Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 102 J'aime
  • 0 Commentaire

Mémoires d'un baiseur

Chapitre 8

Hétéro
MARIE - L’AIDE SOIGNANTE (8)
L’histoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les noms, prénoms et noms de lieux ont été changés ou sont purement imaginaires.
Les années ont passées. De retour à la vie civile, à la fin de mon engagement militaire, me voila conducteur d’ambulances.Un jour je suis appelé pour un transport vers l’hôpital. Je dois aller chercher une personne au dispensaire d’un centre d’accueil pour rapatriés.Quelle n’est pas ma surprise de retrouver Michèle, mon ancienne voisine, infirmière de ce centre (lire «Michèle», une précédente histoire).Comme convenu, à la fin de mon service, je me retrouve chez Michèle. Elle logeait au-dessus du dispensaire. Nous nous rappelons nos souvenirs de jeunesse. Michèle est mariée, encore sans enfant. Elle avait fait ses études d’infirmière et, son diplôme obtenu, avait réussi le concours pour son emploi actuel. Travaillant sous les ordres d’un médecin qui assure ses permanences uniquement le matin, cela qui lui laissait la liberté d’organiser ses après-midi à sa convenance. Sa seule contrainte était d’être présente dans le centre. Cela lui permettait, aussi, de militer "pour la libération des femmes" au sein de la section locale du planning familial. Deux aides soignantes l’assistaient. L’une d’elles, Marie, était célibataire, comme moi...Le mari de Michèle, conducteur d’engins de chantiers, en déplacement, est souvent absent le soir... Cela nous permet de constater que nous avions améliorés et acquis beaucoup d’expériences dans la recherche du plaisir sexuel. La nuit a été courte et chaude... Depuis, je passe une bonne partie de mon temps libre au dispensaire. Je fais connaissance de Jacques, l’époux de Michèle. Les aides soignantes participent à nos banales conversations sur le travail, le temps, la vie.Un soir, alors que nous étions seuls, Michèle me confie que Marie allait avoir trente ans. Très timide, elle n’avait pas de copain ce qui la déprimait beaucoup et souvent. Pourtant, dans le cadre de son travail, elle voit et touche des sexes masculins ou féminins mais elle a " peur des hommes".-"Il faut faire quelque chose - me dit Michèle- je compte sur toi pour lui faire vaincre sa timidité et ses réticences, lui faire connaître le plaisir de la jouissance...Dure mission en perspective !!!. Il me faut y aller en douceur.Chaque fois que nous pouvons, quand nous sommes tous les trois, Michèle, Marie et moi, nos conversations s’orientent vers le sexe. Nous «abandonnons» quelques revues un peu "osées" à la vue de Marie... Avec Michèle, nous avons quelques gestes équivoques, des sous entendus orientés... Nous prévoyons des sorties à trois, mais souvent, au dernier moment, Michèle a une « bonne excuse » pour ne pas venir. Ce qui devait arriver arrive. Nos moments en tête à tête font prendre confiance à Marie. Petit à petit, sa timidité s’estompe. Nous avons quelques gestes de moins en moins «innocents». Nos bises se deviennent des baisers... Je ne cache plus la bosse de mon érection sous mon pantalon. Marie ne tire plus ses jupes en s’asseyant. Nos mains s’aventurent souvent vers des endroits de notre corps protégés par la bonne morale.Au cours d’une sortie champêtre, par beau temps, en l’absence de Michèle, nous avons trouvé un endroit propice à un moment d’intimité. Après quelques caresses, Marie se laisse aller... Nonchalamment, je fais remonter sa jupe, je défais boutons, écarte son corsage. Découvrant des cuisses et une paire de seins à la peau blanche et veloutée, j’y dépose une quantité de petits baisers qui font pointer et durcir deux mamelons tout roses au milieu de leurs auréoles foncées... Ma main, partie en exploration, a trouvé la source qui laisse couler les "larmes" de son plaisir à travers sa culotte... Je guide une de ses mains vers ma braguette et, lui faisant comprendre mon désir, elle défait la boucle de ma ceinture et abaisse la fermeture éclair. C’est à travers le slip quelle saisi mon membre bandé...Nous avons pris le temps de nous regarder, trouvés les gestes propices à la montée du plaisir réciproque. Si j’ai une certaine expérience, Marie a de l’intuition. Malgré quelques réticences, elle passe sa main sous l’élastique du slip et prend ma verge en main. Elle me masturbe doucement. Passant un doigt sous sa culotte, je le promène entre ses lèvres