Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 1 Commentaire

Moi... tout simplement !

Chapitre 3

Erotique
Mes mots d’amour

Les textes que tu m’envoies font un peu tous référence à ce fantasme qui te coure dans la tête, mais je trouve par trop impatient. Je crois que ton projet doit faire son chemin dans mon esprit. À toutes nos rencontres, tu regardes si je suis bien en jupe et tu me demandes si je n’ai bien pas de culotte. Plus tu m’emmènes vers des situations étranges, plus j’ai envie de continuer avec toi. Je ne veux plus penser à un monde sans toi et je veux te garder.Je me dis que je t’aime plus, que j’ai plus de sentiments que tu n’en as pour moi. Tu me réponds que tu m’aimes, que tu veux vivre avec moi, mais que tu as peur que je change d’attitude si nous sommes en couple.
J’ai beau te dire que rien ne me fera changer, tu persistes dans ta peur. Tu veux que je me laisse aller, que je te suive les yeux fermés et que tu seras toujours à mes côtés pour poser ta main sur mon épaule au moment de jouir, pour m’assurer de ta présence. Je suis passée avec toi, grâce à toi en quelques années de la femme BCBG à la salope délurée. Tu me demandes aussi d’avaler le sperme d’un ou deux des hommes avec qui nous baisons. Je n’aime que le tien et je ne sais pas si je pourrai te donner satisfaction sur ce plan purement personnel.
Je t’aime, alors donne-moi ton amour, je te veux juste pour moi. Dans la journée, chaque fois que je ferme les yeux ton image s’inscrit sous mes paupières closes. Je déteste le vide laissé par tes absences et je cours dès que tu m’appelles. Je viens, je vole vers toi parce que le vide de ton absence est le pire des maux, parce que je n’ai pas de mots pour le décrire.L’impression qu’il me manque un morceau de moi dès que tu t’éloignes, je veux te crier cet amour-là, mais l’entends-tu vraiment toujours ? Je pense que parfois tu fais la sourde oreille à mes suppliques. Je ne veux pas te perdre et je t’aime comme je n’ai jamais aimé un homme.
Je t’aime à me laisser souiller, à aimer me faire prendre pour toi, à subir tes envies, à réclamer tes caresses, même si c’est par d’autres mains qu’elles me sont prodiguées. Tu voudrais ou tu veux selon l’humeur, selon l’humour, que je descende encore plus loin dans la perversion, tu aimerais que j’aguiche les hommes, que je les cherche moi-même, mais je préfère les subir, que ce soit toi finalement qui me les imposes, que tu me guides en quelque sorte sur cette voie que nous avons librement choisie tous les deux. C’est comme ces petits matins que tu m’offres parfois.
Quand tu viens vers les cinq heures pour me rejoindre dans mon lit chaud, j’adore cela.Dans la nuit ou de temps à autre tu me téléphones, juste pour m’annoncer ton arrivée et pour m’annoncer laconiquement :
— Je ne suis pas seul.
J’aime quand, dans le noir total, un inconnu se glisse contre moi, que des mains viennent me caresser, quand je sens contre mes fesses, un sexe dur qui s’y frotte. Sur le côté, mon visage tourné vers l’opposé du visiteur, je laisse faire, j’attends les caresses qui vont courir sur ma peau. Je sais aussi que tapi quelque part dans la chambre, tu espères que mes gémissements fassent écho avec ton envie de me savoir ainsi câlinée par un inconnu. Je sais également que tu dois imaginer mes mains qui partent à l’assaut de l’éperon de chair qui bande, collé à mon corps. Alors pour ton plaisir, je tâte ces queues que tu m’apportes à domicile, je presse ces couilles qui n’attendent que cela.
