Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 183 J'aime
  • 14 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Moi, zoophile assumée

Chapitre 1

Cette belle soirée d'hiver

Zoophilie
J’écris cette histoire sur demande mais par plaisir coupable également. Cette histoire est tirée de faits réels mais il n’est pas impossible que des passages soient romancés. En espérant qu’elle te plaise Rebecca, allonge-toi tranquillement sur ton lit et tu peux commencer à te masturber.
Il est dix heures du matin, le soleil s’est levé encore très tard, c’est la saison qui le veut. Je me prépare pour visiter mes grands-parents qui habitent en rase campagne à une vingtaine de kilomètres de mon appartement où je vis seule, mais très bien accompagnée avec mon pitbull. Je l’adore, il est très en forme, sûrement parce qu’il ne pouvait rêver mieux dans sa vie de chien que de tomber sur une fervente militante de la baise bestiale. Qui suis-je ? Moi c’est Rebecca mais je préfère qu’on m’appelle Reby, ça sonne plus comme un vrai nom de chienne. Mes mensurations sont généreuses, dont un bon 95D de poitrine et un cul bien galbé comme il faut pour faire bander n’importe quel mec. Blonde, avec un tempérament plutôt réservé, enfin ça c’est quand je ne suis pas seule chez moi avec ma boule de poil.
Exceptionnellement, j’ai accepté de m’occuper des deux chiens de ma meilleure amie partie en vacances quelques semaines. Mes plus bas instincts de zoophile ne pouvaient pas refuser une telle offrande de virilité canine car il s’agit d’un magnifique berger allemand dans la force de l’âge et d’un deuxième pitbull plus jeune mais que je trouve tout aussi attirant que le mien.
Je prends les clefs et les trois laisses, nous voilà partis. Je suis vêtue d’un manteau recouvrant ma robe préférée que j’aime utiliser pour me faire saillir. Pourquoi ma préferée ? J’aime qu’on puisse voir mon string à travers, qu’un gars s’imagine me baiser dans une ruelle sombre alors que j’ai encore du foutre équin au coin des lèvres et la chatte dégoulinante d’un équivalent canin. De quoi effrayer la quasi-totalité d’entre eux. Il reste toutefois quelques rares spécimens que ca exciterait encore plus, d’ailleurs pour la première fois j’en ai convié un, un voyeur amateur de belles blondes dans mon genre raffolant de bites animales. Il me rejoindra discrètement dans l’étable de mes grands-parents ce soir, juste pour me mater. L’idée me met une trouille monstre mais je connais mes aptitudes et au final ça peut s’avérer amusant. Après tout, il n’a même pas la vingtaine tout comme moi, ce n’est que de la curiosité mal placée.
Le repas s’avère délicieux comme d’habitude, mes grands-parents etant d’excellents cuisiniers ! Je profite de l’après-midi pour me relaxer et faire une sieste, histoire d’être en pleine forme pour le show.
Vingt-deux heures trente sonne, je souris et me dirige vers l’étable maintenant que mes hôtes sont endormis. Il ne fait pas si froid ce soir et de toute façon les boxes sont chauffés donc je peux y aller en robe, déjà collante à l’entrejambe. Mon partenaire de jeu ce soir sera un bel étalon noir dont je m’occupe souvent. Comme à mon habitude, je remplis de paille le box afin de ne pas attraper froid, le sol étant en béton, impossible d’y poser les pieds nus. Je laisse la porte entrouverte pour mon voyeur comme promis, il n’aura que le droit de regarder.
Je démarre toujours de la même manière, une caresse sur le flanc en y déposant quelques baisers puis un échange de regards complices avant de faire glisser ma main vers son membre tendu toujours aussi aguicheur. Je l’effleure du bout des doigts sans perdre son regard, pour le rassurer sur mes intentions même s’il semble commencer à prendre un réel plaisir à me satisfaire, moi sa femelle.
Après ce petit moment complice, je m’accroupis. Sa bite en face de mon visage. J’aime la regarder, j’aime son odeur, j’aime la masturber à deux mains, mais ce que je préfère... c’est son goût ! Me voilà déjà la langue sur son prépuce gigantesque. Tout me rend folle, je ne tiens plus et commence à me mettre deux doigts en même temps que j’avale chaque centimètre possible, m’ouvrant la bouche au bord de la rupture. S’il éjaculait là tout de suite, je m’étoufferais probablement ! Qu’à cela ne tienne, je la saisis fermement d’une main et le branle vigoureusement, promenant ma langue tout le long de son immense braquemard. Je salive en grande quantité, tellement que je me dois de cracher par moment, tout avaler serait impossible.
