Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 76 J'aime
  • 3 Commentaires

Moi, Rose, Soumise

Chapitre 4

Le cinéma

SM / Fétichisme
Chapitre 4 :

Par réflexe je regardai l’heure qu’indiquait le réveil. Il ne me restait effectivement que cinq minutes. J’étais nue, couverte de sperme séché de la veille et de sperme encore chaud de quelques minutes. Sans perdre un instant, je me levai et cherchai mes habits. J’étais consciente que je n’avais pas le temps de prendre une douche. Je vis rapidement ma combinaison noire. Mais après avoir fait le tour de la chambre, impossible de mettre la main sur mes sous-vêtements. Mon maître les avaient pris. Je dus donc enfiler mon ensemble noir sans rien dessous. A chaque pas, mes seins se balançaient, au moindre regard tout le monde pouvait deviner que je ne portais pas de soutien-gorge. J’eus le temps de ranger la boîte dans mon sac et de remettre mes baskets que j’entendis frapper à la porte. Un homme et une femme de ménage, qui m’indiquèrent la sortie. En passant près d’eux je ne pouvais pas m’imaginer l’odeur que je dégageais. Ils ne le savaient pas mais une chienne couverte de sperme venait de passer.Je quittai l’hôtel, montai dans le tramway. Cette fois et encore plus qu’à l’aller les regards se posaient sur moi. Un homme m’accosta me trouvant trop provoquante avec mes seins qui se baladaient dans ma combinaison.

Je finis par arriver à mon appartement, où je découvris qu’un colis était dans ma boîte aux lettres. Je le pris et le posa sur la table. Je filai sous la douche pour nettoyer mon corps sale. Cette douche me permit de comprendre à quel point le plaisir que me procurait cet homme était important.Une fois ma douche finie, je pris un rasoir et commença à me raser les poils présents au-dessus de mon sexe. Je notifiai mon maitre que ma tâche fut accomplie. Il me félicita avant de me demander mes occupations du week end. Je l’informais que je partais dans quelques minutes chez ma mère pour la voir elle et ma sœur. Mais je pris le temps d’ouvrir le colis reçu, à l’intérieur, l’ensemble turquoise qui était introuvable à l’hôtel, ainsi que d’un ensemble rose fluo pétant très provoquant ne laissant apparaître qu’une ficelle très légère au niveau de mes fesses.Après mes derniers préparatifs, je partis chez mère. Ma mère, qui s’appelle Myriam, avait 51 ans, j’étais son portrait craché, elle était brune, plutôt bien conservée et très petite. Lorsque je passai la porte d’entrée de la maison elle me fit un câlin, me demanda des nouvelles. Puis ma sœur, Jasmine, arriva, celle-ci 19 ans, vivait encore chez ma mère, elle était l’opposé de nous, elle était blonde bouclée, petite poitrine mais très belles fesses. Ses yeux bleus ressortaient parfaitement sous ses cheveux dorés. Depuis ses années collège, elle enchaînait les conquêtes.La journée se passait tranquillement, entre filles et en famille. J’échangeais régulièrement avec Charles, mais sans aucune tournure érotique. En effet celui-ci me demandait de décrire ma vie le week-end, de décrire le physique et le comportement de ma sœur et de ma mère. Je fus surprise quand il me demanda si ma sœur pourrait être intéressée pour être également sa soumise. Après lui avoir dit que je ne savais pas et que je ne mêlerais pas ma sœur à ma relation, il passa rapidement à autre chose me demandant ce que je faisais comme activité ce week end. Je lui répondis que nous allions voir un film au cinéma le soir même et que le dimanche nous avions un repas de famille avant que je reparte à mon appartement le dimanche soir.
Il me répondit qu’il était ravi de mon programme en me précisant de me tenir prête. Alors que cette recommandation m’était sortie de la tête, le soir je reçu un message qui m’émoustilla aussitôt :
— Rose, il est temps pour toi d’ouvrir la boite que je t’ai offerte.
Sans perdre un instant, je venais d’avoir une montée. Je prétextais à ma mère et ma sœur que je partais me changer pour être en intimité dans ma chambre.  J’ouvris délicatement la boîte, le petit fil transparent tomba. Et dedans je découvris une sorte de sex-toy. Un sex-toy qui avait la forme d’une petite boule violette. Hormis les différents godes que j’avais vus dans les vidéos je ne savais pas quelle était l’utilité de ce jouet.
Nous partions pour le cinéma lorsque je reçus un message de Charles me précisant les différents ordres à suivre :
— Soumise, tu vas insérer l’œuf dans ton vagin juste avant le début du film. Je veux qu’à vingt-deux heures tu te rendes dans les toilettes hommes du cinéma. Tu recevras d’autres consignes plus tard. Tu n’as rien d’autre à faire. Bon film.
Sur le moment, je ne compris pas trop ce qui allait se passer. Même si ce côté mystérieux m’excitait. J’avais décidé de m’habiller avec un jean plutôt classique, un débardeur et un petit gilet en laine pour la fin de soirée.
Nous arrivions au cinéma, l’œuf en moi ne me dérangeait pas trop ni pour me déplacer ni pour m’asseoir. Nous avions décidé d’aller voir une comédie romantique. Nous nous installâmes dans la salle, celle-ci était assez remplie. J’étais à coté de ma sœur, qui elle-même était à côté de notre mère.