Je roule des pelles à des hommes que je ne reconnaitrai jamais si je les croise dans la rue, je les masturbe, je les suce, je suis « ta salope ». Bien obéissante, petite soldate du sexe, je me laisse baiser pour avoir le bonheur de te sentir venir enfin nous rejoindre. Quelle félicité que celle que me procure ton seul contact ! Tu t’étends lentement, comme pour ne pas déranger le couple que tu as décidé de former avec un étranger et moi. Souvent je n’en peux plus de te savoir si près et je ne peux m’empêcher de venir te toucher.
J’ai compris que tu apprécies que mes mains remontent du bout de tes orteils jusqu’à la racine de tes cheveux et qu’elles redescendent, longuement, lentement, pendant que d’autres doigts que les tiens me fouillent, me transpercent, me touchent la chatte ou les fesses. Alors les yeux clos je me laisse bercer par ce sentiment violent, qui me donne toujours envie de faire l’amour avec toi, chaque jour que Dieu fait. Il arrive un moment où, ivre de désir, je ne fais plus la différence entre vos deux bites, que je veuille tout simplement que mon abricot soit rempli.
Les cuisses écartées, je tends ma foufoune vers le pieu qui va m’empaler, et prise de belle manière, je laisse aller la musique du sexe, poussant ces gémissements qui te font tellement envie. Puis connaissant tes goûts en matière de cul, je viens me mettre sur toi en position « soixante-neuf », pendant que l’autre me lime vigoureusement. Je lèche ta bite, attardant ma langue sur le gland qui n’attend que ça, je tourne et aspire cette verge dure. Quand mon plaisir est à son comble, je laisse couler dans ta bouche qui butine mon clitoris, ma mouille et pendant que l’inconnu prend son pied, toi tu éjacules dans ma bouche.

Là, je sais que ta jouissance, égale à la mienne est entière, totale. Je suis cependant encore surprise de voir que deux minutes après m’avoir donné ton lait à boire, avec juste le bout de mes doigts, ton vit est redevenu dur et prêt à l’emploi. D’autres matins aussi tu ouvres internet, pour inviter, virtuellement un homme dans notre intimité. J’aime cette imagination qui fait de nos retrouvailles, toujours des moments différents dont on ne se lasse pas. Les rencontres de couples en soirées privées sont aussi des instants privilégiés que je partage avec toi. Tu fais les tractations par le biais d’internet.
Je reçois l’ordre de m’habiller sexy pour une rencontre avec un couple. Dans la voiture, alors que tu conduis, que ma main ne veut pas rester sage, tu m’expliques que nous rendons chez un couple de jeunes gens, dans les environs de Baccara. Le village où nous arrivons est minuscule et pourtant, cela n’enlève rien à la difficulté de trouver la bonne adresse.Enfin, voilà la maison de notre rendez-vous et nous sommes pile-poil à l’heure. Te me donne un numéro de téléphone et me demande d’appeler. Je m’exécute aussitôt. La jeune femme qui me répond à une voix agréable. Elle me dit qu’elle vient nous ouvrir, que son mari est encore sous la douche.
Elle nous fait pénétrer dans un appartement vétuste, mais bien meublé. Tu lui offres une bouteille de champagne et moi un bouquet de fleurs. Installés sur un canapé moelleux, nous voyons le mari arriver. Ils sont jeunes, la trentaine chacun et cela augure de la bonne qualité de notre soirée. Les présentations se font dans une ambiance gentille, mais pas trop détendue, jusqu’à ce que tu décides de prendre les choses en mains. L’homme nous sert un verre de champagne, alors que tu proposes un jeu que tous acceptent bien sûr. Quelques papiers où tu notes rapidement des gages sont pliés par tes soins. Posés sur la table basse du salon, ils seront ouverts par celui qui en lançant les dés n’aura pas réussi à faire un numéro pair ou impair selon son choix de départ.
Chacun notre tour nous jetons les dés et je me retrouve à être la première gagée. Sur le papier que notre hôtesse ouvre, il est écrit : retirer ses chaussures. Et bien me voici les pieds à l’air. Les gages arrivent vite et tu ouvres un papier qui est pour notre hôtesse, il est écrit « embrasser sur la bouche un participant ». La jeune femme se tourne vers moi et me voilà enlacée par cette femme qui m’embrasse. Le baiser est fougueux, passionné, la soirée commence.
