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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 12

Lesbienne
L’apothéose
Nous nous allongeons sur le ventre, des mains glissent sur mon dos pour étaler la crème. Elles descendent jusqu’aux chevilles pour remonter sur mes fesses et s’y attarder. Visiblement, elle aime bien caresser mes fesses, elle s’y est vite mise. Elle me fait retourner, cette fois, ce sont mes seins qui l’attirent, elle m’enduit de crème pour finir sur mon sexe. Elle commence des caresses plus directes, mais nous avons décidé avec Charlotte de faire autrement. Nous les arrêtons, les faisons allonger et nous positionnons sur elles tête-bêche. Perrine se saisit de mes fesses pour attirer mon sexe sur sa bouche. Elle ouvre bien les jambes pour que je puisse plonger sur sa vulve très humide. Je tombe sur des lèvres douces et malléables, je m’y plonge avec volupté. Elle coule comme une fontaine, je m’abreuve à sa source, mais Vicky est une bonne professeure, je réalise que je suis au bord de l’orgasme sous la langue experte de Perrine.
Elle me lèche entre les lèvres en donnant un petit coup de langue sur mon clitoris à chaque passage, ça m’amène doucement à l’orgasme que je sens monter en moi. Elle se tend d’un seul coup, je n’ai pas vu venir son orgasme, elle me serre contre elle en s’arc-boutant, je la suis assez vite, nous sommes deux bâtons raides qui se secouent dans tous les sens. Une main se pose sur mes fesses, elle les caresse, ça me calme. Je retombe sur Perrine qui me serre toujours dans ses bras en le léchant les lèvres. Je lui donne trois coups de langue et me laisse glisser sur le côté. Elle me libère et reste allongée sur le dos, les jambes ouvertes. Charlotte s’est allongée sur le lit, les jambes légèrement ouvertes, elle semble calme, les yeux fixes, c’est Nancy qui me caressait. Je m’assois à côté d’elle et la caresse, elle me regarde, me sourit et ferme les yeux.
Nancy me regarde, je lui souris, elle se jette sur le sexe offert de Perrine qui réagit à peine, elle reste en position pendant que Nancy s’occupe de sa vulve. Elle regarde le plafond de la pièce, ses yeux sont grands ouverts, au bout de quelques secondes, elle se tortille un peu, elle commence à participer, son corps ondule, elle va jusqu’à prendre la tête de Nancy et la plaquer sur son sexe. Elle lui enserre la tête entre ses cuisses, pose ses bras le long de son corps et soulève ses fesses au-dessus du lit. Son corps se raidit une nouvelle fois, ses yeux sont dans le vide, son visage s’illumine, elle jouit une nouvelle fois, mais cette fois en s’exprimant.
— AAAHHH, OOOHHH, MMMMMMMMMMMMMMMMMMM.

Nancy se déchaîne sur son clitoris, Perrine semble complètement ailleurs, son visage resplendit de bonheur, elle se donne complètement. Lentement, son corps redescend sur le lit, elle ouvre ses jambes, libérant la tête de Nancy qui se redresse, Perrine aussi, elle me voit caresser Charlotte, elle regarde son sexe qui brille de tous ses éclats. Je la regarde.
— Elle est belle hein ?— Oui, très belle.— Tu aimerais bien la goûter hein ?

Elle me regarde, semble hésiter à répondre.
— Oui ou non ?— Oui madame.

Charlotte ouvre les yeux, la regarde.

— Eh bien, goûte-moi, mais fais-moi goûter aussi.

Perrine se lève et va s’allonger sur Charlotte tête-bêche. Elle plonge sur son sexe. Je les vois se donner du plaisir pendant plusieurs minutes, elles finissent par jouir en se serrant dans leurs bras. Quand elles sont plus calmes, Perrine se laisse glisser sur le côté et se lève, elle semble complètement dans la lune, elle ne sait plus où elle est. Nancy la prend dans ses bras et la serre contre elle.
— Ça va Perrine ?— Oui, oui, ça va.— Tu as l’air dans les nuages.

