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Moi paysanne maîtresse du sexe

Chapitre 1

Lesbienne
Bérangère
— Allez Marie, il faut finir avant ce soir, il ne reste pas grand-chose.— Je fais ce que je peux, je ne suis qu’une femme.— Oui, mais tu es ma sœur, et ma sœur, elle travaille comme un homme.— Sauf qu’elle s’appelle Marie ta sœur, pas Jules comme toi, et mes muscles sont des muscles de Marie.— J’adore quand tu t’énerves petite sœur chérie, ne t’en fais pas, je finis.

Nous sommes dans le plus grand champ de la ferme de mon père, nous sommes à Montigny lès Cherlieu, à côté d’une énorme abbaye que les villageois démontent pour construire leur maison. Le village se construit avec les pierres de l’abbaye, dont la maison de mes parents. A regarder le soleil, il est deux heures de l’après-midi, on doit finir de rentrer le foin de l’année, encore deux charrettes après celle-là et c’est fini. Je me démène, mais j’ai chaud, mon corps dégouline de sueur sous mes vêtements, il fait plus de trente degrés en cette fin juillet. La récolte a été bonne, abondante et de bonne qualité, le printemps a donné juste l’eau et le soleil qu’il fallait et l’été le soleil pour bien le faire pousser et le sécher une fois coupé. Les vaches vont être bien nourries cet hiver. La manipulation de la fourche pour charger la charrette me casse le dos, je suis complètement épuisée.
Heureusement que Jules, mon grand frère est là, il travaille bien plus vite que moi, il faut dire qu’à vingt et un ans dans deux jours, il est en pleine possession de ses moyens. Je lui ai réservé une surprise pour l’anniversaire de sa majorité, un cadeau dont il se souviendra toute sa vie j’espère. Il n’a que deux ans et trois mois de plus que moi, je suis née le vingt-huit octobre et lui le trente et un juillet. Seulement, il se considère comme mon protecteur, personne n’a intérêt à m’emmerder, les seuls qui l’ont fait quand j’avais douze treize ans s’en souviennent encore.
La charrette repart avec Jules et les bœufs, il va mettre presque une heure à faire l’aller-retour à la ferme, j’ai le temps de récupérer un peu. Je vais m’allonger sous un arbre, je soulève ma lourde jupe et mon jupon, j’aère mes jambes. Ça me fait du bien, mais ça me titille un peu le berlingot, je ressens une drôle de sensation que je connais. Je laisse ma jupe et mon jupon sur le haut de mes jambes, je suis bien. Je somnole un peu, je suis confortablement installée là, à l’ombre de cet arbre, mais la drôle de sensation persiste, et je sais comment faire pour la calmer. Ma main remonte un peu plus ma robe pour finir sur mon abricot, cette sensation me donne envie de sentir les grandes chatouilles qu’il me donne quand je le caresse. Mon doigt bouge sur le bouton que j’ai en haut de mon abricot et au bout d’un petit moment, comme d’habitude, une onde se forme dans mon bas-ventre, elle envahit tout mon corps qui d’un seul coup se transforme en gigantesque feu d’artifice.
J’adore cette sensation, je ne sais comment elle peut me donner autant de joie, mais je sais comment la faire apparaître. Je le fais souvent, en général le soir dans mon lit, à côté de celui de mes parents et de mon frère. C’est ma cousine Germaine qui m’a montré comment faire il y a six mois un jour dans la grange de la ferme de son grand-père. Nous étions montés sur les meules de foin pour nous amuser, on faisait ça depuis toutes petites, d’un seul coup, elle s’est arrêtée et m’a regardée.
— Tu sais comment on peut se faire faire des chatouilles ?— Oui, tu veux que je te chatouille ?— Non idiote, pas celle-là, les chatouilles du corps.— C’est quoi ça les chatouilles du corps ?— D’accord, tu ne connais pas, fais comme moi.

Elle défait sa robe et enlève son jupon qui tombe sur le foin, je peux voir les poils de son abricot dépasser dans la fente de sa culotte.

— Allez, ouvre ta robe et enlève et ton jupon et fais comme moi, exactement les mêmes gestes.

Je l’imite, je défais ma robe et enlève mon jupon qui suit le même chemin que celui de Germaine, mais moi, je n’ai pas de culotte, maman ne veut pas m’en acheter, trop cher. Elle fait descendre sa culotte, pose sa main en haut de son abricot, je la regarde, médusée, je vois pour la première fois sa touffe de poil, comme la mienne.
— Tu fais quoi ?— Vas-y, fais comme moi, tous les gestes, tu vas voir, c’est super.

