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Moi, ma soeur jumelle et notre cousine

Chapitre 2

Inceste
Pour ceux qui n’ont pas suivi.
Ma sœur jumelle moi sommes très proches et partageons tout. Nous entretenions une relation très fusionnelle, mais simplement en tant que frère et sœur.Mais à la suite du visionnage d’une vidéo pornographique sur le web, nous avons décidé de pousser cette « relation » plus loin.
Suite de l’histoire
Après cet épisode, nous avons continué à nous faire du bien mutuellement, mais sans franchir la limite que nous avions établie, soit nos virginités respectives.Et nous pensions faire nos affaires assez discrètement, mais une personne nous découvrit. Ce fut notre cousine Caroline, dit « Carotte », car elle est rousse, qui fut cette personne. Elle mesure 1m87, très belle, une poitrine assez petite, du 87 A, et des fesses assez jolies bien que peu rebondies.Elle apprit ce qu’il se passait entre Angélique et moi un jour où nous étions chez elle alors qu’elle et sa mère, notre tatie Elizabeth, étaient parties faire du shopping.Cela faisait deux semaines que ma sœur et moi ne nous étions pas retrouvés seuls à seuls, puisque nous étions chez notre tante, et nous avions de plus en plus de mal à cacher notre tension sexuelle l’un envers l’autre. C’est pour cette raison qu’elle et moi avons décliné l’invitation shopping de tatie, même si Angélique adore le shopping.Aussitôt après avoir vérifié qu’elles étaient bien parties, ma sœur et moi nous sommes littéralement jetés l’un sur l’autre. Nous sommes montés en vitesse, nous nous sommes déshabillés, et nous avons commencé les « préliminaires ». Je commençais par lui prendre un sein dans une main, à lécher l’autre, et glissais mon autre main vers son entrejambe. De son côté, elle caressait mon torse, mon dos, et commença à me masturber.Une fois tous les deux bien excités, elle voulut prendre ma verge dans sa bouche, et je la laissais faire. Elle me massa les boules, tandis que sa langue insistait sur mon gland, elle me fit deux fois une gorge profonde, mais visiblement sans vraiment apprécier. Continuant ainsi, elle vint au bout de ma résistance au bout de presque 10 minutes, et elle avala mon sperme, et un peu coula aux commissures de ses lèvres, que je joignais aux miennes pour un baiser langoureux.Ce fut alors mon tour, et je décidais de lui faire un cunnilingus ; je caressais tout d’abord doucement ses grandes lèvres, puis fis pénétrer mon index, puis mon majeur dans son vagin, en prenant soin à ne pas briser son hymen. Puis je léchais son clitoris, afin de la stimuler encore plus, et malaxais l’un de ses seins avec ma main restante. Elle jouit après une douzaine de minutes de ce traitement.Nous nous reposâmes un peu, puis reprîmes nos ébats. Elle me fit une branlette espagnole, et suçotant mon gland chaque fois qu’elle le pouvait. Je pris moins de temps à venir, car j’étais épuisé de nos précédents ébats.Je voulus lui rendre la pareille, sauf que cette fois, Angélique a décidé de passer à la vitesse supérieure. Alors que je lui léchais goulûment les seins, elle me dit :
— Prends ma crème s’il te plait.
Il faut dire que ma sœur prenait à cette époque de la crème anti-vergetures. Elle se mit alors à genoux, posa la tête sur le lit, écarta ses fesses tout en me signifiant qu’elle voulait que je sois doux.Je ne me le fis pas dire deux fois. Je mettais une noisette de crème sur mon doigt, et commença à lubrifier son petit trou. Je m’étonnais de l’absence d’excréments, et elle m’expliqua que notre cousine lui avait fait un lavement.

Une fois son anus bien lubrifié, je me plaçais derrière elle, et guidait ma verge vers son entrée. Je pénétrais lentement, me délectant de cette sensation. C’était serré, chaud et doux, tellement que j’avais dû forcer un peu pour rentrer. Ma sœur n’eut pas l’air d’avoir mal, et commença au fur et à mesure à haleter au rythme de mes vas et-viens. Je me suis ménagé autant que possible, tout en essayant de nous procurer à tous deux un maximum de plaisir. Je lui giflais à quatre ou cinq reprises les fesses, et elle gémit tout en m’insultant à tort et à travers. Je me relevais alors avec elle, et en profitais pour l’embrasser dans le cou, lui malaxer les seins, puis lui glissais deux doigts dans sa chatte. Cependant, je ne durais pas plus de cinq minutes, tellement ce fut bon, et je me déchargeais au fond d’elle, dans un râle de pur bonheur.

La coquine, n’ayant pas joui, se plaça ensuite au-dessus de moi, plaçant son puits d’amour sur ma bouche, et j’entrepris de la lécher. Après quelques minutes de ce traitement, elle jouit sur moi, coulant abondamment sur mon visage.Puis, remis nos émotions, nous sommes allés nous doucher, mais ce que nous n’avions pas remarqué jusqu’à présent, était le petit point rouge dissimulé derrière un placard à vêtement...
Le lendemain, nous sommes allés marcher dans les hauts de Sainte-Marie, et Caro ne se sentait pas bien. Après 15 minutes de marche, Tatie Elizabeth me dit de la raccompagner en bas et de les attendre dans la voiture. Il faut dire que pour ma tante, le sport est sacré, et ma sœur décida de me laisser tomber. Nous descendîmes donc du sentier et retournâmes à notre voiture. Étrangement, il n’y avait personne sur le parking.Une fois installée à l’arrière, Caroline entreprit d’enlever son tee-shirt et son soutien-gorge, prétextant étouffer. Je voulus sortir, gêné, et elle me retint:
— C’est bon, ne fais pas ton timide, t’as déjà dû voir la poitrine de ta sœur, alors rassure-toi, en comparaison, la mienne ne va pas te manger.
Je rentrais donc, mais passais à la place passager, et tournais la tête vers l’extérieur pour éviter de la regarder. Cependant, l’imaginer presque nue à quelques centimètres de moi m’excitait terriblement et je ne pus cacher mon érection. Lorsqu’elle s’appuya sur moi, et commença à me caresser à travers mes vêtements je la repoussais:
— Mais tu fais quoi là ?— Ça ne te dérange pas quand c’est Angélique...— Je ne vois pas de quoi tu parles !— Ah bon ? Avec ça tu vas comprendre...
Elle sortit alors son téléphone, et me montra une vidéo. Ma gorge devint sèche brusquement, alors que je comprenais dans quel pétrin je m’étais fourré.

Voilà c’est fini pour cette deuxième partie, j’espère que vous l’avez aimée, et si il y a des choses sur lesquelles vous désirez des précisions, posez des questions.
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