J’attendais ce moment depuis longtemps, je suis accro à cette déviance pourtant tellement jouissive. Je m’arrête un instant pour reprendre mon souffle puis entends derrière moi un grincement de porte qui m’est familier. Voici donc mon invité déjà le pantalon sur les chevilles me matant le cul. Sans rien dire, je retire ma robe et me tourne afin qu’il voit ma chatte béante couverte de salive souillée par la bite que j’ai en bouche à cet instant. Je le fixe, il éjacule, mais poursuit comme si de rien n’était. Attend-t-il de le voir éjaculer dans ma bouche ? Probablement. Je m’active alors afin d’inciter mon compagnon à se vider. Je me surprends a lui lécher les testicules et essayer de les gober. Ce pervers me donne envie de me dépasser. Ma langue se promenant sur ses couilles ne tarde pas à le refaire bander, j’aime mieux ça. Il est temps de finir cette fellation, je me mets alors à le pomper encore plus énergiquement, ma chatte n’en peut plus et ne cesse de dégouliner. Je veux ce foutre tout de suite. Ce qui se produit dans les secondes suivantes, le torrent visqueux me remplit en une fraction de secondes par surprise malgré l’habitude. En toussant, je place ma tête involontairement sous la queue qui me couvre également les cheveux jusque là épargnés. Un orgasme presque douloureux mais tellement intense me traverse, ce qui a visiblement plu à monsieur qui éjacule une seconde fois en me voyant m’effondrer cuisses ouvertes face à lui dans la paille, haletante, le corps huilé de semence. Mais j’en veux encore plus, je veux me faire saillir sauvagement dans cette étable devant ce taré.
— Je les appelle ? demande-t-il d’une voix hésitante. Il n’a contractuellement pas le droit de parler mais j’accepte. Il a respecté son engagement et bande de nouveau putain ! Il aime vraiment ça mater une chienne sans limites !
Une minute plus tard voilà le box investi par les trois mâles en rût ayant sûrement flairé mes hormones depuis l’extérieur. Je ne leurs fais pas perdre de temps et me place à quatre pattes face à eux. Pendant que j’échange ma salive avec le berger allemand, les deux pitbulls me nettoient le cul et la chatte, ils ne montent que des chiennes propres. Je me cambre et profite de ces langues râpeuses qui degustent allègrement mes orifices. Par intermittence, un reniflement se fait entendre et précède un contact viril entre un museau humide et mon anus. Reniflez-moi les gars, autant que vous le souhaitez.
Après ces préliminaires, c’est mon pit qui prend les devants et me grimpe dessus. Habitués l’un à l’autre, il trouve rapidement l’entrée de mon cul qu’il perfore énergiquement m’arrachant un cri de plaisir résonnant dans toute l’étable, il adore m’enculer et moi aussi. Sa queue rentre et sort comme un marteau-piqueur, il veut juste se vider dans ce trou, et je lui donne mon accord. Une fois verrouillée, je sens son sperme se déverser en moi, une quantité tout aussi satisfaisante que celle de l’équin. Pendant que son noeud se dégonfle, les deux autres compères me présentent les leurs devant ma bouche, que je ne peux refusés avec mes mains puisqu’occupée à ne pas me faire déchirer l’anus. Ils se placent comme des rois en tête à cul et prennent un malin plaisir à ne pas réagir à ma fellation malgré les jets de foutre qu’ils m’envoient alternativement dans le gosier. La texture et les odeurs m’enivrent au plus haut point. Qui imaginerait une jeune femme de même pas vingt ans s’adonner à des animaux dans une étable en pleine nuit d’hiver ?
Voilà le nœud dégonflé et mon cul dégoulinant de sperme, ma situation préférée. Au tour du berger allemand un peu plus maladroit mais plus puissant. Ses coups de butoir me liment la chatte et me font miauler. Enfin, il trouve l’entrée de mon cul et lubrifié par le sperme dejà présent, me besogne violemment tout en aboyant me procurant un autre orgasme. Son nœud maintenant verrouillé, je le laisse pisser son sperme dans ma cavité souillée.
Soudain, je réalise que je pourrais tenter une position encore plus excitante et surtout me permettant de jouer avec plus de bites encore ! Je place alors le pitbull encore puceau de ma chatte sur le dos et me l’enfile plutôt facilement dans la chatte. Mon pitt encore demandeur en profite pour se reloger dans mon cul maintenant dilaté, la bite de cheval sur mon visage et celle du berger allemand dans une main. Je me fais prendre par quatre sexes animaux en même temps, mon corps n’a jamais été autant en ébullition, il me faut de l’eau mais à défaut ce sera des gorgées de sperme. Mon pitt lance un dernier coup de rein et me balance une autre dose dans le fion pendant que je chevauche le deuxième qui crache en jets dans mon vagin, m’électrisant le corps tout entier au contact de ma paroi interne. Le tableau est magnifique, digne d’un porno zoo de haute volée et c’est moi la star.
— Rapproche-toi ! Lui dis-je. Tu pourras m’éjaculer dessus mais en dernier. T’es pas le chef ici. Il hoche de la tête au moment où ma main droite devient gluante du sperme du berger allemand. Dans le cul, dans la main, dans la chatte et bientôt dans la bouche, ils évacuent sur leur soumise chacun à leur tour me procurant un dernier orgasme ubuesque.
Une fois toutes les bites retirées et nettoyées, une envie pressante se fait sentir, je m’accroupis face au voyeur et me mets à pisser en le regardant droit dans les yeux, jusqu’à ce qu’il me lâche son foutre dans le visage. Un pervers fini ce con. Il tient parole et s’en va dans la foulée sans un mot mais surtout des étoiles plein la tête. Quant à moi, je me doucherai discrètement afin de me rincer de toute cette semence.
Est-ce que techniquement la dernière position est réalisable ? En as-tu le fantasme à présent ? Rien n’est moins sûr pourtant j’ai pris un plaisir monstre à nous identifier comme les protagonistes. Une bise sur tes tétons souillés Reby !
Diffuse en direct !
Regarder son live