Je pose ma main sur mon abricot, je vois qu’elle rabat ses poils et écarte les deux côtés pour dégager le haut, je fais pareil. Elle pose un doigt de l’autre main sur un petit bouton, tout en haut. Je l’imite, c’est à ce moment-là que j’ai senti une drôle de sensation que je n’avais jamais ressentie. Elle fait bouger son doigt sur le bouton, je fais pareil. Au début, je ne ressens pas grand-chose, mais c’est quand même agréable. Doucement, une sorte de boule se forme juste derrière le bouton, elle augmente petit à petit. Machinalement, mon mouvement accélère, au bout d’un moment, tout mon corps se raidit, il est envahi par cette onde qui finit par le faire exploser dans une sorte de béatitude infinie. Mes jambes me lâchent, je tombe à genoux, mais mon doigt continue son mouvement. Mon corps fait des mouvements brusques que je ne peux maîtriser. Petit à petit, mon corps se détend, je ralentis mon mouvement jusqu’à l’arrêter.
Je me laisse aller sur le dos, je veux profiter de ce moment de bonheur infini le plus longtemps possible. Germaine doit avoir ressenti la même chose, elle est sur le dos, les yeux fermés avec un merveilleux sourire aux lèvres. Elle tourne la tête vers moi.
— Tu as senti ce drôle de truc dans ton corps ?— Oui, très bien.— Ça t’a plu ?— C’est incroyable, qu’est-ce que c’est ?— Je ne sais pas, mais à chaque fois que je fais ça, je ressens cette merveilleuse sensation de bonheur, j’appelle ça des chatouilles.— Tu le fais souvent ?— Tous les jours au moins une fois.

Depuis, nous avons répété ça le plus souvent possible. Un jour, n’y tenant plus, j’ai voulu voir si l’abricot de Germaine était aussi mouillé que le mien quand on cherchait les chatouilles.
— Je peux toucher ton abricot, je veux voir s’il est aussi mouillé que le mien.— Bien sûr, moi aussi je veux savoir.

Je porte ma main sur son abricot, il est comme le mien, elle pose sa main sur le mien, j’en ressens une onde encore plus forte que d’habitude.
— Toi aussi c’est plus fort ?— Oui, continue.

Nous nous touchons l’abricot jusqu’à ce que les chatouilles envahissent nos corps, c’est plus intense que d’habitude. Nous avons pris l’habitude de nous toucher mutuellement pour avoir des chatouilles. Un jour, elle me dit être gênée par sa robe, elle l’enlève ainsi que son jupon et sa culotte. C’est la première fois que je vois une femme nue, j’en ressens un trouble qui m’étonne.
— Je crois que c’est comme ça qu’il faut être quand on cherche les chatouilles, c’est comme ça que je me mets le soir dans mon lit.— Moi, je ne peux pas, je dors avec tout le monde, je dors avec ma robe.— Moi, je dors dans la chambre de ma grande sœur, elle fait comme moi.— Tu as de la chance.— Fais comme moi.

Je me déshabille comme elle, nous sommes toutes les deux nues. Notre séance de chatouilles a été très intense, depuis ce jour, nous nous sommes toujours déshabillées pour nous faire faire des chatouilles. Mais un jour, son père a décidé qu’elle devait travailler ailleurs, elle est partie dans une grande maison. Depuis, je le fais tous les soirs dans mon lit où je reste habillée et parfois dans la journée quand je suis seule et que j’ai quelques minutes devant moi, en haut de la grange, derrière les bottes de foin, je peux me déshabiller sans être vu. J’adore cette sensation.
Jules revient, il n’est pas seul, il a amené deux ouvriers avec lui, je ne comprends pas pourquoi.
— Il faut que tu ailles tout de suite à la ferme, le père veut te voir c’est urgent.— Tu sais ce qu’il veut ?— Non, mais dégrouille-toi.

Je retourne à la ferme d’un pas accéléré, quand j’arrive, il est avec une jeune bourgeoise très belle que je ne connais pas. Mon père vient vers moi.
— Marie, tu suis madame, tu es maintenant à son service, va faire tes adieux, pas la peine de prendre des affaires. Allez, dépêche-toi, je veux te voir ici dans cinq minutes.

Je ne dis rien, les filles n’ont pas leur mot à dire, elles obéissent. Je vais embrasser ma mère qui pleure, mon grand-père qui parait très triste, Justine qui travaille avec nous depuis toujours, je me précipite vers mon père. Il discute avec la femme. Quand j’arrive, elle fait demi-tour et se dirige vers une calèche ouverte.
— Suis-moi.

