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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 14

Hétéro
VALÉRIE

Encore une fille prise en stop ; une mignonne petite blonde cendrée, aux cheveux courts, qui semblait toute timide lorsqu’elle monta dans ma CX. Agée de 16 ou 17 ans, Valérie était encore scolarisée dans un collège. Je m’arrêtai en bordure d’un pré ; la lisière de la forêt n’était pas loin. Elle ne résista pas lorsque je l’embrassai, ni quand mes mains s’égarèrent sur son corps d’adolescente. Elle avait de tout petits seins et, vu la taille de ses hanches, on aurait pu la prendre pour un garçon en la voyant de dos. S’abandonnant à mes baisers, elle avança son bassin à la rencontre de ma main lorsqu’elle vint se placer entre ses cuisses.
Constatant que l’apparemment timide Valérie cherchait des émotions plus fortes qu’un simple flirt, je l’entraînai hors de la voiture ; prenant dans le coffre une couverture qui avait déjà servi plus d’une fois, je l’étalai sur l’herbe, et nous nous étendîmes dessus. L’adolescente était vierge ; mais un quart d’heure plus tard, elle ne l’était plus, ni de la chatte, ni du cul !
Malgré les légères douleurs que je lui infligeai lors de ces deux déflorations consécutives, elle a aimé recevoir ma queue en elle. Dans le feu de l’action, Valérie ne s’est même pas inquiétée lorsqu’un groupe de cyclistes passa sur la route, à une dizaine de mètres de nous. Nous entendîmes leurs exclamations : ils semblaient apprécier ce spectacle qui agrémentait leur randonnée… Mais nous n’avons pas cessé de forniquer pour autant !
Je pense même que cette première exhibition involontaire avait donné à Valérie le goût d’être vue dénudée. Pour preuve, alors que – quelques jours plus tard – nous étions en train de faire l’amour, nus en pleine nature, nous entendîmes du bruit sur l’autre rive du cours d’eau. Alertés, nous avons suspendu nos ébats pendant quelques secondes, à l’écoute. Les craquements se répétèrent, comme si quelqu’un écrasait des branches en marchant, puis s’arrêtèrent définitivement ; le voyeur avait dû trouver un point d’observation qui lui convenait. Je dis à Valérie que nous étions observés. Malgré cela, elle se laissa faire lorsque je lui écartai les cuisses en direction de l’endroit d’où était venu le bruit. J’ouvris sa chatte juvénile et lui caressai le clitoris jusqu’à ce qu’elle jouisse ; j’espère que le voyeur a bien profité de l’exhibition que nous lui avons offerte pour se branler frénétiquement…
Le plus surprenant, c’est que le père de Valérie – un gendarme – était plus jeune que moi !
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MARTINE

Je la connaissais depuis longtemps, puisqu’elle avait été la compagne, pendant plusieurs années, d’un copain ; à présent, elle était libre. Bien qu’elle n’eût pas un visage attirant, Martine avait un beau cul (ce qui est important pour moi). Un après-midi, j’étais passé chez elle, et j’avais tenté ma chance ; elle ne se fit pas prier pour répondre à mes avances et, comme c’était son cul qui me tentait, c’est là qui j’introduisis ma verge pour lui en lubrifier l’intérieur de quelques jets de sperme.
Ce fut notre unique relation, car j’avais eu ce que je voulais : son beau petit cul.
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PATRICIA