intimes, tourner autour de son clitoris. Sa cyprine coule en continu. Notre plaisir monte. Elle gémit et râle de plus en plus fort, sans retenue. Mon érection est à son maximum et devient douloureuse. Nos bouches restent collées, nos langues s’emmêlent en une danse frénétique. Nous avons joui ensemble. Marie a un orgasme violant. J’éjacule dans sa main. Nous observons une pause avant de recommencer nos caresses.Alors que mon sexe recommence à gonfler, que celui de Marie recommence à mouiller, sans arrêter nos caresses et nos petits baisers, je fais descendre sa culotte, découvrant ainsi sa toison où, telles des perles de diamants, les gouttes de sa rosée s’accrochent aux poils bruns. Me soulevant et me contorsionnant un peu, je fais descendre mon pantalon, laissant à Marie le soin de découvrir mon pieu de chair au bout violacé... Elle a un petit mouvement de recul mais me laisse faire. Je ne m’en prive pas... Quand je lui fais comprendre qu’elle peut me prendre en bouche, elle n’ose pas. me mettant à genou entre ses jambes largement écartées, sous mes coups de langue entre ses lèvres velues et les sucions de son clitoris, elle part d’une montée vertigineuse et hurlante vers un septième ciel imaginaire. Mais, lui laissant retrouver son calme, elle refuse ma tentative de pénétration. Elle me demande d’être patient. C’est la première fois qu’elle s’offre aux caresses d’un homme... Elle m’avoue être encore vierge. (ce que j’avais pu constater avec mes doigts)...Je respectai ses réticences... Elle est d’accord pour aller plus loin la prochaine fois... Tout en lui caressant son bouton d’amour d’une main, je me masturbe de l’autre. Très vite, en longues giclées, j’arrose son ventre pour lui faire connaître le contact du sperme chaud... Au cours d’une nuit suivante, en refaisant les mêmes gestes, je mets Michèle au courant de l’éducation sexuelle de Marie... Marie compte les jours. Elle veut perdre sa virginité sans avoir recours au préservatif et sans risquer d’être enceinte (La pilule n’était pas encore autorisée à la vente). En attendant, nous avons eu d’autres moments agréables. Nous avons trouvés les gestes, les endroits, les positions qu’il faut pour un plaisir maximum. Nous sommes arrivés à pratiquer des 69 exceptionnels. Les premières fois, j’éjaculais dehors. Ayant goûté mon sperme, Marie accepte de recevoir ma semence dans sa bouche. Si, au début, elle recrachait, petit à petit, elle trouve un certain plaisir à avaler... Quand elle se sent prête à perdre sa virginité, nous nous sommes caressés doucement. Nous avons utilisés toutes nos connaissances pour faire monter le plaisir au bord de la jouissance. Allongée, cuisses écartées, sexe bien mouillé, cour battant très fort, Marie attend. Ma queue en main, je fais des vas et viens entre les lèvres de sa chatte. Avec mon gland, je masse sons clitoris puis je le présente face à l’entrée de son vagin. J’appuie doucement. L’hymen résiste. Je demande à Marie si elle n’a pas mal. Pour réponse, elle donne un violent coup de rein qui me fait tomber dans son puits de jouissance. — "Depuis le temps que j’attends ce moment, je n’ai pas mal et ne croyais pas que ce serait si bon" -me dit-elle.Je finis de la pénétrer bien à fond en marquant un temps d’arrêt pour laisser ses chairs se détendre et s’habituer à ma présence. Doucement je commence à m’activer. Elle répond en se trémoussant et gémissant. Je sens son plaisir monter. Je sens ma bite coulisser a l’aise dans cet étui chaud. Me penchant, je peux voir mon membre tout rouge de sang mélangé à la mouille de Marie. J’accélère mes mouvements, elle aussi. Ensemble, nous jouissons... Elle ne put retenir son long cri de bonheur.. . J’éjacule en longues giclées épaisses... Elle sent les spasmes de ma verge dans son vagin et contre son clitoris... Je me retire au bout de quelque temps. Mon chibre ramolli, Marie retrouvant son calme, nous échangeons nos impressions et nous promettons de recommencer... Ce que nous avons fait... Avec Michèle, nous avons eu quelques moments de bonheur à trois.
Nos vies professionnelles et familiales nous ont séparés. Licencié pour raisons économiques, le mari de Michèle ne quitte plus son foyer. Marie est partie sous d’autres cieux avec celui qui partage son lit. J’ai aussi quitté la région pour un autre emploi... et découvrir d’autres aventures...Mais cela, c’est d’autres histoires,,,(à suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live