Elle se détache de Nancy.
— Oui, oui, je me demande si ce qui vient d’arriver est vrai.

Je vais vers elle et la serre dans mes bras, elle m’enlace.
— Je peux t’assurer que c’est vrai, tu me sens, là contre ton corps ?— Oui, oui, je vous sens, je vous sens et j’aime vous sentir contre mon corps.— Ne t’en fais pas, ça arrivera encore.

Je la libère, Nancy lui prend la main.
— Il ne faudrait pas oublier que nous devons servir le petit-déjeuner.— Je te suis.

Elles quittent la pièce, je m’allonge à côté de Charlotte qui est toujours à la même place. Elle me monte dessus pour échanger un long baiser. J’adore sentir son corps sur le mien, je lui caresse ce que j’aime le plus chez elle, ses fesses. Nous finissons par nous lever et nous habiller pour aller prendre le petit-déjeuner. Nous arrivons dans la pièce en même temps que les filles avec tout ce qu’il faut. Perrine est à côté de moi, je ne peux m’empêcher de faire remonter sa robe pour glisser ma main dessous et lui caresser les fesses. Elle semble beaucoup apprécier, mais je n’insiste pas beaucoup. Quand elles débarrassent, je vais voir Britney, le docteur est passé, ce n’est pas grave, mais il faut du repos pendant quelques jours, au moment de partir elle, se saisit de ma main.
— Je peux vous faire un petit cadeau.— Avec ta bouche ?— Oui.

Je viens me mettre contre son lit, elle déboutonne le bas de ma robe pour venir coller sa bouche sur mon sexe. Sa langue me fait monter au ciel comme d’habitude, je reste un moment sans bouger pour la laisser s’abreuver de mon nectar. Quand elle ne trouve plus rien, elle me reboutonne la robe.
— Ne t’en fais pas, je viendrais prendre de tes nouvelles tous les matins, et je pense que madame aussi.

Elle me regarde avec un grand sourire, elle a compris ce que je voulais dire. Je vais devoir garder Perrine pendant ces jours, ce qui ne plaît qu’à moitié à Alice, mais elle accepte, de toute manière, elle ne pouvait pas faire autrement. Il est assez étonnant que je doive accéder aux désirs de cette petite fille alors qu’elle sort de mes entrailles, mais ce n’est plus ma fille, c’est celle de Charlotte, c’est donc en partie ma patronne. J’ai quand même une consolation, c’est que je peux la tutoyer, comme Dorothy, Vicky et Perrine, c’est la règle en Angleterre, les serviteurs ne tutoient pas les enfants des seigneurs sauf rares exceptions.
Fin août, Britney est rétablie, un après-midi, Charlotte me demande de la suivre, une fois dans la chambre, elle sort d’un sac un autre double consolateur, mais il est plus long et plus gros que l’autre, en plus, ses extrémités sont énormes, une fois et demie la grosseur de la tige et il a au milieu des imitations de testicules. Il a une forme beaucoup plus ressemblante à des sexes d’hommes que l’autre.
— C’est Nancy qui vient de me le donner, elle veut qu’on l’essaye et qu’on lui dise lequel on préfère, elles garderont l’autre. Qu’en penses-tu ?— Il faut essayer, je pense qu’il va être un peu difficile à introduire, il est énorme.— Il te fait peur ?— Pas du tout, je pense même que ça va être super pour nous, mais pourquoi elles ne le veulent pas ?— Je ne sais pas, elles nous demandent de choisir, je réalise que nous avons l’autre depuis un certain temps, elles veulent peut-être en profiter aussi, elles sont peut-être en manque.— C’est vrai qu’on l’aime bien et qu’on l’utilise souvent, jouir ensemble, c’est merveilleux.