Malgré son air de jeune fille sage, un peu obsolète, et ses vêtements désuets, Patricia était une fieffée garce ! Pour assurer sa subsistance, elle était la maîtresse d’un pharmacien mais, pour son plaisir, elle m’allumait, tout comme elle allumait son frère… Elle me rendait fou de désir car – si elle passait des heures à flirter avec moi – ses baisers ne me suffisaient pas ; il fallait que je lui mette ma bite quelque part, de préférence dans le cul ou dans la bouche.
Un soir, l’occasion se présenta enfin ; à table, ayant fait honneur à de bons vins, elle ne se sentit pas capable de rejoindre son domicile au volant de sa Coccinelle verte. Elle dut dormir chez moi, et plus précisément dans mon lit.
Malgré son ivresse, Patricia sut écarter mes mains lorsqu’elles s’aventurèrent sur son corps ; par contre, elle n’était pas avare de ses baisers. Nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre ; pour moi, le sommeil fut long à venir car j’étais très excité. Ma verge, en érection douloureuse, tenta à maintes reprises – mais sans y réussir – de franchir le rempart symbolique de sa culotte qu’elle avait gardée pour se protéger de mes assauts.
A petit matin, je me suis éveillé avant Patricia ; réalisant que c’était elle qui dormait à mes côtés, je plongeai sous les draps, m’enivrant du parfum musqué qui émanait de sa vulve. J’y posai ma bouche, et entrepris de la lécher à travers le fin voile de sa culotte ; c’est à ce moment-là qu’elle s’éveilla. Elle me laissa pourtant lui enlever l’unique pièce de vêtement qu’elle portait, et mes lèvres firent enfin connaissance avec celles qu’elle me refusait depuis si longtemps… Mes caresses amenèrent Patricia à la jouissance, mais elle m’interdit d’aller plus loin ; elle n’eut pas le moindre geste pour moi, même pas les quelques va-et-vient qu’une main secourable aurait pu effectuer sur ma verge douloureuse pour la délivrer de la tension insoutenable qui l’habitait.
Pour une fois, je suis resté sur ma frustration.
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ANONYME N° 17

C’est le hasard qui m’a fait rencontrer cette fille ; je sortais d’un apéritif d’entreprise, un vendredi soir. Il faisait déjà nuit, et j’étais complètement schlass. Dans le faisceau des phares de ma voiture apparut une silhouette féminine. Féminine ? Enfin, n’exagérons pas ! C’était un gros tas, large du cul et au bide proéminent, avec des seins que le soutien-gorge arrivait tout juste à maintenir au niveau du nombril… Un monstre, quoi !
Pourquoi l’ai-je invitée à monter dans ma voiture ? Par jeu, peut-être ; l’alcool m’empêchait de raisonner. Un instinct primaire, alors, venu du fond des temps ? Toujours est-il que la grosse se retrouva assise à mes côtés. Je lui proposai un jeu : rouler au hasard, en tirant à pile ou face la direction à prendre à chaque intersection. Elle accepta sans réticence ; pour elle, se faire draguer par le beau gosse que j’étais alors représentait une aubaine inespérée…
C’est donc le hasard qui fit que nous nous retrouvâmes sur une petite route au milieu des bois. Comme elle se terminait en cul de sac, je voulus faire demi-tour ; mais, dans mon ivresse, je ne vis pas le fossé qui longeait la voie forestière, et ma CX bascula, endommageant au passage le capot et une aile. Le véhicule était immobilisé, incapable de revenir sur le bitume. Je dus faire appel aux services d’une dépanneuse équipée d’un treuil.
En attendant l’arrivée du camion, j’entrepris la grosse ; après l’avoir allongée sur le capot encore chaud de la voiture, je relevai sa robe et abaissai sa culotte : une forte odeur se répandit aux alentours. La chair molle et blafarde de ses cuisses énormes s’étalait comme de la gelée sur la carrosserie de la CX. Mais la puanteur devint presque insoutenable lorsque je partis à la recherche de sa chatte ; je dus soulever les replis graisseux de son ventre pour atteindre une vulve proportionnée à sa corpulence, qui lui fendait tout le bas-ventre, depuis son gros cul gélatineux jusqu’à quelques centimètres sous son nombril ! Des grandes lèvres phénoménales pendouillaient de part et d’autre d’une fente profonde, suintante et nauséabonde.
Répugné et attiré tout à la fois, j’avançai une main prudente vers ces replis innommables ; de cette monstruosité se répandait une viscosité inquiétante… Ma main entra en contact avec ces chairs malsaines, et fut comme aspirée dans le ventre de la grosse, qui se mit à couiner de plaisir. Je fermai mon poing, et entrepris de lui ramoner le conduit avec violence, poussant en avant jusqu’à ce que mon avant-bras disparaisse à moitié dans les entrailles de cette grosse vache qui meugla son violent plaisir sous la lune ; puis j’enfilai ma bite dans cette masse de chairs visqueuses et gluantes.
En quelques allers et retours, je me vidai les couilles dans cette abomination.
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