Son mari commence à me caresser et je lui rends ses attouchements. Pendant ce temps tu embrasses sa femme, tes doigts lui caressent la chatte, tu lui appuies sur la tête, la forçant à venir te lécher le gland. Elle a l’air d’aimer et tu lui ouvres l’entrecuisse, m’attrapes par les cheveux et tires mon visage vers cette chatte ! Je suis ton mouvement et ma bouche prend contact avec cette vulve qui mouille. Le mari a le nez dans mon con, je lèche sa femme, et elle te fait une fellation. Comme c’est bon, comme c’est beau, ce ballet rose, combien j’ai envie de faire ce que tu veux !
Vous changez de position et ta queue disparait dans le vagin de la jeune femme. Je ne l’envie pas longtemps, le vit qui me force la chatte me fait vite oublier que je voudrais que tu me prennes. Ce n’est plus que cris de mâles qui ont du plaisir et gémissements de femelles en rut. Elle et moi sommes bourrées, dans toutes les positions imaginables puis je suis enculée, elle ne semble pas aimer cela donc fidèle à tes principes si c’est non, c’est non.
Après des heures de baise entrecoupées de verres de champagne, nous prenons congé de nos hôtes, en nous promettant réciproquement de nous revoir. Dans la voiture, tu me fais ouvrir ta braguette, je sors ton sexe et je te taille une pipe en roulant. Finalement tu m’éclabousses la bouche de ton sperme abondant, âcre, mais je l’avale par amour pour toi. Comment peux-tu être assez fort pour bander tout le temps ; je veux passer ma vie entière avec toi, que tu me fasses faire tout ce qui te plait ; je veux m’abandonner entre tes bras.Les jours succèdent aux jours et le temps qui passe ne fait que renforcer cet amour que j’éprouve pour toi.
Nous continuons nos jeux avec le même plaisir, tu cherches toujours de nouveaux partenaires et je te suis dans tes folies avec l’envie d’aller plus loin. J’apprécie encore plus tes lèvres quand elles viennent clore les miennes pour des baisers enflammés. La passion me dévore tout doucement et je me laisse faire alors que tu m’emportes toujours plus loin. Je te donne tout, tu offres tout, aussi à des inconnus que nous ne revoyons jamais. Certains sont d’excellents libertins, d’autres de médiocres baiseurs, mais j’ai toujours une queue ou une grosse bite dans la main et sous la langue. Le pire de cette histoire, c’est que je ne voudrais jamais que cela s’arrête.
Toi aussi tu jouis pleinement de ces situations que tu crées entièrement, que tu façonnes à l’image de tes fantasmes. Nous en renouvelons certains avec des hommes ou des couples différents. Tu continues à me réclamer des chaines aux pieds, des croix pour m’attacher, tu voudrais que je souffre pour mieux me regarder jouir dans la douleur. Cette idée fait un peu son chemin dans mon esprit et je sais bien qu’un jour je céderai, à condition que tu n’ailles pas trop loin et surtout que tu restes constamment près de moi pendant qu’un autre homme me demandera de l’appeler Maître et qu’il aura le droit de cuissage total sur moi.Sans doute que tu arriveras à tes fins, j’ai trop peur de te perdre un jour pour te refuser le plaisir que tu veux t’offrir.
Mais quelque chose change dans ma manière de voir, de penser à ce que tu me réclames.Dès que tu me lies les poignets, que tu bandes mes yeux, ma chatte se met à mouiller, j’aime l’excitation que cela provoque et je sais bien qu’il ne reste qu’un tout petit pas à franchir pour que je laisse aller à tes penchants SM bon chic, bon genre. Tu vas sans doute faire de moi une femelle en chaleur, qui ne pourra qu’obéir à l’homme que tu auras choisi pour me dresser. Je ne peux déjà plus me passer de ta peau, de ton ventre, de ta manière cérébrale de me faire l’amour, de cette envie qui me prend quand je sais que tu vas venir me rejoindre.