Elle vient m’embrasser, elle commence à déboutonner ma robe qui est boutonnée devant, au contraire de la sienne. Quand ma robe est à terre, elle se tourne et je lui déboutonne la sienne sans oublier de laisser traîner mes mains sur ses merveilleuses fesses que j’adore. Nous nous allongeons tête-bêche, une fois que nous sentons que nous sommes assez excitées, nous nous mettons en position. Elle me glisse une extrémité du consolateur, il écarte mes lèvres, mais contrairement à ce à quoi je m’attendais, il se glisse à l’intérieur de mon sexe sans aucun problème. Elle le guide vers son propre sexe, elle s’empale dessus, elle aussi sans problème. Une fois que nos sexes se touchent, nous commençons des mouvements, c’est encore plus fort qu’avec l’autre, mon sexe est complètement rempli par cet engin gros et long qui va-et-vient dedans.
Nous nous prenons les mains et faisons des mouvements de bassin, lentement, l’orgasme monte en moi, je regarde Charlotte, elle en est au même point, nous allons jouir assez rapidement. J’explose dans un merveilleux orgasme, je sens que Charlotte m’accompagne, c’est très intense, mais nous ne sommes jamais arrivées à égaler l’intensité de ceux que nous procurent nos bouches. Lentement, nos corps s’apaisent, elle se dégage et vient se coucher sur moi, j’ai toujours le consolateur dans le sexe.
Nous échangeons un long baiser, une fois nos bouches séparées, elle glisse vers le bas de mon corps, sa bouche arrive sur mon mont de Vénus, sa langue le lèche pour finir sur mon clitoris. Je sens le consolateur faire de va-et-vient dans mon sexe. C’est Charlotte qui s’en est saisie et commence à me faire l’amour. Elle me lèche le clitoris tout en manipulant le consolateur dans mon sexe. Mon corps réagit et se donne à cette nouvelle forme de plaisir. Ses mouvements s’accélèrent, je sens cet énorme objet aller et venir de plus en plus vite, tout en sentant sa langue sur mon clitoris, j’explose dans un sublime orgasme, mon corps est tétanisé, je ne suis plus avec elle, mais dans les cieux rouges de l’Angleterre. Je reviens à moi, Charlotte a dégagé le consolateur, je m’en saisis et lui introduis dans le sexe dégoulinant de cyprine, ce qu’elle m’a fait l’a énormément excité.
Il entre très facilement, elle donne des coups de reins en avant pour se l’enfoncer au maximum, je commence mes aller-retour en lui titillant de temps en temps le clitoris avec ma langue. Son corps réagit et commence à vibrer sous mes caresses, j’accélère encore le rythme, elle se donne complètement, et finit par exploser dans un terrible orgasme. Je remonte le long de son corps pour déposer mes lèvres sur les siennes, elle passe sa main derrière ma nuque et m’emprisonne pour un très long baiser. Quand nos bouches se séparent, je m’allonge à côté d’elle, j’adore sentir son corps contre le mien, nous sommes les yeux fermés côte à côte quand je sens une bouche sur mon sein gauche. J’ouvre les yeux, c’est Britney qui est là, elle est accompagnée de Nancy, elles nous sourient.
— Vous avez aimé le nouveau consolateur ?— Adoré même, et vous vous aimez ?— Oui, beaucoup, mais nous aimons bien l’autre aussi, c’est différent.— Nous aussi, alors, nous gardons les deux.— Très bien madame.— Et tu ne dis rien ?— Pourquoi ?— Tu n’aimerais pas en profiter aussi ?— Oui, Elisabeth ira nous en acheter d’autres.— Avec quel argent ?— Le nôtre bien sûr.— Et tu trouves normal d’acheter des consolateurs, de nous les faire essayer, que nous les gardions et que vous soyez obligées d’aller en acheter d’autres ?— Je ne sais pas.— Voyons Britney, tu penses vraiment que madame et moi-même allons vous laisser acheter d’autres consolateurs avec votre argent ?— Je ne sais pas madame.— Allez, dis à Elisabeth de venir me voir, je lui donnerais l’argent pour en acheter d’autres, et même des différents si ça vous fait plaisir. — Merci madame.— Mais pourquoi étiez-vous venues nous voir ? — C’est l’heure du dîner madame, nous sommes venues vous prévenir.— OK, mais d’abord, pouvez-vous nous nettoyer la vulve ?— Bien sûr madame.