Sa voix est douce, mais autoritaire, je sens que je ne dois pas moufter, elle a un léger accent que je n’arrive pas à déterminer. Je la suis, elle me montre la place en face d’elle, je m’y installe. Mon père me regarde, j’ai l’impression qu’il est un peu triste. Je sais, il m’a pratiquement donnée à cette femme pour que je la serve, mais je suis sûre que c’est pour mon bien et que ça va être beaucoup moins pénible que le travail à la ferme. Nous passons devant le champ, je fais des grands signes à Jules, mais il ne me voit pas.
— C’est qui ce garçon ?— Mon grand frère.— Tu veux lui dire au revoir, je présume.— J’aimerais bien.

Elle fait arrêter la calèche, je me précipite vers Jules, je lui saute dans les bras.
— Qu’est-ce qu’il y a petite sœur ?— Je quitte la ferme, je suis maintenant au service de la dame que tu peux voir dans la calèche.— C’est quoi cette histoire, viens.

Il se dirige vers la calèche, j’ai peur qu’il ne s’énerve.
— Calme-toi Jules, elle a l’air gentille.— Ne t’en fais pas, je veux juste la connaître.

Je vois que la dame nous regarde arriver, elle a un grand sourire quand nous arrivons, Jules la regarde calmement.
— Bonjour madame, Marie va être à votre service, c’est ça ?— Oui mon garçon, elle va travailler pour moi.— J’espère que vous serez correcte, car si je la sens malheureuse, je viendrais vous demander des comptes, vous savez que la révolution est passée par là.— Je pense qu’elle sera très heureuse chez moi, je soigne bien les personnes qui travaillent pour moi. En tout cas, elle a de la chance d’avoir un frère comme toi, je t’invite à venir la voir quand tu voudras pour t’assurer que tout va bien.— Soyez sûre que je n’y manquerais pas madame.

Il m’enlace très fort, me fait deux grosses bises et me fait remonter dans la calèche.
— A bientôt petite sœur chérie.

La calèche démarre immédiatement.
— Tu as de la chance Marie, j’aurais bien aimé avoir un frère comme le tien, il t’aime et te protège.— Vous avez un frère.— Non, je n’ai pas de frère, je suis fille unique, c’est le grand regret de ma vie, j’aurais aimé en avoir un, je ne sais pas trop pourquoi, peut-être pour me sentir protégée.

Elle rigole en me regardant. La seule chose qui me rend triste, c’est que je ne vais pas pouvoir faire mon cadeau d’anniversaire à mon frère chéri. Je voulais m’offrir à lui pour qu’il prenne mon pucelage, c’est pour moi le seul homme qui le mérite. Ça aurait été le plus beau cadeau pour sa majorité. Nous roulons sur les chemins chaotiques de la région pendant presque une demi-heure pour arriver dans le château d’un village. Je la regarde, ébahie.
— Eh oui ma petite, je suis la nouvelle propriétaire du château de Belvoir, et mon mari en est le gérant, il va s’occuper de faire les réparations qui s’imposent. C’est là que tu vas vivre maintenant avec nos servantes. J’ai besoin de personnel pour me servir, ton père est d’accord, mais rassure-toi, tu seras nourrie, habillée, logée, payée, tu auras un franc par semaine.

Un franc par semaine, une fortune, je n’ai jamais eu qu’un franc une fois pour mon anniversaire l’année dernière.
— Merci madame.— De rien ma petite, nous sommes dans une société moderne, l’empereur est en train de transformer la France en un pays qui avance après le règne de ces salopards de rois divins et cette fantastique, mais monstrueuse révolution de tueurs. Il a écrasé une coalition ennemie à Austerlitz en décembre dernier, c’est un grand homme, il va faire de la France un grand pays moderne et rendre les gens heureux. Et je veux être là quand ça arrivera.

Je suis un peu dépassée, je ne connais rien à la politique, je sais qu’on a à la tête du pays un empereur, depuis un ou deux ans, je ne sais plus. Mon père a participé aux évènements il y a plus de dix ans, et m’a raconté comment les villageois menaçaient de tuer les curés sur la place du village pour qu’ils donnent leurs biens. Il m’a aussi raconté comment ils ont démonté l’abbaye pour construire leur maison après les évènements comme dit papa, mais c’est à peu près tout, et surtout, ce ne sont pas mes oignons. Je sais simplement que la maison de papa est construite avec les pierres de l’abbaye. Une fois dans la cour, nous descendons, je la suis en direction du château. C’est un vieux château avec des grosses tours, il doit dater du moyen-âge, les murs sont énormes, il n’est pas très élégant, mais très impressionnant. Quand nous sommes dans le hall, une femme d’une quarantaine d’années vient vers nous.
— Bérangère, je te présente Marie, j’aimerais qu’elle entre à mon service, tu peux t’en occuper tout de suite ?— Bien sûr ma chérie.— Très bien, fais-en une beauté.— Ça ne va pas être difficile, suis-moi Marie, je vais te récurer, tu pues.— Bérangère, ce n’est pas de sa faute, elle ne sait pas, ne sois pas trop dure avec elle.— Tu sais très bien que je ne suis pas méchante Charlotte, mais il faut bien dire qu’elle pue, je m’en occupe, elle sera parfaite.