Je quitte le travail sur un simple appel, juste pour me laisser monter par des hommes à qui tu demandes crument de m’enculer. Je sais aussi que si tu n’étais pas à mes côtés lors de ces séances de baise programmée ou improvisée, je ne le ferais sans doute pas, mais tu sais comment m’obliger gentiment, sans me forcer à m’avilir davantage chaque fois un peu plus. Tu m’as demandé d’acheter un collier pour un grand chien, j’ai acheté l’objet, tu as voulu la laisse pour l’accompagner et elle est en ta possession aussi. Un soir, tu me parles de me faire faire l’amour avec un chien et je comprends que pour le moment tu n’as pas encore trouvé de personne ayant un animal qui corresponde à ce que tu veux trouver.
J’aime les animaux, mais je n’ai jamais jusqu’à ce que tu en parles, pensé que je pourrais avoir l’un d’entre eux pour partenaire de jeux au lit. Tu me dis que tu veux que je le fasse, que je te dise oui, qu’ensuite tu trouveras ce qu’il faut pour réaliser ton envie. J’ai encore peur de cela, mais je crois aussi que comme pour toutes les autres suggestions que tu as faites, je réaliserai celle-là aussi, le jour venu et que comme d’habitude cela se passera merveilleusement bien et que j’apprécierai la chose.
Tu me dis que je serai à quatre pattes par terre ou sur le lit et que le chien viendra me lécher la motte, puis qu’ensuite, je devrai le sucer, comme s’il s’agissait de toi. Cette vision du sexe me fait horriblement peur, mais j’ai toujours eu peur de ce que tu me demandais et après que c’était fait, je dois reconnaitre que j’y ai pris un pied monumental. Alors mon amour, je te suivrai sans doute aussi sur ce sentier-là quand tu auras décidé que c’était le moment. Tout comme bien sûr pour toi, je me laisserai mettre en croix, attachée et touchée par des hommes que je ne verrai peut-être pas.
Au club où nous nous rendons fréquemment, un homme a fait notre connaissance. Il a une queue bien raide et la première fois que nous avons fait l’amour lui toi et moi, j’ai crié, gueulé tant c’était bon. Cela a duré un temps infini et maintenant à chaque fois il revient pour essayer de se joindre à nous. Un soir, dans la salle où il y avait plus d’hommes seuls que de couples tu lui as demandé de me caresser devant tout le monde, là sans possibilité de se cacher. Il venait de passer quelque temps au hammam et n’avait sur lui qu’une serviette. J’ai laissé cet homme me toucher les fesses, puis venir me lécher la chatte alors qu’un groupe se formait tout autour de nous trois.
Les solitaires qui voulaient me toucher se sont fait éconduire poliment par tes soins. La serviette est tombée, je me suis retrouvée sur un divan, à genoux, avec la bite bandée de ce gars entre les lèvres, je savais que vingt paires d’yeux mataient ma fellation et j’ai senti au fond de mon ventre cette lave qui a commencé à couler. Tu savais parfaitement que j’avais quelque part honte de faire cela devant ce panel de mâle en rut et que cela multipliait par mille les sensations que j’avais. J’ai encore joui comme une folle et je me suis fait prendre par sur le sofa, j’étais l’attraction de la soirée. Puis tu as demandé à l’homme de me la mettre dans le cul. Bien sûr qu’il ne s’est pas fait prier pour venir dans mon œillet serré.