Le film débuta, l’histoire était plutôt banale mais assez captivante. Au bout de presque une heure de film, je sentis l’œuf bouger. Je compris alors en quoi consistait cet objet. Il pouvait se contrôler à distance. Charles était en train de me contrôler alors qu’il n’était pas là. Cette vibration silencieuse à très faible intensité me procura un début d’excitation mais avec la présence de ma sœur, je faisais tout pour ne rien laisser paraître.Après quelques minutes, la vibration augmenta fortement, mon excitation était davantage décuplée sachant que ma sœur était juste à côté. J’avais complètement abandonné le film. Je commençais à gesticuler sur mon siège, je bougeais régulièrement mes jambes, je mordais mes lèvres pour éviter que des sons sortes de ma bouche. Alors que l’orgasme s’approchait, les vibrations diminuèrent. Charles ne voulait pas me faire jouir, ou du moins pas tout de suite. Surprise par ce changement de cadence, je regardai discrètement mon téléphone pour voir l’heure et si j’avais un message de mon Maitre, mais rien. En revanche il était temps pour moi de me rendre dans les toilettes hommes. Les vibrations avaient beau être relativement lentes et calmes, j’étais excitée, je me sentais salope, je me sentais chienne au milieu de tous ceux qui regardaient le film. Je me dirigeai en direction des toilettes. A l’entrée des toilettes hommes, je jetai un coup d’œil à l’entrée des toilettes femmes. Mon maître ne le saurait pas si je ne suivais pas exactement ses ordres à la lettre. Mais malgré cela, ce fut plus fort que moi et je lui obéis. J’ouvris la porte des toilettes, et l’espace d’un instant je pus voir les cabines en face de moi avant qu’une main ne m’attrapa le cou et exerça une forte pression. D’un rapide coup d’œil je pus voir que c’était Charles. Que faisait-il là ? Qu’importe, il n’en fallut pas plus pour que mon corps bouillonne de nouveau. Avec sa main il me guida dans une cabine, et avec force et autorité me plaça à genoux devant la cuvette, tête vers lui. Il m’enleva mon gilet et mon débardeur qu’il mit par terre malgré la propreté du sol.Et sans un mot, il se déboutonna, sortit son sexe et le présenta à ma bouche. Timidement je l’ouvris, et il s’enfonça d’un coup. Il allait très vite, très profondément, sa queue épaisse visitait toutes les parois de ma bouche. Pendant qu’il me baisait la bouche, il sortit son téléphone et me montra une application, il y avait une jauge avec un moins et un plus. Je le vis qui plaça le curseur au maximum sur le plus, et pour accompagner le geste, je sentis l’œuf en moi vibrer comme jamais il n’avait vibré me faisant même pousser un cri malgré son sexe dans ma bouche.Je me fis rapidement rappeler à l’ordre puisque mon maître me mit une claque en me disant :
— Tais-toi soumise, je n’ai pas envie de me faire expulser du cinéma avant de m’être vidé les couilles. Tu es autorisée à jouir salope. Je vais te baiser la bouche bien profondément comme une chienne, mets tes mains dans ton dos.