Elles se jettent sur nos sexes, mais cette fois, pas de fioritures, pas le temps, elles nous mènent au paradis en quelques secondes, il faut dire que nos corps sont rodés. Quand nous avons joui, elles nous lèchent le sexe pour le nettoyer et aussi pour récupérer un maximum de cyprine. Nous nous levons, elles nous habillent et nous allons dîner. Alice a déjà commencé, elle nous regarde avec un petit sourire, cette petite fille est assez maligne, elle a compris ce que nous faisions, mais elle sait que nous nous aimons, pour elle, c’est normal, bien qu’elle n’en parle jamais à personne. Nous dinons tranquillement, Britney et Nancy sont aux petits soins avec nous, elles aiment beaucoup leur travail, il faut dire qu’elles le font dans des conditions peu communes et elles le savent. A la fin du dîner, nous allons nous assoir au bord de la cheminée, elle est exceptionnellement allumée, le temps est anormalement froid, nous disons à Britney et Nancy qu’elles sont libres jusqu’à demain.
Nous discutons comme on le fait souvent, mais Charlotte me parle d’une idée qu’elle a eue.
— Que dirais-tu d’une grande fête du sexe entre filles ?— Tu penses à quoi ?— Juste se réunir un soir, nous serions toutes les deux avec Britney, Nancy, Vicky et Perrine, juste toutes les six et nous ferions l’amour toute la nuit.— Et qui s’occuperait d’Alice ?— J’ai pensé à Dorothy, elle n’est pas du tout gougnotte et Alice l’aime bien, elle pourrait passer la nuit dans la chambre de Dorothy.— Ça me parait faisable, il faut lui en parler.— Mais il faudrait aussi organiser la chambre, six dans notre lit, ça va être un peu juste. — Il faudra mettre plusieurs lits, au moins deux.— Non, je vais demander qu’on nous fasse un immense lit pour toutes les deux, il faudra qu’il fasse sept pieds sur neuf, comme ça, on pourra être toutes les six.— Et qui va nous faire ça.— Jim et Andrew en sont très capables, ils le feront dans l’atelier du château. — En plus, on peut leur faire confiance.— Exactement. — Et on fait ça quand ?— J’avais pensé au vingt-huit octobre, qu’en penses-tu ?

Je me lève et me jette sur elle pour l’embrasser longuement, c’est le jour de mon anniversaire. Ses mains courent sous ma robe, elle en profite pour me caresser les fesses. Quand je me redresse, elle me sourit, je vais m’assoir dans mon fauteuil, je la regarde, elle a l’air heureuse du plaisir qu’elle vient de me donner.
— Je crois qu’il ne va pas falloir s’arrêter à une fête, il faut que cet énorme lit serve de temps en temps, que penserais-tu d’une autre fête au mois de mai, disons le six ? — Le jour de mon anniversaire, évidemment, mais on peut aussi fêter l’arrivée de la nouvelle année dans la nuit du trente et un décembre, le quinze août, votre ancienne fête nationale, c’était la st Napoléon, on peut en trouver beaucoup. Je propose une par mois, on choisira la date avec les filles, tu es d’accord ?— Oui, ça me parait raisonnable, on en parle demain aux filles ?— Oui, mais quand cesseras-tu d’être raisonnable ?— Pas avant que tu le deviennes, et ce n’est pas demain la veille.