Comme je t’ai aimé ce soir-là, comme tu pouvais faire de moi cette salope que tu veux en permanence. Je t’aime aussi pour ces souvenirs qui me permettent de me branler en ton absence sous la douche ou dans mon lit. Ces images, ces films sont bien ancrés dans ma tête et ils ne me quitteront plus jamais. Alors avec encore un peu plus de temps, avec un peu de tact et surtout avec toi toujours, je sais bien que tu finiras par avoir ce que tu désires. SM et chien, bien sûr que je te donnerai tout, pour que toi aussi tu prennes encore plus de plaisir à me voir me faire mettre partout et par tous les trous, comme tu le dis si bien...
J’ai toujours aimé les femmes, pas autant que les hommes bien sûr, mais j’adore avoir une chatte à lécher, et tu ne m’en prives pas. Tu me trouves quelques fois un peu trop brutale, et tu me demandes d’être plus douce et attentive à ces dames qui nous prêtent leurs abricots dorés. Je suis tes conseils et c’est sans doute mieux. Désormais chaque fois que nous sortons c’est pour une nouvelle expérience ; pour des moments où tout peut arriver. Je ne sais jamais à l’avance ce que tu as programmé pour nous deux, pour moi.
Il nous arrive d’aller sur une petite route, tu veux me montrer, m’exhiber, me livrer. Les chemins forestiers environnant notre lieu d’habitation me sont plus que familiers maintenant et nous y rencontrons des voyeurs en général. Il nous arrive aussi de bonnes surprises... par exemple ce couple que nous suivons un après-midi sur un petit sentier qui monte dans la montagne. Tu sais bien qu’ils nous ont vus leur emboiter le pas et arrivés au sommet, alors que la sente redevient plate, à quelques mètres devant nous, ils étendent de larges draps de bain. Puis sans aucune gêne, ils se dénudent entièrement aussi bien elle que lui.
Quand nous sommes à leur hauteur, c’est d’une belle voix bien claire que tu leur demandes :
— Nous pouvons jouer avec vous ? 
La dame est fort agréable à regarder, et je vois bientôt ta langue qui fouille son minou bien poilu. Son compagnon n’est pas resté inactif et je suis moi aussi caressée, ma chatte est aspirée par la bouche gourmande. Là encore, mon miel coule, coule, je suis une fontaine. Je te vois, quand ta queue pénètre la dame, son mari lui me pistonne aussi et c’est de concert que nous râlons, gémissons dans cette forêt vosgienne. En relevant les yeux, je m’aperçois soudain qu’à quelques mètres de nous, un des voyeurs qui nous a suivis se masturbe fortement et quand nous jouissons tous ensemble je vois son sperme qui gicle loin de sa queue tendue...
Et je me surprends à me dire que je l’aurais bien sucée un peu cette bite si raide. Nous nous quittons juste après avoir tous pris un pied rapide et violent. C’est bon d’être avec toi au bon moment, au bon endroit. Tu es un compagnon agréable, tu souris et nos mains sont nouées, comme soudées l’une à l’autre. Par contre je te trouve parfois trop silencieux, soucieux et j’ai toujours peur de te perdre et c’est pour cela que je veux te donner le plus possible de plaisir. J’écoute bien sagement quand tu me dis que tu adores jouir alors que je suis prise par un autre, moi je sais bien que celui qui me prend c’est mentalement toi.
Comme je te voudrais avec plusieurs sexes, avec des dizaines de mains des centaines de doigts. Il n’est pas de moment où je ne pense pas à toi et j’attends toujours impatiemment le moment où je te verrai arriver pour me rejoindre. J’ai envie de toi, de ton sexe et mon ventre se creuse dès que je t’aperçois. Tu es mon soleil, mon coin de ciel bleu et comme tu voudrais que je te le dise, tu es mon Maître pour la vie entière. Je sors et me rends au travail sans culotte, c’est ton ordre, je fais mes courses sans culotte, je vis sans culotte. Je me dis que juste pour que tu me donnes une fessée, je vais un moment ou un autre en remettre une et je m’arrangerai pour que tu t’aperçoives qu’elle me cache les fesses.
Je t’aime, de cela j’en suis certaine... et cet amour me permet d’avancer !
Diffuse en direct !
Regarder son live