Je la suis, un peu meurtrie par cette remarque, nous ressortons de l’autre côté du château pour aller dans une dépendance au fond d’une autre cour, nous y entrons. Il y a une sorte de grand bac sur des pieds rempli d’eau fumante. Bérangère voit que je le regarde, étonnée.
— Tu ne sais pas ce que c’est ?— Non madame.— Une baignoire, on entre dedans pour se laver, ça s’appelle prendre un bain.— Et je vais rentrer dedans pour prendre un bain ?— Oui, tu vas prendre un bain.— Pour m’enlever ma puanteur comme vous dites ?— Ne m’en veux pas petite, mais il faut bien dire que tu sens très mauvais, je sais, ce n’est pas ta faute et toi-même tu ne sens pas ta propre odeur, mais on va remédier à ça, ne t’en fais pas.— Oui madame.— Déshabille-toi complètement.

Je la regarde, étonnée.
— Je t’ai dit de te déshabiller complètement, tu comprends ce que ça veut dire se déshabiller complètement, se mettre toute nue, pour prendre un bain dans une baignoire, il faut être nue, complètement nue, tu ne vas pas prendre un bain, habillée tout de même.

Je m’exécute, je suis un peu gênée de me mettre nue devant une inconnue, elle doit le sentir.
— Ne t’en fais pas, j’en ai vu d’autres, je suis au service de la famille de madame depuis vingt-cinq ans, j’avais dix-huit ans, j’en ai vu des petites pucelles comme toi débarquer, mais je dois dire qu’elles étaient rarement aussi jolies et aussi belles que toi. Tourne-toi.

Je suis maintenant nue devant elle, je tourne sur moi-même, elle me regarde des pieds à la tête, elle semble apprécier.
— Tu es très belle ma petite Marie, je dirais même magnifique, je pense que madame va te garder à son service, mais il va falloir m’enlever cette immonde touffe de poils hirsutes que tu as au bas du ventre.— Me raser les poils ?— Oui, comme ça, tu seras aussi douce que la peau d’un bébé, allez, rentre là-dedans.

J’hésite une seconde, elle me montre la baignoire.
— Rentre dans la baignoire je te dis.

Je me glisse dedans, c’est la première fois de ma vie que je prends un bain, d’habitude je me débarbouille dans la cuisine avec un gant. Je rentre dans l’eau, elle me recouvre complètement, j’en éprouve un plaisir immense, cette eau chaude qui enveloppe mon corps me détend. Je commence à me sentir bien dans cette eau, elle me regarde.
— Plonge la tête sous l’eau.

Je la regarde, étonnée.
— Je dois te laver les cheveux, il faut que tu plonges la tête sous l’eau pour les mouiller entièrement, ça te fait peur ?— Pas du tout, je l’ai fait souvent.

Je me pince le nez et plonge la tête sous l’eau.
— Relève-toi petite.

Son ton est doux, je n’ai pas l’impression que ce soit une femme méchante. Elle me lave sur tout le corps avec du savon, elle frotte énergiquement, elle n’oublie pas le moindre grain de peau de mon corps, y compris les cheveux. Je suis étonnée qu’elle n’ait pas de gant, elle me lave à mains nues. Ses mains se promènent sur tout mon corps, j’ai quand même remarqué qu’elle avait insisté sur ma poitrine et fait se dresser les pointes, mes fesses et entre mes cuisses, ce qui a eu pour effet de me donner la même sensation que quand je cherche les chatouilles. Quand elle passe au niveau de mon abricot, je ressens un frisson, mais elle n’en a cure, elle continue le long des jambes. Elle me fait lever une jambe après l’autre pour me laver les pieds.
— Voilà, c’est ce que tu devras faire toute seule tous les matins, madame ne supporte pas les filles sales qui puent.