Nous rigolons ensemble, j’aime cette femme ouverte, spontanée, aimante, décontractée, mais un peu folle, elle n’est pas assez « raisonnable » pour moi, je suis une terrienne, une fille qui a vécu dans la pauvreté, et qui sait ce qu’est la souffrance de voir les personnes qu’on aime souffrir. Elle, elle est d’une autre classe sociale, elle a toujours eu ce qu’elle voulait, sans être hautaine, elle fait ce qui lui plaît, et de temps en temps, c’est un peu trop. Je suis souvent là pour la ramener à la raison, ce qu’elle admet volontiers, mais c’est ce qui fait son charme. Nous allons nous coucher, faire l’amour et dormir enlacées.
Le lendemain, Britney et Nancy viennent nous réveiller, elle inaugure une nouvelle méthode. Comme nous sommes nues sur le lit, sans drap sur nous, elles se mettent entre nos jambes et posent leurs bouches sur nos sexes et commencent à nous lécher la vulve, je me réveille comme si j’étais dans un nuage, mon corps me transmet des ondes de plaisir, je présume qu’il en est de même pour Charlotte, je ne veux rien faire qui puisse interrompre ce moment de bonheur, je laisse monter en moi cette onde de plaisir qui, je le sais, va me faire exploser dans un univers de plaisir. La main gauche de Charlotte me serre la main droite, elle est de plus en plus puissante, elle finit par me faire mal quand elle jouit, ce qui déclenche mon propre orgasme.
Elles nous laissent revenir à nous, Britney pose ses lèvres sur tout mon corps, du mont de Vénus aux seins, je redescends sur terre lentement, avec ce message de plaisir, ces lèvres qui te donnent du plaisir juste en se posant sur ta peau, un vrai miracle. Quand je suis capable de me lever, elle m’aide, elle m’enlace en collant sa peau contre la mienne.
— Bonjour madame, vous avez bien dormi ?— Très bien Britney, mais surtout, j’ai eu un réveil magnifique, vivement que ça recommence.— Je ne vois pas pourquoi ça ne se reproduirait pas, madame, j’y veillerais.

Nous allons prendre notre bain, puis, crémage de peau et jouissance, comme tous les jours. Charlotte a demandé à Jim et Andrew de nous faire un lit spécial, ils nous l’ont promis pour dans une petite dizaine de jours. Nous passons la journée à nos occupations traditionnelles, après le dîner, nous discutons au coin de la cheminée jusqu’à ce que Dorothy vienne nous voir.
— Tu voulais me voir Charlotte ?— Oui Dorothy, je voulais te demander de garder Alice un soir où j’aimerais faire une fête dans nos appartements.— Une fête comment ?— Entre femmes, tu t’en doutes bien.— Et ça se passerait quand ?— Le vingt-huit octobre.— Et pourquoi cette date ?— Parce que c’est l’anniversaire de Marie.— Eh bien, le vingt-huit octobre, je m’occuperais de ta fille, à une condition.— Laquelle ?— Que tu m’expliques pourquoi elle ressemble plus à Marie qu’à toi, sachant que tu avais fait un mariage arrangé qui, à ma connaissance, n’a jamais été consommé.

Charlotte blêmit, elle me regarde, c’est la première fois que je la vois complètement désemparée. Je vois qu’elle ne sait pas comment se sortir de cette situation sans avouer la vérité. Dorothy vient vers elle et l’enlace.
— J’ai bien réfléchi, et je crois que j’ai compris, si tu veux m’en parler, je suis là, mais sache que je ne dirais rien, tu es ma Charlotte, je t’aime et je ne te ferais jamais de mal.— Qu’as-tu compris ?— Regarde Alice, elle a les yeux bleus clair de Marie, les tiens sont foncés ainsi que ceux de feu ton mari, elle a le visage fin de Marie, tu as un visage plus rond, et je suis sûre que quand elle sera adulte, elle aura les fesses et les seins de Marie, c’est Marie sa mère de sang, j’en suis sûre.— Assois-toi Dorothy.