Et joignant l’acte à ses paroles, il prit ma tête et pénétra de plus en plus fort ma bouche. A chaque entrée il tenta d’aller plus loin, me provoquant des spasmes. Sa queue était remplie de salive et de filets de baves provenant de ma bouche. Après plusieurs répétitions, je sentis que ma bouche touchait son ventre. J’étais en train de réaliser ma première gorge profonde. Charles commençait à gémir, il maintenait ma tête lorsque j’avais sa queue entièrement dans la bouche. Pendant ce temps, je n’avais même pas le temps de subir cette gorge profonde étant donné que mon sexe vibrait à une vitesse impressionnante. Je n’avais qu’une envie, masturber mon clitoris pour jouir ou que mon maître me prenne sauvagement. Mais il ne fit aucune des deux choses, il vit que mes jambes se dandinaient de plus en plus, il m’ordonna de jouir. Ce que je ne tardai pas à faire. Ce fut un orgasme silencieux, puisque sa queue bloquait ma voie buccale, mais intense. Mon corps me lâcha, je voulus m’affaler sur le sol. C’était sans compter sur Charles qui continuait de me pilonner la bouche. J’avais le tête remplie de bave. Il accéléra de nouveau la cadence. Ma bouche était littéralement un trou à baiser et ça me plaisait. Après plusieurs grognements de sa part, il sortit sa queue de ma bouche, et éjacula sur mes seins. Malgré son éjaculation du matin, cette fois-ci encore, il éjacula en grande quantité. Je dus essuyer son sexe avec ma bouche. Puis il rangea son sexe et me dit :
— Interdiction de te nettoyer et d’enlever l’œuf. Bonne fin de film.
Et encore une fois il partit. Malgré l’intensité de ces ébats, cela n’avait duré que quelques minutes. J’avais pris un plaisir immense. Hormis pour se faire baiser, ma bouche ne s’était pas ouverte, je n’avais pas dit un seul mot j’étais devenue sa chose. Les vibrations de l’œuf diminuèrent mais elles avaient réussi à m’exciter à nouveau. Je remis mon débardeur, qui se maria avec le sperme présent sur mes seins, laissant apparaître de nombreuses tâches foncées. J’étais sûrement décoiffée. Je retournai dans la salle, et mis mon gilet pour cacher les tâches. Je m’assis et me replongeai dans le film malgré les faibles vibrations de cet œuf. Je ne savais pas si ce n’était qu’une impression ou pas mais je remarquai que Jasmine me lançait des regards suspects. Il fallait dire que l’odeur que je dégageais devait plaire aux amatrices de sperme. Je ne voulais surtout pas la questionner là-dessus. À la fin du film, les vibrations constantes commençaient à me rendre folle. Je prétextai une nouvelle fois que je devais aller aux toilettes, cette fois ci, j’utilisais mes mains pour me frotter fort le clitoris et pouvoir me soulager.
Rapidement je regagnai ma mère et ma sœur, puis nous rentrâmes à la maison. Sur le trajet, ma mère me questionna sur le film qui, j’avoue était passé un peu au second plan de cette soirée. Je répondis tant bien que mal à ces questions pour faire l’innocente. J’ouvris rapidement mon téléphone et je pouvais voir que Charles me prévenait que je pouvais enlever l’œuf mais que je devrais dormir sans me doucher. Puisque mon corps s’était habitué à lui obéir, en arrivant j’étais tellement fatiguée de tous ces orgasmes, que je fis une bise à ma sœur et ma mère et je gagnai ma chambre. Je me mis nue, je retirai l’œuf de mon vagin et je me contemplai dans le miroir.
J’étais souillée, sale, je sentais encore le sperme. Mais pour la première fois j’étais heureuse, heureuse de lui appartenir. J’étais sa chose, je voulais qu’il me baise comme une chienne, je voulais être sa chienne. Il avait apporté ce que je cherchais dans ma vie : de l’action, du piment, de l’excitation.Je m’endormis, comblée, j’étais déjà pressée de commencer la semaine qui arrivait pour pouvoir le voir. Ma seule crainte concernait ma sœur, et si elle se doutait de quelque chose ?   A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live