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Moi, Rose, Soumise

Chapitre 3

SM / Fétichisme
La veille au soir lorsque je m’étais endormie, je n’avais pas mis de réveil, prise par la fatigue. Le lendemain, il était donc 9h lorsque Charles frappa un seul coup à la porte. Visiblement, il avait également un double de la chambre, puisque j’entendis le petit bip sonore qui signifiait l’ouverture de la porte.Je compris très rapidement qu’il était neuf heures, et que Charles arrivait. J’étais encore dans mon lit, heureusement je m’étais endormie nue la veille au soir. Sans avoir le temps de faire aucune toilette, ni même me coiffer, prise par un élan d’excitation dû à sa simple présence, je poussai la couette et pivotai pour me mettre en position à quatre pattes.Hélas pour moi, il était déjà au niveau du lit lorsque je finissais de pivoter. Sa voix ferme me salua :
— Bonjour soumise, je vois que tu n’étais pas prête et que tu ne m’attendais pas. Je crois que tu ne comprends pas ce que c’est, d’être une bonne chienne.— Si, mais j’avais oublié de mettre un réveil, avec la fatigue d’hier s...
Une fessée me coupa.
— Je me fous de tes excuses, puisque tu es dans cette position, tu veux devenir ma soumise, je ne vais pas te cacher qu’il y a du boulot. Pourquoi es-tu dans cette position ?— Euh vous me l’avez demandé.— Et donc que va-t-il se passer dans cette position ?— Vous allez me faire l’amour, je suppose, murmurai-je d’un air intimidé.
Je l’entends rigoler de ma réponse.
— Sache ma petite soumise que je ne fais pas l’amour moi, non, je vais te baiser comme une chienne, c’est clair ?— Euh oui...— Oui qui ? me dit Charles en m’assénant une grosse claque sur les fesses.— Oui monsieur.— De quoi as-tu envie soumise ?— De vous monsieur.— Mauvaise réponse, accompagnée une nouvelle fois d’une fessée qui me laissa éclater quelques sanglots.— Que vous me baisiez, monsieur, soufflai-je avec une faible voix.— Bonne réponse, mais je veux t’entendre le dire plus fort et précise que tu es une chienne.
— Je veux que vous me baisiez comme une chienne, monsieur !— Très bien, prépare ton petit cul, tu auras vingt fessées vu que tu n’étais pas prête lorsque je suis arrivé. À chaque fessée, tu les comptes et tu me remercies. Si tu te trompes ou si j’entends un autre son de ta bouche, j’en rajoute cinq.
Les forts claquements de ses mains sur mes fesses résonnaient comme un bruit sourd. D’un côté, je luttais contre cette douleur qui me faisait couler quelques larmes, d’un autre côté, je sentais que le contact de ses mains provoquait en moi des frissons d’excitation. Ses fessées étaient de plus en plus fortes, et à la dix-septième, je ne pus m’empêcher de supplier mon maître d’arrêter :
— Pardon maître, j’ai compris la punition, arrêtez s’il vous plaît !— Ça en fera cinq de plus pour toi soumise. Tu n’as pas la possibilité de parler si je ne t’y autorise pas !
Je compris immédiatement qu’il fallait que je me taise. Les fessés cessèrent. Mes fesses étaient chaudes, sûrement rouges. Je voulus souffler quelque temps, mais ce fut sans compter sur mon maître qui sans que je m’en aperçoive se déshabilla pour présenter son sexe devant ma bouche. C’était la première fois que je pouvais l’admirer de mes propres yeux. Il était de taille moyenne, mais d’une épaisseur assez importante, son gland était parfaitement décalotté et sa verge tendue signe que mon corps l’excitait.Il présenta son sexe au niveau de ma bouche, je compris encore une fois que je devais ouvrir ma bouche pour y accueillir sa queue. Il me demanda de poser ma main sur ses testicules ainsi que de le masturber lorsque je reprenais ma respiration, ce que je fis. Sa verge était toute lisse et très agréable à toucher.Cette fellation ne dura pas longtemps, elle avait pour unique but de rendre son sexe plus dur pour la suite.
Il vint ensuite se placer derrière moi, étant donné que j’étais toujours à quatre pattes, je ne pouvais plus le voir. Il passa un de ses doigts dans mon vagin probablement pour vérifier l’humidité de celui-ci.J’entendis un bout de plastique se déchirer et sans rien dire, quelques secondes plus tard, je sentis son gland frapper à la porte de mon sexe.Il allait enfin me pénétrer. Son gland rentra sans aucune difficulté, me faisant lâcher un petit soulagement de plaisir. Le reste de sa verge suivit rapidement où il alla taper au fond de mon vagin sans ménagement.Cette fois-ci, je lâchai un petit cri de douleur. Il n’y prêta pas attention et commença des va-et-vient. Très vite son sexe entrait et ressortait à une vitesse qui faisait balancer mes seins. Ses boules claquaient contre mes cuisses. À chaque mouvement de pénétration, je gémissais, me surprenant même en lui disant :
— Oh oui oui encore plus fort oh oui allez-y.— Je vois que tu aimes ça te faire défoncer petite chienne, me répondit-il.