Dorothy s’assoit, elle lui raconte toute l’histoire en détail, Dorothy l’écoute sans l’interrompre, de temps en temps elle me regarde. Quand Charlotte a fini son histoire, elle se tourne vers moi.
— Si ton attitude n’est pas une preuve d’amour, je ne sais plus ce qu’est l’amour, je ne sais pas si j’aurais pu faire la même chose, surtout en restant toujours à côté de ma fille.— J’aime Charlotte et j’aime sa fille, je crois que je ne pouvais pas leur prouver mieux mon amour pour elles, mais il ne faut pas qu’Alice l’apprenne, elle est trop heureuse comme ça.— Tu as dit sa fille, tu sais pourtant que c’est la tienne.— Oui, mais depuis le premier jour, je me suis comportée comme si c’était celle de Charlotte, il le fallait, je l’ai assimilé depuis longtemps, maintenant, c’est la fille de Charlotte.— Elle m’a dit de prendre ma fille dans mes bras cinq minutes après avoir accouché, je ne l’oublierais jamais. Seul Andrew est au courant, il venait tous les mois nous voir, mais je sais que c’est un homme de confiance.— C’est ton ami d’enfance, tu peux compter sur lui.— Je compte aussi sur toi pour garder ce secret.— Bien sûr, merci de ta confiance Charlotte, tu peux compter sur moi le vingt-huit octobre.

Elle nous quitte, je suis dans le fond soulagée qu’elle soit au courant, c’est une femme de confiance. Nous allons nous coucher, elle se déchaîne sur mon sexe, je jouis comme rarement je n’ai joui, elle me prouve son amour.
Le temps passe, Jim et Andrew on fait un magnifique lit à baldaquin, il est immense. Dorothy a fait faire des draps sur mesure, même les couvertures sont spéciales, commandées à un fabricant de Londres. La première nuit n’a été qu’une nuit d’amour en faisant le tour du lit, nous étions deux vraies gamines. Nous nous sommes endormies très tôt le matin, Britney et Nancy ont eu beaucoup de mal à nous réveiller, même avec leurs langues. Et puis, le vingt-huit octobre est arrivé.
Nous sommes toutes les six dans la salle à manger, nous avons toutes dîner, nous fêtons mon anniversaire autour d’un gâteau que Ruth a confectionné, il est délicieux. Quand nous avons fini le gâteau, Charlotte se lève et se dirige vers la salle de bain. La baignoire est pleine d’eau fumante, je la déshabille, Perrine me déshabille, elle se fait déshabiller par Nancy à qui Britney enlève la robe. Vicky vient vers elle pour lui enlever sa robe, mais Charlotte se met derrière elle pour déboutonner la sienne. Nous sommes toutes nues autour de la baignoire.
— Tout le monde au bain.

Nous rentrons dans la baignoire, nous nous allongeons dedans, c’est assez agréable, je suis entre Vicky et Charlotte avec Perrine sur moi. Elle est sur le dos, je passe mes mains sur son corps, je lui caresse le mont de Vénus et les seins, je sens son corps réagir. Charlotte s’occupe des fesses de Britney qui est tête-bêche avec Nancy. Vicky se redresse et vient poser sa bouche sur le sexe de Perrine, elle commence à réagir violemment jusqu’à se raidir et jouir sous la langue de Vicky et mes mains. Elle se retourne, nous sommes face à face, sexe à sexe, seins à seins, elle me regarde dans les yeux. Elle me parle en français.
— Bon anniversaire madame.

