me les enfonce dans le vagin.
Elle fait des mouvements rapides en laissant traîner son pouce sur mon clitoris. Mon corps se raidit et explose dans un superbe orgasme, je me maintiens sur ses épaules pour ne pas tomber. Je sens une cascade d’eau ruisseler sur mon corps, elle me rince. Je sors de la baignoire, elle m’essuie en insistant bien sur mes fesses, mes seins et entre mes cuisses. Elles nous suivent dans notre chambre.
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