Tout en me chevauchant, il attrapa mes mains pour les placer dans mon dos, mais les tirait suffisamment fort pour que ma tête reste suspendue dans le vide. L’orgasme était en train d’approcher. Il se retira et rentra d’un coup sec et brutal, m’arrachant un bruit sourd. Il répéta cette action plusieurs fois.Il finit ensuite par reposer mes mains sur le lit, mais je sentis une pression exercée sur mes cheveux. Il tirait sur ma chevelure, il m’humiliait, il ne s’intéressait pas à mon plaisir et pourtant du plaisir, ce n’est pas ce qui me manquait. Effectivement alors que ses aller-retours avaient retrouvé du rythme et que ses testicules s’entrechoquaient avec mes cuisses à chaque mouvement, je commençais à lâcher prise et entre deux coups de boutoir, je suppliai mon maître :
— Maître... je vais jouir, maître s’il vous plaît ?
Malgré l’intensité de nos ébats, il me répondit avec une voix calme et posée :
— Tu veux jouir ? Alors, dis-moi ce que tu es et ce que tu aimes.— Je vous aime vous et j’aime que vous me fassiez l’amour, criai-je alors que mon orgasme approchait.— Mauvaise réponse, tu ne peux pas jouir pour le moment, me contredit-il.— Maître s’il vous plaît je vais venir, je veux jouir !
Mon maître fit exprès d’accélérer la cadence et la brutalité de ses aller-retours dans mon sexe trempé. Même lui, je le sentais proche de la fin, il commençait à pousser des gémissements et à forcer de plus en plus sur mes cheveux pour mieux me faire comprendre ma position de chienne. Dans un ultime espoir tellement proche de l’orgasme, je hurlai comme une salope sans maîtriser mon langage :
— Maître, laissez-moi jouir, je suis qu’une chienne qui adore votre bite. J’adore quand vous êtes en train de me défoncer, oh oui plus vite.— Voilà qui est mieux, jouis sur ma queue chienne ! me souffla-t-il lui aussi épuisé par la vitesse de cette levrette.
A une vitesse impressionnante et un bruit sauvage, mon corps m’abandonna, laissant place à un puissant orgasme, libérant même des jets de mouille. Je poussai mes gémissements le plus fort que je pus. Mon maître, lui aussi se lâcha, il respirait beaucoup plus fort et n’hésitait pas pour m’insulter de salope ou de chienne. Je compris qu’il avait mis un préservatif, quand il sortit de mon sexe humide, il enleva le bout de latex rempli de sperme et il me demanda de nettoyer son sexe. Je marquai une hésitation qui ne plut pas à mon maître :
— Une bonne soumise se doit d’avaler du sperme, je commence doucement avec toi, je te demande juste de me lécher la bite. Si tu refuses, c’est toute la capote remplie de sperme que je te verse dans la bouche.
Terrifiée par l’idée proposée par mon maître, je lui léchai son gland. Les quelques gouttes qui restaient ne furent pas désagréables. Pendant que j’avais repris une fellation, je sentis un liquide chaud se verser sur mon dos, il venait de verser son sperme qui était dans la capote. Ce filet chaud coula jusqu’à ma raie me procurant des frissons. Il se retira de ma bouche et alla se rhabiller. Il me fit signe de ne pas bouger, il me caressa les cheveux et les seins puis me félicita brièvement et me dit :
— Tu devrais te laver plus souvent au sperme, ça te va tellement bien. Tu es une bonne chienne en devenir, mais tu es encore novice, avec un bon dressage, tu deviendras une véritable vide couille. Pour la prochaine fois, je te recontacterai, en rentrant chez toi, tu t’épiles la chatte et tu m’envoies un message à ce numéro quand c’est fait, continua-t-il en montrant un bout de papier, une soumise doit être prête à se faire prendre en toute circonstance. Et je vois que tu as mis l’ensemble bleu que je t’ai offert, cela signifie que tu n’en as pas d’autres ?— Non monsieur, pas des aussi beaux et sexy, lui répondis-je en baissant la tête, honteuse de ma position et de ma saleté.— Très bien, lorsque je veux féliciter mes soumises, je leur offre des ensembles de lingerie ou des jouets sexuels qui lui serviront ou qui la mettent en valeur.
Aujourd’hui, je suis fier de toi, en plus d’être une bonne chienne, je sais que tu m’as obéi, tu n’as pas ouvert la boîte, indiqua-t-il en désignant un fil transparent au niveau de l’ouverture de la boîte. Tu l’aurais ouverte, le fil serait tombé et j’aurais pu douter de ton obéissance. Je te la rends, elle nous servira d’ici très peu de temps. En attendant, tu recevras une tenue qui t’ira à merveille, salope, pour te récompenser.
Il fit ses lacets, se releva et avança en direction de la porte, il jeta un œil à sa montre et clama :
— Il ne te reste que cinq minutes pour rendre la clef de la chambre et avant que les femmes de ménage passent, si tu ne veux pas qu’elles ne te voient dans cet état, dépêche-toi. Bonne journée soumise.
Il était parti.

À suivre.
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