Elle pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un baiser ardent, mais les mains de Vicky ne sont pas inactives, l’une d’elles s’est glissée entre mes cuisses et me titille le clitoris. Je ne tarde pas à jouir en enlaçant Perrine. Charlotte se dégage, pousse Perrine et vient sur moi, elle m’embrasse passionnément, elle me serre contre son corps, je lui caresse les fesses, une bouche touche mes mains, c’est Perrine qui embrasse ses fesses. Britney jouit à côté de moi, suivi par Nancy, je suis au fond de la baignoire, il y a trop d’eau pour qu’on puisse se mettre tête-bêche au fond, mais Perrine écarte les jambes de Charlotte pour s’engouffrer entre elles et venir lui titiller la vulve. Charlotte monte ses fesses pour lui permettre d’accéder à son clitoris. Je sens son corps se tendre petit à petit, elle finit par jouir en m’embrassant, j’en ressens une impression de bonheur immense, d’autant qu’un doigt s’est posé sur mon clitoris et le titille jusqu’à me faire jouir.
Vicky se retourne vers Perrine, elles réussissent à se positionner tête-bêche, elles jouissent assez rapidement, l’excitation était à son maximum. Mais la baignoire devient trop petite, nos mouvements sont assez limités. Nous en sortons pour nous essuyer mutuellement, Perrine et Charlotte, Britney et Vicky, Nancy avec moi. Nous allons toutes dans la chambre pour nous jeter sur le lit.
— Mesdemoiselles, il ne faut pas oublier que c’est l’anniversaire de madame Marie, il faut qu’elle s’en souvienne longtemps, à vous de jouer.

Elles me sautent dessus, Vicky sur mon sexe, Britney le sein gauche, Perrine le droit, Nancy me caresse le ventre. Charlotte pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un long baiser, jusqu’à ce que je jouisse. Quand je suis de nouveau lucide, elles recommencent en changeant d’objectif. Elles me font jouir quatre fois en deux heures, je suis complètement assommée de plaisir, mais Charlotte veut aussi participer, mais en me faisant participer. Elle se met sur le dos et se couche sur moi, elle me présente son sexe en se jetant sur le mien. Sa langue s’active entre mes lèvres, comme la mienne sur les siennes. Nous jouissons ensemble, je commence à avoir des difficultés à récupérer, mais elles n’en ont pas fini avec moi.
Je suis allongée sur le dos quand je sens un objet se glisser entre mes cuisses et s’introduire dans mon sexe. C’est Perrine qui m’introduit le gros double gode, elle glisse une jambe sous mon corps pour pouvoir s’enfoncer l’autre extrémité. Je sens son sexe venir se poser sur le mien, elle commence à bouger, je fais de mon mieux pour l’aider, mais je commence à être un peu flagada, elle fait tout pour m’amener au paradis. Vicky s’occupe de mes seins, Britney et Nancy sont tête-bêche à côté de moi, Charlotte s’est couchée à côté de moi et m’embrasse. Je finis par exploser dans un sublime orgasme, accompagnée par Perrine, je ne récupère que très lentement, j’ai beaucoup de mal à revenir à moi. Perrine se dégage, elle me met sur le côté en m’ouvrant les jambes. Je vois le sexe de Charlotte venir se poser sur ma bouche, en tournant un peu la tête, je vois qu’elle est entre les jambes de Nancy, qui s’occupe du sexe de Britney elle-même entre les cuisses de Perrine.
Nous formons un cercle à nous donner du plaisir. Je sens Perrine jouir, elle me mord les lèvres, ça ne me fait pas trop mal, mais ça m’excite encore plus, à tel point que je mords celles de Charlotte, ce qui déclenche son orgasme. Je ne tarde pas à la suivre en même temps que Nancy, Vicky et Britney.
Quelques minutes plus tard, nous sommes toutes allongées côte à côte, Charlotte à ma droite, Perrine à ma gauche, elle ne m’a pas quittée de toute la soirée, peut-être parce que nous sommes compatriotes. J’ai fini la nuit allongée sur le dos au milieu du lit, elles se sont succédé sur mon sexe, je ne sais plus combien de fois j’ai joui, jamais je n’avais vécu une telle nuit. Elles ont toutes joui plusieurs fois dans la nuit, mais chacune a voulu me faire jouir plusieurs fois à sa façon, elles m’ont anéantie. Le lendemain, je me réveille seule dans le lit, je suis allongée au milieu, les jambes légèrement ouvertes, Britney, la fidèle, est là qui me regarde, elle me sourit en me voyant ouvrir les yeux.
— Bonjour madame, vous avez bien dormi ?— Très bien Britney, il est quelle heure ?— Neuf heures trente madame, mais nous n’avons pas besoin de vous, madame Charlotte m’a demandé de vous interdire de vous lever, vous devez vous reposer.— Et comment comptes-tu m’interdire de me lever ?— Très simplement.