Je replonge dans l’eau pour me rincer, je reste dans l’eau, j’apprécie intensément ce moment. Elle me regarde avec un petit sourire tendre, elle semble aimer que je me fasse plaisir.
— C’est la première fois que tu prends un bain n’est-ce pas ?— Oui, la toute première fois de ma vie.— C’est agréable hein ?— Oui, très, mais je pense que c’est la dernière fois.— Pas du tout ma petite, je viens de te dire que tu devras prendre un bain tous les matins, madame exige que son personnel soit irréprochable au niveau de la propreté.

Je la regarde en souriant.
— Je sais ce que tu penses, quelle chance. Mais tu verras que charrier l’eau chaude tous les matins, surtout en hiver, ça devient vite pénible. Là, la baignoire était prête, mais ça, c’est la dernière fois que ça t’arrive.— Il faudra que je vienne ici pour prendre mon bain le matin ?— Non, il y a un grand bac dans votre logement, un bac pour vous quatre.— Nous sommes quatre filles ?— Vous serez quatre filles pour servir madame et monsieur oui.— Et comment je fais pour me laver le dos ?— Je viens de te dire que vous serez quatre, il y en aura toujours une pour le faire, sois-en sûre.

Je ne suis quand même pas démoralisée, ça va me changer de la vie de la ferme.
— Je te laisse encore une minute, profites-en.— Merci madame.

Elle sort de la pièce pour revenir un peu plus tard avec une robe et un jupon qu’elle pose sur une chaise.
— Allez, debout, on n’a pas que ça à faire.

Je sors de la baignoire, elle vient avec une serviette pour m’essuyer, je suis étonnée, c’est elle qui m’essuie, je me laisse faire, elle semble bien aimer ça. Elle prend son temps en insistant sur tout mon corps, particulièrement sur les seins et les fesses. Quand elle doit m’essuyer les jambes, elle s’accroupit devant moi. Elle me les écarte un peu pour essuyer l’intérieur, se faisant, la serviette glisse sur mon berlingot, ça me donne un violent frisson, elle redresse la tête et me regarde dans les yeux.
— Tu es sensible de là ?— Oui, un peu, mais ce n’est pas grave.

Elle sourit d’un air malicieux, elle finit de m’essuyer. Elle va chercher un pot, elle trempe une main dedans, en sort une crème presque liquide et se frotte les mains. Elle revient vers moi et commence à me passer la crème qu’elle a sur les mains sur tout le corps, ça sent très bon. Ses mains glissent sur mon corps, comme pour m’essuyer, elle insiste un peu sur ma poitrine, mes pointes durcissent, je sens que mon corps réagit, la petite onde se réveille. Elle reprend de la crème pour continuer, ses mains s’éternisent cette fois sur mes fesses, elles en font le tour lentement comme pour bien les connaître. J’ai une drôle d’impression, mon corps m’envoie des ondes très agréables, mais que je ne comprends pas. C’est la première fois qu’une main glisse sur mon corps comme ça, ça me fait tout drôle. Une main passe sur mon berlingot, j’ai comme un énorme frisson qui traverse mon corps, je ne peux m’empêcher d’émettre un son.
— MMMMMMM.

Sa main s’immobilise sur mon berlingot, un doigt écarte mes polis, trouve le bouton et bouge dessus. Je sens l’onde commencer à se diffuser en moi. Je ne comprends pas, elle me fait comme si elle voulait que j’aie les chatouilles. Je ferme les yeux, je veux sentir ce qu’elle me fait, c’est doux et ça me donne des frissons. La main me quitte, je suis complètement déboussolée, je croyais qu’elle allait chercher les chatouilles, que veut-elle ? Mais, des doigts écartent mes poils, je sens un souffle sur mon berlingot, deux doigts l’ouvrent et quelque chose de mouillé me lèche. Je penche la tête pour voir la sienne contre mon ventre. Elle me lèche avec sa langue, je deviens folle, ce n’est pas possible. Mais mon corps me montre que c’est vraiment ce qui se passe, l’onde recommence à s’étendre, elle se diffuse lentement un peu partout.
Je suis tétanisée, que cherche-t-elle, l’onde augmente d’intensité, elle envahit complètement mon corps, elle atteint toutes les extrémités pour exploser comme si elle voulait me détruire. Je suis emmenée dans une sorte de béatitude, mais beaucoup plus prenante que d’habitude, plus intense, plus forte. Mon corps s’est tétanisé, je suis raide comme un bâton comme secoué par une main puissante. Je pose mes mains sur ses épaules, je ne peux plus tenir sur mes jambes, c’est elle qui me maintient debout en m’enserrant les cuisses et me plaquant sur son visage. Sa langue me lèche encore un petit moment, jusqu’à ce que je puisse me tenir debout toute seule. Une fois qu’elle a fini, elle se redresse, me sourit et elle me donne une claque sur les fesses.
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