Elle monte sur le lit et vient se positionner entre mes jambes. Je ferme les yeux au moment où elle pose ses lèvres sur mon clitoris. Sa langue me lèche entre les lèvres, j’attends sereinement que mon corps exulte, je ne suis jamais rassasiée d’orgasme, Louise et Charlotte m’ont donné le goût du plaisir à moi la petite paysanne de Montigny lès Cherlieu, devenue gouvernante d’un immense château en Angleterre et mère d’une future lady. Je réalise que ma vie n’est pas tout à fait ordinaire. Je finis par jouir, Britney connaît mon corps, elle sait comment m’amener lentement au paradis. Je passe la matinée allongée, Britney est aux petits soins pour moi, elle me fait manger, elle n’oublie pas de déposer un baiser sur mes seins, mon mont de Vénus ou mon clitoris de temps en temps, ce qui me détend, sans compter les léchages de vulve qui m’entraînent dans des orgasmes merveilleux. L’après-midi est normal, je reprends mes activités, tout redevient normal.
Le temps a passé, le lit a servi de nombreuses fois, nous sommes maintenant en mille huit cent vingt-huit, j’ai quarante et un ans, Charlotte quarante-cinq et notre amour vingt et un, c’est devenu une magnifique jeune femme, et comme le disait Dorothy, qui nous a quittés il y a trois ans, elle me ressemble beaucoup, mêmes seins, même fesses, c’est moi à son âge. C’est une parfaite aristocrate anglaise comme sa mère, mais avec un soupçon de nonchalance française. Je suis toujours amoureuse de Charlotte, nous partageons notre vie depuis plus de vingt ans, sans heurts, toujours en harmonie. Je l’ai toujours considérée comme ma patronne, même si je partageais son lit et que j’étais la gouvernante, c’est toujours elle la propriétaire du château. Ma vie n’a été qu’une succession de bonheur depuis que je la connais. Britney et Nancy sont toujours à notre service, elles sont toujours amoureuses et toujours prêtes à nous faire plaisir sous quelques formes que ce soit.
Nous allons marier Alice, elle est follement amoureuse du fils d’un lord anglais de Londres, les deux fortunes réunies vont en faire une des plus riches familles d’Angleterre. Charlotte est folle de joie, sa fille se marie et elle veut des enfants, ce qui la rendrait grand-mère. Moi aussi, je suis folle de joie à la perspective qu’Alice ait des enfants, je ne les verrais pas beaucoup, elle va aller habiter à côté de Londres, mais ce n’est pas excessivement loin, nous irons de temps en temps avec Charlotte. Vicky et Perrine sont toujours à son service, elles la suivront quand elle sera mariée, c’est Alice qui l’a demandé. Elle veut en faire ses gouvernantes dans sa nouvelle demeure. Au début, elle voulait m’amener avec elle dans le château qui est encore plus grand que celui de Charlotte, mais j’ai refusé, ne voulant pas l’abandonner. C’est pour ça qu’elles me suivent partout depuis un an, elles apprennent comment gérer un château et surtout le personnel.
Ce qui est agréable, c’est que je leur parle français, Vicky parle maintenant couramment. Je leur enseigne ce que j’ai vu avec Bérangère et Dorothy, une poigne de fer dans un gant de velours, et surtout de l’amour.
J’ai eu en définitive une très belle vie, même enfant, nous étions pauvres, mais j’étais aimée, j’ai vécu deux vies, la première de servante, la seconde de gouvernante du château de Leeds. Toutes les deux m’ont plu, il faut dire que j’étais une servante dans des conditions un peu spéciales. L’amour de Charlotte a transformé ma vie, je n’ai compris que plus tard que c’était partagé, mais je l’ai vécu en me donnant entièrement. J’attends la suite avec sérénité.
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